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A Lapte, une vingtaine d'habitants ont participé dimanche au comptage européen des milans royaux. Près de 90 rapaces ont été comptés dans le ciel ce week-end.

Dimanche, Marine Schmitt, référente à Lapte pour la Ligue de protection des oiseaux (LPO) a reçu un renfort conséquent pour compter les milans royaux. Via le réseau de Sequoia, une association récemment créée à Lapte, elle a mobilisé 21 habitants de Lapte, Grazac et Raucoules pour cette observation dominicale. Trois agents de l'Office français de la biodiversité ont également apporté leur concours au comptage.

Entre 16 h 20 et 17 h 15, les milans sont arrivés les uns après les autres sur le secteur du hameau "les Aulanais" en pré-dortoir. Une cinquantaine d'individus ont été observés. Puis l'envol s'est produit entre 17 h 15 et 17 h 30 entre "Oudreyches" et "Les Aulanais" avant de se poser à 17 h 30 en dortoir entre "les Aulanais" et "Oudreyches".

Où se trouvent les dortoirs en Haute-Loire ?

Outre Lapte, des dortoirs existent ailleurs en Haute-Loire et des comptages ont été réalisés à Mazeyrat-d'Allier (une centaine de milans), Yssingeaux (nouveau dortoir découvert cette année, 20-30 milans), Céaux-d'Allègre (fluctuant), Champclause (petit dortoir cette année), Saint-Germain-Laprade (environ 15 milans ont été vus au même endroit qu'en janvier 2015), Rosières (le dortoir n'a pas été trouvé cette année, aucun milan entre "Larcenac" et Rosières), Sainte-Sigolène (seulement 4-5 milans au dortoir habituel), Montregard (aucun milan sur ce secteur), Saugues (des milans tournent en journée mais aucun dortoir trouvé), Rauret et Polignac (ces secteurs n'ont pas été prospectés).

Le bromadiolone inquiète la LPO

Déjà samedi, Marine Schmitt avait compté 87 individus à Lapte. Des effectifs remarquables dont les effectifs pourraient être ternis par des pratiques contestées à l'image du traitement au bromadiolone. Après une campagne à Lapte et Grazac en novembre, une nouvelle autorisation a été faite par arrêté préfectoral. La mairie fait savoir qu'elle n'est pas à l'origine de cette demande. "Je ne cautionne pas ce processus", indique André Defour, le maire.

La représentante de la LPO à Lapte s'insurge : "Le bromadiolone est destiné à éliminer les campagnols. Et le campagnol est une proie du milan. Si un milan mange un campagnol empoisonné, il a toutes les chances de mourir ! Cela semble fou qu'on puisse encore utiliser ce type de produits après l'hécatombe qu'ils peuvent induire sur le milan qui est une espèce protégée", argumente Marine Schmitt qui met en avant des pratiques alternatives efficaces "qui permettent d'allier la protection de la biodiversité et les problématiques de rendements agricoles". Ces solutions consistent à favoriser les prédateurs naturels que sont les rapaces (pose de nichoirs, de perchoirs, plantation de haie...), et les renards ("Un seul renard rend un service écologique annuel de 2 400 €", un chiffre avancé par le docteur en éco-éthologie et en ethnozoologie Denis Richard Blackbourn).

Le milan royal est facilement reconnaissable : son vol nonchalant à faible altitude, sa longue queue rousse et échancrée ainsi que les placards blancs du dessous de l’aile.

Comment reconnaître un milan royal ?

Ce rapace est lié aux espaces agricoles ouverts et vallonnés où s’exercent des activités de polyculture et d’élevage extensif dans lesquels les prairies et pâturages sont nécessairement dominants. Il construit son nid dans la fourche principale ou secondaire d’un grand arbre, généralement à moins de 100 mètres de la lisière d’un massif forestier, à flanc de coteau, ou parfois dans les haies avec de gros arbres mais le plus souvent dans de petits bosquets, plus rarement dans un arbre isolé.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Dimanche après-midi, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à Monistrol-sur-Loire en la mémoire d'Eloïse, une adolescente décédée jeudi dans un accident de la route.

Le rassemblement est conséquent et il devrait l'être tout autant lundi en l'église de Saint-Maurice-de-Lignon pour les obsèques d'Eloïse. Ce dimanche, à l'initiative des amis de l'adolescente, ils étaient plusieurs centaines à marcher dans le silence dans les rues de Monistrol.

