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(Publi-reportage) Marion et Samuel Murand, éleveurs de brebis et de chèvres aux Vastres, ouvrent les portes de leur exploitation agricole les 14 et 15 août. Visites, dégustations et repas sont au programme.

Le jeune couple d’agriculteurs s’est installé en 2019 en créant la Bergerie du Vieux Moulin, entre les Vastres et Le Mazet-Saint-Voy. Dans leur exploitation, ils élèvent des brebis et des chèvres laitières. Ils transforment eux-mêmes leur lait en fromage et yaourt qu’ils vendent sur les marchés et dans des boutiques du coin pour valoriser le circuit court.

Les portes ouvertes de la Bergerie du Vieux Moulin auront lieu cette année le 14 et 15 août de 10 heures à 21 heures. À cette occasion, il sera possible de visiter l'exploitation et le laboratoire de transformation, mais aussi de déguster les produits qui seront également disponibles en vente directe.

Essayez-vous à la traite à la main

Tout au long de la journée, il sera possible de profiter d'un petit marché de producteurs et d'artisans mais aussi de balade à dos d'âne pour les enfants et du joli cadre de la ferme.

Et les plus téméraires pourront s’essayer à la traite à la main à partir de 18 heures.

Repas samedi et dimanche, midi et soir

En ce qui concerne la restauration, le visiteur pourra déguster des glaces au lait de brebis et des crêpes au lait de chèvre. Des repas locaux seront organisés midi et soir au prix de 10 euros, la réservation est fortement conseillée au 06 47 08 25 15.

Voir la page Facebook : https://www.facebook.com/labergerieduvieuxmoulin

Un avant-goût des portes ouvertes


Pour accéder à la bergerie

Publié dans Mézenc / Meygal

Locataire depuis un an, Gilles Gamon a relancé la fromagerie du Mazet-Saint-Voy et va devenir propriétaire. Outre la fabrication de bleu de chèvre et de brebis, la société va développer à la rentrée du lait stérilisé en bouteille.

Gilles Gamon sera-t-il celui qui va réussir à pérenniser l'activité de la fromagerie du Mazet-Saint-Voy? Cela semble être le cas alors que la structure a vu défiler plusieurs projets. Mais aucun des trois précédents gérants n'a réussi à tenir. Le gérant de la fromagerie du Val d'Ormèze, située à Gilhoc-sur-Ormèze (Ardèche), semble être en mesure de le faire et développe de nouveaux projets sur le Haut-Lignon.

Locataire depuis un an, il va passer la vitesse supérieure et acheter la structure à 150 000 euros à la communauté de communes.

Les fromages à la Biocoop, Naturalia, Satoris...

Gilles Gamon est un pionnier de l'agriculture biologique. Eleveur de brebis en bio depuis 1978, il a créé sa première fromagerie laitière en 1984 avant de fonder la fromagerie du Val d'Ormèze en 1998 avec deux de ses enfants : Blandine et Jean-Charles.

Aujourd'hui, la structure transforme 1 million de litres par an de lait de chèvre et de brebis. Les produits sont vendus surtout dans les réseaux spécialisés du bio : des grossistes, les magasins Biocoop, Naturalia ou encore Satoris.

Les mêmes champignons que le roquefort et le camembert

Entre 2 000 et 3 000 litres de lait passent chaque semaine au Mazet-Saint-Voy. Julien Juredieu, qui s'est installé avec sa famille à Saint-Jeures, a été recruté et formé pour devenir le fromager. L'atelier du Mazet-Saint-Voy permet de réaliser le fromage bleu avec les deux cuves de 750 lètres. "Pour faire le bleu, on met du penissilium roqueforti. C'est le même que pour le roquefort mais notre fabrication est différente. On est sur un fromage souple, un bleu doux. Et pour réaliser la croûte, on met du penissilium camembertii", raconte Blandine Gamon, fromagère.

Du lait stérilisé en bouteille à la rentrée

Si la remise en route de la fromagerie a été longue, tout est rentré dans l'ordre et le gérant peut désormais développer d'autres projets sur le territoire. Une ligne de conditionnement de lait stérilisé de chèvre est en cours d'installation. En septembre-octobre, 1 500 litres seront transformés chaque semaine. La seconde étape sera de produire du lait stérilisé de brebis.

Développer un réseau de collecte sur le plateau

L'objectif de Gilles Gamon est de recentrer la production de lait entre Haute-Loire et Ardèche. Pour l'heure, le lait de chèvre vient d'une tournée entre Ardèche, Loire et Drôme. Le brebis vient en partie de l'Isère et de la bergerie familiale de Gilles Gamon. Mais la grande partie est collectée en Aveyron. "ça fait 15 ans qu'on en parle. On veut développer le nombre d'éleveurs sur le plateau." Pour l'instant, le gérant a des candidats en chèvre ; 2 à Saint-Front, 1 à Montregard et un autre à Saint-Clément.

Les produits en vente à la halle fermière et dans une boulangerie

Si Gilles Gamon refuse de relancer la boutique de la fromagerie au Mazet, il a trouvé une solution : "On peut retrouver nos produits à la halle fermière et à la boulangerie Ferrapie au Mazet."

Publié dans Haut-Lignon
Une transhumance était organisée dimanche matin pour fêter la Noire du Velay. La fête se poursuit toute la journée à Paulhac, commune de Tence.

La brebis Noire du Velay est à la fête ce dimanche. Alors que le vent soufflait très fort, les randonneurs étaient très nombreux à suivre le troupeau de Max Grangeon. Les brebis étaient visiblement ravies de cette balade bucolique. Elles se sont empressées de sortir du bâtiment en bois où elles sont élevées au village de Paulhac, commune de Tence. Plusieurs centaines de personnes escortaient les brebis, toutes aussi nombreuses pour une transhumance de 8 km avec retour au point de départ.

Des animations sont prévues l'après-midi sur l'exploitation : chiens de troupeau, tonte des agnelles.


Reportage sur l'exploitation de Max Grangeon et la transhumance

Publié dans Loisirs 2016
La brebis noire du Velay, une race typique du Massif central, est en fête dimanche à Tence. L'événement se déroule chez Max Grangeon, éleveur à "Paulhac", commune de Tence. Ce village se situe au carrefour des communes de Tence, Le Mazet-Saint-Voy, Le Chambon-sur-Lignon et Saint-Jeures.

Voici le programme de la journée
9 heures : visite de la bergerie de Max Grangeon

9 h 30 : départ de la transhumance avec les brebis pour une randonnée de 8 km

10-16 heures : marché de producteurs de pays

11 h 30 : retour à la bergerie, visite commentée, apéritif

12 heures : casse-croûte près de la bergerie : terrine de Noire du Velay, saucisses grillées d'agneau, fromage du Velay, pomme, café (10 euros)

14 heures : animations autour des brebis Noires du Velay : chien de troupeau, tonte des agnelles

Contact : 06 88 02 96 32 ou 06 58 30 02 13
Publié dans Loisirs 2016
Grâce à une décision de justice, huit brebis ont trouvé refuge dans une famille d'accueil du secteur d'Yssingeaux. Elles sont les rescapées du charnier de 40 ovins découvert le 2 mars à Saint-Christophe d'Allier.

Les malheureuses reviennent de loin. Elles sont les rescapées d'un élevage de Saint-Christophe d'Allier dont le troupeau a subi une mortalité massive à cause d'une privation de soins, d'alimentation et d'abreuvement.


Les animaux se nourrissaient de leur litière
Lorsque les services vétérinaires sont intervenus, le 2 mars, à la suite d'une demande du maire de la commune, quarante cadavres en état de décomposition jonchaient le sol du bâtiment d'élevage et les alentours.

Huit ovins avaient réussi à survivre au milieu des cadavres de leurs congénères. Leur état de maigreur, leur laine piquée, ne laissaient aucun doute sur l'absence d'alimentation. Les bêtes en étaient réduites à se nourrir de leur litière accumulée. Les examens vétérinaires confirmaient qu'aucun signe clinique évocateur de maladie contagieuse pouvait expliquer la mortalité massive.


Deux précédents cas de maltraitance sur la même ferme
Consignées sur place en attendant la décision de retrait, les huit brebis ont été réalimentées convenablement et ont repris des forces. Le 16 mars une décision de retrait était adressée au propriétaire des animaux. Puis ces brebis ont été confiées, dans l'attente d'une décision de justice, à l'ACAMA (Association contre l'abandon et la maltraitance animale) du Mazet-Saint-Voy.

Selon nos informations, deux précédents cas de mortalité massive ont été à déplorer chez cet éleveur. En 2008, une collecte de 200 brebis par le service d'équarissage avait eu lieu sur cette exploitation ainsi qu'en 2013 pour 38 brebis. A l'époque, aucun signalement n'avait été fait auprès de la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations) de Haute-Loire.



L'Acama lance un appel aux dons de foin (des bottes carrées de préférence) pour ces brebis. Contacter le 06 28 33 02 20.
Publié dans Actualités 2016