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La Charcuterie de Lavoux vient de changer de gérant. Patrick Sapet et Rémi Palay s'associent et succèdent à Philippe Tardy à la tête de cette PME monistrolienne, spécialisée dans la salaison.

C'est le troisième changement de dirigeants pour cette petite entreprise qui s'évertue à miser sur la proximité et la qualité. Tout a démarré à Bas-en-Basset avec Patrick Padel, au hameau de « Lavoux », d’où le nom. L'activité a déménagé en 1999 à Monistrol. En 2006, Philippe Tardy avait repris les rênes de cette PME qui compte 12 salariés et un magasin sur la zone des Moletons à Monistrol, là où tout est fabriqué.

Une succession préparée depuis deux ans

La succession avait été bien préparée. Avant de vendre et de partir à la retraite, Philippe Tardy s'est appuyé sur deux collaborateurs. Patrick Sapet, responsable de production, a rejoint la charcuterie il y a 8 ans. Rémi Palay, responsable administratif et des ventes, est arrivé voilà deux ans. "La passation se passe très bien, c'était important pour nous", assure Philippe Tardy, soucieux de transmettre "une boîte qui va bien".

Garder la fabrication artisanale

Aujourd'hui, les deux hommes s'associent et ont officiellement repris l'entreprise ce mardi 6 juillet. "On a appris à se connaître. Notre force est d'être complémentaire. Notre premier objectif est de garder ce qui se fait, avec la même rigueur et la même qualité. On va développer la salaison, tout ce qui concerne les produits secs, sans tomber dans l'industriel", promet Patrick Sapet. Rémi Palay ajoute : "On va garder cette âme artisanale et s'appuyer sur le savoir-faire de nos salariés."

Les deux nouveaux gérants envisagent de refaire l'enseigne extérieure et d'investir dans de nouvelles banques réfrigérées au magasin

Publié dans Monistrol et environs

(Publi-reportage) La Charcuterie de Lavoux vient de créer Le Petit Fermier, une marque qui valorise le porc élevé en plein air et le circuit court. La salaison a noué un premier partenariat avec l’éleveur Florian Clavaron de Beauzac.

Le Petit Fermier est la garantie d’acheter un saucisson naturel à partir d’un porc élevé en plein air. Avec cette nouvelle marque, la Charcuterie de Lavoux met en exergue une qualité supérieure, en complément des autres produits artisanaux fabriqués à Monistrol-sur-Loire à partir de porcs français.

Une production artisanale à Monistrol

Depuis 2006, Philippe Tardy a repris les rênes de cette PME et s’appuie sur Patrick Sapet, responsable de production, et Rémi Palay, responsable administratif et des ventes. La charcuterie compte 11 salariés et un magasin sur la zone des Moletons à Monistrol, là où tout est fabriqué.

Un partenariat avec un éleveur local

La charcuterie de Lavoux est un spécialiste du saucisson et veut aujourd’hui aller encore plus loin dans la qualité du produit fini. C’est ainsi que la salaison s’est entendue avec Florian Clavaron, un jeune éleveur de porcs élevés en plein air à Beauzac. Les cochons, abattus à Yssingeaux, sont vendus en porc frais dans la boutique ou transformés en saucissons. « Les cochons de Florian Clavaron se gèrent sur l’alimentation. Ils ont à manger à volonté, des céréales de qualité sans OGM », signale Patrick Sapet. Il ajoute : « Le temps d’engraissement est plus long : entre 180 et 200 jours pour ces cochons contre 120 à 130 jours pour des cochons élevés en batterie. »

100 % sans conservateur et sans colorant

En ce qui concerne la fabrication, on ne rajoute rien d’autre qu’un assaisonnement à l’ancienne, sans sel nitrité et sans salpêtre. Un saucisson 100 % sans conservateur et sans colorant. « Avec Le Petit Fermier, on retrouve un goût d’antan », assure Rémi Palay.

Infos pratiques

Téléphone : 04 71 75 45 95

Site internet : https://www.salaisonsdesmoletons.fr/

Voir la page Facebook : https://www.facebook.com/Charcuterie-De-Lavoux-250675701931737

Publié dans Monistrol et environs

(Publi-reportage) La famille Dantony, qui possède la boucherie de Dunières et la Salaison Pichon de Raucoules, met en place une livraison à domicile pour tous ses produits (porc, bœuf, volaille, veau, agneaux). Les deux magasins restent également ouverts.

Durant cette période de confinement, la Boucherie Dantony et la Salaison Pichon développent un concept de livraison à domicile sur un large secteur entre Haute-Loire, Loire et Ardèche.

Une affaire familiale

Pour un montant minimum de 30 €, vous pouvez ainsi recevoir gratuitement à votre domicile votre commande.

Déjà éleveurs et commerçants avec la boucherie de Dunières, la famille Dantony a repris à l’été 2019 la Salaison Pichon à Raucoules. On retrouve dans cette affaire familiale Gilles et Chantal Dantony, leurs filles Fanny et Marie, et leur fils Mathieu.

Deux magasins ouverts

Les magasins restent ouverts et des mesures sanitaires renforcées ont été prises pour permettre de recevoir les clients dans les meilleures dispositions pour profiter de l’ensemble des produits maison.

A la salaison de Raucoules, on retrouve une palette de produits issus du porc et de la volaille : saucisses, godiveaux, merguez, jambonnette, saucissons, filets mignons secs, charcuterie.

Des porcs élevés en plein air à Dunières

La boucherie Dantony à Dunières met à disposition du porc, du bœuf, de la volaille, du veau, des agneaux. Le porc est issu de l’élevage de la famille Dantony, des bêtes qui vivent en plein air sur les hauteurs de Saint-Bonnet-le-Froid. Retrouvez aussi le bœuf Fin Gras du Mézenc, et du veau acheté dans les fermes du coin.

Dans chaque magasin, vous pouvez aussi réaliser des colis de 5 ou 10 kg.

Contacts

Salaison de Raucoules : 04 71 59 92 76. Ouvert du lundi au samedi midi

Boucherie de Dunières : 04 71 66 82 90. Ouvert du mardi au samedi midi

Mail : salaisonspichon43@orange.fr

Voir la page Facebook

Publié dans Haut Pays du Velay

Le village de Saint-Bonnet-le-Froid n'a plus de boucherie-charcuterie depuis le début du mois. Racheté par la Maison Dugand en juillet 2013 à la famille Chatelard qui a tenu le commerce pendant trois générations, le magasin est en cours de liquidation judiciaire.

Le rideau a été baissé le 31 mars. La boucherie, qui fait aussi charcuterie et salaison de montagne, risque d'être fermée pendant quelques mois. La mairie s'active pour tenter de trouver un repreneur à ce commerce emblématique. "Ça va perturber le commerce à Saint-Bonnet. C'est un maillon qui manque à la chaîne", indique-t-on en mairie.

Publié dans Puy et Agglo
vendredi, 27 mai 2016 08:22

Lapte : la boucherie va s'agrandir

Les élus ont validé en conseil municipal la mise à disposition du garage de 60 m2, à gauche de la boucherie, pour permettre au commerce de s'agrandir

L'objectif est de construire un laboratoire de cuisson pour les charcuteries cuites comme la jambonnette, le pâté de campagne, le pâté en croûte... Pour l'heure, Jean-Marie Blanc effectue cette opération dans le laboratoire de son gendre, à Saint-Julien-Chapteuil. Le boucher prendra les travaux à sa charge. Quant au loyer, il sera révisé en 2020.

Le garage est actuellement occupé par deux véhicules de la commune, les sanitaires et les vestiaires des employés communaux.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Le boucher-charcutier Jean-Marie Blanc a repris en milieu de semaine le commerce de Lapte, sur la place Marius-Sarda, à Lapte.

A 57 ans, le le boucher-charcutier-salaisonnier a ouvert, repris ou relancé de nombreuses affaires. Après six ans passées à Saint-Cirgues (Ardèche) où il a appris toutes les ficelles du métier, il se met à son compte en 1981 à Saint-Hostien puis il crée la salaison du Pertuis, en bordure de la RN88 qu'il revendra en 2002. En 1993, il rachète la boucherie Au Bon Capitolien à Saint-Julien-Chapteuil. En 2005, il relance l'entreprise de Freycenet-la-Tour. Parti vivre au Sénégal en 2010, il n'y restera que quelques mois. Il revient pour apprendre le métier à son gendre et l'accompagner dans son lancement à Rosières en 2011 puis à Saint-Julien-Chapteuil pendant trois ans. Depuis trois ans, il faisait des saucissons qu'il revendait en gros en basse Ardèche.

A Lapte, il succède à Paulo Costa Martinho qui est resté de 2010 à 2016. Son souhait, en reprenant cette affaire, est de lancer quelqu'un de jeune.

Jean-Marie-Blanc recherche un boucher-charcutier pour un mi-temps ou plus.

La boutique est ouverte de 7 h 30 à 12 h 30 et de 15 h 30 à 19 h 30 du mercredi au samedi, et de 7 h 30 à 12 h 30 le dimanche.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Emmanuel et Hélène Delacroix, qui ont repris la Maison Ouillon il y a quatre ans, développent un projet d'une nouvelle boucherie-charcuterie à Saint-Jeures. Les travaux viennent de débuter.

L'ancien terrain de football du Bru a définitivement disparu. Déjà amputé il y a quelques années par la construction des courts de tennis, l'ancien stade, où on ne voyait résister qu'un vieux but, a été rayé de la carte la semaine dernière avec l'intervention des pelleteuses de l'entreprise Rousset du Chambon-sur-Lignon, chargée de réaliser le terrassement du futur lieu de production et de vente de la boucherie-charcuterie du Lizieux.


Gagner en conditions de travail
C'est sur ce terrain de 2 750 m2 qu'Emmanuel et Hélène Delacroix vont développer leur affaire. Le couple de bouchers-charcutiers et leurs six salariés, dont un apprenti, vont bientôt travailler dans de bien meilleures conditions. Car le travail est pénible dans le laboratoire actuel, fait de petites pièces sur trois niveaux avec un escalier étroit qui conduit aux séchoirs. "On porte tout à dos d'homme. On descend tout à la main. Et on remonte tout. On est entassé", signale Emmanuel Delacroix qui a repris la Maison Ouillon il y a quatre ans, une fierté à Saint-Jeures et une référence bien au-delà. Et a développé le chiffre d'affaires de 30 % en quatre exercices.


Développer le marché à l'export et dans les épiceries fines
"Depuis deux ans, on est saturé. On ne peut pas répondre à toutes les demandes, notamment en saucisson sec. C'était soit on reste comme ça et on stagne, soit on mène un nouveau projet. Et si on agrandi le magasin actuel, on prenait le risque de fermer 6 mois et de perdre la clientèle. Qui plus est, on ne peut pas vendre actuellement à plus de 80 km car les bâtiments ne sont pas conformes à l'agrément sanitaire européen. Avec le nouveau magasin, on pourra faire de l'export, viser les épiceries fines lyonnaises et parisiennes. Tout ça, ça a joué dans notre réflexion."

Encore fallait-il trouver le bon site pour construire : rester dans le bourg, sur un axe de passage et être visible. L'ancien terrain de foot était dès lors le lieu idéal pour la boucherie-charcuterie du Lizieux qui va passer d'un laboratoire de 380 m2 sur trois niveaux à un laboratoire de 550 m2 sur un seul niveau.


Des cochons 100 % Haute-Loire
Et aux clients qui craignent de voir la Maison Ouillon se transformer en salaison industrielle, Emmanuel et Hélène Delacroix se veulent rassurants. "Ce sera un magasin neuf mais avec la même qualité. On garde la même façon de travailler. Les matières premières seront 100 % locales. Les cochons naîtront toujours à Chenereilles, ils seront élevés à Saint-Jeures chez Gilles Moulin et ses fils et ils seront abattus à Yssingeaux."

Le projet, d'un coût global de 950 000 euros, doit aboutir à l'automne. L'ouverture est programmée pour la mi-novembre avec des horaires d'ouverture inchangés : du mardi au samedi de 7 heures à 18 h 30 et le dimanche de 7 heures à 12 h 30.
Publié dans Haut-Lignon
vendredi, 04 mars 2016 09:19

Une nouvelle boucherie-charcuterie à Tence

Vanina et Régis Favard ouvrent leur commerce ce vendredi 4 mars. Arrivés de la région de Chateauroux, ils ont décidé de s'installer à leur compte dans ce métier qu'ils connaissent bien, et pour cela de changer de région. Ils ont pris connaissance d'une petite annonce pour un commerce situé dans la grande rue à Tence, fermé depuis deux ans. Et ils sont tombés sous leur charme du lieu et de la région. Ils ont donné quelques coups de peinture dans la boutique et réalisé des travaux dans le laboratoire.

Outre le Fin gras qui sera proposé, Vanina et Régis Favard vont concoter des spécialités typiques de Chateauroux, comme le pâté berrichon, mitonné avec de la farce et des oeufs, ou encore la galette de pommes de terre. "C'est différent de la crique. C'est un feuilletage." Des dégustations sont prévues : le dimanche 6 mars pour fêter l'ouverture du magasin ; le dimanche 13 mars, boeuf de Pâques devant la mairie.

Le magasin, situé dans la grande rue, est ouvert tous les jours de 7 h 30 à 13 heures et de 15 heures à 19 h 30. Journée continue le vendredi et le samedi. Le dimanche, ouvert de 8 à 13 heures.
Publié dans Haut-Lignon