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Pour la troisième année, le Mazet-Saint-Voy sera le théâtre d'une manche du Championnat Auvergne de caisses à savons. 60 bolides et 75 pilotes sont attendus.

Elles ne font pas de bruit mais roulent à toute vitesse. Sur quelques centaines de mètres, les caisses à savons, accrochées au bitume, peuvent atteindre 70 km/h.

Dimanche, pour la 5e manche de la saison, les pilotes vont mettre la gomme. Cette année, les deux chicanes artificielles ont été supprimées et le circuit a été rallongé de 150 mètres pour s'arrêter sur la route de Fay après un dernier virage devant l'auberge du Soleil.

Toute la journée de dimanche, à partir de 8 h 30, 60 caisses et 75 pilotes vont se succéder sur les 950 mètres pour réaliser le meilleur chrono dans sa catégorie. Enfants et adultes sont répartis dans plusieurs catégories, qu'il s'agisse de side-car, bobcar, carioli (véhicule en bois sauf les roues), kart ou caisse à savon folklorique.

Des pilotes locaux

Les pilotes locaux seront évidemment de la partie. Vous pourrez encourager Michel Russier (caisse à savons adultes), Fabien Russier (caisse à savons adultes), Jean-Charles Russier (caisse à savon folklorique), Chantal Russier (kart), Alexandre Viceriat (caisse à savons adultes), Mathilde Viceriat (caisse à savons 14-17 ans), Vincent Viceriat (side-car avec Fabien Russier en copilote singe), et Christian Reboul (caisse à savon folklorique).

Les descentes débutent dimanche à 8 h 30. Une manche d'essai et une manche chronométrée sont prévues le matin, deux manches chronométrées l'après-midi. L'accès est gratuit.

Des démonstrations de drift trikes seront proposées sur la journée.

La descente en caméra embarquée

Ouverte en 2016, la colocation pour seniors a pris son rythme de croisière et ne désemplit pas à Tence. On vient de la France entière pour s'intéresser à cette habitation imaginée par Jacqueline Decultis.

Lundi, une nouvelle équipe de tournage de France 2 était à Tence pour filmer la vie de la Maison Marguerite. Le 4 septembre, la colocation tençoise pour seniors fera l'objet d'un long reportage dans l'émission "Je t'aime etc.", présentée par Daphné Bürki. "Une nouvelle rubrique a été créée dans cette émission et évoque le vivre ensemble", annonce Bastien Collignon, le journaliste en charge du sujet.

Des visites de la France entière

Ce nouveau coup de projecteur national devrait de nouveau éveiller la curiosité. Le reportage diffusé au printemps dans le journal télévisé de France 2 avait eu un écho retentissant auprès de nombreux Français, intéressés par le concept simple et novateur, et désireux de le reproduire dans leur région. "J'ai dû recevoir 200 coups de fil. J'ai reçu une quarantaine de visiteurs sur place", annonce Jacqueline Decultis. "Ils veulent tout savoir, surtout le montage financier."

"Une solution d'avenir"

La Maison Marguerite est l'exemple concret d'une solution alternative pour les seniors, simple et familiale. "Ça marche", sourit Jacqueline Decultis qui n'a reçu aucune aide publique pour son projet. "On est face à un problème évident de société. On propose une solution d'avenir. On ne pourra pas mettre tout le monde en maison de retraite. Et on est moins cher qu'un Ehpad, de l'ordre de 1 200 euros par mois après avoir déduit le service à la personne, c'est raisonnable."

On cuisine comme à la maison

Les six colocataires tençois sont choyés par Marie-Hélène Huart, la soeur de Jacqueline Decultis et maîtresse de maison, pivot du dispositif. Les diverses sollicitations ont dû être prises en compte dans la vie de la structure, située en plein centre-bourg, dans une ancienne maison totalement transformée. "La colocation plaît, tout comme le fait de cuisiner comme à la maison. Cela reste très familial."

