Afficher les éléments par tag : hautlignon

Les forums jobs d’été d'avril sur le territoire de l’Est de la Haute-Loire sont l’occasion pour tous, employeurs de saisonniers et chercheurs d’emploi d’été, de se rencontrer.

Les organisateurs de ces "Journées jobs d’été" au Chambon-sur-Lignon pour le Haut-Lignon, Monistrol-sur-Loire pour Les Marches du Velay et Yssingeaux pour le pays des sucs invitent les particuliers, les associations comme les entreprises à déposer leurs annonces en amont des journées jobs d’été.

Des fiches de dépôt d’offres sont disponibles dans les trois Points information jeunesse du territoire, au Pôle-Emploi auprès de Maxime Gabriel ou à la Mission Locale auprès de Thérèse Januel.

Naturellement, toutes les entreprises, collectivités, associations qui n’ont pas encore fait connaître leur présence aux forums sont les bienvenues.



LES CONTACTS


PIJ Yssingeaux

Elodie Pascalong  

pij@cc-des-sucs.fr

0471590159

PIJ Chambon/Lignon

Mélanie Tessier

pij.fads43@gmail.com



PIJ Monistrol/Loire

Célia Vincent

pij1.acija@wanadoo.fr

0471754707

Pôle Emploi

Gabriel Maxime

maxime.gabriel@pole-emploi.fr



Mission Locale

Thérèse Januel

tjanuel@mljeuneloire.org

0471657373





Les DATES DES FORUMS


A YSSINGEAUX (Salle de la coupe du monde) mercredi 6  avril de 14h à 17h

A MONISTROL/LOIRE (Point information jeunesse)  vendredi  8 avril de 14h à 18h ET samedi 9 avril de 10h a 13h

AU CHAMBON/LIGNON (Maison des Brechts) samedi 9 avril de 10h à 13h


Publié dans Dans le 43 2016
(Publi-reportage) Le Collège du Lignon au Chambon-sur-Lignon accueille les élèves en difficultés scolaires de Haute-Loire et d’Ardèche dans une classe spécialisée, à l’effectif adapté.

Les inscriptions sont ouvertes au Collège du Lignon. Parmi les nombreuses possibilités offertes par cette structure à taille humaine, Claude Schaff et son équipe d’enseignants accueillent les collégiens en difficultés en Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté), de la 6e à la 3e. L’établissement dispose d’une expérience reconnue pour accompagner les enfants qui ont décroché ou qui éprouvent des difficultés.

Ils suivent le même programme, mais de façon allégée. « La seule porte fermée, c’est le bac général », convient le directeur du collège, tout en listant le large panel de formations professionnelles ouvertes aux jeunes. « Des formations sont même réservées aux élèves issus de 3e Segpa. Je pense notamment au CAP agent polyvalent de restauration qui est proposé à Yssingeaux. »


12 élèves maximum pour un suivi personnalisé
La force de la Segpa se situe dans la découverte immédiate de métiers. Six stages sont réalisés dans cinq métiers différents en 4e et 3e. Pendant quatre ans, les adolescents pratiquent chaque semaine des activités des métiers de la restauration, du bâtiment, de l'environnement… Ce qui représente entre 6 et 9 heures sur 26 heures de cours. C’est un aspect important du dispositif qui participe à réconcilier ces jeunes avec l’univers scolaire.

Qui plus est, les effectifs sont adaptés avec 12 élèves maximum par classe. Et le nombre d’enseignants correspond aux besoins. Ces collégiens n’ont pas plus de six professeurs pour l’ensemble des matières scolaires et des ateliers. Ce qui permet un suivi personnalisé au quotidien. Les cours sont répartis sur quatre jours. Il n’y a pas classe le mercredi.


