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Les propriétaires de la boulangerie de Saint-Just-Malmont détruite dans un incendie en 2018 veulent relancer ce commerce, en recherchant en priorité un boulanger-pâtissier.

Olivia Freychet est attaché à ce commerce. Propriétaire de l'immeuble avec son compagnon Miguel Lourenço, Olivia Freychet est d'autant plus attachée à ce commerce qu'il a été tenu par sa famille pendant plusieurs générations. Son grand-père, puis son père, Gilles Freychet, ont été boulangers et pâtissiers. Son père est resté 35 ans, jusqu'en 2003.

Le 22 juin 2018, tout s'est arrêté dans l'incendie du fournil (lire l'article). Si l'origine criminelle a été reconnue, aucun responsable n'a pu être identifié. L'ancien boulanger et son épouse avaient été poursuivis avant d'être relaxés.

"C'était la plus grosse boulangerie de Saint-Just"

Aujourd'hui, Olivia Freychet tente d'avancer en lançant des démarches pour trouver un nouvel artisan, entamer des travaux et rouvrir ce commerce de la place Moulin-Prugnat. Même si Saint-Just-Malmont compte deux boulangeries, elle reste persuadée de l'intérêt de rouvrir cette boulangerie-pâtisserie. "C'est une catastrophe et ça manque pour Saint-Just. C'était la plus grosse boulangerie de la commune. Le commerce dispose de 180 m2 de locaux."

La priorité donnée à une boulangerie

Evoquant le soutien de la mairie, la propriétaire se lance dans une recherche active. La priorité est donnée à un boulanger. Si on ne trouve pas, on pourra alors réfléchir à autre chose, peut-être séparer le commerce en plusieurs lots. Mais c'est loin d'être ma volonté première."

Contact : 06 63 68 56 88

Publié dans Loire Semène

(Publi-reportage) Le boulanger-pâtissier Dominique Alibert installé à Monistrol-sur-Loire, 28 avenue de la Libération, propose de fêter le 20e anniversaire de son commerce. Des dégustations et animations sont prévues toute la journée du jeudi 10 juin, jusqu’à 20 heures (toujours en respectant les gestes barrières).

Depuis juin 2001, la boulangerie-pâtisserie de l’avenue de la Libération à Monistrol-sur-Loire est tenue par le même artisan : Dominique Alibert. Originaire de Craponne-sur-Arzon, ouvrier pâtissier pendant 17 années à Saint-Julien-Chapteuil, il a repris ce commerce, appelé le point chaud et alors tenu par deux frères.

Il a transformé au fil des ans, cette enseigne, accompagné de plusieurs collaborateurs (boulangers, pâtissiers, serveuses) au nombre de huit aujourd’hui, en ne lésinant jamais sur la qualité de ces produits, afin d’offrir le meilleur à ses clients dont beaucoup de fidèles.

Ainsi, il propose chaque jour divers pains, multiples gâteaux, chocolats, macarons, glaces et tout un rayon traiteur et snacking.

Journée spéciale le 10 juin

Pour fêter ce vingtième anniversaire, la journée sera consacrée à des dégustations (dans le respect des gestes barrières) et des animations.

Ce jour-là, notamment en partenariat avec les Grands Moulins de Paris qui fournit la farine de tradition française, la Campaillette sera au prix de la baguette, soit 0,75 € au lieu de 1,10 €.

Chouquettes et glace à l’italienne

Des chouquettes maisons seront offertes aux clients. Et la glace à l’italienne (vanille-fraise) sera valorisée au tarif exceptionnel de 1 €.

Publié dans Monistrol et environs

A l'occasion du passage du Tour de France sur le Haut-Lignon, Olivier Desgrand, boulanger du Fournil Tençois, rue d'Annonay à Tence, a proposé à ses clients de participer à un jeu pour tenter de gagner un vélo.

Le tirage au sort, réalisé dimanche, a permis d'offrir ce cadeau à Alain Joubert, de Tence.

Publié dans Haut-Lignon

Frédéric Mazzarese, boulanger à Fay-sur-Lignon, a disputé la finale régionale de la meilleure baguette de tradition française. Le champion de Haute-Loire (il avait remporté le concours départemental en juin 2016) a pris la 4e place lundi à Romagnat (Puy-de-Dôme).

Le gagnant est le Drômois Guillaume Beton de la boulangerie le Relais de la Pogne à Alixan (Drôme). Il devance Kenny Fidel de Saint-Martin-d'Uriage (Isère) et Aurélien Mingot de la Maison Champeaud à Lyon. Les deux premiers représenteront la région en mai à Paris lors de la Fête du pain.

Les candidats devaient présenter un lot de 4 baguettes d’un poids et d’une taille prédéfinis.

Le jury composé de boulangers et de présidents des fédérations du Puy-de-Dôme et de Haute Loire, Xavier Bordet et Jean-Luc Chapuis, devait noter les baguettes sur des critères de goût, de mâche, d’alvéolage, de croustillance et d’arômes.

Publié dans Puy et Agglo

Kevin Crespy, 23 ans, et Marilyne Felix, 21 ans, viennent de créer "Au Petit Atelier". Ils ont racheté l'affaire d'Olivier Roure au 20 place de la République à Saint-Agrève.

Kevin, originaire de Fay-sur-Lignon, dispose d'une expérience solide. Il a passé cinq ans en tant qu'apprenti dans la boulangerie de son village, au côté de Frédéric Mazzarese qui a remporté en juin 2016 le titre de la meilleure baguette de tradition française de la Haute-Loire. Il a passé et obtenu un CAP boulangerie, une mention complémentaire et un brevet professionnel, avant de se lancer sur le marché du travail.

Là aussi, il a misé sur la qualité en intégrant la boulangerie Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid.

L'envie de s'installer était forte et l'occasion s'est présentée à Saint-Agrève. Début septembre, le jeune couple a repris cette boulangerie-pâtisserie et salon de thé, qui compte aussi deux vendeuses. Les jours d'ouverture restent les mêmes, le commerce est fermé le mercredi.

Parmi les spécialités et les nouveautés de la maison, on citera volontiers le Panettone et la baguette de l'atelier, faite au levain avec quatre farines.

Contact : 09 83 71 91 31

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Publié dans Dans le 07
Frédéric Mazzarese a remporté vendredi le concours départemental de la meilleure baguette de tradition française. Le boulanger, adoré à Fay-sur-Lignon, a gagné le premier prix devant Jean-Luc Chapuis (Drôle de B) à Brives-Charensac et Fabrice Allirol de Lantriac.

Dix boulangers ont participé à ce concours départemental où le jury a départagé des baguettes de tradition dont la taille devait faire entre 45 et 50 cm. La baguette, fabriquée avec de la farine de tradition française, ne devait pas faire plus de 250 g cuite. Les cinq coups de lame devaient être bien visibles.

"Ça fait plaisir de remporter ce concours", confie Frédéric Mazzarese qui avait fini 3e en 2015. Et en janvier de cette année, il avait reçu le prix "innovation" au concours de la meilleure galette grâce à une galette façon tarte tatin faite avec des pommes caramélisées.

"J'espère que ce 1er prix va m'appporter du monde. Mais en étant à Fay-sur-Lignon, c'est plus compliqué que si j'étais au Puy. C'est en tout cas très valorisant."
Publié dans Dans le 43 2016
Fermées depuis un an, les deux ex-boulangeries Vialette sont toujours portes closes malgré une promesse de reprise. Explications.

1er avril 2015 : les deux boulangeries-pâtisseries Vialette, aux enseignes Aux Fins Gourmets et le Fournil des sucs, ferment du jour au lendemain. Douze salariés se retrouvent sur le carreau. Juillet 2015 : le tribunal de commerce du Puy-en-Velay valide l'offre formulée par Jérémy Vacher, restaurateur à Yssingeaux. Mais depuis, les deux rideaux sont toujours baissés. Les magasins semblent toujours en vente. Un écriteau reste scotché aux vitrines. Et les rumeurs vont bon train.

Que s'est-il passé ? Si l'offre de Jérémy Vacher, a priori seul candidat en lice pour racheter les deux fonds de commerce, a été retenue, le juge-commissaire du tribunal de commerce a rajouté des conditions dans son ordonnance. Des conditions que le restaurateur de l'Open a contesté devant la justice. Notamment le réglement des loyers des mois qui précèdent son offre de reprise. Plusieurs milliers d'euros et le paiement de la taxe foncière lui sont demandés pour la boutique de la place Foch. "Je n'ai signé aucune promesse de vente, je n'ai pas à payer", estime Jérémy Vacher qui trouve le temps long entre son appel et le passage devant la cour d'appel de Riom.


Ouverture en septembre ?
Plaidé le 26 avril, le dossier a été mis en délibéré jusqu'au 23 juin. "J'ai bon espoir que ça se décante mais je regrette toute cette attente", confie Jérémy Vacher qui s'appuie sur le sentiment transmis par son avocat, Me Christian Bellut : "Le juge-commissaire a imposé des conditions qui n'étaient aucunement formulées, ni par le liquidateur, ni par Jérémy Vacher, qui sont les deux parties."

En cas d'issue favorable pour Jérémy Vacher, les deux boulangeries-pâtisseries pourraient rouvrir à la rentrée de septembre. Jérémy Vacher, qui possède une solide formation de pâtissier acquise auprès de Bruno Montcoudiol, compte effectuer des travaux dans le magasin de la place Foch. La fabrication se ferait dans le laboratoire, avenue de la Marne. Quatre salariés seraient employés.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Hélène et Norbert Jouve ont mis les petits pains dans les grands ce vendredi matin pour fêter leur première anniversaire à la tête de la boulangerie Aux Plaisirs des pains. La minoterie des Moulins Nicot dans la Saône-et-Loire avait aussi dépêché deux démonstrateurs pour assurer la confection du pain et proposer une offre spéciale.

Hélène et Norbert Jouve fourmillent de projets pour leur commerce laptois. A partir du 1er juillet, ils vont accueillir deux apprentis (un jeune en première année et un autre en mention complémentaire) pour transmettre leur savoir et être épaulés dans la production quotidienne. Le travail ne manque pas pour l'artisan boulanger qui fabrique quotidiennement 100 baguettes tradition, 30 flûtes tradition et huit sortes de pains spéciaux. Dont la Laptoise, spécialité des Jouve. "Ce pain est fait avec une farine maltée", indique Norbert Jouve.


"Les Laptois jouent le jeu du commerce local"
Le couple, qui est resté 18 ans au Mazet-Saint-Voy, est ensuite passé par la grande distribution, à Leclerc Firminy et Super U Yssingeaux pour Norbert. Mais l'envie de reprendre une affaire à deux les a conduits à s'installer à Lapte dans un commerce de proximité "qui se cassait la figure", selon Hélène Jouve. Ils ont doublé le chiffre d'affaires et veulent poursuivre sur leur lancée. "On travaille beaucoup avec les promeneurs de la voie verte. On va encore développer le snacking, le traiteur, les produits salés."

Le couple de boulangers peut aussi compter sur "une clientèle fidèle. Les Laptois jouent le jeu avec le commerce local. On fournit aussi la Ferme de Lavée chaque jeudi pour le restaurant et le portage des repas à domicile." La boulangerie propose également une tournée des villages le lundi, mardi, jeudi et vendredi.

La boulangerie jalonne l'année d'animations : "On fera quelque chose pendant l'Euro de foot. Et chaque week-end, on fait un gros pain rustique qu'on vend en tranches."


Une boulangerie 2.0
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Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Depuis ce samedi matin, on peut trouver du pain à Chenereilles.

Grégory Celle, boulanger à Araules, vient d'installer un distributeur de pain qui propose des flûtes et des baguettes. Plusieurs années après la fermeture du dernier commerce dans ce village de 300 habitants, c'est le retour d'un service demandé. "Je fais une tournée de pain le jeudi sur la commune et des clients étaient demandeurs. Ils savaient que j'avais installé un distributeur à Recharinges il y a un an."

La commune a mis à disposition un emplacement en face de l'église et a réalisé une dalle en béton. La machine propose des flûtes à 1,20 euro et des baguettes à 0,90 euro. "C'est un service de dépannage et il faut voir sur le long terme si c'est rentable. La première condition, c'est que le pain soit bon." La location coûte 300 euros HT au boulanger chaque mois. "Il faut trouver des solutions pour nos petites boulangeries. Les jeunes ne sont pas intéressés par les tournées." "C'est un service qu'on rend à la population. Et ça met de l'animation, un peu de lumière dans le village", apprécie Philippe Digonnet, le maire de Chenereilles.

Le distributeur sera approvisionné tous les jours, sauf le jeudi, jour de la tournée. Frédéric Pichon, boulanger à "Freycenet" à Saint-Jeures propose aussi une tournée le mercredi et le samedi.
Publié dans Haut-Lignon
L’animation était joyeuse au lieu-dit « La Banque », à quelques centaines de mètres de « Recharinges ». Dans la maison d’Anne et Luc, une quinzaine de personnes se sont retrouvées pour fabriquer du pain. Deux anciens boulangers menaient tout leur petit monde à la baguette. Nicolas Chiffe et Thony Delolme ont joué les maîtres d’apprentissage d'un jour pour le groupe très motivé qui a libéré son imagination dans les formes et les textures : batards, marguerites, pains au chocolat... Les spécialités ont été appréciées le soir-même par d’autres convives ravis, lors d’une dégustation de vins.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs