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Le Trial Club des 4 pattes de Saint-Bonnet-le-Froid organise depuis samedi et jusqu'à dimanche sa 16e édition du trial 4x4 sur le terrain de la Rialle, entre Dunières et Saint-Bonnet-le-Froid.

Pour la 16e année, une compétition trial est organisée sur le terrain de la Rialle qui se situe à mi-chemin entre Dunières, Saint-Bonnet-le-Froid et Montfaucon-en-Velay.

Une petite centaine de véhicules sont engagés. Les organisateurs ont dû refuser des participants dans les catégories des séries, qui a connu une forte demande. La catégorie des prototypes est bien garni avec huit modèles différents de ces 4x4 articulés et désarticulés.

A la Rialle, les pilotes et leurs singes disposent d'un terrain de jeu inépuisable entre les arbres, les pentes, les racines, les rochers et les trous

Le public est aux premières loges pour suivre les aventures des concurrents.

Les buvettes seront gérées par des membres de l'association Les Enfants d'arc-en-ciel, basée aux Villettes et qui récolte des fonds pour aider des structures scolaires en Côte-d'Ivoire.

La première manche s'est déroulée samedi après-midi. Les 4x4 vont de nouveau se mesurer aux zones dimanche de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.

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L'installation illégale de gens du voyage cet été à Bas-en-Basset et Beauzac a amené les élus des Marches du Velay-Rochebaron à voter une motion pour réclamer une aire d'accueil... à Aurec-sur-Loire.

Les relations risquent de se crisper entre les Marches du Velay-Rochebaron et Loire-Semène suite à la prise de position des élus de la communauté de communes de la région de Monistrol au sujet de l'accueil des gens du voyage.

Le maire de Bas se fâche

Alors que l'aire d'accueil a été entièrement refaite à Monistrol-sur-Loire, les communes de Bas, sur un espace à côté du terrain stabilisé, et Beauzac, sur la zone de Pirolles, ont servi de point de chute pour les caravanes.

A Bas, des familles sont restées de juin à septembre. Le maire, Gilles David, a poussé un coup de gueule mardi lors du conseil communautaire, réclamant davantage de communication entre les communes au moment où les gens du voyage quittent Monistrol par exemple, et surtout une aire d'accueil... chez le voisin, Aurec-sur-Loire. "Depuis 2012, le schéma départemental prévoit la réalisation d'une aire d'accueil à Aurec ou Loire-Semène. Le préfet peut l'imposer. Il faut le mettre face à ses responsabilités."

Un schéma départemental devenu obsolète

Le schéma départemental des gens du voyage approuvé le 23 décembre 2011 prévoit effectivement l'aménagement d'une aire d'accueil des gens du voyage d'une capacité de 16 à 20 places à Aurec-sur-Loire ou tout au moins sur le territoire de la communauté de communes Loire-Semène dont elle dépend afin de répondre à leur obligation légale. "Celle-ci n'a pas encore vu le jour en raison d'un problème de disponibilité de foncier adapté sur la commune d'Aurec-sur-Loire", fait savoir la préfecture qui ajoute : "Ce schéma, arrivé à expiration, doit être révisé."

Les services de l'Etat font aussi savoir que "les communes de Bas-en-Basset et de Beauzac n'ont fait aucune demande d'évacuation à la sous-préfecture d'Yssingeaux, territorialement compétente. Ce qui n'a pas été le cas d'Yssingeaux où elle est intervenue et fait évacuer le camp."

Loire Semène critique la méthode

Pour Frédéric Girodet, président de Loire Semène, la prise de position des élus voisins est "surprenante". "La méthode n'est pas correcte, elle est même incongrue. J'irai même jusqu'à dire que la forme est hallucinante. Sur le fond, je me rends compte que l'aire d'accueil de Monistrol n'est pas pleine "52 % de taux de remplissage, NDLR). Ils feraient mieux de régler leurs problèmes en interne plutôt que d'aller chercher des poux sur la tête du voisin. A Aurec, le maire assume ses responsabilités. Ce qui compte, c'est le résultat et les gens du voyage sont accueillis. On avait proposé un terrain à Aurec mais il a été refusé par la préfecture car il se situe en zone inondable."

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vendredi, 28 septembre 2018 13:01

Vernoux Motoculture s'installe au Chambon-sur-Lignon

L'entreprise de vente et réparation de matériel agricole et motoculture va ouvrir une succursale au Chambon-sur-Lignon. Ouverture programmée le lundi 8 octobre.

Vernoux Motoculture déploie ses ailes et ouvre un magasin et atelier en Haute-Loire. La société est née à Vernoux-en-Vivarais en 1989 par Denis Cros. Mécanicien agricole dans une concession à Valence, ce fils d'agriculteurs a créé sa société dans une grange avant de construire un bâtiment en 1999, toujours à Vernoux. Aujourd'hui, l'entreprise compte 13 salariés.

Le lien avec la Haute-Loire et en particulier Le Chambon-sur-Lignon est fort. Originaire de Boffres, à côté de Vernoux, Denis Cros vit au Chambon-sur-Lignon, sa femme Martine est la propriétaire de l'Hôtel Le Bois Vialotte.

Pas ouvert mais déjà sollicité

"On avait l'ambition de se développer. Le déménagement de Chausson Matériaux au Chambon-sur-Lignon a créé l'opportunité." Après un an de travaux conséquent dans le magasin et dans l'atelier pour un investissement de 400 000 euros, Vernoux Motoculture s'apprête à ouvrir. "La demande est forte. On n'a pas encore ouvert qu'on reçoit de nombreux coups de téléphone."

Une embauche au Chambon

L'entreprise chambonnaise sera dirigée par le fils de Denis Cros, Jérémie, 21 ans, qui sort d'une école de commerce. Un ouvrier de Vernoux et un salarié embauché, originaire de Rochepaule, vont l'accompagner. Ils vont gérer un site de 2000 m2 dont 200 m2 de magasin et 500 m2 de magasin. Un pré a été acheté de l'autre côté de la route pour exposer le matériel.

Les marques représentées

"On propose la vente et la réparation de matériel agricole et de motoculture", annonce Jérémie Cros. Les marques représentées sont Deutz et Same (tracteurs), Krone (fenaison), Dolmar Makita (motoculteurs), Deguillaume (remorques), Grégoire Besson (travail du sol), Dieci (télescopique).

Les heures d'ouverture

Vernoux Motoculture ouvrira le lundi 8 octobre, du lundi au vendredi de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures, le samedi à la belle saison.

Publié dans Haut-Lignon
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Richard Dumas vient de créer Takumi Sport, spécialisée dans la randonnée en trottinette électrique tout terrain.

A 46 ans, Richard Dumas a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure professionnelle. Il baigne dans le sport depuis 35 ans. Professeur de judo et de boxe, il donne aussi des cours aux élèves de fac de sport à Lyon et collaborait à Anim'Nature à Sainte-Sigolène pour le canoë, le VTT et les chiens de traîneau.

Aujourd'hui, le Sigolénois d'origine, installé à Saint-Pal-de-Mons depuis douze ans, est à la tête de Takumi Sport. "Takumi veut dire ouvrier en japonais. Je suis un ouvrier du sport. Au Japon, l'ouvrier, c'est comme le compagnon, il a le souci du travail bien fait."

Des trottinettes tout terrain et toutes saisons

Richard Dumas s'est orienté vers la trottinette électrique. Il a acheté 22 exemplaires, 12 pour enfants de 8 à 12 ans et 10 pour ados et adultes. La batterie est directement intégrée dans le cadre et dispose d'une autonomie de 30 km. Les grosses roues, des 26 pouces, comme le fat bike, permettent d'affronter tous les terrains et cela en toutes saisons. "Ce sont des trottinettes de la société Globe3t, installée à Maclas dans la Loire. On roule à 25 km/h maxi", précise l'accompagnateur.

30 euros pour un adulte

Pour les randonnées, Katumi Sport s'adresse à tous les publics : centres de loisirs, familles, amis, clubs, comités d'entreprise. "J'ai des parcours prédéfinis à Sainte-Sigolène, Les Estables ou vers Le Bessat. Je me déplace aussi n'importe où si besoin."

Pour une demi-journée, il faut compter 30 euros pour un adulte, 25 euros pour les 10-15 ans et 20 euros pour les 8-10 ans.

Contact : 06 27 22 38 29

Publié dans Monistrol et environs

Un pressoir à fruits mobile va stationner sur la place des Droits-de-l'Homme de Bas-en-Basset les 26 et 27 octobre.

Catherine Blangarin, du château de la Chomette à Bas-en-Basset, est à l'initiative de cette venue du Camion qui presse. "J'avais déjà fait venir un pressoir mobile il y a 3-4 ans mais il ne se déplace plus. J'ai pris contact avec le Camion qui presse installé en Bretagne. Il vient pour au moins 10 tonnes."

Le verger du Château de la Chomette est déjà bien garni. "On doit avoir entre 4 et 5 tonnes. Un pommier bien rempli, c'est au moins 200 kg de pommes."

Le camion va stationner sur la place des Droits-de-l'Homme à Bas-en-Basset et s'adresse à tous les détenteurs de pommes en quantité (au moins 80 kg).

Il suffit de contacter le Camion qui presse pour prendre rendez-vous (06 99 65 74 54) et donner l'estimation de votre récolte. Le jour J, amenez vos pommes qui seront pressées et transformées sur place en jus. Ce jus est conditionné dans des bags in box de 3 litres ou 5 litres. Le tarif est de 3 euros le bag de 3 litres ou 4,60 euros le bag de 5 litres.

Le taux d'extraction varie entre 65 % et 80 % selon la maturité du fruit. Pour 80 kg de pommes, vous obtiendrez en moyenne 50 litres de jus.

Publié dans Monistrol et environs
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Suite au dépôt de bilan de l'entreprise Renon, sept associés ont repris la société de recyclage des plastiques. RG43 s'engage à dépolluer le site de Lapte. Ce changement met fin à 17 années de procédures.

Pollution, problèmes de voisinage, conditions de travail : depuis 17 ans, l'entreprise Renon était en conflit avec ses voisins et les services de l'Etat. Cet été, la société de recyclage des plastiques, créée à Lapte et déménagée à Tence, a déposé le bilan.

Sept associés ont présenté un projet de reprise en faisant abstraction des dettes de 2,6 millions d'euros. "Ils ont présenté un projet industriel, ils se sont engagés à dépolluer le site de Lapte, à poursuivre l'activité et à reprendre les salariés", apprécie Yves Rousset, préfet de Haute-Loire qui a mis en exergue le travail et la persévérance de la sous-préfète Christine Hacques dans ce délicat dossier.

Sept associés

Derrière RG43, on retrouve donc sept associés : en premier lieu, Christian Guérin est le président. A 55 ans, il a toujours baigné dans le plastique et possède une entreprise de négoce aux Villettes, CG Distrib. En 1996, il avait créé AEP Group sur la zone industrielle de Sainte-Sigolène/Saint-Pal-de-Mons.

Il a saisi l'opportunité et s'est entouré de six associés : Pierre Rousson, transporteur routier à Saint-Just-Malmont, Eric Preynat, en charge des finances, Jean-Luc Basson, Michel Piqueres, René Sagnol et Mathias Guérin (le fils de Christian Guérin). "On est associés pour le meilleur, le pire est derrière nous", formule Pierre Rousson qui a longtemps travaillé avec Luc Renon.

Les deux anciens patrons devenus salariés

RG43 a repris les 22 salariés et a créé trois emplois : une stagiaire a été embauchée, et surtout les deux anciens patrons, Luc et Richard Renon, ont été gardés en tant que salariés. "A eux de se remettre en question et d'adhérer au projet. On utilisera leurs compétences, pas leurs conneries", indique Christian Guérin. "Et RG43, ça ne veut pas dire Renon Guérin, mais Régénération Guérin !"

André Defour, le maire de Lapte, parle de "libération". Jeanine Masson, présidente de l'association de riverains, a longtemps craint un accident dramatique.

Dépolluer le site de Lapte

RG43 s'est engagé à dépolluer le site de Lapte. Alors que l'autorisation était de 900 m3, l'estimation de plastiques accumulés est d'environ 5000 m3. Le coût de dépollution sera de 100 000 à 120 000 euros. "Il va falloir gratter 20 cm de sol." Ce chantier doit être achevé avant l'été 2019. "Le but est de se séparer de ce site. On a proposé aux élus de trouver des idées pour l'avenir."

Christian Guérin est persuadé du potentiel de son projet industriel. "On n'est pas des kamikazes et on n'allait évidemment pas reprendre la société avec les dettes. On a monté un dossier réaliste et faisable."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Les travaux de sécurisation et de rectification de la chaussée au niveau des deux carrefours de Bigouroux et de Valaugeon sur la RD15, situés sur la commune d’Araules se poursuivent. Ils nécessitent la fermeture de la route à partir de mardi, jusqu'au 10 octobre.

Dix opérations du programme 2018 sont terminées et 27 chantiers routiers sont en cours de réalisation. Parmi ces chantiers routiers en cours figure l’aménagement du carrefour de Bigouroux et de Valaugeon sur la RD15. Un carrefour particulièrement accidentogène.

Des travaux d’aménagement sur la RD42, au niveau du carrefour de Bigouroux ont été réalisés en juillet, et après une interruption au mois d’août, le chantier a repris depuis le début du mois avec le calibrage et le renforcement de la RD15 et l’aménagement du carrefour de Valaugeon.

Impact sur la circulation

La route sera totalement fermée à la circulation pour la réalisation des chaussées par l’entreprise SDRTP, puis pour la mise en œuvre d’un tapis d’enrobés par l’entreprise Eurovia du 25 septembre au 10 octobre. Sous réserve des contraintes météorologiques et des aléas du chantier, la route sera ré-ouverte à la circulation le 11 octobre.

Pendant la coupure de la circulation, la RD15 sera déviée par Fay-sur-Lignon et la "Détourbe" au Mazet-Saint-Voy. La RD42, à Recharinges, sera déviée par Saint-Jeures et le Mazet d’un côté, et par "Raffy" de l’autre. La RD42, côté Fay, sera déviée par la RD26, par "Boussoulet".

Publié dans Actualités
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Un nouvel accident mortel s'est produit en Haute-Loire. C'est le 21e décès depuis le début de l'année.

Dimanche, en fin de nuit, vers 6 heures, un automobiliste de 19 ans a violemment percuté un muret dans le village des "Estreys", un hameau de Polignac à la frontière avec les territoires de Sanssac-l'Eglise et Espaly-Saint-Marcel. Aucune trace de freinage ne se trouvait sur la route.

Cinq mètres d'un muret large d'un mètre ont été éboulés. Suite au choc, la Peugeot "207" s'est retournée et a fini contre un bâtiment à droite de la route.

Alertés par des riverains, les pompiers ont trouvé le jeune homme incarcéré et en arrêt cardio-respiratoire. Après une heure de tentative pour réanimer la victime, les secours ont stoppé leurs efforts. Le jeune homme a été déclaré décédé.

Publié dans Faits divers
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La Ville de Monistrol et la Région veulent aménager un demi-échangeur routier supplémentaire au pont de "Paulin". Faut-il encore convaincre l'Etat de l'intérêt de cet investissement. Des études d'opportunité et de circulation vont être lancées.

Le centre-ville, et notamment le rond-point des Droits-de-l'Homme, est souvent engorgé aux heures de pointe. Avec 4 600 élèves accueillis de la maternelle aux études supérieures et une croissance démographique toujours positive, cela génère une circulation intra-muros conséquente avec notamment 50 cars scolaires. D'où l'idée de la majorité municipale de créer une entrée et une sortie sur la RN88, via le pont de "Paulin" sur la RN88, dans le sens Le Puy/Saint-Etienne.

Désengorger le centre-ville

Cela permettrait d'accéder plus facilement au quartier résidentiel du Beauvoir et surtout au lycée Notre-Dame-du-Château, en sachant que ce site pourrait accueillir dans un avenir proche le lycée professionnel, sans avoir à passer par le centre-ville.

"On avait imaginé une liaison entre l'avenue de la Catalogne et la Montée du Prince. Mais on a tout stoppé car ce n'est pas le plus judicieux", indique le maire.

250 000 euros la première étude

Jean-Paul Lyonnet, le maire, et son équipe en sont convaincus. Encore faut-il convaincre l'Etat qui a demandé la réalisation d'études, à la fois pour justifier l'intérêt de ce projet et connaître l'impact sur la circulation. Une démarche au coût important puisqu'il serait de 210 000 euros pour l'étude d'opportunité et 40 000 euros pour l'étude de circulation, subventionnés respectivement à 80 % et 70 % par la Région. Le dossier a été confié à Luc Jamon. "On nous demande une étude comme si on créait une autoroute de 40 km en pleine nature. On va voir si on peut l'alléger. Ce demi-échangeur routier, c'est la solution pour Monistrol à 10-12 ans."

Quel coût pour cet aménagement ?

"Nous non plus on n'est pas convaincu", rétorque Robert Valour, l'ancien maire, qui estime qu'un avenant à une étude menée en 2011 sous sa mandature pourrait suffire. "300-350 000 euros TTC pour une étude, c'est beaucoup. Et le projet est aussi colossal. C'est 5, 6, 7 millions d'euros. On part sur quelque chose de gigantesque, pharaonique pour un résultat qui ne sera peut-être pas à la hauteur."

Pour Jean-Pierre Giraudon, adjoint à l'urbanisme, "ça ne coûtera pas plus de 4-5 millions d'euros. Et de toute manière, l'étude de circulation générale sur la ville sera utile pour la révision du Plan local d'urbanisme qu'on va lancer."

Une étude de circulation dès 2019

L'appel d'offres va être lancé dans les semaines à venir et l'étude de circulation devrait être réalisée rapidement en 2019. Comme pour la RN88 au Pertuis et Saint-Hostien, des enquêteurs risquent d'intervenir pour questionner les usagers sur leurs habitudes de circulation. Des relevés de trafic seront aussi effectués

Publié dans Monistrol et environs
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Le lundi 10 septembre, un choc frontal était évité de justesse à la sortie du viaduc du Lignon. Un automobiliste avait lancé une pétition pour réclamer des aménagements. Les services de l'Etat apportent une réponse (en partie) favorable.

1750 signatures virtuelles ont été récoltées par Rémi Ouillon, un habitant de Saint-Maurice-de-Lignon, qui avait lancé une pétition. Le lundi 10 septembre, il s'en était fallu de peu qu'il ne soit pris dans un choc frontal au niveau du viaduc du Lignon. A travers cette pétition en ligne, il réclamait des aménagements pour séparer les voies.

Les services de l'Etat, à travers la Direction interrégionale des routes (DIR Massif Central), abondent dans le sens des pétitionnaires.

"Suite aux accidents survenus ces dernières années dans le secteur du viaduc du Lignon, principalement du coté Saint-Étienne, la DIR Massif Central a lancé une réflexion pour prolonger le dispositif de retenue existant en axe de la 2x2 voie. Ce dispositif vise à séparer les flux et doit permettre d'éviter les chocs frontaux entre véhicules circulant à sens inverse, cause des accidents les plus dramatiques. "

Des aménagements pourront être envisagés, à l'exception du viaduc en lui-même, la largeur restant insuffisante. "Au vu de cette étude, l'espace disponible sur la chaussée en dehors du viaduc ne permet pas une mise en place de ce dispositif sur une longueur suffisante pour assurer une sécurisation optimale du site. Ainsi, l'élargissement de la plateforme s'avère nécessaire et génère des travaux conséquents (reprise des terrassements, de l'assainissement, de la structure de chaussée) et des coûts importants. La DIR Massif Central va désormais finaliser les études et rechercher le financement nécessaire pour une mise en œuvre au plus vite. Ces travaux ne pourront être réalisés qu'en dehors du viaduc du Lignon, celui-ci n'ayant pas une largeur disponible suffisante pour maintenir des voies de circulation adaptée en présence d'un tel dispositif."

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