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Les Comptoirs du Velay, qui ont récemment déménagé dans le bourg du Pertuis et changé de nom (ex-Les Salaisons du Velay), viennent de décrocher une médaille d'or au Salon de l'agriculture. C'est la deuxième de la salaison après 2018.

La salaison du Pertuis fête son changement de nom et de lieu avec une médaille d'or. Les Comptoirs du Velay, dirigés par Julien Janisset, a présenté deux produits secs au concours général agricole organisé dans le cadre du Salon international de l'agriculture à Paris.

Et la saucisse sèche pertuisienne a tapé dans l'oeil du jury. Après avoir obtenu l'argent en 2020, cette saucisse sèche d'Auvergne à l'ancienne a fait encore mieux cette année avec l'or décroché dans la catégorie IGP Auvergne.

Deuxième médaille d'or

Les Comptoirs du Velay sont habitués aux médailles. En 2018, c'est le saucisson sec d'Auvergne à l'ancienne qui avait été primé avec la plus belle distinction. Dans le nouveau magasin situé en plein bourg du Pertuis, les produits secs collectionnent les prix. "Le concours général agricole, c'est une valeur sûre. C'est un concours reconnu et c'est une plus-value commercial indéniable. Le consommateur s'y retrouve", évoque Julien Janisset.

Des cochons élevés en Haute-Loire

Avant la fabrication réalisée au Pertuis au sein de la salaison artisanale, les cochons sont élevés en Haute-Loire. Julien Janisset travaille avec Etienne de Veyrac de Vergezac, et Damien Romeyer de Saint-Didier-en-Velay.

Publié dans Puy et Agglo

(Publi-reportage) Hum, Hum... il se passe quelque chose au Pertuis ! Au Pertuis, Les Salaisons du Velay déménagent dans le village... et changent de nom.

Le Pertuis, haut lieu de la charcuterie auvergnate. Depuis 2009, date à laquelle il a repris les rênes de l'entreprise, Julien JANISSET et son équipe perpétuent la fabrication et l'affinage de saucissons secs, saucisses sèches, jambons et autres spécialités charcutières, dans la plus pure tradition auvergnate. Ceux-ci sont très régulièrement récompensés par des médailles au Concours Général Agricole et se distinguent par des signes de qualité reconnus, notamment l'IGP Auvergne.

Toute la différence vient de là :

- une sélection de matières premières d'exception auprès d'éleveurs du cru, engagés dans une démarche de qualité (viande de porc de Haute-Loire)

- une fabrication à l'ancienne

- des conditions d'affinage uniques, sous l'effet conjugué du climat singulier du Pertuis et du savoir-faire de ses salaisonniers.

Les viandes de pays à l'honneur

A ce savoir-faire qui fait la réputation des Salaisons du Velay bien au-delà des frontières du département s'ajoute une activité de boucherie qui met à l'honneur les viandes de pays : l'agneau Noir du Velay, Le Vedelou, le Porc de Haute-Loire, la viande d'Aubrac provenance Haute-Loire ou encore le Fin Gras du Mézenc.

Les Comptoirs du Velay, un nouvel espace de vente plus spacieux dans le bourg du Pertuis

Un peu à l'étroit dans ses murs, et désireux de valoriser encore mieux le terroir altiligérien et autres fleurons gastronomiques auvergnats, Julien Janisset a saisi l'opportunité de la construction d'un bâtiment commercial et de services dans le bourg du Pertuis pour développer un nouvel espace de vente de 180 m2.

Véritable comptoir gourmand pour les salaisons artisanales, les viandes de pays, les fromages d'Auvergne, les vins, liqueurs et bières artisanales *, ... retrouvez désormais Les Salaisons du Velay à côté du garage Pichon, sous la nouvelle enseigne "Les Comptoirs du Velay". Et toujours en bordure de la RN88 dans la traversée du village d'altitude.

Le nom change, l'offre produits s'étoffe... mais la qualité et l'authenticité que Julien Janisset et son équipe ont à cœur de faire partager chaque jour à leurs clients restent immuables.

* L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.


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Infos pratiques

Les Comptoirs du Velay

Rue de la Sauvagine – 43200 Le Pertuis

Téléphone : 04 71  57 67 48

Site internet : www.lescomptoirsduvelay.com

Publié dans Puy et Agglo

La Charcuterie de Lavoux vient de changer de gérant. Patrick Sapet et Rémi Palay s'associent et succèdent à Philippe Tardy à la tête de cette PME monistrolienne, spécialisée dans la salaison.

C'est le troisième changement de dirigeants pour cette petite entreprise qui s'évertue à miser sur la proximité et la qualité. Tout a démarré à Bas-en-Basset avec Patrick Padel, au hameau de « Lavoux », d’où le nom. L'activité a déménagé en 1999 à Monistrol. En 2006, Philippe Tardy avait repris les rênes de cette PME qui compte 12 salariés et un magasin sur la zone des Moletons à Monistrol, là où tout est fabriqué.

Une succession préparée depuis deux ans

La succession avait été bien préparée. Avant de vendre et de partir à la retraite, Philippe Tardy s'est appuyé sur deux collaborateurs. Patrick Sapet, responsable de production, a rejoint la charcuterie il y a 8 ans. Rémi Palay, responsable administratif et des ventes, est arrivé voilà deux ans. "La passation se passe très bien, c'était important pour nous", assure Philippe Tardy, soucieux de transmettre "une boîte qui va bien".

Garder la fabrication artisanale

Aujourd'hui, les deux hommes s'associent et ont officiellement repris l'entreprise ce mardi 6 juillet. "On a appris à se connaître. Notre force est d'être complémentaire. Notre premier objectif est de garder ce qui se fait, avec la même rigueur et la même qualité. On va développer la salaison, tout ce qui concerne les produits secs, sans tomber dans l'industriel", promet Patrick Sapet. Rémi Palay ajoute : "On va garder cette âme artisanale et s'appuyer sur le savoir-faire de nos salariés."

Les deux nouveaux gérants envisagent de refaire l'enseigne extérieure et d'investir dans de nouvelles banques réfrigérées au magasin

Publié dans Monistrol et environs

(Publi-reportage) La Charcuterie de Lavoux vient de créer Le Petit Fermier, une marque qui valorise le porc élevé en plein air et le circuit court. La salaison a noué un premier partenariat avec l’éleveur Florian Clavaron de Beauzac.

Le Petit Fermier est la garantie d’acheter un saucisson naturel à partir d’un porc élevé en plein air. Avec cette nouvelle marque, la Charcuterie de Lavoux met en exergue une qualité supérieure, en complément des autres produits artisanaux fabriqués à Monistrol-sur-Loire à partir de porcs français.

Une production artisanale à Monistrol

Depuis 2006, Philippe Tardy a repris les rênes de cette PME et s’appuie sur Patrick Sapet, responsable de production, et Rémi Palay, responsable administratif et des ventes. La charcuterie compte 11 salariés et un magasin sur la zone des Moletons à Monistrol, là où tout est fabriqué.

Un partenariat avec un éleveur local

La charcuterie de Lavoux est un spécialiste du saucisson et veut aujourd’hui aller encore plus loin dans la qualité du produit fini. C’est ainsi que la salaison s’est entendue avec Florian Clavaron, un jeune éleveur de porcs élevés en plein air à Beauzac. Les cochons, abattus à Yssingeaux, sont vendus en porc frais dans la boutique ou transformés en saucissons. « Les cochons de Florian Clavaron se gèrent sur l’alimentation. Ils ont à manger à volonté, des céréales de qualité sans OGM », signale Patrick Sapet. Il ajoute : « Le temps d’engraissement est plus long : entre 180 et 200 jours pour ces cochons contre 120 à 130 jours pour des cochons élevés en batterie. »

100 % sans conservateur et sans colorant

En ce qui concerne la fabrication, on ne rajoute rien d’autre qu’un assaisonnement à l’ancienne, sans sel nitrité et sans salpêtre. Un saucisson 100 % sans conservateur et sans colorant. « Avec Le Petit Fermier, on retrouve un goût d’antan », assure Rémi Palay.

Infos pratiques

Téléphone : 04 71 75 45 95

Site internet : https://www.salaisonsdesmoletons.fr/

Voir la page Facebook : https://www.facebook.com/Charcuterie-De-Lavoux-250675701931737

Publié dans Monistrol et environs

Le commerce de Riotord reprend vie. Après le restaurant Cou'tou qui a ouvert depuis quelques semaines avec François Jourjon aux fourneaux, c'est la boucherie du village qui sera bientôt accessible.

Le projet est porté par Fabrice Franc, 41 ans, originaire de Saint-Romain-Lachalm. Titulaire d'un CAP-BEP boucher qu'il a passé à Saint-Didier-en-Velay et d'un CAP salaisonnier obtenu à Saint-Romain-Lachalm, il a travaillé à l'abattoir Pays de Saint-Just-Malmont avant d'intégrer Carrefour Market de Dunières. Il a passé neuf années en tant qu'ouvrier boucher et dix années en tant que chef du rayon boucherie.

Fermée depuis plus de deux ans, la boucherie a été rachetée par la mairie de Riotord qui a investi dans la rénovation et l'achat de matériel professionnel. Fabrice Franc, également sapeur-pompier volontaire à Saint-Romain-Lachalm, a prévu d'ouvrir la boutique le mardi 4 juillet.

Sur son étal, l'artisan compte privilégier les produits de terroir de la région comme la Noire du Velay, le porc de Haute-Loire ou encore le veau des monts du Velay et Forez.

Publié dans Puy et Agglo

Le village de Saint-Bonnet-le-Froid n'a plus de boucherie-charcuterie depuis le début du mois. Racheté par la Maison Dugand en juillet 2013 à la famille Chatelard qui a tenu le commerce pendant trois générations, le magasin est en cours de liquidation judiciaire.

Le rideau a été baissé le 31 mars. La boucherie, qui fait aussi charcuterie et salaison de montagne, risque d'être fermée pendant quelques mois. La mairie s'active pour tenter de trouver un repreneur à ce commerce emblématique. "Ça va perturber le commerce à Saint-Bonnet. C'est un maillon qui manque à la chaîne", indique-t-on en mairie.

Publié dans Puy et Agglo

Aoste est parti d'Yssingeaux en 2013 en laissant 24 salariés sur le carreau et un chèque de 103 000 euros. L'argent a été redistribué à d'autres projets, dont le repreneur de l'usine. Après trois ans, tous les partenaires du dossier estiment avoir réussi le plan de revitalisation.

Le départ d'Aoste d'Yssingeaux aura finalement autant fait de casse sociale qu'il aura apporté à d'autres entreprises. Après trois ans, la convention de revitalisation est arrivée à son terme. A l'heure du bilan, les partenaires s'estiment satisfaits du résultat.

Cinq anciens salariés d'Aoste ont relancé la production

En 2012, l'annonce de la fermeture de l'usine Aoste à Yssingeaux avait sonné comme un gros coup dur pour les 24 salariés, pris dans le tourbillon d'une restructuration voulue par le groupe Campofrio, propriétaire d'Aoste, et qui allait entraîner la suppression de 68 postes, dont 24 sur le site de Lavée à Yssingeaux.

Le départ s'est accompagné d'un plan de revitalisation avec un chèque de 103 000 euros et la recherche d'un repreneur. Le groupe Cooperl s'est positionné et a ainsi racheté les bâtiments, relançant la production six mois après la fermeture. Christian Borel, responsable de l'activité du saucisson sec au sein de la Cooperl est d'abord allé rechercher les salariés licenciés, forts du savoir-faire nécessaire. Aujourd'hui, après trois ans, la production atteint 2 000 tonnes par an avec 24 CDI et des intérimaires. Les clients se nomment principalement Carrefour et Aldi.

Du porc sans antibiotique à partir de septembre

"Nous recherchons de nouveaux marchés pour continuer à progresser", indique le dirigeant de la Cooperl, qui a passé 38 ans chez Aoste avant d'intégrer la coopérative bretonne en 2013. "Yssingeaux est le premier investissement en dur qui se fait à l'extérieur de la Bretagne", fait remarquer Chrisitian Borel. La coopérative a investi 2,5 millions d'euros sur l'outil de travail, 5 millions d'euros en comptant l'immobilier. Et le groupe est propriétaire de 10 000 m2 à côté de l'usine actuelle dans le but d'agrandir les capacités de production et de séchage dans les années à venir.

A partir de septembre, des saucissons de porcs élevés sans antibiotique seront fabriqués dans l'usine de Lavée. Cela représente environ 4 ou 5 tonnes de saucissons par semaine.

21 entreprises aidées par le fonds

Sur les 103 000 euros déposés par Aoste, 70 000 euros sont revenus à Brocéliande et 10 000 euros aux Salaisons Manet à Yssingeaux. Les 23 000 euros restant ont été exploités par la communauté de communes du Pays des sucs dans le cadre d'une opération d'accompagnement de l'artisanat et du commerce local. Au total, 19 entreprises ont reçu une aide financière. le bilan fait ressortir 10 maintiens et 10 créations d'emploi.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Le boucher-charcutier Jean-Marie Blanc a repris en milieu de semaine le commerce de Lapte, sur la place Marius-Sarda, à Lapte.

A 57 ans, le le boucher-charcutier-salaisonnier a ouvert, repris ou relancé de nombreuses affaires. Après six ans passées à Saint-Cirgues (Ardèche) où il a appris toutes les ficelles du métier, il se met à son compte en 1981 à Saint-Hostien puis il crée la salaison du Pertuis, en bordure de la RN88 qu'il revendra en 2002. En 1993, il rachète la boucherie Au Bon Capitolien à Saint-Julien-Chapteuil. En 2005, il relance l'entreprise de Freycenet-la-Tour. Parti vivre au Sénégal en 2010, il n'y restera que quelques mois. Il revient pour apprendre le métier à son gendre et l'accompagner dans son lancement à Rosières en 2011 puis à Saint-Julien-Chapteuil pendant trois ans. Depuis trois ans, il faisait des saucissons qu'il revendait en gros en basse Ardèche.

A Lapte, il succède à Paulo Costa Martinho qui est resté de 2010 à 2016. Son souhait, en reprenant cette affaire, est de lancer quelqu'un de jeune.

Jean-Marie-Blanc recherche un boucher-charcutier pour un mi-temps ou plus.

La boutique est ouverte de 7 h 30 à 12 h 30 et de 15 h 30 à 19 h 30 du mercredi au samedi, et de 7 h 30 à 12 h 30 le dimanche.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs