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Brigitte Renaud et Julien Melin veulent garder les postes de maire de Tence et président du Haut-Lignon qu'ils occupent depuis 2014. Ils feront liste commune aux élections municipales 2020.

Brigitte Renaud et Julien Melin ont décidé de faire équipe pour les élections municipales 2020. Un temps tenté pour se lancer seul, Julien Melin, sera finalement sur la liste conduite par Brigitte Renaud, maire sortant. Comme à Sainte-Sigolène où Dominique Freyssenet s'affiche avec Jocelyne Duplain, à Tence, Julien Melin et Brigitte Renaud mettent en avant leur cohésion, leur unité. "Depuis 2014, on a démontré notre complémentarité."

Brigitte Renaud maire depuis 2013

« J’ai encore des projets pour notre commune et je souhaite les mener à bien. La fonction de maire est en pleine mutation, les mentalités évoluent, ce qui la rend parfois ingrate, mais tellement exaltante », estime Brigitte Renaud, 62 ans, qui a été adjointe à partir de 2008 avec Jean Digonnet avant de devenir maire en 2013 puis conseillère départementale depuis 2015.

Julien Melin se plaît dans ses fonctions actuelles

Julien Melin, 42 ans, adjoint et président de la communauté de communes, compte garder ses mandats. "Je serai candidat à la présidence du Haut-Lignon", confirme-t-il. "L’intercommunalité est un lieu très important dans la vie de la cité et du territoire. Elle a les compétences sur l’économie, les crèches, le centre de loisir, les bibliothèques, le tourisme, les ordures ménagères, l’environnement..."

Où en est le recrutement des colistiers ?

Le duo de candidats ne dévoile pas encore la composition de la liste. Brigitte Renaud précise : "Le choix des colistiers reste basé sur l'expérience, la disponibilité et l’envie de s’impliquer pour notre commune. Malheureusement, le clivage politique effraie et le recrutement reste difficile. Une commune comme la nôtre ne doit pas constituer un enjeu politique, mais un enjeu local. Avec cette nouvelle équipe, en partie renouvelée, et qui souhaite aller de l’avant, je garderai ce même dynamisme, c’est-à-dire continuer le pari de maintenir cette énergie pour entreprendre."

Le programme en cours d'élaboration

Quant au programme, "il est en cours d’élaboration et nous avons encore le temps pour le finaliser. Je peux juste vous dire que certaines actions impacteront forcement la population locale, que j’associerai aux réflexions, avec l’espoir que cette alliance ne devienne pas un frein pour les élaborer, mais au contraire, je garde espoir que ces rencontres, ces idées, se révèleront positives pour la suite."

Dimanche après-midi, l’hypermarché Géant Casino de Vals-près-Le Puy ouvrira. Les clients pourront consommer et acheter en toute autonomie, sans caissières. Ce samedi, le syndicat CGT a lancé un mouvement de grève.

Ouvrir un hypermarché sans caissière, cela devient possible. La preuve à Vals-près-Le Puy où le Géant Casino va développer ce système, déjà pratiqué dans une quinzaine de magasins en France. Huit caisses automatiques ont été installées avec un portail électronique. Les clients ne pourront payer qu’en carte bancaire.

30 vigiles pour surveiller les rayons et les caisses

A partir de ce dimanche 15 décembre, l’hypermarché du groupe Casino sera ouvert tous les dimanche après-midi, sans personnel pour la mise en rayon ou en caisse. A contrario, la direction a choisi de développer le nombre d’agents de sécurité avec 30 vigiles contre un habituellement. « A Vals, on a 40 caissières sur un total de 180 salariés. Il faut se dire qu’avec ce système, c’est la mort programmée du poste de caissière », se désole Christophe Romeuf, délégué CGT. A noter que les syndicats CFDT et Force Ouvrière, également représentés au Géant, ne prennent pas part à ce mouvement de grève qui a débuté samedi matin.

Pas de vente d'alcool et d'articles protégés

La CGT entend poursuivre l’action dimanche après-midi et compte s’assurer que les règles ne seront pas enfreintes. « L’alcool sera interdit à la vente à partir de 12 h 30, tout comme tous les produits qui sont protégés par un antivol. Les agents de sécurité n’auront aucun droit de renseigner les clients. »

Un contexte social tendu depuis des mois

Cette actualité s’inscrit dans un contexte social déjà anxiogène à Géant Casino de Vals. « Le chiffre d’affaires s’écroule. Une rumeur indiquait qu’on serait racheté par Leclerc Firminy mais la direction se refuse à tout démenti. On est force de proposition mais la direction ne retient rien, c’est un rouleau compresseur. Les conditions de travail n’ont jamais été aussi déplorables. Lors de la dernière grève, on avait demandé 6 CDI. On en avait obtenu 2 sur le papier mais 1 seul est obtenu dans les faits. »

Deux offres de reprise ont été émises pour l'entreprise SES à Saint-Pal-de-Mons et une offre pour SEID à Dunières. Le tribunal de commerce doit se prononcer le 17 janvier. L'issue semble aujourd'hui favorable.

Hormis le fait d'être dans la plasturgie, les deux sociétés ont un autre point commun : elles appartiennent à Jean-Philippe Grail. Ce vendredi 13 décembre, trois mois après la mise en redressement judiciaire (c'était déjà un vendredi 13), les deux sociétés sont repassées en audience devant le tribunal de commerce du Puy-en-Velay.

SEID emploie 11 salariés

Ces dernières semaines, des offres sont arrivées pour reprendre les deux usines, indépendantes l'une de l'autre. Pour SEID, la société Evenplast de Riotord a déposé une offre qui court jusqu'au 31 décembre. Cette offre pourrait être valable malgré tout jusqu'au 17 janvier, date de la prochaine audience au tribunal, lequel a demandé de revoir l'offre à la hausse. SEID est la plus en difficultés. La production tourne au ralenti pour les 11 salariés. "Evenplast fait dans l'impression et la sacherie et est intéressé par l'extrusion", croit savoir un salarié.

Une offre étrangère promet de reprendre tous les salariés chez SES

Pour SES (Stefany Emballages et Services) de Saint-Pal-de-Mons, le tribunal aura le choix entre deux offres : une qui émane d'une entreprise de Haute-Loire et qui propose de reprendre 17 des 38 salariés ; une autre qui provient d'un grand groupe européen avec 1 500 salariés qui promet de reprendre tout l'effectif san-palou.

Pour les salariés, le choix est vite vu. "On milite pour le plein emploi", résume Yohan Fialon, délégué du personnel. "On a aujourd'hui deux offres. Certaines entreprises du coin come Cheynet et Coffinobois n'ont pas eu cette chance."

Prochaine audience le 17 janvier

Le tribunal donne rendez-vous le 17 janvier pour une prochaine audience qui s'annonce décisive. Les repreneurs et créanciers devraient être conviés avant de prendre une décision sur les propositions.

Pour Jean-Philippe Grail, dirigeant de SEID et SES, "il est dommage qu'en France, il n'y ait pas un fonds pour aider alors qu'il suffirait de pas grand-chose. 500 000 euros nous auraient aidés à approvisionner de la matière première et à poursuivre notre développement dans les produits bio-sourcés. On a frappé à toutes les portes imaginables."

SES avait misé sur le plastique "bio"

SES a été créé en 1988 à Dunières par René Grail. Stéfany Emballage et Services avait déménagé en 2008 à Saint-Pal-de-Mons. En 2017, Jean-Philippe Grail avait racheté SEID

En 2016 et 2017, SES avait investi 7 millions d'euros pour développer les productions d’emballages biocompostables sur le site de Saint-Pal suite à loi sur la transition énergétique.

La Station du Mézenc fête le 60e anniversaire du premier téléski aux Estables. Une série d'animations vont jalonner la saison hivernale.

C'était le 5 décembre 1959. Ce jour-là, le premier téléski était mis en service sur les pentes de ski alpin. Depuis, l'équipement a largement évolué. Des extensions ont été financées en 1962 et 1968. En 1971, le téléski du village a été créé. En 1979, deux téléskis ont poussé sur le mont Chollet avant d'être démontés et réinstallés en 1998 et 2001 sur l'Alambre. Le dernier investissement en téléski date de 2013 avec le petit chalet.

Une marmotte géante en glace

On fête donc les 60 ans du premier téléski aux Estables. A cette occasion, différentes animations vont jalonner la saison d'hiver. Cela commencera le 29 décembre avec une journée festive. Pendant les vacances de février, des sculpteurs sur glace vont se relayer pour faire naître une marmotte géante de 5 mètres de haut.

60 arbres à replanter dans la draille de Jacassy

Dix-huit photos vont habiller les rues du village et le chemin qui mène aux téleskis. L'occasion de se plonger dans le passé de la station.

Et la commune met en vente 60 sapins. Le tarif est de 50 euros pour les particuliers et 100 euros pour les entreprises. Ces arbres seront plantés dans la draille de Jacassy.

Et un bonnet spécial "60 ans" va être commercialisé au tarif de 10 euros. Une centaine de bonnets ont été commandés.

29 décembre

16 heures : maquillage

17 heures : descente de slalom en tenues d'époque

18 heures : descente aux flambeaux

19 heures : feu d'artifice

20 heures : projection du film de paroles d'anciens

Février 2020

Réalisation d'une marmotte géante en glace

4 mars 2020

Animation batucada pour marquer la fin de saison

Les tentatives d'usurpation des moyens de paiements en ligne se multiplient et les escrocs savent se montrer persuasifs. C'est la fâcheuse expérience faite en ce début de semaine par une Laptoise qui a reçu l'appel en direct de son escroc présumé.

C'est un coup de fil lundi en fin de matinée sur son téléphone fixe qui a noué l'affaire. "Bonjour madame, c'est le commissariat de police du Puy-en-Velay. Vous êtes la victime d'achats frauduleux réalisés avec votre carte bancaire." La voix féminine égraine alors la liste des achats et les coquets montants débités. Assure que les escrocs viennent d'être confondus et sont en état d'arrestation dans les locaux de la police du Puy-en-Velay.

Une musique d'attente bluffante

Courtoise et s'exprimant dans un français châtié, la prétendue policière ponote signale que pour faire cesser sans délai le problème, le plus rapide et le plus sûr est de s'en remettre à ses services. Pour cela, les numéros de la carte bancaire, code confidentiel et cryptogramme au dos sont nécessaires à la procédure. Sous le coup de la surprise, rassurée par la tournure que prend l'entretien, la Laptoise qui n'a pourtant rien d'une personne fragile, travaille et manie en particulier avec aisance l'informatique, se laisse convaincre par le professionnalisme et l'aplomb affichés par son interlocutrice.

Pour faire encore plus vrai, cette dernière transfère avec un message d'attente indiquant "vous êtes en relation avec les services de la police" à son collègue "spécialisé" dans les escroqueries de ce type la communication.

Une intervention heureuse de son mari

Heureusement, l'époux de notre Laptoise rejoint alors le domicile et comprenant que sa femme est en train de se faire arnaquer intervient à point nommé.

Demandant son nom et des coordonnés à la "policière" au bout de fil, il lui est répondu qu'il s'agit de "Charlotte Barriol". En on lui donne un numéro de téléphone fixe qui, vérification faite plus tard correspond à celui d'un particulier à Espaly-Saint-Marcel.

Opposition est alors faite par internet auprès de la banque, puis physiquement le lendemain, et il a été procédé à un dépôt de plainte en ligne (c'est la formule en vigueur désormais à la gendarmerie).

Des tentatives d'achat multiples

Effectivement, des tentatives d'achats multiples ont été répertoriées sur le compte de la Laptoise concernée et ont pu être bloquées à temps.

Une mésaventure qui finit sans dommage. Mais il s'en est fallu de peu. La victime s'avoue elle-même sidérée d'avoir fait preuve d'une telle naïveté et souhaite que son témoignage puisse être utile à d'autres potentielles victimes.

L'ancien marché au foie gras, devenu Festi'Coqs depuis 2017, se déroule dimanche 15 décembre de 9 heures à 18 heures à la salle de la Coupe du monde à Yssingeaux. L'entrée est gratuite sur ce salon 100 % gourmand.

Ce grand marché de Noël est réservé aux produits alimentaires et festifs. Dès 9 heures, vous pourrez faire vos emplettes parmi 25 stands gastronomiques : foie gras, volailles, pain, châtaignes, légumes, fruits de mer, miel, charcuterie, pâtisseries, fromages. Pas de risque de trouver deux fois le même produit. La règle d'or est la non-concurrence pour favoriser la variété. Même les cavistes se distinguent, entre apéritifs, bulles et vins.

Des démonstrations culinaires seront proposées en direct de 10 heures à 13 heures avec les élèves du lycée Emmanuel-Chabrier sous la houlette de Philippe Penaud et Jean-François Lancelin. Vous pourrez vous inspirer des recettes pour confectionner vos menus de fêtes. Il en sera de même à 16 heures avec le chef du Julipinois Damien Lyonnet. Le restaurateur de Saint-Julien-du-Pinet élaborera un plat à base de produits issus de producteurs du jour.

Une table gourmande sera aussi ouverte grâce aux bénévoles du Skippy Club : une assiette de foie gras, huîtres ou truite fumée et son verre de vin blanc pour 12 euros. 500 repas sont prévus.

L'après-midi, le Père Noël interviendra à partir de 15 heures pour une séance photos jusqu'à 17 heures.

Anne et Jean-Michel Bernaud, fille et père, se lancent dans un projet d'épicerie bio et/ou local à Sainte-Sigolène. La Ségoline doit ouvrir début janvier dans la rue Charles-Dupuy, à la place d'une ancienne pharmacie.

En appelant leur commerce la Ségoline, Anne et Jean-Michel Bernaud remontent le fil de leur histoire familiale, celle de l'arrière-grand-père de Jean-Michel qui produisait sa liqueur, une verveine jaune. Jean-Michel a aussi effectué sa carrière dans le domaine de la boisson au sein de la société Souchon Boissons Services.

Quant à Anne, sa fille, elle était éducatrice spécialisée depuis 2011. "J'avais toujours envie de me lancer dans le commerce. J'ai eu besoin de maturation", reconnaît-elle.

Les deux associés ont d'abord pensé leur projet de vente de produits bio et/ou locaux dans un système ambulant avant de choisir d'investir un lieu à Sainte-Sigolène, leur commune de toujours. Ils ont jeté leur dévolu sur l'ancien local de la pharmacie, libre depuis le déménagement de l'officine près de la maison de santé.

Adhérent au groupement GRAP

Au 15 rue Charles-Dupuy, ils disposent d'un espace de 115 m2 au total dont 70 m2 pour la vente. On retrouvera des produits bio, des produits locaux, des produits parfois bio et locaux, des produits en vrac. "On aura 70 références en vrac", précise Jean-Michel.

Le père et la fille ont pu s'appuyer sur le groupement lyonnais GRAP (Groupement régional alimentaire de proximité), une coopérative réunissant des activités de transformation et de distribution dans l’alimentation bio-locale. Ils ont notamment bénéficié des conseils des trois associés de Coeur d'artichaut à Tence, adhérentes à ce GRAP. "Ce sont nos marraines. Elles nous ont bien conseillé", formule Jean-Michel.

Ouverture début janvier

La Ségoline est encore en chantier mais l'ouverture est programmée pour le 8 ou 9 janvier. Le magasin sera ouvert du mardi au samedi, de 8 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 19 heures.

"Et on a plein d'idées pour se développer", promet Anne qui espère créer 2,5 emplois dans les trois ans à venir.

Mardi matin, les manifestants étaient de retour dans la rue au Puy-en-Velay contre le projet de réforme des retraites. Entre 2 150 et 4 000 personnes ont battu le pavé.

C'est l'histoire du verre à moitié plein ou du verre à moitié vide. Mardi matin, ils étaient au moins deux fois moins nombreux à manifester que jeudi dernier. Mais la mobilisation reste significative contre le projet de réforme des retraites défendu par le gouvernement.

Mardi matin, au départ de la place Cadelade au Puy, on retrouvait les mêmes que la semaine passée. Les syndicats et leurs branches déployaient des banderoles et des drapeaux, scandaient les slogans à différents micros. Des retraités, des fonctionnaires, des jeunes, des professionnels de santé, des salariés du privé : tous ont marqué leur opposition.

"Comme toujours, le pouvoir prétend qu'il ne bougera pas, qu'il est droit dans ses bottes. Mais nous avons déjà connu ça en 1995 sur les retraites ou en 2006 contre le CPE par exemple", rappelle Pierre Marsein, secrétaire départemental de la CGT.

Les manifestants ont voulu maintenir la pression en attendant les annonces du Premier ministre mercredi. "Certains attendent sans doute de savoir ce qu'il va se dire", tente de justifier un syndicaliste de la CGT face à la baisse de grévistes.

Mardi après-midi, différentes assemblées générales étaient prévues, notamment dans l'Education nationale, bien représentée au Puy que ce soit dans le primaire ou le secondaire. Des tracts doivent être distribués à différentes ronds-points.

L'annonce du futur déménagement du lycée professionnel Notre-Dame-du-Château dans une construction à côté du lycée général dans la montée du Prince, s'est accompagnée d'une présentation de futur aménagement de l'actuel LEP.

"On ne voulait pas qu'il s'y fasse n'importe quoi", reconnaît Jean-François Fournier, directeur de l'Ensemble scolaire Notre-Dame-du-Château qui s'est rapidement et naturellement tourné vers la mairie pour faire part aux élus d'un éventuel déménagement près du lycée général.

De ce fait, la mairie a voulu garder la main sur le futur aménagement en optant pour une OAP. Cet Orientation d’Aménagement et de Programmation dicte ce qui est permis et les aménagements possibles sur le secteur de la place Néron, de la place du Prévescal et de la place Maréchal Noël de Jourda de Vaux.

Trois investisseurs réunis

Un groupe d'investisseurs s'est réuni pour racheter une partie des bâtiments. On retrouve côte à côte la Cogecoop, dirigée par le Monistrolien Hubert Vinzant, qui a récemment ouvert une agence à Monistrol et qui mène plusieurs projets immobiliers aux Hauts-du-Bilhard et au Kersonnier ; Surcomi Consultant spécialisé dans la réhabilitation de bâtiments existants comme c'est le cas à Sainte-Sigolène avec une résidence seniors ; et Bâtir et loger qui fait plutôt dans le logement social. La maîtrise d'oeuvre a été confiée au Monistrolien Jacques Varennes, installé à Saint-Etienne.

Une proposition d'achat à 1,1 million d'euros pour la Ville

Vendredi soir, une délibération sera proposée en conseil municipal de Monistrol-sur-Loire pour acheter un tiers du tènement au prix de 1,1 million d'euros. Cette partie comprend le parking intérieur actuel, en face de la place du Prévescal. La Région a déjà annoncée une aide de 500 000 euros pour cet achat alors qu'elle n'intervient habituellement jamais dans l'investissement foncier.

La chapelle vouée à la démolition

Du côté du trio d'investisseurs, dont le prix d'achat se situe autour de 2 millions d'euros, il prendrait possession du bâtiment historique du XVII siècle, "un bijou au fort cachet" selon Jacques Varennes. La chapelle serait rasée pour permettre d'ouvrir depuis la place Néron vers un espace paysager au centre du LEP. Les ateliers actuels seraient démolis pour laisser place à une construction. Une halle marchande est imaginée au centre de la cour par la Ville. Un ou deux bâtiments neufs pour de l'habitat pourraient voir le jour, des R+2 et R+3.

Ce projet additionne ainsi les compétences des différents partenaires : de l'habitat, des services, du commerce, une résidence seniors.

Ce début de semaine est marqué par le retour de la neige sur les plateaux. Sur la chaîne des Boutières, la neige recouvre le paysage et les routes. La limite pluie-neige se situe entre 1 100 et 1 200 m d'altitude. Ainsi, Saint-Bonnet-le-Froid est habillé de blanc depuis 19 heures. La burle s'invite aussi.

On nous signale aussi de la neige à Saint-Pal-de-Mons (950 m), Sainte-Sigolène, Saint-Didier-en-Velay, Grazac (850 m).

Les Estables s'est réveillé lundi avec un décor blanc. Au fil de la journée, les averses neigeuses ont accentué le phénomène, sans pour autant atteindre des hauteurs de neige significatives.

Selon Vince Météo 43, on devrait assister à une succession de fronts chauds et froid "parfois dans la même journée", alternant entre douceur et pluie, fraîcheur et neige. En résumé : la semaine sera agitée.