A l'avant, sept motos ouvraient le cortège depuis le parking de Carrefour Market. La photo d'Eloïse était accrochée sur la visière des engins.

Derrière, une foule a marché avec d'autres photos de l'adolescente en main ou arborant une rose blanche. On retrouvait des amis, des membres de sa famille, des habitants de Saint-Maurice, des proches des familles touchées et tous ceux qui se sont sentis meurtris par ce drame qui s'est joué à quelques kilomètres de là.

Dans une voiture conduite par une amie et qui a glissé entre Les Villettes et Monistrol, Eloïse est décédée jeudi soir dans un choc avec une voiture arrivant en sens inverse. Cette élève du lycée agricole d'Yssingeaux avait 16 ans.

Publié dans Monistrol et environs

L'émotion est vive après le décès brutal d'Eloïse, une adolescente de 16 ans. Cette jeune habitante de Saint-Maurice-de-Lignon a été tuée jeudi soir dans un accident de la circulation entre Monistrol-sur-Loire et Les Villettes. Elle était passagère d'une voiture dans laquelle se trouvait deux amies de 18 et 17 ans, de la même commune.

La voiture est entrée en collision avec un véhicule arrivant en sens inverse. Malgré l'intervention des secours et les tentatives, l'adolescente est décédée sur place.

Les amis de cette élève au lycée agricole d'Yssingeaux ont décidé d'organiser une marche blanche ce dimanche. Le rendez-vous est donné à 14 h 30 sur le parking du Carrefour Market.

Les obsèques auront lieu lundi à 14 h 30 en l'église de Saint-Maurice-de-Lignon.

Publié dans Monistrol et environs

Tattoo 43, le « Salon du tatouage et des artistes », a débuté vendredi au gymnase de Blavozy. Jusqu'à dimanche, des tatoueurs exercent en direct et des animations entourent l'événement.

La 4e édition du salon du tatouage et des artistes est lancée à Blavozy. Au gymnase situé en plein coeur du centre-bourg, on retrouve 25 tatoueurs, dont sept de Haute-Loire (Puy-en-Velay, Langeac et Brioude) et sept nouveaux professionnels.

On visite dans les allées des stands de tatoueurs, piercings, de bijoux, de vêtements street. Le salon propose une série d'animations, des performances body painting, du maquillage pour enfants, dégustation, battle, concours de tatouage… Trente danseurs vont participer aux battles de hip-hop.

Infos pratiques

Le salon sera ouvert samedi 4 janvier de 10 heures à minuit et dimanche 5 janvier de 10 heures à 18 heures au centre socio culturel de Blavozy, 7 place Félix-Tempère.

Le tarif est de 7 euros, gratuit pour les moins de 12 ans.

Samedi 4 janvier

10 heures : ouverture, animation body painting toute la journée

11 heures : concours tattoo sur place

14 heures : concours dessins "Gagne ton dessin en tattoo"

15 heures : battle kids tours qualif

17 h 30 : concours tattoo déjà réalisé

18 h 30 : délibération concours "Gagne ton dessin en tattoo"

19 heures : concours tattoo sur place, délibération

20 h 30 : dégustation

Minuit : fermeture

Dimanche 5 janvier

10 heures : ouverture

11 heures : concours tattoo sur place

14 heures : concours dessin Gagne ton dessin en tattoo, animations toute l'après-midi, caricature offerte, magie, animation body painting

14 heures : battle Rien ke l'debout vs Expérimental

16 heures : délibération concours Gagne ton dessin en tattoo

17 h 30 : concours tattoo sur place, délibération

Publié dans Loisirs Sorties

La Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Haute-Loire alerte les consommateurs sur les arnaques à la rénovation énergétique.

Vous souhaitez effectuer une rénovation énergétique de votre logement ? Un conseil : restez vigilant !

Certaines entreprises se comportent de façon peu scrupuleuse avec les consommateurs : devis incompréhensibles ou inexistants, crédits camouflés, labels de qualité mensongers, réalisation de prestations parfois non conformes.

