Afficher les éléments par tag : insolite

Ce mercredi, un jeune chevreuil a été sauvé alors qu'il s'était coincé le bassin dans les barreaux de fer entourant une tombe au cimetière de Monistrol-sur-Loire.

Léa pratique la gymnastique à Monistrol. Au gymnase du centre-ville, avec ses amies, elle a été alertée par les cris d'un animal. Elle s'est dirigée jusqu'à la source et a découvert un jeune chevreuil prisonnier des barreaux autour d'un monument funéraire. Son arrière train était coincé et l'animal sauvage ne pouvait se dégager seul.

Léa prévient aussitôt son père, Jérôme, agriculteur à la Gare à Bas-en-Basset. Accompagné de son apprenti Emeryck, il est parvenu à secourir la bête. Pendant que l'apprenti maintenait la tête du faon, Jérôme s'est chargé de dégager le corps des barreaux.

Sans demander son reste et désormais libéré, l'animal s'est dirigé directement vers le ruisseau en contrebas du cimetière. Tout se finit bien pour l'animal qui a repris sa liberté !

Un convoi très exceptionnel vient de passer au Puy-en-Velay !

Franck, un pèlerin parti de Boën-sur-Lignon dans la Loire il y a quelques jours, était de passage dans la cité ponote pour un périple jusqu'à Saint-Jacques de Compostelle.

Avec lui, il est accompagné par ses 3 animaux de compagnie : Plume, sa chienne, Pasqualina la chèvre et Jiji le bouc nain.

Mercredi 25 novembre, un décor insolite a pris forme à la papeterie Roux, zone de Chatimbarbe à Yssingeaux. Pierre Soyère de la Compagnie Bonnes Intentions a investi les lieux à l'approche des fêtes de Noël.

Il indique qu'il aura fallu 12 heures de gonflage, 4 heures de lustrage et pas moins de 800 ballons pour assurer la bonne réalisation de cette aérienne décoration suspendue au plafond et représentant des sapins, des cadeaux et des flocons de neige. Celle-ci est visible jusqu'au 24 décembre.

A noter que les ballons utilisés pour cette installation sont en latex. Le latex issu de la sève d'hévéa est 100 % biodégradable.

Pierre Soyère : bonnes.intentions.pierrr@gmail.com ou 06 95 26 88 86

Pour en savoir plus sur la compagnie et découvrir toutes les facettes de leurs talents : www.ciebonnesintentions.org

Extrait du spectacle "Petit Bleu et petit jaune"

The in'flaot heads

Marie-Françoise Delettre, éleveuse de chèvres du Massif Central, a récemment accueilli deux nouveaux chevreaux, dont l'un est né non pas dans l'utérus mais au milieu des intestins. Une naissance tout à fait exceptionnelle.

La nature est parfois extraordinaire. Marie-Françoise Delettre est éleveuse de chèvres du massif Central à "La Chazotte" aux Vastres, près de la route entre Fay-sur-Lignon et "Malagayte" au Mazet-Saint-Voy. Chaque année, elle participe au défilé de la fête de Saint-Front et à celui du Mazet-Saint-Voy avec ses chèvres rustiques aux poils longs.

Un chevreau peut en cacher un autre

L'histoire qu'on vous raconte ici se passe le 16 septembre dernier. Sa chèvre de 8 ans, qui avait déjà subi une césarienne il y a deux ans, semble en difficulté dans sa mise-bas. Elle préfère appeler la vétérinaire Sandrine Bailly du Chambon-sur-Lignon pour accompagner cette naissance.

A la palpation, la vétérinaire identifie un chevreau couché sur le côté. Après une intervention délicate, le premier voit le jour, "montre de bons réflexes et une belle vitalité".

Un second chevreau mais l'utérus est vide

Vu la taille du premier chevreau, un second est recherché mais l'utérus est vide. La vétérinaire insiste et distingue un second chevreau grâce à une palpation par l'extérieur. "J'arrive à le faire réagir", témoigne Sandrine Bailly. Stupéfaite "par cette réelle anomalie, la vétérinaire entreprend une opération de la chèvre pour extraire le petit frère. Une simple incision de la peau et de la paroi abdominale permet de mettre au monde ce chevreau "recouvert d'une fine membrane translucide reposant entre les hanses intestinales".

Un chien en assistant vétérinaire

Le chevreau est faible et ses réflexes sont diminués. Le pronostic de survie est alors infime au regard de ses conditions de naissance. C'est alors que le chien border collie appelé "Bébé" prend le relais. Il continue la réanimation grâce à un léchage important avant que la mère s'en occupe à son tour avec une belle dévotion.

La mère et le fils auraient dû mourir

Après quelques jours de bons soins, le trio caprin s'est parfaitement remis de ses émotions. "Normalement, il aurait dû mourir, la mère aussi", assure l'éleveuse.

La vétérinaire abonde : "Ce type de gestation reste heureusement rarissime et ce type de mise-bas, avec un rétablissement complet, s'avère tout à fait exceptionnel."

