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(Publi-reportage) Si l’on aime pédaler au frais sur des voies vertes boisés, escalader en toute sécurité des falaises escarpées, randonner en toute liberté sur des itinéraires balisés, se laisser porter par le courant d’une rivière sauvage traversant de magnifiques villages perchés, la Haute-Loire est l’endroit parfait !

C’est un terrain de jeu idéal pour les amateurs de sports de plein air que le Département soutient dans son développement. La collectivité accompagne les élus locaux et les comités sportifs dans la valorisation de leurs sites de pratique avec une ambition clairement affichée : faire de la Haute-Loire une destination incontournable des activités outdoor.

Brigitte Renaud, vice-présidente en charge du tourisme, de l’attractivité territoriale et des activités et sports de nature

De quelles manières le Département soutient les sports de nature ?

Nous intervenons à plusieurs niveaux.

Nous accompagnons les acteurs locaux (intercommunalités, communes, comités sportifs) dans l’élaboration technique et financière de leurs projets et dans leurs concrétisations. Par exemple pour un nouveau site d’escalade, un itinéraire pédestre ou cyclable…. Le Département et sa Maison Départementale du Tourisme (MDDT) accompagnent également les partenaires dans la valorisation de leurs offres.

Le Département travaille assidûment sur le sujet du vélo en ce moment ?

Effectivement, le Département construit actuellement avec ses partenaires un Schéma Départemental Cyclable. Par ailleurs le vélo est aussi au cœur des axes stratégiques du nouveau Schéma touristique. 43 boucles cyclos sont en construction. Ces dernières seront mises en valeur via un travel plan puis sur une application.

La randonnée pédestre est l’activité nature « vitrine » de La Haute-Loire. Il existe néanmoins d’autres pratiques plus confidentielles que la collectivité souhaite accompagner dans leur développement ?

Effectivement la randonnée, le trail et le VTT sont les sports phares mais il existe d’autres activités ou sports de nature qui sont en pleine expansion. Je pense à l’équitation, l’escalade, la plongée, le tir à l’arc, le vol libre ou encore la cani-rando. Nous avons tout intérêt à soutenir ces activités qui témoignent de la diversité de l’offre outdoor sur notre territoire. C’est une vraie plus-value pour nous.

200 000 €

C'est le budget alloué aux sports de nature en 2022

Rando(s)Haute-Loire : le top des applis de sports de nature

C’est l’application qu’il faut posséder si on aime randonner !

Rando(s) Haute-Loire est un topo guide numérique, accessible sur ordinateur ou smartphone, qui référence l’ensemble des circuits pédestres disponibles sur le territoire avec des informations précises sur la typologie du sentier sélectionné (durée, difficulté, dénivelé).

On pourra très bientôt y trouver des circuits VTT, vélos, des itinéraires équestres, des trails.

www.chemin-rando-hauteloire.fr

Petit tour d’horizon de l’offre sports de nature en Haute-Loire

Le vol en planeur

Voler comme un oiseau, vous en rêvez ! Il existe une activité qui fera de vous un homme ou une femme combl(é).

Le vol en planeur, sport aérien encore peu connu mais qui mérite le détour si vous cherchez une expérience unique et parfaitement sereine de vol.

Contact :  contact@planeursduvelay.fr ou 06 37 82 01 41

Le VTT

Le terrain en Haute-Loire est naturellement tracé pour la pratique du VTT et structuré avec pas moins de 10 espaces VTT labellisés FFC et Respirando.

Un record en France ! 

Et on peut même tenter un grand tour à VTT de la Haute-Loire avec la Grande Traversée de La Haute-Loire.

Contact : myhauteloire.fr

L'escalade

À vos mousquetons et baudrier !

La Haute-Loire offre une diversité de sites d’escalade à ne pas manquer.  14 précisément qui vous permettront de voir les paysages altiligériens autrement.

Contact : myhauteloire.fr

Le canoë kayak

Admirer la beauté des paysages altiligériens tout en voguant au fil de La Loire. Avec le canoë sur les Gorges de La Loire, vous pourrez admirer de beaux châteaux et faire des haltes méritées sur des plages de sables ou de galets. Souvenirs inoubliables garantis !