Des colocataires de 84 à 94 ans

Depuis deux ans, deux personnes ont quitté la colocation : une est décédée, l'autre est partie en maison de retraite. "Notre angoisse était de savoir si on peut finir sa vie ici. Et la réponse est oui", indique Marie-Hélène Huart qui s'occupe de six résidents âgés de 84 ans à 94 ans. "On démontre que le système de colocation fonctionne, malgré le pessimisme local." Toutes les chambres sont occupées. Et la liste d'attente compte désormais plusieurs seniors intéressés à rallier cette demeure où il fait bon vieillir.

Un wagon du train à vapeur Velay Express a déraillé dimanche. Un incident aux conséquences heureusement limitées. Mais les voyageurs ont dû se montrer patients.

11 h 45. Le train à vapeur vient de quitter la gare du Chambon-sur-Lignon en direction de Saint-Agrève. Entre 130 et 140 voyageurs se trouvent dans les wagons pour une journée bucolique à bord de ce train historique et touristique, conduit par des passionnés. Mais deux kilomètres après le départ, au niveau des « Roches », un wagon a déraillé suite à un défaut sur un rail qui s'est couché. Le train se trouvait alors en surplomb de la route, adossé à la forêt.

« Un passager venait de poser la question autour de l’entretien de la ligne. Le présentateur au micro avait certifié qu’elle avait été vérifiée en mars », raconte un couple de voyageurs venus de Côte-d’Or et qui avait spécialement prolongé leur séjour en Haute-Loire pour prendre place à bord de ce train.

Aucun blessé n’est pas à déplorer mais les voyageurs, des jeunes enfants aux seniors, ont dû prendre leur mal en patience. Les solutions envisagées par les bénévoles des Voies ferrées du Velay ont tour à tour capoté.

Au final, vers 16 heures, des touristes se sont décidés à revenir à pied, en stop ou en covoiturage. Velay Express a affrété deux taxis du Chambon et Saint-Agrève pour rapatrier les conducteurs au point de départ et leur permettre de venir récupérer leurs familles et amis.

Velay Express a promis de rembourser les voyageurs de leur billet, et leur a déjà offert un sifflet en souvenir.

"Les passagers n'ont rien senti. Pour eux, le train s'est arrêté. On leur a expliqué la situation. On devait rouler à 15 km/h. Le train s'est arrêté en 20 mètres. On a demandé au restaurant La Mandarine de rester ouvert pour ceux qui souhaitaient se restaurer. On n'a pas pu faire venir de bus car les sociétés manquaient de chauffeur. Pour la suite, on va faire le point. Le train se rend à Saint-Agrève uniquement le dimanche. Mercredi et jeudi, il circulera normalement entre Raucoules et Le Chambon. Pour la suite, on communiquera", fait savoir le président Fabian Grégoire qui était lui-même aux commandes de la locomotive.

La 27e édition du Festival du rire d'Yssingeaux débute dans moins d'une semaine. Il reste encore des places.

Tous les rires seront garantis cette année à Yssingeaux du jeudi 23 août au samedi 1er septembre. Pour ce 23e opus, les organisateurs de Déclaration d'humour sont allés chercher des humoristes reconnus et ont dégoté de jeunes talents.

Un spectacle jeune public en ouverture

Une nouveauté, demandée par le Département (et ouvrant droit à subvention), une programmation destinée au jeune public. Aussi le festival d’humour de la sous-préfecture débute par un spectacle jeunesse jeudi 23 août au théâtre, à 14 h 30. On retrouvera deux compères bien connus du territoire, le duo de Fred, Fred Bardel et Fred Lavial, conteurs au sein du collectif des Villettes Konsl’Diz.

Cet intermède est ouvert aux centres de loisirs comme aux familles. Tarif : 3 euros

Le lendemain, vendredi 24 août, à 20 h 30, « Chair de poule », une pièce de théâtre de Clément Cordero et Julien Boutières, promet des larmes, des rires, du sang et... des plumes. Tarif : 13 euros.

Trois spectacles au foyer rural

Samedi 25 août, à 20 h 30, autre innovation de ce cru 2018 : de la magie. En scène, Maxime Tabart, prodige de 18 ans qui dépoussière le genre et le fait entrer dans l’ère du numérique. Tarif : 15 euros, réduit 10 euros pour les moins de 12 ans.

On continue en seconde semaine au foyer rural le jeudi 30 août. Dans la veine de Bedos, Christophe Alévêque vient présenter sa très satyrique et politique revue de presse. Tarif : 25 euros.

Vendredi 31 août, Gil Alma s’offre « 100 % naturel ». Un spectacle familial, pas politique pour un sou. Tarif : 23 euros

Samedi 1er septembre, « Moi jeu » permettra de retrouver Antonia de Rendinger (elle avait participé au concours du festival il y a quelques années) une force comique impressionnante, capable de camper une kyrielle de personnages. Tarif : 17 euros.

Comment réserver

1 100 places ont été vendues sur 1 600. Dans le détail, il reste 30 places pour la pièce de théâtre du vendredi, 50 pour le spectacle de magie, 100 pour Alévêque, 170 pour Alma et 140 pour Antonia de Rendinger.

Pour réserver, vous pouvez acheter votre billet à l’office de tourisme d’Yssingeaux (tél. 04 71 59 10 76), à l'office de tourisme du Puy-en-Velay (04 71 09 38 41) ou sur les différentes sites en ligne : Fnac, Carrefour, Géant, Magasins U, Intermarché, France Billet

La réussite de la braderie de l’Armée du Salut (450 clients en deux jours) le week-end dernier a donné de mauvaises idées à des cambrioleurs qui ont forcé la structure d'insertion pour voler toute la recette.

Dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 août, le bâtiment administratif situé dans la zone des Lebreyres a été forcé. Le ou les malfrats ont tenté de forcer la porte d’entrée, sans succès. Ils sont passés par la fenêtre d’un bureau.

Une fois à l’intérieur, visiblement bien renseignés, les voleurs ont cassé la porte du directeur où se trouvait toute la recette de la braderie : 3 000 euros en liquide et 3 000 en chèques à l’ordre de l’Armée du Salut (entre 30 et 50 chèques).

Un concours de circonstances avait empêché les responsables de l’Armée du Salut de mettre cet argent à la banque.

Une ménagère dorée, dont la valeur est estimée entre 400 et 500 euros, a aussi été dérobée. Mais l’intérêt de ce butin a rapidement été revu à la baisse. Cette ménagère a été jetée dans un fossé sur la route de Devesset. Elle a été retrouvée sur le bord de la route, au niveau de l’Ecurie du Dragon.

C’est forcément un coup dur pour l’Armée du Salut, une structure d’insertion, qui enregistre une perte sèche de 6 000 euros.

L'association de jeunes The Fox Box organise la deuxième édition du Festival du Haut-Lignon samedi 18 août. Comme en 2017, le festival se déroulera au lieu-dit "Paulhac", entre Tence et Le Mazet-Saint-Voy.

Ils étaient 350 en 2017 pour la première édition du festival, porté par une dynamique équipe de jeunes Tençois. Cette année, les membres de Fox Box visent les 600 entrées.

Des animations gratuites samedi après-midi

Ils ont pris possession du même pré, au lieu-dit "Paulhac". Un grand chapiteau a été installé, l'une des nouveautés 2018. Les nuits restent fraîches en Haute-Loire, particulièrement sur le Plateau. Et les organisateurs s'assurent la bonne tenue des concerts, pluie ou pas. Mais il fera beau samedi et le programme ne devrait pas connaître de bouleversements.

Slum Monkeys en fil rouge

Le site sera en accès libre samedi après-midi à partir de 14 heures. Des producteurs et artisans locaux exposeront leurs produits. Des jeux pour enfants seront installés. Le clown El Nikito proposera des prestations, tout comme le Renard, adepte des arts du cirque

La musique débutera autour de 15 heures avec les Tençois de Slum Monkeys. Le duo était déjà de la partie en 2017 et assurera aussi les inter-scènes samedi. Les Ponots de Fox Hole enchaîneront à 16 h 30.