Des jeunes de Haute-Loire et d'Ardèche
Ces jeunes préparent un diplôme. Au Chambon-sur-Lignon, ils peuvent même en présenter deux : le certificat de formation générale (100 % de réussite) et le brevet du collège option professionnelle. Ce dernier est une nouveauté depuis 2014-2015. Trois élèves ont souhaité passer l’examen l’an dernier, deux ont décroché le diplôme. Cette année, les 12 élèves de 3e, très motivés, sont candidats.

Le collège du Chambon-sur-Lignon offre aussi la possibilité aux Ardéchois d’être scolarisés ici. Une opportunité d’autant plus facilitée par le ramassage scolaire qui existe entre le plateau de Saint-Agrève et Le Chambon.

Contacts

Téléphone : 04 71 65 82 90

Publié dans Actualités 2016
Marie-Pierre Faure a été nommée responsable de la salle intercommunale des Bretchs au Chambon-sur-Lignon. L'espace regroupe un gymnase, l'école de musique, le centre de loisirs et des salles de réunion. Elle remplace Thomas Cazaban qui a démissionné à la mi-décembre. Le poste était resté vacant depuis trois mois. Les élus ont reçu plusieurs candidats et leur choix s'est portée sur Marie-Pierre Faure.

La nouvelle responsable du centre socio-culturel et sportif a été réintégrée dans la fonction publique territoriale après une disponibilité de trois ans. Cette Monistrolienne d'origine est connue sur le plateau du Haut-Lignon puisqu'elle a travaillé pendant treize ans à l'office de tourisme du Chambon-sur-Lignon, ainsi qu'à l'hôtel-restaurant Bel Horizon. Elle a également connu une expérience dans une agence de voyages.

La responsable des Bretchs, chargée de la gestion technique et fonctionnement du site, a pris son poste le lundi 14 mars.
Publié dans Haut-Lignon
De nouvelles économies doivent être trouvées par les élus. L'année 2016 s'annonce encore très serrée avec l'espoir de sortir dans un an du réseau d'alerte et de pouvoir retrouver des ambitions politiques en terme d'investissements.

Les élus de la communauté de communes du Haut-Lignon ont voté le budget 2016 ce mercredi soir au Mazet-Saint-Voy. Ce regard financier sur les douze prochains mois laisse apparaître de nouvelles pistes d'économies sur le fonctionnement de la collectivité et des recettes supplémentaires afin de retrouver de l'autofinancement, c'est-à-dire de pouvoir investir sans passer par l'emprunt.


Sans autofinancement, pas de projet
Pour l'heure, le Haut-Lignon est toujours dans une situation financière tendue. "Il faudrait 250 000 euros minimum d'autofinancement. Là, on a zéro même si la situation budgétaire s'est améliorée entre 2014 et 2015", évoque Pierre Garnier, le directeur de la communauté de communes, lors d'une conférence de presse précédant le conseil communautaire. "On fait du bricolage, on mendie des subventions. On n'a pas le beau rôle, on doit faire des choix pour retrouver des couleurs", complète Julien Melin, le président.
La com-com du Haut-Lignon est placée en réseau d'alerte depuis deux ans. Les conseillers communautaires de Tence, Le Chambon-sur-Lignon, Le Mazet-Saint-Voy, Saint-Jeures, Le Mas-de-Tence et Chenereilles doivent faire des choix. "Le problème ne vient pas de l'endettement. Le problème, ce sont les frais de fonctionnement. On est une "com-com" de services et ces services ont un coût", cadre Bernard Cotte, maire du Mazet-Saint-Voy.


Hausse de la taxe sur les ordures ménagères
Jérôme Ancelin, comptable public au centre des Finances publiques de Tence, est encourageant et dit facilement "on" quand il parle des orientations prises. "On a diminué les dépenses et on augmente petit à petit les recettes. Les décisions de 2015 commencent à porter leurs fruits. Il faut poursuivre ces efforts, continuer à baisser les charges et augmenter les recettes. Le Haut-Lignon est à la limite pour ne plus être dans le viseur de la préfecture. Si on continue sur cette voie, dans un an, on sort du réseau d'alerte."
Pour Julien Melin et le bureau de la "com-com", il est hors de question d'augmenter les impôts. 2015 avait déjà connu une hausse de 1,5 point sur le foncier bâti. Les trois traxes restent identiques. Seul le taux de la taxe sur les ordures ménagères passe de 10,05 à 11 %.