Contact : retrouvez l'ensemble des prestataires sur myhauteloire.fr

Le paddle

A la recherche d’une activité nautique qui se veut à la fois sportive et contemplative. Pourquoi ne pas essayer le paddle ? Vous pourrez ainsi pagayer mais en toute tranquillité, profitant calmement et à votre rythme des paysages alentours.

Contact : Base de Loisirs de Lavalette – La Chazotte - Lapte - 06 65 43 11 04

La communauté de communes du Haut-Lignon a abandonné le premier tracé du projet de voie verte entre Tence et Le Chambon-sur-Lignon. Un nouvel itinéraire a été imaginé qui respecterait la pente maximale de 3 % pour revendiquer le label. Mais la facture explose.

Les élus du Haut-Lignon n'ont pas abandonné leur projet de voie verte pour relier la Via Fluvia au Nord à Lavalette et la Dolce Via au Sud à Saint-Agrève. Le problème sur ce territoire, c'est que la voie ferrée reste utilisée par des trains touristiques et empêche d'emprunter ce parcours. Sur le précédent mandat, un cabinet avait planché sur le sujet et tronçonné le parcours en trois segments.

La priorité : Tence/Le Chambon

Les élus souhaitent débuter l'aménagement au milieu, entre Tence et Le Chambon-sur-Lignon, les deux plus gros centres touristiques du Haut-Lignon. Le premier projet utilisait la route touristique entre ces deux communes. Ce choix a été retoqué et un nouveau tracé a été étudié sur le papier, en partenariat avec l'association du Velay Express qui pourrait en profiter pour développer un service de transport grâce à un train suisse déjà en sa possession : les vélos et les passagers seraient transportés jusqu'à une gare et les usagers reviendraient sur leurs pas en vélo sur cette voie douce.

Un tracé de 9,5 km

Le nouveau tracé alternerait entre les sous-bois, des voies partagées avec des véhicules et le long de la voie ferrée. Il passerait au stade Jo Maso, sur la zone d'activités de Leygat, derrière le Carrefour Market, à Brulefer, Celle, Bois de Peybroussou, au Parc international Cévenol, dans le bois Lambert.

Cet itinéraire mesure 9,5 km dont près de 2 km de routes partagées. Un prolongement de pont sur sa largeur est à prévoir et des chemins sont à créer de A à Z au milieu des bois.

Des propriétaires à convaincre

80 propriétaires, dont certaines indivisions, sont à convaincre. Si l'investissement serait assuré par la com-com, l'entretien annuel reviendrait aux communes traversées. L'estimation est entre 600 et 1000 € le kilomètre par an, selon qu'on choisisse l'enrobé ou le stabilisé.

Le montant de l'investissement explose

Le premier projet était chiffré à 1 million d'euros, conforme à la moyenne des autres voies vertes. Cette nouvelle version monte à 1,5 million d'euros. A quoi il faut ajouter les frais d'acquisition foncière et frais de notaire (montant non évoqué), les frais du bureau d'études (144 000 €), les aménagements paysagers, panneaux, signalétique et mobilier (121 000 €). Une première demande de subvention va être formulée à la Région.

Christian Ouillon, élu de Saint-Jeures, regrette de se focaliser sur ce projet alors qu'un pont tibétain avait été évoqué au-dessus de Lavalette. "Ce serait bien de pouvoir comparer. Et on commence au milieu de nulle part."

Quelles retombées économiques ?

Nancy Epalle-Saby, directrice de l'office de tourisme : "Riotord-Montfaucon avait aussi commencé au milieu de nulle part. Ils y sont arrivés. C'est un projet à voir à long terme." Et d'argumenter sur les retombées économiques. Une étude sur la Dolce Via en Ardèche a fait ressortir le chiffre de 12 000 € par kilomètre et par an.

Au final, les élus ont voté à l'unanimité en faveur de cette proposition de tracé.

La 2e édition de Run For Cambodge revient le dimanche 4 juin sur le tracé de la voie verte. Une nouvelle distance permet à la course de devenir un semi-marathon.

Les courses à pied sur les voies vertes sont à la mode. C'est d'ailleurs l'épreuve de Dunières qui a donné l'idée à Jessica Lacombe de proposer une telle course à Brives-Charensac, lieu de départ de la voie verte qui relie Brives à Costaros sur l'ancienne voie de chemin de fer. Le dénivelé n'excède jamais 2 % et le sol est en sable, moins dur que le bitume pour les articulations.

Après la 1re édition de Run For Cambodge à laquelle avaient participé 150 personnes dont 90 coureurs en 2016, l'association Education Solidarité Cambodge renouvèle l'épreuve dimanche 4 juin.

Avec quelques nouveautés à la clé. Outre la distance des 10 km, les coureurs peuvent s'engager sur 21 km. Deux courses enfants feront 1 et 3 km. Les randonneurs pourront aussi emprunter les deux circuits de 10 et 21 km.

"C'est un bon entraînement avant le Grand Trail de Saint-Jacques", suggère Bruno Courcelle, président d'Education Solidarité Cambodge, une association créée en 2008 et qui se mobilise au profit des écoles cambodgiennes.

Le palmarès sera forcément renouvelé cette année. Thibault Imbert avait bouclé les 10 km en 34'33 mais sera absent cette année. Il avait devancé Richard Chausse et Laurent Cartal.

Baptiste Massin, coach sportif sur le bassin du Puy-en-Velay, proposera bénévolement ses services avec des animations pour enfants, du massage bien-être (il est formé en massage thaï) et réalisera un échauffement pour les coureurs avant le départ.

Le programme du 4 juin

9 heures : départ 21 km (15 euros)

9 h 30 : courses enfants (gratuit)

10 heures : départ 10 km (8 euros)

9 heures à 12 heures : départs de la randonnée (8 euros)

Pour s'inscrire, cliquez ici

Les travaux étaient stoppés au pont métallique du "Pont de l'Enceinte". Ils vont pouvoir reprendre suite à un accord trouvé avec des propriétaires pour échanger des terrains.

Au fil des années, certaines parcelles de l'itinéraire de l'ancienne voie de chemin de fer étaient tombées dans le domaine privé. Dans le cadre de l'aménagement de la voie verte, empruntant l'ancienne voie de la Galoche, les collectivités ont parfois dû s'adapter ou prendre leur mal en patience pour trouver une solution.

A La Chapelette, on rabote la paroi rocheuse

C'est particulièrement le cas à Grazac. A La Chapelette, une partie de l'ancienne voie de chemin de fer appartient à des propriétaires privés. Des bâtiments ont même été construits sur l'ancien passage des rails. La solution trouvée a été de raboter la paroi rocheuse pour élargir la route et permettre le passage des piétons et cyclistes.

Un échange de terrains au Pont de l'Enceinte

Au Pont de l'Enceinte, deux terrains appartiennent à plusieurs membres de la famille Sarda. Un accord a été trouvé autour d'un échange de parcelles. La commune de Grazac achète un terrain près de l'entreprise Sopil pour permettre à l'entreprise Sarda de stocker des pierres. En échange, elle récupère deux terrains d'environ 1000 m2.

Les promeneurs vont cohabiter avec chèvres et moutons

Sur l'un de ces deux terrains, des moutons et des chèvres continueront à occuper le site. Les promeneurs cohabiteront avec ces bêtes et un passage canadien sera mis de chaque côté, ce qui permettra aussi de se passer de barrières conventionnelles.

Le passage canadien est un système de barrières rondes métalliques installées au sol. La plupart des animaux sont effrayés par cette structure qu'ils ne connaissent pas et le vide qui est dessous. Ils ne franchissent généralement pas l'aménagement.

Fin des travaux à l'automne

Les travaux d'aménagement de la voie verte devraient ainsi pouvoir reprendre avant l'été entre le pont métallique et la Chapellette pour une livraison à l'automne. Au niveau de la Chapelette, le passage en contrebas du viaduc va bénéficier d'un bitume coloré.

"Entre Yssingeaux et Grazac, ce sera l'un des plus beaux itinéraires", estime Hervé Gaillard, maire de Grazac.

La dernière tranche de travaux pour relier Saint-Agrève à la Dolce Via démarrera à l’automne.

La Dolce Via totalise aujourd’hui 80 km linéaires entre Saint-Laurent du Pape et Intres. Les travaux de connexion à la Via Rhôna à La-Voulte-surRhône seront programmés dès cet été. La dernière tranche de travaux pour relier Saint-Agrève démarrera à l’automne.

Le plan d’action 2017, commun aux trois collectivités partenaires pour cette voie verte qui fédère sur son tracé l'Agglomération de Privas, Val’Eyrieux, le Pays de Lamastre, a été validé par le comité d’itinéraire en mairie d’Intres. Il s’agissait également de faire découvrir aux membres du comité le nouveau tronçon aménagé entre Saint-Julien-Boutières et Intres.

Bientôt un site Internet

Sur le volet communication, l’année sera marquée par la conception d’un nouveau site Internet dédiée à la Dolce Via, qui devrait permettre d’accroître son attractivité. Il devrait être opérationnel pour le printemps 2018. Un nouveau dépliant promotionnel, en cours de réalisation, sera aussi édité d’ici quelques semaines et disponible dans les offices de tourisme.

D’autres actions concernent également le volet infrastructures, avec  le déplacement de deux éco-compteurs et le suivi des chiffres de fréquentation, et l’équipement de la voie en signalétique.

La poursuite du déploiement de "Accueil Vélo"

Enfin, le déploiement de la marque Accueil Vélo se poursuivra en partenariat avec l’Agence de développement touristique de l’Ardèche et un travail sera mené autour du développement de l’offre de transport (bagages, vélos, personnes).

Vendredi matin, plusieurs élus de la communauté de communes du Haut-Lignon, la directrice de l'Office de tourisme et un responsable de la Maison du tourisme se sont donnés rendez-vous à Chenereilles. De là, la délégation a enfourché des vélos à assistance électrique pour tester le futur tracé de la voie verte qui doit partir de Lavalette pour rejoindre l'Ardèche.

Sur le territoire de Chenereilles, un pont tibétain doit être réalisé pour passer sur le Lignon et donc le lac de Lavalette. De là, le tracé emprunte Chenereilles, Tence, Le Chambon-sur-Lignon pour rejoindre Saint-Agrève, soit directement, soit par Devesset et ainsi rallier l'autre lac majeur des environs qui vient de bénéficier de chouettes aménagements permettant d'en faire le tour.

Un pont tibétain sur le lac de Lavalette

Pour mieux se faire une idée, la journée de vendredi était réservée à cette balade bucolique et studieuse de 20 km au guidon de vélos électriques. Un moyen d'appréhender la sécurité, prendre conscience des dénivelés et éventuellement envisager les aménagements à prévoir sur le projet initial.

Cette voie verte, qui ne prendra pas le tracé de la voie de chemin de fer encore utilisée, doit permettre de faire le lien entre la Via Fluvia du côté de Lapte, et la Dole Via en Ardèche.

Un projet à 2 millions d'euros jusqu'en 2022

Le chantier se découpera en trois tranches : Chenereilles-Tence, Tence-Le Chambon et Le Chambon-Ardèche. Après les études en 2017, l'axe Tence-Le Chambon-sur-Lignon devrait être la première phase réalisée des travaux en 2018.

Ce projet de voie verte, sur 20 km, devrait être mené jusqu'en 2021-2022. En ce qui concerne le coût, une voie verte coûte approximativement 100 000 euros du kilomètre. Il faudra compter au moins 2 millions d'euros.

Le procédé a été testé ces dernières semaines avant l'entrée de Montfaucon-en-Velay. Et il semble que la technique est concluante et efficace. Mercredi, des peintres de la société ASP, spécialisée dans la signalisation routière et installée à Saint-Pierre-Eynac, ont réalisé le marquage de la traversée de la voie verte au niveau de "Lachaud" sur la commune de Lapte, entre Yssingeaux et Montfaucon.

Sur cette route départementale où la vitesse est limitée à 70 km/h, le passage des marcheurs et cyclistes peut s'avérer délicate. Pour renforcer la sécurité et inciter les automobilistes à lever le pied, un large carré rouge a été peint au sol avec des bandes également rouges de chaque côté.

Jean-François Gamond a de la suite dans les idées. Ce Laptois a eu l'idée de fabriquer sa propre rosalie pour pratiquer en balade en famille sur la voie verte. Ce menuisier de métier habite justement au bord de la piste cyclable. "J'ai eu l'idée quand ils ont goudronné. Je me suis dit que ça amuserait mes deux filles", sourit le concepteur.

"J'ai acheté quatre vélos à 25 euros. Plus 20 euros de câblage. Ça m'a coûté 120 euros au total", chiffre le bricoleur de cette rosalie fait maison. Et il n'a procédé à aucune soudure pour relier les quatre vélos. Quelques barres, des boulons et une bonne dose d'ingéniosité. "Une rosalie fait autour de 100 kg et n'a que 3 vitesses. Ma rosalie pèse 50 kg et dispose de 6 vitesses. On peut pédaler à deux."

La communauté de communes veut profiter du passage de la voie verte à proximité de son territoire pour aménager un tracé similaire sur le Haut-Lignon, long de 20 km. Avec notamment un pont tibétain pour enjamber le Lignon près de Lavalette.

Le Haut-Lignon veut aussi sa voie verte. Mais à l'inverse des autres collectivités qui ont repris le tracé des voies de chemin de fer, la collectivité doit trouver un autre chemin, les rails étant encore utilisés par le train touristique pendant plusieurs mois de l'année.

Rejoindre la Via Fluvia à Lapte

La communauté de communes semble avoir trouvé une solution pour disposer d'une voie verte qui traverserait son territoire : elle va emprunter des chemins et utiliser une partie des routes, comme entre Tence et Le Chambon-sur-Lignon via la route pittoresque.

Des contacts ont été pris avec le Pays des Sucs et le syndicat mixte de Lavalette pour aménager la jonction entre la Via Fluvia et le début de la voie verte du Haut-Lignon, à Chenereilles.

Un pont tibétain sur le Lignon

Pour passer le Lignon, un pont tibétain, une passerelle suspendue, serait posé au début de Lavalette. Le parcours oscillerait entre partage de voirie et espaces réservés aux piétons et engins non motorisés, jusqu'à la limite avec l'Ardèche, c'est-à-dire la gare de Devesset, au "Champ d'Astier".

Le projet prévoir le passage dans les différents bourgs de Chenereilles, Tence et Le Chambon-sur-Lignon ainsi qu'une refonte de la route pittoresque entre Tence et Le Chambon-sur-Lignon pour permettre l'aménagement d'une piste piétonne et cyclable. La largeur de la route étant réduit, les véhicules ne pourront pas toujours se croiser et des priorités seront signalées.

Première tranche en 2018

Après les études en 2017, cet axe Tence-Le Chambon-sur-Lignon devrait être la première tranche des travaux, à mener en 2018, ce qui pourrait profiter aux touristes du village vacances de Tence.

Ce projet de voie verte, sur 20 km, devrait être mené jusqu'en 2021-2022. En ce qui concerne le coût, une voie verte coûte approximativement 100 000 euros du kilomètre. Il faudra compter au moins 2 millions d'euros.

Dimanche matin, 73 coureurs ont pris le départ de la course de 15 km entre la gare de Raucoules et le chalet de Riotord, sorte d'inauguration de la voie verte au Pays de Montfaucon, terminée depuis six mois et comptant au total 22 km.

Noël Sanial, de Lapte, s'est adjugé sans souci cette course hors-stade (voir le compte-rendu)