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Au Brignon et à Saint-Martin de Fugères, deux anciens gîtes ont été transformés par les communes en colocations pour seniors, labellisées Maison Marguerite. L’ouverture est prévue en juin. Ce type d’hébergement sera à taille humaine, sécurisé, incluant les services à la personne.

Un habitat intermédiaire entre le domicile et la maison de retraite, avec des services : tel est le projet que viennent de monter les communes du Brignon et de Saint-Martin-de-Fugères dans deux anciens gites rénovés avec goût, conservant le charme de l’ancien, situés au cœur de leur centre-bourg. Ils viennent d’être transformés en colocations pour personnes âgées. L’ouverture est prévue en juin prochain.

Maison Marguerite essaime en Haute-Loire

Au Brignon, ce bâtiment est situé à côté de l’église du Brignon (ancienne cure). A Saint-Martin-de-Fugères, le bâtiment se trouve derrière la mairie. Le projet est labellisé Maison Marguerite, comme il en existe d’autres sur le département (Tence, Chadrac, Retournac, Le Chambon-sur-Lignon, Riotord). La première Maison Marguerite avait été créée à Tence par Jacqueline Decultis en 2016. Depuis, les hébergements de ce type se développent. A Saint-Vincent, c'est aussi une commune qui porte le projet.

Conserver l'autonomie, faciliter le quotidien

« Il arrive un moment où rester chez soi devient compliqué pour une personne âgée. Le logement n’est plus adapté, parfois éloigné, il est difficile de faire ses courses, de rompre la solitude, l’accident est craint… Et pourtant la santé de nos aînés ne nécessite pas forcément, à ce moment-là, un suivi médicalisé. L’idée des Maisons Marguerite est bien de conserver son autonomie tout en facilitant son quotidien », explique Mathieu Decultis, fils de Jacqueline, la créatrice, qui accompagne les porteurs de projets.

Six chambres meublées

Cette solution novatrice d’hébergement s’adresse à des seniors valides. Dans chacun des bâtiments, six chambres d’environ 20 m2 ont été meublées, comprenant salle de bains et WC privatifs, lit en 120 cm, chevet, fauteuil, bureau, penderie. La partie commune s’articule autour d’une grande cuisine équipée, d’une salle à manger et d’activités, une terrasse. Un monte escalier a été installé pour faciliter l’accès aux étages.

« Ces chambres sont spécialement aménagées pour privilégier la vie en commun tout en préservant l’intimité et l’autonomie de chacun », poursuit Mathieu Decultis.

Pourquoi une collaboration entre Le Brignon et Saint-Martin ?

Pourquoi une collaboration entre Le Brignon et Saint-Martin ? Parce qu’elle sera gérée par une société de prestation de services commune qui interviendra au domicile partagé pour tous les actes de la vie quotidienne. Il s’agit en l’occurrence de Marlène Cresci qui sera en charge de gérer les deux sites, de faire le lien entre tous les colocataires, d’organiser l'intendance (courses, repas, ménage, entretien du linge, aides administratives simples, coordination des interventions extérieures liées au bien-être de tous) et de gérer la maison (planning, gestion du budget, recrutement de nouveaux colocataires si besoin…).  

Pour les deux maires des communes Jérôme Bay et Jean Chambon qui lançaient l’opération, les Maisons Marguerite vont participer à la revitalisation ces centres bourgs tout en créant des emplois et des unités de vie personnalisées et à taille humaine.  

La maîtresse de maison a recruté des assistants de vie à temps partiel pour la seconder et pour faire de cet habitat partagé un lieu de vie convivial et agréable. 

Environ 1300 € par mois

Quant au coût, il faut compter autour de 1300 euros par mois tout compris (repas et services) et crédits d’impôts déduits. Les colocataires peuvent en plus percevoir l’allocation personnalisée au logement calculée selon le montant des ressources. Renseignement en mairie et auprès de Marlène Cresci : 07.86.27.99.81.

Samedi 23 décembre les colocataires de la Maison Marguerite ont vécu un Noël particulièrement joyeux.

Un délicieux repas cuisiné par Martine la maîtresse de maison a ravi les papilles des unes et des autres. De petits cadeaux surprise issus des activités réalisées tout au long de l'année ont fait leur bonheur.

L'après repas s'est terminé par des chants et de la bonne humeur avec la participation de Magali à la guitare et Gérard à l'accordéon qui leur ont fait oublier les petits tracas du quotidien et les ont emmenés dans l'univers magique de Noël.

Les colocataires ravis ont exprimé leur satisfaction en remerciant Martine, "une date à marquer dans nos mémoires".

Jeudi après-midi, les colocataires de la Maison Marguerite de Tence ont profité d'un goûter suivi de la visite d'une exposition installée dans l'ancienne écurie de la propriété, située en contrebas du jardin, à deux pas du ruisseau La Sérigoule.

Là, dans ce havre de fraîcheur, ils ont découvert les oeuvres de Sylviane, la fille d'une des colocataires, joliment accrochées, entre bottes de foin, mangeoire, mobilier ancien...

Les familles ont répondu présentes à l'invitation, appréciant sans réserve ces peintures originales et décalées dans un lieu où l'histoire paysanne s'invite en prime.

(Publi-reportage) Bien vivre et bien vieillir dans un habitat partagé sécurisé, dans une belle demeure, c’est la proposition de la Maison Marguerite située dans le bourg de Tence.

Cette maison créée et gérée par Jacqueline Decultis, ancienne infirmière, est ouverte aux personnes âgées autonomes. Ce fut d’ailleurs la toute première Maison Marguerite d’un réseau qui étend son maillage avec constance depuis 2016.

Repousser la perte d’autonomie

Pour le colocataire, intégrer une Maison Marguerite, c’est l’assurance d’éviter la solitude tout en gardant son autonomie le plus longtemps possible.  C’est voir son quotidien grandement facilité grâce à la présence d’une maîtresse de maison bienveillante, attentive sans être intrusive.

Un coût maîtrisé

Au-delà, pour les familles, savoir son proche inséré dans une Maison Marguerite, c’est un gage de sérénité morale, et matérielle, car la mutualisation des services est synonyme d’efficacité et de coût maîtrisé.

Un domicile partagé

Concrètement, cette bâtisse traditionnelle restaurée de pied en cap, située deux pas des commerces, l’église, la mairie, la Maison France Services, est organisée autour d’espaces communs (cuisine, salon, salle à manger, terrasse, jardin) et de parties privées (neuf chambres équipées de salle de bain, WC, chevet réfrigéré, fauteuil avec relax, bureau et penderie).

De l’humain avant tout

La mise en commun des heures d'aide à domicile par le groupe des colocataires permet de bénéficier d’une assistance 7j/7 en journée.

Une équipe formée d’une maîtresse de maison, secondée par deux assistantes, assure une présence quotidienne. Chargée de faire le lien entre les locataires, elle gère l'intendance : repas mitonnés sur place tous les jours, ménage, entretien du linge, coordination des interventions extérieures (kiné, infirmières, coiffeur…).

Un supplément d’âme

Lorsque vous passez le seuil de la Maison Marguerite de Tence, vous êtes frappé par l’ambiance chaleureuse du lieu où le bois, la pierre, les rideaux pimpants, le mobilier chiné, se combinent à des aménagements fonctionnels adaptés au grand âge. Ici, pas de décor anonyme aux relents hospitaliers, de couloirs immenses, de salle d’activité démesurée… On est là comme chez soi, la compagnie et la sécurité en plus.

Tarifs et contacts

A la Maison Marguerite de Tence, tout compris, le loyer, les charges, les repas et le service à la personne 7j/7, sont à 1 475 € de reste à charge.

Possibilité APL en plus.

Téléphone : 06 82 61 62 59

Mail : j.decultis@maisonsmarguerite.com

Un exemple de Maison Marguerite

Le domicile partagé entre seniors « Au fil de l'eau » de Riotord, affilié au réseau Maisons Marguerite, propose des journées découvertes dimanche 8 mai à l'occasion de la Foire des morilles. Découvrez cette grande maison conçue pour proposer une alternative accueillante et familiale.

Dimanche 8 mai, sonnez et poussez la porte de la Maison Marguerite de Riotord. A l'occasion de la foire commerciale, Virginie et Anthony Cancade vont ouvrir les portes de leur colocation pour seniors.

Toute la journée, il sera possible de découvrir les pièces à vivre et les chambres encore disponibles. La Maison Marguerite propose aussi une solution pour la période estivale. "Cela peut permettre aux familles de partir sereinement en vacances et nous hébergeons les personnes âgées pendant leur séjour. Cela favorise leur bien-être et leur sécurité."

Un cocon en plein coeur de village

La Maison Marguerite de Riotord est un cocon qui a déjà fait ses preuves, ici comme ailleurs. Dans le bâtiment situé dans le prolongement de la maison de santé, en face de l'église et donc au coeur de bourg, cette colocation permet à chaque locataire de disposer d'une chambre privative et d'espaces en communs, avec une maîtresse de maison qui assure les repas. Et les commerces sont à portée de pas.

Ouverte depuis dix-huit mois, cette maison offre une belle alternative aux maisons de retraite avec une attention bienveillante, une cuisine familiale et des activités grâce à Virginie et Anthony.

Les services

La location comprend le loyer, le ménage, la préparation des repas, la blanchisserie et la téléassistance.

Contact pour réserver et se renseigner : 06 77 38 05 50 ou aufildeleau@maisonsmarguerite.com

Site internet : cliquez ici

(Publi-reportage) La Maison Marguerite à Saint-Didier-en-Velay permet aux seniors de profiter d'un hébergement de qualité et de services sur-mesure. La Maison Marguerite, c'est mieux que la maison.

L'ancien hôtel particulier de la famille de la Fressange, en plein cœur de bourg historique de Saint-Didier-en-Velay, est devenu une chaleureuse demeure pour personnes âgées.

Dans ce cocon rénové et qui a gardé tous ses charmes (pierre apparente, escalier classé, plafonds à la française, boiseries), les seniors sont choyés et disposent d'espaces privatifs ainsi que des pièces communes.

Dix chambres équipées, des repas cuisinés sur place

Dix chambres soignées de 20 à 35 m2 sont aménagées, équipées de salle de bains privatives et meublées. Un ascenseur permet de circuler facilement entre le rez-de-chaussée et les étages.

Quatre salons sont à la disposition des résidents et un jardin avec tonnelle est directement accessible à l'extérieur.

La grande force de cette Maison Marguerite, ce sont les maîtresses de maison qui assurent une présence en journée, 7 jours sur 7. Nelly et Nathalie s'occupent ainsi des repas faits maison et peuvent guider les locataires dans leurs différentes démarches.

La fondatrice de Maison Marguerite gère Saint-Didier

Jacqueline Decultis, fondatrice du réseau Maison Marguerite et créatrice de la première maison à Tence, s'occupe de la gestion de la Maison Marguerite de Saint-Didier.

Ce que comprend la location

La Maison Marguerite est une véritable alternative aux maisons de retraite et a déjà séduit plusieurs personnes âgées à Saint-Didier. Il reste quelques chambres disponibles

Il faut compter 1 600 € par mois de reste à charge pour une personne seule et une chambre de 20m². Le tarif comprend le loyer charges comprises, le service à la personne (présence 7 jours/7 d'une maîtresse de maison pour la préparation des repas, les courses, le ménage, la gestion du linge, l'aide administrative, la téléassistance) et les fournitures alimentaires.

Ce tarif ouvre droit à des aides comme les APL…

Contact : 06 45 63 75 07 ou 06 82 61 62 59

Noémie Barlet a acheté à Sainte-Sigolène l'ancienne maison de Jean Salque, maire de 1965 à 1989. La bâtisse est en cours d'aménagement pour en faire une colocation pour seniors. L'ouverture de cette nouvelle Maison Marguerite est prévue pour la fin d'année.

Originaire des Villettes, Noémie Barlet a décidé de s'investir pour les aînés. Salariée depuis dix ans an crèche, la jeune femme de 29 ans a acheté une maison en face du cinéma de Sainte-Sigolène pour accueillir des personnes âgées. Ce concept de Maison Marguerite permet de garder l'esprit familial. Créé à Tence, ce réseau s'est aujourd'hui agrandi et sept maisons existent. La dernière en date est celle de Saint-Didier-en-Velay.

10 chambres et des espaces communs

"Des maisons de retraite, il en faut mais je ne m'y vois pas. Avec cette maison, cela permet de garder de l'autonomie, de la liberté, de la sécurité. C'est comme une famille", formule Noémie Barlet.

Cette ancienne maison située dans le centre-ville n'était plus habitée depuis 20 ans. Cette bâtisse majestueuse de 630 m2 accueillera 10 chambres de 16 à 27 m2. Des espaces communs seront partagés et Noémie Barlet s'occupera d'animer les lieux et de préparer les repas.

Les pièces existantes vont être transformées pour s'adapter aux besoins spécifiques du projet mais certains charmes intérieurs vont être conservés comme le lustre du salon, l'imposante cheminée avec le logo de la ville.

Un arbre particulier dans le jardin

A l'arrière, dans le jardin, un arbre particulier a été planté. L'Araucaria, ou désespoir des singes, est originaire des pentes volcaniques des Andes péruviennes et chiliennes. Il doit son nom populaire de « désespoir des singes » à ses feuilles triangulaires vert vif imbriquées et très pointues, rendant son ascension impossible. Le jardin extérieur accueillera ainsi un terrain de pétanque, un poulailler, un potager à hauteur.

Les travaux avancent, l'ouverture est prévue pour le 1er décembre. Au niveau du loyer, il devrait en coûter entre 1500 et 1600 euros par mois de reste à charge. Des aides au logement peuvent venir en déduction.

Contacts

Téléphone : 06 07 74 70 88

Mail : noessy@maisonsmarguerite.com

L'ancien hôtel particulier de la famille de la Fressange, sur la place de l'église à Saint-Didier-en-Velay devient une Maison Marguerite, un concept de domicile partagé pour personnes âgées. Son ouverture est prévue pour juin.

Cela faisait 20 ans que l'immeuble était inoccupé. A l'intérieur, les travaux ont permis de mettre à jour deux cheminées, d'apprécier les plafonds à la française, de mettre en valeur les boiseries, de sauvegarder les pierres sculptées dans le hall d'entrée. L'immeuble est une ancienne maison forte du XIVe siècle transformée en hôtel particulier de style classique par les seigneurs de la Fressange.

Septième Maison Marguerite à ouvrir

Cette Maison Marguerite, dont l'investissement s'élève à 750 000 €, sera la septième à ouvrir du réseau. Né à Tence, le concept a essaimé à Retournac, Roisey (Loire), Riotord, Yssingeaux, Le Chambon-sur-Lignon. D'autres projets sont en cours à Chasse-sur-Rhône et Sainte-Sigolène.

Des chambres personnelles et des espaces communs

A Saint-Didier, le projet est porté par Thierry Sabot et la maison sera gérée par Jacqueline Decultis, la créatrice de Maison Marguerite. Dix chambres de 20 à 30 m2 seront aménagés ainsi qu'un salon, une cuisine et une salle à manger pour les pièces communes. Une maîtresse de maison sera recrutée pour assurer la confection des repas et accompagner les locataires dans leurs différentes démarches administratives et leurs demandes quotidiennes.

Un loyer de 750 à 850 €

Les visites ont déjà commencé. Thierry Sabot et Jacqueline Decultis réalisent des visites à la demande. En ce qui concerne le loyer, il se situera entre 750 et 850 € par mois selon la chambre, auquel il faudra rajouter les différentes prestations et services.

Contacts

Thierry Sabot : 06 45 63 75 07

Jacqueline Decultis : 06 82 61 62 59

(Publi-reportage) Affiliée au réseau des Maisons Marguerite, cette colocation à taille humaine, disposant de personnel attitré, a trouvé un écrin de choix dans une demeure agréablement située à Yssingeaux, à deux pas de la  place de la Victoire et la maison de santé, derrière le cinéma.

Laurent et Marie-Cécile Maillet, à l'origine de cette Maison Marguerite d'Yssingeaux, ont eu envie de proposer une douce alternative à la maison de retraite aux personnes âgées valides risquant de se trouver en situation d'isolement.

Une demeure de charme en centre-ville

En plein centre, les seniors disposent ici d'une demeure adaptée pleine de charme, où se répartissent 9 chambres sur trois niveaux (avec ascenseur), allant de 17 à 35 m2. Ces chambres se combinent à des espaces communs, cuisine, salons, bibliothèque, véranda ainsi qu'un jardin à la française enserré de murs.


Le maître-mot, l'attention

Ici, le maître-mot, c'est l'attention. L'attention que l'on porte aux colocataires, en les déchargeant de tout souci pratique du quotidien. Mais aussi l'attention dirigée vers leur bien-être moral, en s'attachant à les entourer chaleureusement, tout en respectant rigoureusement leur indépendance, leur besoin d'intimité.


Dispensé des questions pratiques

A la Maison de Chaussand, les seniors sont chez eux, tout simplement, mais avec l'avantage précieux d'être dispensé de se préoccuper de la confection des repas, du ménage, de l’approvisionnement de la maisonnée, d'entretenir le linge, s'occuper du jardin... bref, de tout ce qui finit par peser quand on avance en âge.


Des repas cuisinés sur place

Un personnel attitré intervient tous les jours. Les plats sont cuisinés sur place, avec des produits frais, qualitatifs, achetés dans la proximité et les menus adaptés au goût de chacun.

Une présence 7 jours sur 7

Une maîtresse de maison bienveillante et dynamique fait le lien entre les locataires et gère l'intendance dans tous ses aspects, y compris la coordination des services extérieurs (infirmière, coiffeur, kiné...). Deux assistantes la secondent afin d'assurer une présence 7 jours sur 7 de 8 h 30 à 14 h 30 et de 18 heures à 20 h 30.

Les tarifs

Le reste à charge des loyers tout compris se situe entre 1 530 € et 1 820 €. Il est possible de demander des aides de type APL, déduction fiscale, crédit d'impôts.

Contacts

Téléphone : 06 34 61 66 31

Mail : maisondechaussand@gmail.com

Pour plus de précisions, les heures de présence : 8 h 30 à 14 h 15 et 17 h 45 à 20 h 15

"La Grande Oustau" sera la prochaine Maison Marguerite à ouvrir. Cette colocation pour seniors accueillera 10 personnes âgées dans une grande maison au Chambon-sur-Lignon à partir de février 2021.

Une colocation pour seniors est en train de voir le jour au Chambon-sur-Lignon. Une grande demeure qui va rejoindre le réseau des Maisons Marguerite créé par Jacqueline Decultis en 2016. Ce projet est porté par trois associés : Philippe Abrial de Chenereilles et Pierre Sylvestre et Laurence Paoli, un couple de Parisiens aux attaches fortes sur le Haut-Lgnon. Ces trois jeunes quadragénaires sont d'ailleurs les neveux et nièces de la fondatrice du réseau. Ils investissement 1 million d'euros pour ce projet immobilier et humain.

Maison d'enfants, de repos... et d'addictologie

Située à proximité du centre-ville du Chambon-sur Lignon, dans la côte de Molle, en face de l'hôtel-restaurant le Bel'Ô, cette bâtisse a été construite au début du 20e siècle.

Dans "Le Chambon d'hier à aujourd'hui" de Gérard Bollon, on apprend que Mlle Matile et Mme Riou y ont fondé la première pension d'enfants du Chambon. C'était les Genêts. Plus tard, Alice Matile a légué ce bien au Diaconat du Chambon pour en faire une maison de repos pour les anciens du Plateau mais aussi des convalescents envoyés d'ailleurs. Le lieu aurait même servi de maison pour combattre les addictions.

Les trois associés ont acheté une demeure totalement délabrée. Depuis le début de l'année, les artisans se succèdent pour réhabiliter, transformer, rénover, moderniser... et offrir un nouveau destin inédit !

10 chambres de 18 à 40 m2

Cette maison disposera de 10 belles chambres sur deux niveaux, allant de 18 à 40 m2 avec salle de bain et WC privatifs. Certaines chambres seront aussi dotées de terrasses. De grand espaces réuniront les colocataires : une cuisine équipée, une grande salle à manger, des salons bibliothèques, une salle d'activité pour la couture et autre. A l'extérieur, un parc arboré avec un potager occupera les résidents.

Deux appartements familiaux

Au dernier étage de la maison, deux appartements temporaires permettront d'accueillir les familles. Equipés de grandes pièces de vie et de grandes chambres, ils seront disponibles à la location pour les familles souhaitant passer quelques jours avec leurs proches.

Premiers résidents en février 2021

Encore quelques mois de travaux et la grande Oustau ouvrira en février 2021.

Pour toutes information sur cette nouvelle maison marguerite : contact@maisonsmarguerite.com

Un second projet locatif

Dans un futur proche, l'autre aile de la batisse (Nord Est) sera aussi rénovée et transformée pour accueillir 4 espaces de co-working de 80 m2 et deux salles de réunions de 16/18 personnes disponibles à la location.

Des appartements pourraient être aménagés et mis en location.