Un "budget de survie" à l'école de musique
Alors, des coupes budgétaires ont été proposées dans les services. L'école de musique, si elle est maintenue, verra une baisse de 20 heures de sa dotation. "Chaque élève coûte 1000 euros", chiffre Julien Melin. Il s'agit de faire une économie de 40 000 euros sur un budget de 150 000 euros. "On préfère réduire que tout supprimer." Pour David Salque-Pradier, conseiller municipal de l'opposition à Tence, la mesure risque de mettre en péril la structure à moyen terme." Pour Thierry Reynaud, le directeur, appelé à s'exprimer mercredi soir, "il s'agit d'un budget de survie, squelettique."


1100 signatures pour la pétition sur la ludothèque
La ludothèque doit aussi être remodelée, ce qui n'est pas du goût des utilisateurs qui ont récolté 1100 signatures. La pétition a été remise à Julien Melin lors du conseil communautaire. Le projet est d'associer les moyens avec Val'Eyrieux dans le cadre d'un possible "Contrat territoire lecture" qui serait subventionné en grande partie par la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). En clair, l'ouverture de la ludothèque à Tence passerait de 2 jours à 1 jour par semaine mais la ludothécaire se déplacerait dans les communes du territoire. Le projet prévoit la création d'un demi-poste supplémentaire sur trois ans. "La ludothèque nous coûte actuellement 36 000 euros par an. Avec ce partenariat, on n'aurait à débourser que 7 500 euros", argumente Julien Melin. "Ces services, on ne pourra plus se les payer. On n'a plus le choix. Et on ne peut pas augmenter les impôts", intervient André Duboeuf, le maire de Saint-Jeures.
Publié dans Haut-Lignon
jeudi, 10 mars 2016 08:59

Une colocation pour seniors à Tence

Jacqueline Decultis ouvrira le 2 mai une maison partagée à destination des personnes âgées en plein cœur de Tence. La moitié des chambres de la Maison de Marguerite ont déjà été réservées.


Son projet est visiblement trop novateur pour bénéficier d’aides publiques alors que la question du vieillissement de la population et de sa prise en charge des seniors sont au cœur des enjeux d’aujourd’hui et de demain. Mais Jacqueline Decultis n’en a que faire. Son projet est sur le point d’aboutir et elle en est ravie. L’ancienne infirmière, qui a occupé les mandats de maire et de conseillère générale sur Tence, s’est mis en tête d’ouvrir une maison pour les seniors. L’été dernier, avec sa belle-sœur Annie Gallet, elle aussi issue du secteur médical, elle a acheté une maison dans la montée de la Sérigoule, à deux pas de l’église, au bord du ruisseau. « Je me suis posée la question du lieu où j’aimerais vivre quand j’aurais 85 ans. On veut proposer une alternative au placement de nos aînés en maison de retraite. »

Une maison et un jardin en plein cœur de ville
Le projet, d’un montant global de 412 000 euros, consiste en la réhabilitation de cette vieille bâtisse de trois niveaux. La Maison de Marguerite, du nom de sa dernière occupante (Marguerite Souvignet), se situe en plein cœur du village, proche des commerces et des services. A l’arrière, elle est entourée d’une enceinte dans laquelle un jardin potager, d’agrément et qui fera une belle place aux plantes médicinales, doit permettre aux résidents d’être au calme.

La Maison comprend six chambres, une cuisine, deux salons, une salle à manger. Et six cheminées. Elles ont toutes été découvertes lors des travaux et ont été préservées pour renforcer l’aspect chaleureux de la demeure. Sur une cheminée du séjour, une décoration gravée dans la pierre indique que la maison a dû appartenir à un franc-maçon qui avait le grade de compagnon. Dans le salon, les fleurs de lys sur une plaque de cheminée laissent à penser qu’un noble a occupé les lieux.

Des chambres équipées
Chaque chambre est équipée d’un lit, une commode, un fauteuil relaxant, une télé, un chevet réfrigéré, en plus d’un placard et d’une salle de bain.

« On vise un public seul, isolé, à la recherche de lien social. Je veux qu’à terme, les occupants vivent comme une famille. Et que chaque personne conserve son espace intime. On ne veut rien imposer, chacun garde sa liberté de choix », argumente Jacqueline Decultis qui a déjà enregistré plusieurs réservations grâce au bouche-à-oreille : un octogénaire tençois, une personne de Saint-Etienne et une autre de Saint-Chamond qui va se rapprocher de ses enfants. Gilbert a été le premier à réserver sa chambre. « J’ai un grand appartement à Tence qui est trop grand pour moi. J’étais prêt à quitter la région pour trouver une résidence seniors et cette opportunité s’est présentée. Célibataire et sans enfant, je suis quelqu’un de très indépendant. Cette maison va me permettre de rompre l’isolement tout en préservant mon autonomie. Je vais débarrasser la plupart de mes affaires et ne garder que l’essentiel. Quand je casserai ma pipe, je ne veux pas que ma famille soit embêtée. »

Une maîtresse de maison pour les résidents
L’une des particularités de la Maison de Marguerite est la présence d’une maîtresse de maison. Jacqueline Decultis va confier les clés de la vie intérieure à sa sœur, Marie-Hélène Huart. « Je viendrai chaque matin, après le petit-déjeuner, pour prendre le pouls, évaluer les besoins. Je préparerai le déjeuner et le dîner avec les résidents intéressés. » Une personne de l’ADMR prendra le relais le week-end pour ce poste de maîtresse de maison, ainsi qu’en semaine pour la partie ménage.

Un appartement spécial
On n’est pas au bout des surprises avec la colocation tençoise puisqu’un appartement avec deux chambres a été aménagé pour héberger temporairement les familles des résidents.

De bonnes ondes dans la maison
Jacqueline Decultis n’y croyait pas forcément mais des témoignages l’ont convaincu de faire venir un géobiologue. « Je voulais avoir son ressenti. » Elle n’a pas été déçue. « Une ligne de ley traverse la maison, elle est censée relier deux lieux importants, forts en énergies. On retrouve aussi des méridiens positifs qui donnent une belle énergie. Il y a aussi un vortex dans un salon, c’est un tourbillon qui indique que les personnes seront en harmonie.

Les tarifs de location
Le coût a été fixé à 1400 euros par mois. Ce prix comprend la location, les services (maîtresse de maison, blanchisserie, ménage…) ainsi que les repas. « Les locataires peuvent bénéficier de l’APL pour la partie loyer ou d’un abattement d’impôts. Et c’est moins cher qu’une maison de retraite », revendique la propriétaire.

Une campagne de financement participatif vient d'être lancé. Si vous souhaitez contribuer à ce projet, cliquez ici


Publié dans Actualités 2016
Le comité de jumelage Tence-Garrucha et Ciné Tence ont mis à l'honneur Paco de Lucia, un guitariste considéré comme le meilleur guitariste de toute l'histoire du flamenco, décédé en 2014.

Mardi, 105 collégiens sont venus au cinéma pour voir le film documentaire tourné par le fils de Paco de Lucia. A la sortie de la séance, le comité de jumelage a offert un chocolat chaud, de la brioche, des gâteaux et du pop-corn.

Le soir, environ 80 personnes étaient dans la salle pour visionner les photos de Barcelone ainsi que le documentaire. Entre les deux moments, le comité de jumelage a proposé un buffet agréable à l'oeil et délicieux pour les papilles avec tapas, charcuterie espagnole, vin espagnol et tortillas.
Publié dans Haut-Lignon
A l’initiative de Julien Melin, président de la communauté de communes, les élus du Haut-Lignon et les parlementaires ont rencontré trois représentants des agriculteurs du territoire (Michel Delolme, Jean-Julien Deygas et Jean-Pierre Roberton), afin qu’ils exposent leurs difficultés actuelles.

