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samedi, 26 mars 2016 17:53

Conseil municipal du Chambon-sur-Lignon

Le prochain conseil municipal du Chambon-sur-Lignon aura lieu le mercredi 30 mars à 20 heures à la mairie du Chambon.
Publié dans Brèves 2016
Le club de ball trap du Chambon-sur-Lignon rouvre son stand ce week-end. Daniel Gravier, dit Dan's, le président depuis 1982, et tous les bénévoles sont prêts à accueillir les amateurs de cette discipline de tir sportif.

L'association, qui existe depuis 1976, a installé ses structures sur 3 hectares au milieu des bois, sur la route du golf, en face de l'auberge Chez Léon. Une vingtaine d'amateurs viennent s'adonner à leur passion chaque samedi et dimanche de 18 à 20 heures. L'été, le stand de tir est accessible tous les jours de 18 à 20 heures, sauf le lundi et le jeudi. Plusieurs disciplines sont proposées : fosse américaine, rabbit, parcours de chasse dans les bois et sanglier courant.

La carte de membre revient à 20 euros pour l'année. On peut se procurer des cartouches sur place (6 euros les 25) et des pigeons en argile (6 euros les 15). Pour les débutants, le club propose des initiations avec prêt du fusil. Il en coûte 11 euros les 5 pigeons et les 10 cartouches.

Contact : 06 06 88 14 52.
Publié dans Haut-Lignon
SAMEDI

A la Forteresse de Polignac
Trois parcs seront aménagés en fonction des diverses tranches d’âges : un parc pour les enfants jusqu’à 3 ans, un pour les 4-6 ans et le reste du terrain de la forteresse pour les plus grands jusqu’à 12 ans.
Une surprise pour les enfants qui retrouvent des galets en or.
Concours de dessin. Les auteurs des créations les plus originales seront récompensés.
Il est possible de réserver ses billets au Point Info Tourisme de Polignac jusqu’au vendredi 25 mars. Les détenteurs des préventes seront prioritaires.
Samedi de 10 à 17 heures.
Tarif : 2 euros par personne
Contact : 04 71 04 06 04


DIMANCHE

Dans le Parc Cévenol au Chambon-sur-Lignon
La chasse aux oeufs est ouverte de 9 à 12 heures et de 15 à 18 heures sur le site de l'ancien Collège Cévenol au Chambon-sur-Lignon, sur le nouveau parcours de santé. Des balades en chiens de traîneau, des promenades en calèche, un goûter et un atelier dessin seront aussi proposés.
Dimanche de 9 à 12 heures et de 15 à 18 heures
Tarif : gratuit.
Contact : 06 98 02 71 95

Au château d'Artias à Retournac
Les Amis d'Artias proposent une chasse aux oeufs au château. Rendez-vous à 14 h 30 précises
Tarif : 3 euros par enfant

Au château de Rochebaron à Bas-en-Basset
La chasse aux œufs de Pâques aura lieu le dimanche 27 mars au château de Rochebaron à Bas-en-Basset.
Durant l'animation, les visiteurs auront accès à la volerie qui présente actuellement une douzaine d'oiseaux.
La billetterie se tiendra le jour même au château.
Dimanche de 14 à 18 heures
Tarif : 6 euros 16 ans et plus, 3 euros pour les 6-16 ans, gratuit pour les moins de 6 ans.


DIMANCHE ET LUNDI

Au château de La Rochelambert à Saint-Paulien
Le château de La Rochelambert organise une chasse aux œufs
Dimanche 27 et lundi 28 mars à partir de 14 h 30.
Trouvez l’œuf en or et gagnez une surprise.
Pour tous renseignements : 04 71 00 48 99
Dimanche et lundi de 14 h 30 à 17 heures
Tarif : 2 euros


Et aussi

L'Ecole du vent à Saint-Clément (samedi, dimanche et lundi de 14 à 17 heures), au plan d'eau de La Séauve-sur-Semène (lundi), au camping de Saint-Didier-en-Velay (samedi à 14 heures), au Musée de la faulx à Pont-Salomon (samedi à 14 heures, 4 euros la boite, 6 euros les deux), à la gare de Lamastre (dimanche à 13 h 45, 4 euros, retour à 15 h 30)
Publié dans Loisirs 2016
(Publi-reportage) Le Collège du Lignon au Chambon-sur-Lignon accueille les élèves en difficultés scolaires de Haute-Loire et d’Ardèche dans une classe spécialisée, à l’effectif adapté.

Les inscriptions sont ouvertes au Collège du Lignon. Parmi les nombreuses possibilités offertes par cette structure à taille humaine, Claude Schaff et son équipe d’enseignants accueillent les collégiens en difficultés en Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté), de la 6e à la 3e. L’établissement dispose d’une expérience reconnue pour accompagner les enfants qui ont décroché ou qui éprouvent des difficultés.

Ils suivent le même programme, mais de façon allégée. « La seule porte fermée, c’est le bac général », convient le directeur du collège, tout en listant le large panel de formations professionnelles ouvertes aux jeunes. « Des formations sont même réservées aux élèves issus de 3e Segpa. Je pense notamment au CAP agent polyvalent de restauration qui est proposé à Yssingeaux. »


12 élèves maximum pour un suivi personnalisé
La force de la Segpa se situe dans la découverte immédiate de métiers. Six stages sont réalisés dans cinq métiers différents en 4e et 3e. Pendant quatre ans, les adolescents pratiquent chaque semaine des activités des métiers de la restauration, du bâtiment, de l'environnement… Ce qui représente entre 6 et 9 heures sur 26 heures de cours. C’est un aspect important du dispositif qui participe à réconcilier ces jeunes avec l’univers scolaire.

Qui plus est, les effectifs sont adaptés avec 12 élèves maximum par classe. Et le nombre d’enseignants correspond aux besoins. Ces collégiens n’ont pas plus de six professeurs pour l’ensemble des matières scolaires et des ateliers. Ce qui permet un suivi personnalisé au quotidien. Les cours sont répartis sur quatre jours. Il n’y a pas classe le mercredi.


Des jeunes de Haute-Loire et d'Ardèche
Ces jeunes préparent un diplôme. Au Chambon-sur-Lignon, ils peuvent même en présenter deux : le certificat de formation générale (100 % de réussite) et le brevet du collège option professionnelle. Ce dernier est une nouveauté depuis 2014-2015. Trois élèves ont souhaité passer l’examen l’an dernier, deux ont décroché le diplôme. Cette année, les 12 élèves de 3e, très motivés, sont candidats.

Le collège du Chambon-sur-Lignon offre aussi la possibilité aux Ardéchois d’être scolarisés ici. Une opportunité d’autant plus facilitée par le ramassage scolaire qui existe entre le plateau de Saint-Agrève et Le Chambon.

Contacts

Téléphone : 04 71 65 82 90

Publié dans Actualités 2016
lundi, 21 mars 2016 23:05

Un panneau... surprenant

Décidément, Le Chambon-sur-Lignon regorge de merveilles en ce qui concerne les panneaux de signalisation. Alors que nous vous avions présenté il y a quelques semaines un panneau original sur le parking du collège du Lignon, voici qu'un panneau tout neuf a été décoré au village du "Crouzet".

Vous pouvez l'apercevoir sur la route touristique, entre Le Chambon-sur-Lignon et Tence. Dans ce village, les riverains réclamaient un panneau de limitation de vitesse. Ils ont été entendus mais pas satisfaits puisqu'il est indiqué que la limitation est de "70". Mécontent, un riverain a décidé de coller des lettres dans le sens circulaire pour marquer sa surprise devant un panneau qui ne limite pas la vitesse à "50", voire moins.

Si vous aussi, vous disposez d'une photo insolite, vous pouvez l'envoyer accompagnée des renseignements à l'adresse suivante : redaction@lacommere43.fr
Publié dans Insolite
De nouvelles économies doivent être trouvées par les élus. L'année 2016 s'annonce encore très serrée avec l'espoir de sortir dans un an du réseau d'alerte et de pouvoir retrouver des ambitions politiques en terme d'investissements.

Les élus de la communauté de communes du Haut-Lignon ont voté le budget 2016 ce mercredi soir au Mazet-Saint-Voy. Ce regard financier sur les douze prochains mois laisse apparaître de nouvelles pistes d'économies sur le fonctionnement de la collectivité et des recettes supplémentaires afin de retrouver de l'autofinancement, c'est-à-dire de pouvoir investir sans passer par l'emprunt.


Sans autofinancement, pas de projet
Pour l'heure, le Haut-Lignon est toujours dans une situation financière tendue. "Il faudrait 250 000 euros minimum d'autofinancement. Là, on a zéro même si la situation budgétaire s'est améliorée entre 2014 et 2015", évoque Pierre Garnier, le directeur de la communauté de communes, lors d'une conférence de presse précédant le conseil communautaire. "On fait du bricolage, on mendie des subventions. On n'a pas le beau rôle, on doit faire des choix pour retrouver des couleurs", complète Julien Melin, le président.
La com-com du Haut-Lignon est placée en réseau d'alerte depuis deux ans. Les conseillers communautaires de Tence, Le Chambon-sur-Lignon, Le Mazet-Saint-Voy, Saint-Jeures, Le Mas-de-Tence et Chenereilles doivent faire des choix. "Le problème ne vient pas de l'endettement. Le problème, ce sont les frais de fonctionnement. On est une "com-com" de services et ces services ont un coût", cadre Bernard Cotte, maire du Mazet-Saint-Voy.


Hausse de la taxe sur les ordures ménagères
Jérôme Ancelin, comptable public au centre des Finances publiques de Tence, est encourageant et dit facilement "on" quand il parle des orientations prises. "On a diminué les dépenses et on augmente petit à petit les recettes. Les décisions de 2015 commencent à porter leurs fruits. Il faut poursuivre ces efforts, continuer à baisser les charges et augmenter les recettes. Le Haut-Lignon est à la limite pour ne plus être dans le viseur de la préfecture. Si on continue sur cette voie, dans un an, on sort du réseau d'alerte."
Pour Julien Melin et le bureau de la "com-com", il est hors de question d'augmenter les impôts. 2015 avait déjà connu une hausse de 1,5 point sur le foncier bâti. Les trois traxes restent identiques. Seul le taux de la taxe sur les ordures ménagères passe de 10,05 à 11 %.


Un "budget de survie" à l'école de musique
Alors, des coupes budgétaires ont été proposées dans les services. L'école de musique, si elle est maintenue, verra une baisse de 20 heures de sa dotation. "Chaque élève coûte 1000 euros", chiffre Julien Melin. Il s'agit de faire une économie de 40 000 euros sur un budget de 150 000 euros. "On préfère réduire que tout supprimer." Pour David Salque-Pradier, conseiller municipal de l'opposition à Tence, la mesure risque de mettre en péril la structure à moyen terme." Pour Thierry Reynaud, le directeur, appelé à s'exprimer mercredi soir, "il s'agit d'un budget de survie, squelettique."


1100 signatures pour la pétition sur la ludothèque
La ludothèque doit aussi être remodelée, ce qui n'est pas du goût des utilisateurs qui ont récolté 1100 signatures. La pétition a été remise à Julien Melin lors du conseil communautaire. Le projet est d'associer les moyens avec Val'Eyrieux dans le cadre d'un possible "Contrat territoire lecture" qui serait subventionné en grande partie par la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). En clair, l'ouverture de la ludothèque à Tence passerait de 2 jours à 1 jour par semaine mais la ludothécaire se déplacerait dans les communes du territoire. Le projet prévoit la création d'un demi-poste supplémentaire sur trois ans. "La ludothèque nous coûte actuellement 36 000 euros par an. Avec ce partenariat, on n'aurait à débourser que 7 500 euros", argumente Julien Melin. "Ces services, on ne pourra plus se les payer. On n'a plus le choix. Et on ne peut pas augmenter les impôts", intervient André Duboeuf, le maire de Saint-Jeures.
Publié dans Haut-Lignon
La Ferme du Pont de Mars, au Chambon-sur-Lignon, produit des cochons d'exception. La viande de ces bêtes élevées en plein air a séduit de grands chefs, comme Régis et Jacques Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid.

Quand vous débouchez sur leur domaine, vous n'en croyez pas vos yeux. Dans des parcs, les bois, ils gambadent, pataugent, s'ébrouent, fouillent le sol avec leurs groins. En plus, ils ont des dégaines incroyables. Voilà des cochons noirs, d'autres tachetés, certains sont revêtus d'une toison laineuse. Il y a les Corses, les Duroc d'Espagne, les Mangalitza de Hongrie et des portées métissées.
Ils vous observent puis retournent vaquer à leurs occupations de cochons bienheureux, au quotidien très éloigné de celui de leurs congénères parqués dans de sordides élevages intensifs. Car les cochons de la ferme du Pont de Mars sont nés sous une bonne étoile. Elevés en plein air sur une exploitation de 7 hectares située sur le territoire du Chambon-sur-Lignon, chaque adulte dispose de 100 m2. Ils ne subissent pas les mutilations imposées dans les élevages concentrationnaires : l'ablation des dents et de la queue.


Une reproduction naturelle

Ici, pas d'insémination artificielle non plus. La reproduction est naturelle et la mise bas se déroule au fil des saisons, en extérieur. Le sevrage se fait à 7 semaines, au lieu de 3 en élevage industriel. De petits abris aménagés pour rester hors gel préservent les jeunes des rigueurs de l'hiver. Car la ferme du Pont de Mars est perchée à 1100 mètres.

Les animaux dénichent leur alimentation dans les bois, les prairies qu'ils parcourent à loisir. Les apports complémentaires sont à base de blé, orge, graines de lin et châtaignes d'Ardèche. Pour s'occuper de ce petit monde (une quarantaine de truies, des mâles reproducteurs et les portées), un couple de jeunes exploitants : Loren Martel et Maxime Allirand. Ils ont réalisé ici leur rêve grâce à Régis Finot et Bertrand Suchet, gérants commerciaux de l'affaire.
La ferme du Pont de MarPlus d'infos ici


Une viande d'exception sur des tables d'exception

Les races sont sélectionnées pour leur croissance lente qui préserve la qualité gustative de la viande. Car les cochons de Mars finissent tout de même dans une assiette. Sur de belles tables, dont certaines sont étoilées, à Paris particulièrement et en Haute-Loire aussi.

Ces cochons de lait et porcelets sont servis par Jacques et Régis Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid. Cet automne, ce produit était présenté au menu à 128 euros, "Le Vellave", en "Couci couça de cochonnet cuisiné aux champignons, légumes et purée forestière." Pour Jacques Marcon, "pouvoir se procurer un produit pareil à deux pas de chez nous, c'est parfait." Les infos ici

Et par Rémy Michelas, le chef du Bourbon à Yssingeaux qui glisse ce met d'exception ponctuellement dans son menu à 53 euros. "Je le cuis entier longuement à température douce. Tout est bon alors à manger. Le gras est fondant. C'est un produit exceptionnel. Lorsque je vois revenir le gras dans les assiettes, je m'insurge! Tout est bon dans le cochon de Mars!" (voir le Bourbon en cliquant ici)

Publié dans Actualités 2016
mercredi, 02 mars 2016 08:51

Opération coup-de-poing dans les poubelles

Gendarmes et élus sont allés fouiller des poubelles jetées sur des plateformes de tri sélectif. Une dizaine de contraventions ont été dressées pour ces dépôts sauvages.

La semaine dernière, le Sictom Entre Monts et vallées a voulu frapper les esprits. Accompagnés de gendarmes, les élus sont allés sur plusieurs placettes où seul le tri sélectif est autorisé. Ils y ont trouvé des sacs poubelles posés devant les bacs et ont fouillé le contenu. Sur la trentaine de poubelles, une dizaine contenaient suffisamment d’informations pour remonter jusqu’à leur propriétaire. Lesquels ont dû recevoir par La Poste un procès-verbal de 22 euros.

« On fait face à des incivilités récurrentes », regrette Jean-Michel Eyraud, vice-président du Sictom. L’opération a débuté sur la place des Balayes au Chambon-sur-Lignon avant de se poursuivre chemin  du Chaperon-Rouge, à la Bruyère et au parking Chazot. Le cortège s’est aussi rendu à Tence, parking de la Lionchère, au Fieu, au carrefour de Chenereilles et au carrefour des quatre chemins.

« On veut marquer les esprits pour dire que ça ne se fait pas. Les dépôts sont récurrents, ce sont toujours les même personnes. Et en général, elles jettent leur poubelle loin de chez elles. »
Quant à savoir si de nouvelles opérations similaires auront lieu dans les semaines à venir, Jean-Michel Eyraud le laisse entendre.


Bacs à puce : où en est-on ?
La distribution se poursuit. Des zones sont plus en avance que d’autres. Les habitants du Pays de Montfaucon sont presque tous équipés (95 % de la population). Le Haut-Lignon avoisine les 80 % de distribution. Quant au plateau ardéchois et au Pays du Mézenc, les nouvelles poubelles attendent toujours d’être livrées puisqu’on oscille plutôt autour de 30 %.

Déchets sauvages : que risque-t-on ?
Le dépôt sauvage d’ordures ménagères est puni par l’article R 632-1 du code pénal.
Trois types d’amendes sont prévues : 22 euros quand le sac est déposé sur un lieu prévu pour la collecte du tri sélectif ; 68 euros quand la poubelle est retrouvée dans la nature, au bord de la route ou dans un bois par exemple ; et 450 euros si la personne est prise en flagrant délit.
Publié dans Haut-Lignon
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