Quatre concerts de 19 heures à 3 heures

Le festival entrera dans sa partie officielle et payante à 19 heures. Quatre groupes vont se succéder : Antino[mic] (folk) à 19 heures, La Chose (rap-reggae) à 21 heures, Tekpaf (ska rock) à 23 heures et Rakoon (electro dub), la tête d'affiche à 1 heure. Rakoon, c'est un groupe qui monte. Tence sera l'une des dernières dates de la tournée.

Tarifs

L'entrée au festival, à partir de 19 heures, est de 17 euros sur place. Il est possible de se procurer des billets en prévente au tarif de 15 euros en cliquant ici. Gratuit pour les moins de 12 ans.

Mercredi, ils étaient 1 900 participants à la 4e édition du Trail du Mézenc aux Estables. La barre des 2 000 n'a pas été atteinte comme en 2017 mais le record de coureurs a été battu sur les trois distances et sur les courses enfants.

Un millier de runneurs a pris le départ des 8 km, 14 km ou 31 km. Trois cents enfants ont animé le village sur trois distances.

Côté randonnée, ils étaient tout de même 600 dans les sentiers du Mézenc, contre 800 en 2017.

Tous les bénéfices de ce trail seront reversés à l'APPEL (Association philanthropique de parents d'enfants leucémiques et autres cancers). En trois éditions, 61 000 euros ont été reversés.

Pour voir les classements des trails, cliquez ici

Pour voir les classements enfants, cliquez ici

Pour voir les photos, faites défiler les photos ci-dessus

Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 3 h 50, les pompiers ont été appelés à venir éteindre une voiture entièrement calcinée à Yssingeaux. Elle se trouvait sur la route de Retournac, au bord de la route qui relie "Marnhac".

Stationnée à moitié sur la route, à moitié sur le bas-côté, elle était la proie des flammes. Le feu a aussi gagné le talus. Si les pompiers ont réussi à maîtriser le sinistre, le véhicule était complètement détruit. Il s'agit d'une Volkswagen "New Beetle".

A l'arrivée des secours, aucun occupant ne se trouvait à proximité de la voiture. Les gendarmes s'évertuaient jeudi matin à retrouver le propriétaire, le véhicule n'avait pas été signalé volé.

La 4e édition du Trail du Mézenc est organisée mercredi 15 août aux Estables. Randonnée, course enfants et adultes vont rythmer cette journée dont tous les bénéfices sont reversés à une association qui lutte contre le cancer des enfants.

Plus de 150 bénévoles seront mobilisés mercredi pour offrir à tous les participants une journée exceptionnelle de sport et de solidarité. Et il va faire beau, ce qui ne gâche rien. Tous les engagements des participants seront reversés à l'APPEL (Association philanthropique de parents d'enfants leucémiques et autres cancers). En trois éditions, 61 000 euros ont été reversés. En 2017, ils étaient 2 000 participants.

Des nouveautés accompagnent cette édition 2018 : les 31 km pourront se faire en relais avec le passage de témoin à Chaudeyrolles (14 et 17 km).

Très demandés les années précédentes, des t-shirts "Trail du Mézenc" seront à vendre. Là aussi, les bénéfices seront reversés à l'Appel. Un stand de photos de la course sera installé. Pour chaque photo, 1,50 euro iront à l'Appel.

Outre des courses enfants, des animations seront proposées aux plus jeunes. Les Sentin'elles organiseront une chasse aux trésors. On pourra aussi se faire maquiller, tatouer, colorier, s'initier à la boxe, tirer à la carabine laser, utiliser des jeux en bois, la pêche aux canards....

Le record de 2017 ne tient qu'à un fil. Ils devraient être plus nombreux à courir. Le nombre de pré-inscriptions a atteint 670 runneurs, soit 130 de plus qu'en 2017. Il sera encore possible de s'inscrire mercredi à partir de 10 heures.

Les trails

L'Appel de L'Alambre (8 km)

L'Appel de l'Alambre permettra d'emprunter le départ ainsi que des portions du Trail du Mézenc sans les difficultés majeures. Ainsi, après le fameux départ en côte, au bout de 1,4 km vous attaquerez le tour de l'Alambre, pratiquement plat, avant de revenir au village par la célèbre Draye de Soutrou, chemin commercial ancestral. Une petite côte de 200 m vous rappellera que nous sommes sur un massif montagneux avant de filer rapidement vers l'arrivée par 2 km de descente.

L'Appel du Mézenc (14 km)

L'Appel du Mézenc est une course exigeante de 14 kilomètres qui vous offre le défi de gravir le Mont Mézenc depuis les Estables.

Mais avant cela vous devrez vous acquitter du col de la Croix de la Plonge par la Draye de Soutrou. Puis vous descendrez pour récupérer la piste des Airelles qui vous conduira tranquillement à la croix de Peccata. Là, une ascension de 200 mètres débutera pour vous mener en haut du Mézenc. De là-haut, un panorama grandiose vous offrira à l'ouest les paysages dodus de la Haute-Loire et à l'Est ceux, plus escarpés de L'Ardèche. Si le ciel est clair, les Alpes s'offriront à vous avant que le temps ne soit venu de regagner le village des Estables, dans une descente vertigineuse en direction de Boutières.

Le Trail du Mézenc (31 km)

Le Trail du Mézenc vous fera découvrir le massif du Mézenc tout au long d'un parcours de 30,5 kilomètres et 1 200 m de dénivelé positif. Vous emprunterez à partir des Estables la draye de Soutrou afin de traverser l'Alambre et rejoindre le chalet d'Aiglet. De là, vous cheminerez jusqu'à Chaudeyrolles, en surplombant les narces, avant de gravir le Mont Signon et son ambiance lunaire. Un panorama époustouflant à 360 degrés vous y attend : le pays des sucs, le Mont Mézenc, les narces de Chaudeyrolles et même les Alpes et son point culminant si le temps est clair ! Le temps sera alors venu de plonger dans les narces et de découvrir la cascade des Salins. Les pentes raides de ses rives seront alors gravies sans effort tant le décor est somptueux. Puis, vous contournerez le Mézenc et pénétrerez en Ardèche. Là, le sommet de la Haute-Loire et de l'Ardèche vous réservera une montée vertigineuse vers son sommet, dernière difficulté du parcours.

Infos pratiques

A partir de 10 heures : retrait des dossards au centre d'animation

14 heures : départ du Trail du Mézenc 31 km en solo et en relais. 22 euros en solo, 36 euros en relais

14 h 15 à 15 h 15 : départ de la randonnée 10 ou 14 km. 5 euros

14 h 15 : départ du 2 000 m. Enfants nés entre 2002 et 2005. 3 euros

14 h 45 : départ du 1 200 m. Enfants nés entre 2006 et 2009. 3 euros

15 h 10 : départ du 600 m. Enfants nés en 2010 et aprè. s3 euros

15 h 45 : départ de l'Appel du Mézenc 14 km. 15 euros

16 heures : départ de l'Appel de l'Alambre 8 km. 10 euros

19 heures : remise des prix

Un tragique accident s'est produit dans la nuit de lundi à mardi sur la RN102, dans le bourg de la Chomette. Il était 0 h 15 quand les pompiers ont été appelés pour une sortie de route, impliquant un seul véhicule.

Le véhicule, une Ford "Fiesta", a heurté le muret d'une habitation avant de finir au milieu de la chaussée. La conductrice, domiciliée à Langeac, se serait assoupie.

A l'intérieur du véhicule se trouvaient trois occupants : la conductrice de 37 ans et ses deux enfants, une fille de 10 ans et un garçon de 5 ans.

Le petit garçon, assis dans un siège auto à l'arrière, est décédé dans cet accident. La mère de famille et sa fille, légèrement blessées, ont été évacuées sur l'hôpital de Brioude.

Il s'agit de la 19e victime sur les routes de Haute-Loire depuis le début de l'année.