Une campagne de la DDCSPP a pour objectif de sensibiliser les consommateurs sur les pratiques déloyales de certains professionnels et de les orienter vers des professionnels aux qualifications reconnues et vers les sites d’information officiels de l’administration (notamment le service FAIRE).

Vous êtes démarché par téléphone ou a domicile ?

Soyez particulièrement vigilants, même si les démarcheurs se réclament d’organismes publics. Les services publics ne démarchent pas ! Il en va de même s’ils se disent mandatés par votre fournisseur d’énergie.

Des vendeurs peuvent vous faire croire qu’il est illégal de ne pas réaliser certains travaux et que vous risquez une sanction. Ne les croyez pas sur parole : renseignez-vous.

Ne vous précipitez pas. Si vous êtes intéressé par la prestation proposée, demandez une documentation détaillée et que le vendeur vous laisse le temps de la réflexion, de vous renseigner et de comparer avec d’autres offres.

Ne signez rien le jour même. En tout état de cause, ne signez jamais de documents sans les avoir entièrement lus, même si le commercial vous assure qu’il ne s’agit pas d’un document engageant ou qu’il s’agit d’une simple étude de faisabilité.

Faites attention à la date des documents que l’on vous propose de signer. Si les documents sont antidatés, vous risqueriez de ne pas pouvoir utiliser votre délai de rétractation de 14 jours.

Vous souhaitez réaliser des travaux de rénovation énergétique ?

Avant toute démarche, vous pouvez vous renseigner auprès du conseiller FAIRE (Faciliter, Accompagner et Informer pour la Rénovation Énergétique) le plus proche. Il assure un service public de la rénovation et pourra vous orienter sur les solutions techniques les plus adaptées à votre logement et vous éclairer sur les aides publiques et les prix du marché. Vous pouvez trouver les coordonnées des conseillers sur le site internet https://www.faire.fr/ ou par téléphone au 0808 800 700.

N’appelez pas les numéros de téléphone figurant sur des prospectus, même s’ils sont d’aspect officiel.

Vérifiez les qualifications professionnelles (Qualibat, etc.) et les labels mis en avant par le professionnel (RGE, éco-artisan etc.), notamment leur validité, ainsi que les assurances, avant de signer un contrat.

Examinez la qualité des sites internet ou de la documentation fournie. Les sites internet doivent faire apparaître clairement la société éditrice du site, les mentions légales, ainsi que des conditions générales d’utilisation intelligibles.

Lisez bien tous les documents avant de les signer, particulièrement les conditions de financement. Les offres qui ne font pas apparaître clairement qui fournit l’incitation financière et dans quel cadre sont à éviter. Si l’incitation n’est pas déduite directement de la facture, il faut un écrit qui explique clairement dans quelles conditions elle sera versée, par qui, dans quel délai. Si un tiers intervient dans le processus il est conseillé de vérifier avec lui que les conditions décrites sont correctes.

Vous financez vos travaux par un prêt ?

En cas de prêt, un exemplaire de l’offre de crédit affecté doit vous être remis, prenez-en connaissance de manière attentive. Un différé de remboursement des premières mensualités du crédit peut être proposé. Soyez très vigilant car ces modalités de remboursement du prêt contribuent à en augmenter significativement le coût total.

Soyez très vigilant quant à l’attestation de fin de travaux. Ce document que vous devez signer est par la suite transmis à l’établissement de crédit qui procède au déblocage des fonds, marquant ainsi le début de vos obligations de remboursement du prêt.

En signant cette attestation, vous vous engagez. Vous confirmez que vous avez reçu le bien ou que la prestation de services a été réalisée de manière conforme au bon de commande. Assurez-vous que le bien ou la prestation correspond bien au bon de commande que vous avez signé. Dans le cas contraire, ne signez pas cette attestation.

Vous avez déjà signé et le regrettez ?

En cas de démarchage, sachez que vous bénéficiez d’un délai de rétractation de 14 jours après la signature du contrat, en cas de prestation de service, et à partir de la livraison en cas de vente de biens. Si vous exercez votre droit de rétractation du contrat de vente ou de fourniture de prestations de services, le contrat de crédit sera résilié de plein droit sans frais ni indemnité (à l’exception éventuellement des frais engagés pour l’ouverture du dossier de crédit).