Une bonne étoile pour Noël. Quatre frères et soeurs et une belle soeur, partis mardi en fin de journée de Lyon à bord leur véhicule une Renault "Zoé" électrique croyaient avoir suffisamment d'autonomie électrique dans la batterie pour arriver à bon port, c'est-à-dire au Puy-en-Velay.

Mais au fur et à mesure que la voiture roulait, le compteur des kilomètres restants diminuait. Logique en somme!

Aussi nos cinq compères ont été obligés de s'arrêter à Yssingeaux pour tenter de trouver une prise électrique.

Question : où recharger sa batterie dans la Cité des cinq coqs, dépourvue de prise sur la voie publique pour les véhicules électriques ?

En passant devant le bâtiment de la Grenette, le cinéma était ouvert pour les séances de la soirée. Aussi ont-ils sollicité les salariés du cinéma pour recharger leur batterie.

Ainsi Victoire, Philippe, Madeleine, Jeanne et Pierre remerciaient chaleureusement l'équipe du cinéma pour leur accueil.

Voilà comment le Père Noël finissait sa tournée à Yssingeaux ce 25 décembre en offrant aux jeunes la possibilité... de terminer leur route.

Samedi après-midi, à l'occasion du match entre Riotord et Saint-Didier-Saint-Just, un footballeur a tiré "un boulet de canon" qui a fini sa course... sur le pare-brise d'une voiture, garée au bord du terrain.

Le ballon a heurté violemment, ce qui a eu pour effet de fissurer totalement le pare-brise.

Si Saint-Didier-Saint-Just a remporté la rencontre (3-1), l'un de ses dirigeants est quitte pour changer son pare-brise

Comment tenir son pain tout en gardant ses deux mains libres ? Ce chaland, croisé jeudi matin sur le marché d'Yssingeaux a trouvé la parade en faisant tenir l'imposante miche sur la bandoulière de sa sacoche.

Certains diront que le pain se porte sur la brioche...

Dans le lotissement Le Pied de la roue à Yssingeaux, les automobilistes sont perdus après l'installation d'un panneau "Stop" et un marquage au sol. Jusque-là, rien de bien étonnant. Sauf que le panneau a été installé d'un côté de la route, sans marquage, et le marquage a été tracé au sol, sans panneau. Le tout à une semaine d'intervalle.

"J'ai bien essayé de le dire à l'agent qui faisait le marquage au sol mais il n'a rien voulu entendre", témoigne le riverain le plus proche.

Dans le quartier, l'anecdote fait beaucoup sourire. "De toute façon, personne ne respecte la nouvelle signalisation", remarque Valérie, une riveraine, alors que la rue des Jardins du Pied de la roue, rebaptisée plus simplement rue du Pied de la roue, après le nouvelle adressage d'Yssingeaux, est utilisée depuis quelques jours pour atteindre l'Ensemble scolaire catholique suite aux travaux de la rue des Joinilles et de la rue Traversière.

Les cabines téléphoniques vivent leurs ultimes moments. Rendues infiniment moins rentables depuis la généralisation des téléphones portables, elles disparaissent inexorablement du paysage urbain comme des territoires ruraux.

Hormis quelques rescapées en sursis et une poignée qui ont retrouvé un usage détourné ici et là, la majorité est vouée à la destruction et au recyclage de leurs matériaux. En attendant, elles sont entreposées à Vals-près-Le-Puy sur les terrains de l'entreprise Escot-Télécom.

Au delà des souvenirs personnels qu'elles peuvent évoquer, ces cabines resteront attachées à des scènes de films et autres séries télévisées. Ainsi dans le mythique Les Oiseaux d'Alfred Hitchcok (1963), dans l'inénarrable Banzaï (1983) de Claude Zidi avec Coluche, ou plus près de nous dans Dikkenek (2006) dans une scène mettant aux prises François Damiens et Dominique Pinon. Et bien d'autres...

On peut voler en montgolfière toute l'année. La preuve : jeudi matin, un gros ballon a été aperçu au-dessus de Lapte et d'Yssingeaux. Il s'est posé dans un pré de "Livinhac", au carrefour des routes de Saint-Jeures et d'Araules, à la sortie d'Yssingeaux.

A bord, Franck Vergon était à la manoeuvre. Ce passionné de montgolfières a acheté une toile à l'effigie de l'ancienne laiterie Toury il y a six ans.

Toute l'année, il vole dès que le temps le permet. Jeudi matin, il est parti à 9 heures du barrage de Lavalette où il habite, emmenant avec lui des touristes américains dont un enfant vit à Saint-Romain-Lachalm, et des Laptois, pour une heure de vol au gré du vent.

"Quand on est parti, il faisait -8° C. A 1800 m d'altitude, il faisait 9-10° C. C'était superbe. On a vu les Alpes et la chaîne du Puy-de-Dôme. L'hiver, c'est magnifique. Le ciel est bleu nuit, le temps reste stable", raconte le pilote qui a pu compter sur Didier Giry, un ami tençois, pour venir récupérer l'appareil et le groupe.

Un nouveau vol est prévu samedi si la météo le permet. Surveillez le ciel. Vous observez peut-être le ballon Toury.

Le prix du vol est de 180 euros par personne. Contact : 06 84 54 35 74.