Dans un communiqué de presse transmis à notre rédaction, la communauté de communes indique que "ces agriculteurs ont exprimé les difficultés que rencontrent tous leurs collègues face à la crise du lait, aux normes importantes imposées en France et à la concurrence de certains pays européens".

Ils ont poussé un cri d’alarme face à cette situation qui met en péril bon nombre d’exploitations agricoles dans les semaines, mois et années à venir si des solutions ne sont pas trouvées.

Les élus ont affirmé leur attachement au secteur agricole, vecteur de la préservation du territoire et partenaire indispensable sur le volet touristique.

Les élus ont évoqué leur volonté de favoriser les circuits courts afin de consommer des produits locaux. Les élus ont prévu de transmettre ces informations par le biais des parlementaires.
Publié dans Haut-Lignon
Une pétition a été lancée par des utilisateurs de la ludothèque. Ils ont été reçus par Julien Melin, président de la communauté de communes du Haut-Lignon.

Un groupe de parents utilisateurs de la ludothèque intercommunale, implantée à Tence, viennent de lancer une pétition disponible dans la plupart des commerces tençois. "On entend des rumeurs sur une réorganisation de la ludothèque. On est inquiet. Nous avons envoyé un courrier à la communauté de communes. La pétition est un complément à ce courrier", raconte Céline Aioutz.

Le groupe s'est étoffé. "Nous étions cinq familles au départ. Puis des personnes ont voulu nous rejoindre." Céline Aioutz poursuit : "On veut être associé aux discussions sur l'avenir de la ludothèque. On sait que les finances sont délicates mais en tant que citoyens, on a le droit d'être informé."


Toute la culture va se serrer la ceinture
La ludothèque intercommunale, implantée à Tence dans les locaux de la médiathèque municipale, est ouverte deux jours par semaine. Une personne est employée pour animer ce service qui met à disposition des jouets, jeux de société et un espace de jeu. "On est attaché à ce service, je pense que les élus ne mesurent pas l'importance de cet outil sur le plan culturel."

Suite au courrier, une rencontre s'est déroulée mercredi soir avec Julien Melin, président de la communauté de communes, et Alain Debard, vice-président à la culture. La délégation a pu poser des questions et obtenir des réponses. "On nous a confirmé qu'une réorganisation de la ludothèque était à l'étude. Mais cela concerne tout le domaine culturel." Les postes non titulaires de l'école de musique pourraient être supprimés et les heures allouées pour les cours de guitare et de piano seraient réduites. Le centre de loisirs pourrait aussi perdre des postes. Quant à l'office de tourisme, il devrait se passer des CDD sur la période estivale en plus de la mise en place de l'annualisation du temps de travail des agents.


Un partenariat avec Val'Eyrieux
Des discussions sont en cours avec la communauté de communes Val'Eyrieux (Ardèche) pour mutualiser des moyens autour de la ludothèque. Les élus sont en attente de la réponse de la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) autour de la création d'un demi-poste commun aux deux collectivités. Cette collaboration permettrait à la ludothèque de se déplacer sur les deux territoires. Les heures d'ouverture à Tence seraient réduites.