Si vous avez acheté des équipements dans une foire ou un salon, vous ne disposez pas du délai de rétractation. Toutefois, si votre achat est financé par un crédit affecté, vous bénéficiez tout de même, pour ce crédit, d’un droit de rétractation de 14 jours à compter de l'acceptation de l'offre de contrat de crédit. En cas de rétractation, le contrat de vente financé par le crédit est alors résolu de plein droit.

Les travaux n’ont pas été réalisés comme prévu ?

Si vous avez fait appel à une entreprise RGE, une réclamation sera possible via le formulaire présent sur le site internet de FAIRE.

En cas de litige, vous pouvez saisir le médiateur de la consommation choisi par le professionnel et dont les coordonnées doivent être présentes sur les documents contractuels. La procédure de médiation sera gratuite.

En cas de litige, vous pouvez vous faire assister d’une association agréée de protection des consommateurs.

Il est également possible d'assigner le professionnel devant le juge civil pour tout contentieux lié à l'exécution du contrat.

Si vous souhaitez signaler à l’administration les manquements à la réglementation d’un professionnel, faites-le auprès de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations de la Haute-Loire (CS 40348 – 43009 LE PUY-EN-VELAY Cedex - Tél :  04 71 05 32 30 ou par messagerie électronique : ddcspp-ccrf@haute-loire.gouv.fr) -

Publié dans Actualités

Jeudi soir, vers 18 h 30, un terrible choc s’est produit sur la Départementale 47 entre Monistrol-sur-Loire et Les Villettes. Entre « Le Regard » et la carrière, deux voitures se sont percutées au moment de se croiser. Le choc a été frontal pour la "Mégane" et latéral pour la "307". Une adolescente de Saint-Maurice-de-Lignon a été tuée dans l'accident.

Dans la Renault « Mégane », une femme de 56 ans se trouvait au volant. Elle se plaignait du thorax et du bas du dos.

En face, la Peugeot « 307 » était conduite par une femme de 18 ans. Elle se plaignait de douleurs thoraciques et a été évacuée aux urgences pour passer des examens. La passagère avant est une adolescente de 17 ans qui présentait des douleurs à un poignet.

A l’arrière se trouvait une adolescente de 16 ans, en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours. Elle n'a pu être ramenée à la vie.

Pendant l’intervention des secours, la route a été totalement fermée à la circulation.

Publié dans Faits divers
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Enguerran Lefebvre prend les rênes des chiens de traîneau au chalet de Chaudeyrac à Saint-Front. Il succède à Christian Dolmazon à la tête d'une meute de 36 chiens.

Né en Picardie, après des études secondaires à Alès et une formation dans le cinéma à Montpellier, Enguerran Lefebvre s'est lancé dans l'animation, les colonies de vacances, les classes découvertes. Il arrive alors en Haute-Loire, au lac de Saint-Front, à quelques centaines de mètres du chalet de Chaudeyrac et ses chiens de traîneau. Il fait alors la connaissance de Christian Dolmazon et commence à travailler auprès du musher les hivers à partir de 2017. "Il m'a parlé de son souhait de prendre sa retraite dans les années à venir. Il m'a proposé de lui succéder."

36 chiens à s'occuper

Après avoir passé le DE JEPS (Diplôme d'Etat de la Jeunesse, de l'Éducation Populaire et du Sport) option attelage canin, voici ce jeune homme de 28 ans aux rênes de cette meute de 36 chiens : du husky en majorité mais on retrouve aussi 1 malamute, 4 alaskan et 4 huskys croisés groenlandais.

Le changement de maître semble s'être déroulé sans problème. "Le husky est un chien docile. Et il reconnaît la main qui le nourrit."

Une aventure débutée en 1990

L'histoire de Marzoé Nature se poursuit. L'aventure avait débuté pour Christian Dolmazon au début des années 90. Ce Mazetois utilisait alors le site de l'ancien foyer de ski de fond pour installer ses chiens et proposer ses balades. Enguerran Lefebvre va vivre sur place, aménager le chalet en habitation. Une extension récente va permettre d'accueillir les groupes et de stocker le matériel.

Des séjours en yourtes à partir de l'été 2020

Le nouveau musher proposera des balades en traîneau en hiver, du cani rando toute l'année, du buggy tracté, de la trottinette, de la pulka (pour les enfants de moins de 6 ans). Il a aussi investi dans trois yourtes, rachetées à l'ancienne colonie de Saint-Front pour des séjours de groupes (jusqu'à 20 places).

