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Les dissensions entre le maire Yohann Fanget et sa première adjointe Huguette Liogier ont conduit à la démission de l'adjointe mardi. La veille au soir, les élus de Lapte ont validé l'idée de démissions multiples pour provoquer de nouvelles élections municipales avant l'été.

Les différences peuvent être une force mais à Lapte elles ont abouti à une impasse. En 2020, une seule liste avait été créée en prévision des élections municipales. Huguette Liogier avait été pressentie comme la tête de liste avant que Yohann Fanget ne soit finalement propulsé numéro un. Ils étaient partis sur l'idée d'un binôme avec Yohann Fanget maire et Huguette Liogier vice-présidente à la communauté de communes.

Des méthodes et objectifs divergents

Mais deux ans après, les deux élus ne sont plus du tout sur la même longueur d'ondes, aboutissant à la démission d'Huguette Liogier de tous ses mandats, à la mairie et aux Sucs.

"Ça ne fonctionnait plus", reconnaît le maire. "Il n'y en a pas un qui a tort et l'autre qui a raison. Je lui ai proposé de prendre la place de maire et moi être simple conseiller municipal. Lundi soir, elle a confirmé sa démission. Nos méthodes et nos objectifs de mandat divergeaient fortement, rendant cette situation invivable pour le reste de l’équipe."

"Quelques événements récents ont accéléré l’inévitable rupture qui couvait depuis plusieurs mois", ajoute le maire. Parmi ces gouttes d'eau figure l'engagement de la première adjointe dans le comité de soutien à Emmanuel Macron.

Des élections avant l'été ?

Au-delà de cette démission, la majorité des élus laptois sont partis sur l'idée de provoquer de nouvelles élections municipales à Lapte. Au moins six démissions devraient intervenir après le vote du budget, fixé le 12 avril. "On veut assurer une transition et permettre la poursuite du service", justifie Yohann Fanget qui n'a pas encore décidé s'il serait candidat par la suite ou non. "Nous sommes en discussion avec la sous-préfecture pour obtenir des dates d’élections avant les vacances d’été."

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(Publi-reportage) Installé depuis avril 2018, Mickaël Souvignet fait grandir sa petite entreprise d’aménagement, L.A.T.P.E.

Après quinze années d’expériences enrichissantes au sein des entreprises Moulin, Faurie et Trema, Mickaël Souvignet a choisi de s’installer. Le jeune trentenaire à monter son entreprise L.A.T.P.E. à Lapte, une commune où il vit depuis dix ans.

Tous types d’aménagements

L.A.T.P.E. Aménagement propose d’intervenir auprès des particuliers, des entreprises et des collectivités pour tous types de travaux : travaux publics, aménagement extérieur, terrassement de villa, VRD, pose de clôture, maçonnerie paysagère, entretien, broyage de végétaux.

Une nouvelle pelle mécanique avec un godet orientable

La croissance de L.A.T.P.E. Aménagement se vérifie dans le récent investissement. Mickaël Souvignet vient d’acquérir une pelle mécanique de 2,5 tonnes, avec un godet équipé d’un Powertilt pour orienter le godet jusqu’à 90 degrés.

Infos pratiques

Téléphone : 06 85 18 98 47

Mail : latpe43@gmail.com

Page Facebook : https://www.facebook.com/LATPE-Am%C3%A9nagement-355259541862073/?ref=page_internal

Site internet en cours de construction

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Thierry Mounier et Marie-Lise Masson élèvent à Lapte des bufflonnes dont ils utilisent le lait pour en faire de la mozzarella, bio et fermière. Les premiers fromages sont sortis cet été et la demande de la clientèle est incroyable.

La Ferme du brin d'Auvergne se distingue à bien des égards. Thierry Mounier et Marie-Lise Masson, qui sont dans leur cinquième année d'agriculture biologique, sont les premiers éleveurs de bufflonnes de Haute-Loire et les premiers à commercialiser de la mozzarella, bio et fermière.

La mozzarella est plébiscitée

Les deux agriculteurs n'avaient pas vocation à développer cette production, sinon à se faire plaisir en fabriquant leur propre mozzarella. Mais la voie verte Via Fluvia, qui passe devant la ferme et les prés à "Verne", a amené beaucoup de passants à marquer leur intérêt pour ce fromage dont il se dit qu'il s'agit du fromage le plus consommé au monde. "La mozzarella a pris de l'ampleur. On a été porté par la demande", reconnaît Marie-Lise Masson.

La bufflonne, d'abord craintive, se montre d'une tendresse folle et réclame rapidement les câlins. "Il faut se présenter, leur parler", indique Marie-Lise Masson. Mieux vaut ne pas s'aventurer dans leur enclos sans être accompagné d'un visage familier de ces bovins.

Riche en matières grasses mais très digeste

Actuellement, neuf bufflonnes produisent chacune quatre litres de lait par jour quand, en comparaison, une vache donne 30 litres. Mais la bufflonne dispose de belles richesses : 85 % de matières grasses et 50 % de matières protéiques. Le lait de bufflonne est plus gras certes, mais il est néanmoins plus digeste puisqu'il est pauvre en lactose. Il faut 4 litres de lait de bufflonne pour faire 1 kg de fromages, contre 10 litres pour le lait de vache.

Sans conservateur, fabriquée au lait cru, la mozzarella demande une consommation rapide avec une date limite de consommation à 7 jours. "On conseille toujours d'attendre quelques jours car le fromage gagne en saveurs", indique Thierry Mounier, installé depuis 1992, dans la continuité de ses parents.

Où trouver la mozzarella de Lapte

Pour l'heure, les fromages se vendent directement à la ferme ou dans quelques points de vente comme le Ville et toi aux Villettes, Coeur d'artichaut à Tence, les Délices du Mézenc à Fay-sur-Lignon ou la Ségoline à Sainte-Sigolène. Des restaurateurs ont aussi mis la mozzarella de Lapte dans leurs plats et à la carte. Le lait de bufflonnes se décline aussi en yaourts et en panacottas.

Un projet de grand gîte à Raucoules

Parce que le couple d'agriculteurs vit à 1000 à l'heure, ils ont lancé un chantier colossal d'un gîte de grande capacité dans la continuité de leur maison à Raucoules. De deux anciens corps de forme, ils transforment le lieu en gîte pour 40 couchages et une salle de réception de 170 personnes. Les travaux avancent et les premières locations sont prévues pour le printemps 2022.

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Située aux « Aulanais » à Lapte, l'entreprise de mécanique générale MGB Cube ne connaît pas la crise, ou plutôt sait jouer de ses atouts pour négocier cette inédite période marquée par le Covid.

Trois associés, cinq salariés, un apprenti, voilà la force de frappe de cette petite entreprise résolument tournée vers l'avenir. Le cinquième salarié a rallié la structure en janvier, attestant de la bonne santé de l'affaire.


Un trio de trentenaires

Aux manettes depuis septembre 2019, se trouve un trio de trentenaires aux compétences complémentaires.

On retrouve Cédric Blanc, de Grazac, qui confie avoir « toujours baigné dedans ». Il est le fils d'un des créateurs de l'entreprise anciennement dénommée MGB pour Mécanique Générale Blanc, dirigée alors par Michel et Eric Blanc. Son champ d'action privilégié, c'est l'industrialisation, la programmation. Noël Lurel, de Raucoules, officie comme chef d'atelier. Tandis que l'Yssingelais Clément Aulagne est le fer de lance pour la gestion et la commercialisation.


L'usinage de précision

La spécialité de MGB Cube : l'usinage de précision. Tournage, fraisage, affûtage, rectification, métallisation, voilà les savoir-faire. Les jeunes dirigeants misent sur les nouvelles technologies avec notamment la conception et fabrication par ordinateur (CFAO), et plus largement un intérêt pour les outillages novateurs.


Des donneurs d'ordre multiples

Leur sérénité tient à la polyvalence de leurs clients, aux activités variées, qui se recrutent en région Auvergne-Rhône-Alpes et dans toute la France. On retrouve un noyau de cinq à huit donneurs d'ordre principaux, auxquels s'ajoutent d'autres clients plus modestes mais qui contribuent à sécuriser le carnet de commande.


Alimentaire, automobile, ferroviaire

Ici, on produit des pièces pour des machines spéciales, les secteurs de l'automobile et du poids-lourd, l'alimentaire, le ferroviaire (tels les barres d'aiguillages), l'hydraulique, l’aéronautique...

Optimistes, dynamiques et réalistes, les entrepreneurs de MGB Cube ne dévoilent pas leurs ambitions pour l'heure, mais admettent bien volontiers envisager des investissements propres à renforcer leur position. Le moment venu.

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La Société de protection des animaux (SPA) de Haute-Loire, basée à Polignac, participe activement au sauvetage des 2000 rongeurs issus d'un élevage à Lapte.

Samedi après-midi, les bénévoles ont ramené 50 lapins nains à Polignac. Ces rongeurs sont disponibles le plus tôt possible à l'adoption. La SPA a décidé de ne mettre aucun tarif pour donner un maximum de chances de pouvoir trouver des familles. Les adoptants donneront ce qu'ils voudront.

Cinquante lapins nains sont adoptables mais d'autres rongeurs attendent à Lapte. La SPA dispose de 10 jours pour trouver des solutions. Sans quoi les animaux seront euthanasiés. Et si les lapins trouvent rapidement des familles, d'autres lapins pourront être récupérés au sein de l'élevage.

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Le théâtre Gérard-Defour de Lapte recevait un spectacle de la Comédie de Saint-Etienne samedi soir. Logan De Carvalho, seul en scène,  plonge dans ses racines gitanes au fil d'un opus où l'humour le dispute à la tendresse.

Si vous l'avez loupé, une séance de rattrapage s'offre à vous puisque Logan De Carvalho avec son spectacle "Moitié voyageur" sera samedi 1er décembre au Calibert au Mazet-Saint-Voy.

A Lapte samedi soir, l'auditoire n'était pas très fourni pour cette proposition de qualité insérée dans le dispositif de la Comédie itinérante. En piste Logan De Carvalho, l’ancien élève de l’École de la Comédie de Saint-Étienne, dans une remarquable performance d’acteur.

Le comédien plonge dans ses racines gitanes se moquant avec humour et tendresse de sa famille, ses amis gitans, lui-même, mais aussi les « gadjé » au gré d'une galerie d'une quinzaine de personnages.

Voilà le propos de ce seul en scène qui ne génère pas l'ennui. "C’est l’histoire d’un mec à moitié gitan qui apprend que sa sœur va se marier avec un vrai gitan, tout entier, lui. Malheureusement le mec c’est moi, sa sœur c’est la mienne, et le gitan… c’est compliqué."

La mère de Logan De Carvalho, issue de la communauté gitane, a choisi de devenir sédentaire pour fonder une famille et élever ses deux enfants : Logan et sa sœur. Quelques années plus tard, le mariage de cette dernière avec un gitan donne l’occasion au comédien d’effectuer une introspection et de renouer avec ses origines.

"Moitié voyageur", co-écrit à six mains, parmi lesquelles la truculente patte d’un certain Vincent Dedienne, met dans la lumière une population d’oubliés à la culture ancestrale et riche, aujourd’hui encore stigmatisée. C’est par l’imaginaire du rire qu'y sont défrichées les questions de l’identité et de la communauté.

La pièce, d'une durée de 1 h 20 est jouée à 20 h 30, au Mazet-Saint-Voy le samedi 1er décembre.

Plein tarif: 10 euros

Tarif réduit (étudiants, chômeurs, moins de 18 ans): 6 euros


Retrouvez toutes les infos ici

 

Pour vous faire une idée, le teaser

 

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Samedi, les Galàpias de Lapte ont reçu les Croq'sentiers d'Yssingeaux.

En effet, depuis plusieurs années les deux groupes de randonneurs se retrouvent à Lapte ou à Yssingeaux. Le groupe qui reçoit organise d'abord une belle randonnée, puis un casse-croûte et pour finir une joyeuse soirée festive.

Samedi, ils étaient une cinquantaine à parcourir les sentiers Laptois. 

Pour le repas campagnard, les cordons bleus laptois avaient préparés des entrées salées diverses, puis le plat de résistance lentilles saucisses et enfin de savoureux desserts, en particulier d'excellents choux à la crème. Jetez un oeil sur les photos ! Vous en salivez déjà...

La journée s'est terminée en musique.

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mardi, 23 octobre 2018 14:45

Lapte : une classe du baby boom au Julipinois

Ils s’étaient donnés rendez-vous vendredi au restaurant Le Julipinois à Saint-Julien-du-Pinet. Les récents septuagénaires laptois de la classe 1948, se sont retrouvés, avec leurs conjoints, autour d’une bonne table copieuse et reconnue.

Ce n’est pas moins de trente-sept convives qui ont partagé un après-midi de retrouvailles dans une ambiance chaleureuse et pleine de souvenirs.

Cet été, ils ont défilé sur le thème : « La Guinguette des 70 ans », accompagnés par leur accordéoniste, Yvette, invitée bien évidemment pour la circonstance.

C’est donc en chansons et sur les airs qui ont bercé leur jeunesse que s’est terminée cette sympathique rencontre, avec la promesse de recommencer l’année prochaine.

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Les séances de foot proposées par le club de Grazac-Lapte aux élèves de CE et CM de l'école publique du Petit Suc s'achèvent.

Paul Nerault, responsable de l'école de foot de l'ASGL, était chargé d'intervenir auprès des élèves.

L'objectif était de découvrir autrement ce sport si populaire. Les séances se basaient sur les activités motrices en essayant de se dépasser et de ne pas abandonner, en jouant en équipe pour le plaisir du jeu et du sport.

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Anaïs Donnars et Adrien Vincent, éleveurs et producteurs à Saint-Jeures, reprennent la boucherie de Lapte. 50 % des produits proviendront de leur ferme bio, le reste d'agriculteurs de Lapte et ses environs.

Anaïs Donnars et Adrien Vincent sont installés sur le territoire de Saint-Jeures, près du barrage de Lavalette et du village de "Versilhac". Ils y élèvent des chèvres, des brebis et vont développer un élevage de porc. Chaque semaine, on retrouve leur viande et leurs fromages et yaourts sur le marché de Firminy (mardi et samedi) et Chadrac (dimanche).

De l'agriculture bio ou raisonnée

A partir de mercredi, vous pourrez acheter leurs produits à leur magasin sur la place centrale de Lapte. Ils reprennent la boucherie, tenue depuis mai 2016 par Jean-Marie Blanc. "On pensait au départ lancer un magasin de producteurs. Mais Yssingeaux propose déjà ce concept, il faut être suffisamment nombreux et s'entendre. On s'est dit qu'on était capable d'assurer", raconte Anaïs Donnars.

Le couple d'éleveurs va s'appuyer sur de la viande de producteurs de Lapte et ses environs, "en agriculture biologique ou raisonnée", ajoute l'agricultrice avant de préciser : "Et tous les ingrédients utilisés pour les produits sont bio, sans sel ou nitrite et sans conservateurs."

Trois embauches

Il y aura ainsi une vingtaine de producteurs en veau, boeuf, agneau, volailles, porc, charcuterie et oeufs. Tous les produits laitiers (glaces, yaourts, fromages) viennent du GAEC Fol'Avoine.

Cette reprise de commerce s'accompagne de trois embauches : l'apprentie de la ferme devient salariée, et une vendeuse et un boucher ont été recrutés pour le magasin.

Infos pratiques

La Ferme Fol'Avoine ouvre ce mercredi 10 octobre. Le magasin est ouvert du mercredi au vendredi de 8 heures à 12 h 30 et de 16 heures à 19 h 30, le samedi de 8 heures à 19 h 30 et le dimanche de 8 heures à 13 heures.

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