Nous avons sollicité Julien Melin qui a confirmé une réflexion autour de la réorganisation de la ludothèque, s'appuyant sur des finances tendues et des aides de l'Etat encore revues à la baisse. "Il n'y aura pas de fermeture de la ludothèque", promet le président du Haut-Lignon qui a prévu de tenir prochainement une conférence de presse.
Publié dans Haut-Lignon
L'évêque du diocèse du Puy-en-Velay, Monseigneur Luc Crépy, est en visite pendant trois jours sur la paroisse de Tence. Voici le programme

Jeudi 3 mars
- 10 heures : accueil à l'église de Chenereilles et temps de rencontre
- 11 h 30 : visite d'un producteur de fruits rouges au Mas-de-Tence. Repas au Mas et temps de rencontre
- 14 h 30 : rencontre des collégiens de l'ensemble scolaire Saint-Martin à Tence
- 16 heures : messe à la maison de retraite de Tence

Vendredi 4 mars
- 9 heures : messe à Saint-jeures et temps de rencontre à la maison paroissiale
- 12 heures : repas à l'ensemble scolaire Saint-Martin
- 13 h 30 : rencontre des enfants du catéchisme de l'école Saint-Martin
- 15 heures : rendez-vous au Mazet
- 16 heures : rendez-vous au Chambon-sur-Lignon
- 17 heures : rencontre de la communauté protestante du Chambon-sur-Lignon. repas au Chambon
- 20 h 30 : rencontre des pénitents de Tence

Samedi 5 mars
- 9 h 30-11 heures : rencontre des enfants du catéchisme de l'école publique à la maison Saint-Jean à Tence
- 10 h 30-11 heures : rencontre des parents de ces enfants
- 11 heures : rencontre de l'action catholique des femmes en rassemblement à Tence
- 14 heures-16 h 30 : rencontre ouverte à tous salle Marie-Bonnet à Tence (sous la maison de santé)
- 17 heures : messe à l'église de Tence
Publié dans Haut-Lignon
mercredi, 02 mars 2016 08:51

Opération coup-de-poing dans les poubelles

Gendarmes et élus sont allés fouiller des poubelles jetées sur des plateformes de tri sélectif. Une dizaine de contraventions ont été dressées pour ces dépôts sauvages.

La semaine dernière, le Sictom Entre Monts et vallées a voulu frapper les esprits. Accompagnés de gendarmes, les élus sont allés sur plusieurs placettes où seul le tri sélectif est autorisé. Ils y ont trouvé des sacs poubelles posés devant les bacs et ont fouillé le contenu. Sur la trentaine de poubelles, une dizaine contenaient suffisamment d’informations pour remonter jusqu’à leur propriétaire. Lesquels ont dû recevoir par La Poste un procès-verbal de 22 euros.

« On fait face à des incivilités récurrentes », regrette Jean-Michel Eyraud, vice-président du Sictom. L’opération a débuté sur la place des Balayes au Chambon-sur-Lignon avant de se poursuivre chemin  du Chaperon-Rouge, à la Bruyère et au parking Chazot. Le cortège s’est aussi rendu à Tence, parking de la Lionchère, au Fieu, au carrefour de Chenereilles et au carrefour des quatre chemins.

« On veut marquer les esprits pour dire que ça ne se fait pas. Les dépôts sont récurrents, ce sont toujours les même personnes. Et en général, elles jettent leur poubelle loin de chez elles. »
Quant à savoir si de nouvelles opérations similaires auront lieu dans les semaines à venir, Jean-Michel Eyraud le laisse entendre.


Bacs à puce : où en est-on ?
La distribution se poursuit. Des zones sont plus en avance que d’autres. Les habitants du Pays de Montfaucon sont presque tous équipés (95 % de la population). Le Haut-Lignon avoisine les 80 % de distribution. Quant au plateau ardéchois et au Pays du Mézenc, les nouvelles poubelles attendent toujours d’être livrées puisqu’on oscille plutôt autour de 30 %.

Déchets sauvages : que risque-t-on ?
Le dépôt sauvage d’ordures ménagères est puni par l’article R 632-1 du code pénal.
Trois types d’amendes sont prévues : 22 euros quand le sac est déposé sur un lieu prévu pour la collecte du tri sélectif ; 68 euros quand la poubelle est retrouvée dans la nature, au bord de la route ou dans un bois par exemple ; et 450 euros si la personne est prise en flagrant délit.
Publié dans Haut-Lignon
Page 2 sur 2