Infos pratiques

Téléphones : 04 71 56 34 88 ou 06 32 83 23 79

Mail : marzoe.nature@yahoo.fr

Voir le site internet

Publié dans Mézenc / Meygal
mercredi, 01 janvier 2020 14:49

Ces projets qui vont faire parler en 2020

Initiés en 2019, ces projets vont débuter, se poursuivre ou s'achever en 2020. Mais ces aménagements vont forcément faire parler et changer la vie de ses usagers.

Un centre aquatique à Yssingeaux

piscine yssingeaux

Les travaux du futur centre aquatique d'Yssingeaux doivent débuter en mars 2020 pour une livraison à la fin de l'année 2021.

Ce centre aquatique remplacera le stade nautique de Montbarnier. Sur un terrain de 5 000 m2 situé entre le lycée Chabrier et le gymnase du COC, la communauté de communes des Sucs construira un bâtiment de 2 100 m2 pour un coût prévisionnel de 7,5 millions d'euros, hors matériel intérieur.

L'intérieur se composera d'un bassin de 25 mètres de long, 1,30 à 1,80 m de profondeur, et 6 couloirs pour des compétitions régionales, un bassin d'apprentissage avec 3 couloirs (1,10 à 1,30 m de profondeur), des plaines de jeux pour les 3-6 ans et 6-9 ans, intérieur et extérieur, un solarium, un espace bien-être avec sauna, hammam, spa, douche froide, bains chauffants. Le lieu sera dimensionné pour accueillir 450 personnes en même temps.

Un nouveau lycée professionnel à Monistrol-sur-Loire

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Le lycée Notre-Dame-du-Château a acté la construction d'un lycée professionnel neuf à côté du lycée général dans la montée du Prince à Monistrol-sur-Loire. L'ouverture est espérée pour septembre 2021.

L'Ensemble scolaire Notre-Dame-du-Château va quitter le centre-ville pour rejoindre la montée du Prince. Après le lycée général construit en 2004, le lycée professionnel va rejoindre la montée du Prince, en contrebas de la route. L'accès se fera par le parking actuel de 65 places. Un second parking de 100 places sera construit et un cheminement piéton permettra de rejoindre le nouveau lycée, composé de salles de cours, d'ateliers, d'un internat de 48 places. Le lycée compte actuellement 300 élèves et la future capacité sera de 400 jeunes.

L'ouverture est espérée pour septembre 2021, ce qui coïnciderait avec la création d'un bac pro logistique.

Le lycée privé va vendre le LEP en centre-ville à un consortium d’investisseurs et à la mairie.

RN88 : le début des travaux de doublement à Yssingeaux ?

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L’année 2020 pourrait marquer le lancement des travaux de doublement de la RN88 sur le territoire d’Yssingeaux.

Après l’enquête environnementale qui a émis des réserves et l’enquête publique, la réponse du préfet est attendue pour lancer les travaux de doublement. Cette réponse du préfet doit intervenir avant début février.

Ce doublement de la RN88 sur 4 km s’inscrit dans un projet global de mise en 2x2 voies de la RN88 entre Yssingeaux et le rond-point de Lachamp, en passant par la création d’une voie rapide qui contournerait Saint-Hostien et Le Pertuis, soit 10 km. Des mises en 2x2 voies ont déjà été réalisées en 2000 et 2004 au nord et au sud d’Yssingeaux.

En 2019, une ancienne maison a été démolie à Yssingeaux.

La RN88 supporte dans le secteur un trafic de 15 000 véhicules par jour dont 8 % de poids-lourds. Depuis 2013, 8 personnes ont trouvé la mort sur la portion d’Yssingeaux. Le but premier est ainsi d’améliorer le confort des usagers de la route nationale.

La mise en service de l’élargissement de la RN88 à Yssingeaux est prévue pour mi-2022 et la déviation Saint-Hostien/Le Pertuis pour fin 2023.

Une nouvelle gendarmerie pour fusionner Bas-en-Basset et Monistrol

gendarmerie

A partir du 10 février, les gendarmes de Bas-en-Basset et Monistrol-sur-Loire vont déménager dans leur nouvelle caserne située au bord de la Départementale 12 à la gare de Bas-Monistrol. Ce nouveau casernement va marquer la fusion des deux brigades.

17 logements sont créés. Le dossier est conséquent et le financement n'a pas été une mince affaire. Le projet s'élève à 3,7 millions d'euros, 4,68 millions d'euros en comptant la maîtrise d'oeuvre, les études et les assurances.

Dans le détail, sur les 9 000 m2, un bâtiment administratif fera face à la route, avec un habillage en zinc. A l'arrière, les 17 logements seront répartis entre six T3 de 74 m2, neuf T4 de 100 m2 et deux T5 de 112 m2.

Yssingeaux : la mue du lycée Chabrier

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La première phase du chantier gigantesque de rénovation du lycée Emmanuel-Chabrier s’est achevée. Depuis le retour des vacances de la Toussaint, les élèves ont intégré de nouveaux bâtiments dont les cuisines pédagogiques et le self.

Le lycée général, technologique et professionnel public profite d'une cure de jouvence sans précédent. C'est tout simplement un nouveau lycée qui est en train de naître.

De 240 élèves en 2010, ils sont aujourd’hui 600 jeunes à occuper les locaux, la moitié en filière professionnelle, l'autre en filière générale et technologique.

Les premiers coups de pelle ont été donnés en mai 2018. Depuis novembre 2019, les lycéens utilisent le nouveau self de 250 places et les deux cuisines pédagogiques.

Le lycée va passer de 4 200 m2 à 8 000 m2. La fin des travaux est prévue pour la rentrée 2021. Le lycée sera alors calibré pour 750 élèves.

Le futur lycée va offrir de nouvelles perspectives de développement de formations nouvelles, en particulier dans les filières technologiques. Outre la maintenance, le lycée Chabrier serait partant pour la restauration et le service.

Dunières : le collège va être agrandi pour accueillir l’école primaire privée...

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L'association gestionnaire de l'ensemble scolaire privé de Dunières (école Saint-Joseph et Collège Sacré-Coeur) va financer une extension du collège du Sacré-Coeur en 2020 afin de ramener les écoliers de maternelle et d'élémentaire sur un site commun avec les collégiens.

A la rentrée de septembre 2021, tous les écoliers de l'enseignement privé de Dunières effectueront leur rentrée scolaire sur le même site. Actuellement, les 160 enfants de primaire se trouvent dans un bâtiment historique dans la rue Saint-Régis. Et les 290 collégiens étudient sur un second site proche de la rue principale dans le bourg de Dunières.

Un bâtiment de 300 m2 au sol, comprenant un rez-de-chaussée et un étage va être construit dans la cour arrière, entre le bâtiment actuel et la rue de Bellevue.

Les écoliers s'installeront dans cet espace et dans une partie du collège. Des locaux seront mutualisés.

L'entrée de l'école primaire se fera du côté de la rue de Bellevue. Les collégiens continueront à passer par la rue du 11-Novembre.

... et une nouvelle école publique à Dunières

Depuis février 2019, les 4 classes et 80 enfants de l'école publique Jacques-Prévert sont logés dans des structures Algeco sur le parking du gymnase. Pendant ce temps, leur école est entièrement rénovée. 17 mois de travaux étaient nécessaires. Son ouverture est prévue pour septembre 2020.

L'aile droite est conservée et transformée en local communal. Tout le reste a été démoli pour laisser place à une école neuve qui répondra ainsi aux normes d'accessibilité pour les personnes handicapées.

Construite en 1974 et agrandie dans les années 80, l'école publique de Dunières compte actuellement 4 classes pour environ 80 enfants. Le coût de ce chantier est de 2,3 millions d'euros.

Yssingeaux : un nouvel Intermarché à côté du magasin actuel

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Un nouveau magasin Intermarché est en cours de construction à Yssingeaux à côté du commerce de grande distribution actuel. Le futur supermarché de la marque des Mousquetaires doit ouvrir le 7 octobre 2020.

Le futur bâtiment mesurera 5 000 m2 dont 2 900 m2 de surface de vente.

Le magasin actuel a été construit en 1978, refait en 2000 puis en 2008. Le futur magasin gagnera en confort de travail pour les salariés et d'accueil pour les clients avec des rayons plus larges, mieux aérés.

Débuté le 12 septembre 2019, le chantier avance dans les temps. En février, la maçonnerie commencera. La coquille du bâtiment sera livrée en juin et pourra être aménagée. L'ouverture est programmée le 7 octobre 2020. Avant cela, le supermarché actuel fermera début septembre pour être vidé et démoli. Cet espace sera occupé par le parking qui comportera à terme 140 places. Le sol va être décaissé pour se trouver au niveau du magasin des Saveurs des fermes d'Yssi et de la boulangerie Debard.

La station-service va aussi bouger et se déplacer à l'emplacement actuel du quai de réception. Elle passera de deux pistes à quatre pistes en accès 24h/24 dont une piste pour les poids-lourds.

Cette création et agrandissement va se traduire par des créations d'emploi. Au moins 20, voire 30 emplois. Le recrutement se fera à partir du premier trimestre 2020. Il suffit d'apporter son CV et une lettre de motivation à l'accueil du magasin.

Tence : la nouvelle piscine ouvrira cet été

piscine tence

Initialement, la rénovation de pied en cap de la piscine municipale de Tence, débutée en septembre 20018, était programmée pour être bouclée pendant la période de fermeture annuelle, et donc ne pas déranger l'ouverture estivale en juillet 2019.

Des retards liés aux intempéries, mais aussi à des travaux supplémentaires ont mis à mal les prévisions. Elle n’ouvrira finalement qu'à compter de l'été 2020.

La pose de la résine se fera à partir du 1er mars, sous chapiteau chauffé.

Les sanitaires et les vestiaires sont déjà opérationnels pour les utilisateurs du gymnase.

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mercredi, 01 janvier 2020 12:25

Bonne et heureuse année 2020 !

Toute la rédaction de la Commère 43 vous souhaite à vous et à vos proches une bonne et heureuse année 2020.

On ne saurait que vous souhaiter la réussite dans ce que vous entreprendrez.

La Haute-Loire regorge de talents et nous accompagnerons ces dynamiques sur notre média qui fêtera son premier anniversaire officiel en 2020. La Commère 43 a commencé le 29 février 2016... Année bisextile oblige, on pourra cette année retrouver la même date sur le calendrier.

Et ce début d'année sera aussi marqué par un changement d'identité visuelle de votre média préféré ! A très vite.

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Mardi soir, neuf pompiers étaient de garde au centre de secours d'Yssingeaux. Nous leur avons demandé leurs souvenirs les plus marquants de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Mardi soir, le début de soirée était encore calme dans la salle des pompiers d'Yssingeaux. La télévision donnait un bruit de fond, la table de fête était dressée. En ce soir de réveillon, les pompiers volontaires de garde ont droit à quelques mets d'exception. Le dessert a été apporté par la députée Isabelle Valentin en début de soirée, après une rencontre fortuite dimanche lors d'une manoeuvre.

Une chute dans le ravin au Pont de l'Enceinte

Si le réveillon de l'an dernier est resté calme avec un malaise comme bilan, toutes les années de réveillon ne sont pas aussi discrètes. Ainsi, Philippe se souvient d'avoir tenté de secourir un retraité il y a quelques années, victime d'une fausse route lors des agapes avec ses proches.

Robin, en dix ans de volontariat, évoque "un feu d'habitation à Tence". Sylvie et Philippe ont encore en mémoire un accident de la route entre Yssingeaux et Grazac, au "Pont de l'Enceinte". La voiture comptait quatre amies, habillées en tenues de soirée. Elles s'en sortiront indemnes après une chute dans le ravin alors qu'elles se rendaient à leur réveillon. "Elles se sont juste effilé les collants."

Une descente en luge stoppée... par les barbelés

Jérôme, 17 ans de pompiers, aura porté secours vers "Ceveyrac" à des fêtards, éclairés par le lampadaire communal, qui avaient entrepris une descente en luge... sans voir les fils barbelés. Sans se souvenir de l'année, "il y avait au moins de la neige cette année-là".

"Des fois, il ne se passe rien, et parfois, les nuits sont animées. Et au cours de nos interventions, on croise les infirmières à l'hôpital ou les gendarmes sur un accident. Ils sont dans le même cas que nous, on se réconforte", raconte aussi Jérôme. "On est là pour veiller sur les autres", résume Philippe.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs