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Le concours de chiens de meutes sur lièvres non tirés a débuté ce samedi et se poursuit toute la journée de dimanche sur le territoire de Tence. Une centaine de spectateurs et huit juges suivent à la trace les compétiteurs, eux-mêmes accompagnés de leurs chiens. Les conditions étaient compliquées ce samedi, selon les organisateurs, puisqu'il était difficile pour les chiens de retrouver la trace des lièvres par manque d'odorat.

Le jury présidé par Anthony Duboeuf est composé de Didier Chomienne, Emilien Duboeuf et Yannick Rousset de Saint-Jeures, Mickaël Collard de Saint-Pal-de-Chalencon, Pierre Chabanel de Saint-Cirgues, Cédric Portal de Langeac et Julien Raveyre de Bains.

Ce dimanche, les quatre concurrents sillonneront les chemins et bois du côté de "La Brosse", "Mendigoules", "Reouze" et "Le Pin".
Le point de rendez-vous est fixé à 7 h 30 à la salle de La Lionchère.
Publié dans Haut-Lignon
Les pompiers sont intervenus vendredi après-midi au bar Chez Valou, place du Chatiague, pour un feu de poêle. Finalement, les soldats du feu n'ont pas eu besoin d'intervenir puisqu'il n'y avait aucune flamme. Thierry, le gérant, venait d'éteindre son poêle à granules quand une odeur de brûlé l'a mis en alerte.

En se rendant à l'étage, il s'est aperçu que de la fumée avait envahi tout le premier niveau. Tout est rapidement rentré dans l'ordre. L'installateur du poêle est venu s'assurer du bon fonctionnement de l'équipement, pourtant ramoné en décembre.
Publié dans Faits Divers 2016
Les secours sont intervenus sur la commune de Tence, au lieu-dit "Mendigoules", ce vendredi vers 15 h 30 où un accident avait été signalé.

A l'arrivée sur place, pompiers et gendarmes n'ont trouvé qu'un seul automobiliste, non blessé. L'autre personne impliquée, un collègue de travail, avait déjà quitté les lieux. Cette accrochage se termine par un constat à l'amiable mais les gendarmes ont prévu de convoquer à la brigade le second automobiliste concerné.
Publié dans Faits Divers 2016
Des travaux de renforcement et de sécurisation des parois rocheuses va avoir lieu à partir de lundi sur la route de Saint-Etienne, devant le Grand Café, à Tence. En journée, la route sera en sens unique.

Pour une durée prévisionnelle de six semaines, la circulation va être perturbée à Tence, route de Saint-Etienne. Depuis plusieurs mois, des plots de sécurisation temporaires ont été mis, ce qui a réduit la largeur de la chaussée.

A partir de lundi, une entreprise spécialisée dans les travaux acrobatiques doit intervenir pour sécurisation la paroi rocheuse, de part et d'autre de la route. Du grillage doit être installé pour amortir les chutes de blocs dues à l'érosion naturelle de la roche. Pour ce faire, la rue du Grand Café sera en sens unique. Il sera possible de l'emprunter en arrivant de Montfaucon-en-Velay. Pour les autres, une déviation sera proposée par la place du Chatiague.

La déviation par le centre-ville sera obligatoire en semaine de 8 à 18 heures. Le soir et les week-ends, il sera possible de circuler dans les deux sens.
Publié dans Haut-Lignon
Un automobiliste conduisant une Volskwagen "Touran" a coupé un poteau EDF mercredi vers 18 heures alors qu'il circulait entre les lieux-dits "Pomme" et "Foureton", sur la RD185 qui relie Tence au Chambon-sur-Lignon. A l'arrivée des secours, la personne accidentée avait quitté les lieux.

Des équipes d'ERDF ont été appelées pour remettre en état le poteau et la ligne puisque les fils électriques étaient tombés à terre. L'automobiliste a été identifié. Il devrait recevoir une amende pour vitesse excessive en raison des circonstances.
Publié dans Faits Divers 2016
Ce jeudi après-midi, à Yssingeaux, 120 collégiens de troisième des ensembles scolaires catholiques d'Yssingeaux et de Tence ainsi que du lycée Eugénie-Joubert d'Yssingeaux, ont abordé une nouvelle étape dans leurs parcours d'orientation.

Par petits groupes, ils ont rencontré des représentants des principaux établissements d'enseignement du territoire proposant une poursuite d'études dans des filières professionnelles.

Ils ont ainsi pu échanger avec les centres de formations d'apprentis de Bains (IFP43 et CFTB), les Compagnons du devoir de La Talaudière, les lycées Notre-Dame du Château de Monistrol-sur-Loire, La Chartreuse à Brives-Charensac et Saint-Jacques-de-Compostelle au Puy-en-Velay, l'Institut des sciences de la vie et de la terre (SVT) de Vals-près-Le Puy et le lycée Eugénie-Joubert d'Yssingeaux.

Ce vendredi, les jeunes poursuivront leur parcours d'orientation par une immersion en classe de seconde générale ou professionnelle.

Vendredi 11 et samedi 12 mars, l'Ensemble scolaire catholique d'Yssingeaux (école, collège, lycée) et l'Ensemble scolaire Saint-Martin à Tence (école et collège) organisent ses portes ouvertes.
Vendredi de 17 à 20 heures, samedi de 9 h 30 à 12 heures.

Infos pour Yssingeaux ici
Et pour Tence ici
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
jeudi, 10 mars 2016 08:59

Une colocation pour seniors à Tence

Jacqueline Decultis ouvrira le 2 mai une maison partagée à destination des personnes âgées en plein cœur de Tence. La moitié des chambres de la Maison de Marguerite ont déjà été réservées.


Son projet est visiblement trop novateur pour bénéficier d’aides publiques alors que la question du vieillissement de la population et de sa prise en charge des seniors sont au cœur des enjeux d’aujourd’hui et de demain. Mais Jacqueline Decultis n’en a que faire. Son projet est sur le point d’aboutir et elle en est ravie. L’ancienne infirmière, qui a occupé les mandats de maire et de conseillère générale sur Tence, s’est mis en tête d’ouvrir une maison pour les seniors. L’été dernier, avec sa belle-sœur Annie Gallet, elle aussi issue du secteur médical, elle a acheté une maison dans la montée de la Sérigoule, à deux pas de l’église, au bord du ruisseau. « Je me suis posée la question du lieu où j’aimerais vivre quand j’aurais 85 ans. On veut proposer une alternative au placement de nos aînés en maison de retraite. »

Une maison et un jardin en plein cœur de ville
Le projet, d’un montant global de 412 000 euros, consiste en la réhabilitation de cette vieille bâtisse de trois niveaux. La Maison de Marguerite, du nom de sa dernière occupante (Marguerite Souvignet), se situe en plein cœur du village, proche des commerces et des services. A l’arrière, elle est entourée d’une enceinte dans laquelle un jardin potager, d’agrément et qui fera une belle place aux plantes médicinales, doit permettre aux résidents d’être au calme.

La Maison comprend six chambres, une cuisine, deux salons, une salle à manger. Et six cheminées. Elles ont toutes été découvertes lors des travaux et ont été préservées pour renforcer l’aspect chaleureux de la demeure. Sur une cheminée du séjour, une décoration gravée dans la pierre indique que la maison a dû appartenir à un franc-maçon qui avait le grade de compagnon. Dans le salon, les fleurs de lys sur une plaque de cheminée laissent à penser qu’un noble a occupé les lieux.

Des chambres équipées
Chaque chambre est équipée d’un lit, une commode, un fauteuil relaxant, une télé, un chevet réfrigéré, en plus d’un placard et d’une salle de bain.

« On vise un public seul, isolé, à la recherche de lien social. Je veux qu’à terme, les occupants vivent comme une famille. Et que chaque personne conserve son espace intime. On ne veut rien imposer, chacun garde sa liberté de choix », argumente Jacqueline Decultis qui a déjà enregistré plusieurs réservations grâce au bouche-à-oreille : un octogénaire tençois, une personne de Saint-Etienne et une autre de Saint-Chamond qui va se rapprocher de ses enfants. Gilbert a été le premier à réserver sa chambre. « J’ai un grand appartement à Tence qui est trop grand pour moi. J’étais prêt à quitter la région pour trouver une résidence seniors et cette opportunité s’est présentée. Célibataire et sans enfant, je suis quelqu’un de très indépendant. Cette maison va me permettre de rompre l’isolement tout en préservant mon autonomie. Je vais débarrasser la plupart de mes affaires et ne garder que l’essentiel. Quand je casserai ma pipe, je ne veux pas que ma famille soit embêtée. »

Une maîtresse de maison pour les résidents
L’une des particularités de la Maison de Marguerite est la présence d’une maîtresse de maison. Jacqueline Decultis va confier les clés de la vie intérieure à sa sœur, Marie-Hélène Huart. « Je viendrai chaque matin, après le petit-déjeuner, pour prendre le pouls, évaluer les besoins. Je préparerai le déjeuner et le dîner avec les résidents intéressés. » Une personne de l’ADMR prendra le relais le week-end pour ce poste de maîtresse de maison, ainsi qu’en semaine pour la partie ménage.

Un appartement spécial
On n’est pas au bout des surprises avec la colocation tençoise puisqu’un appartement avec deux chambres a été aménagé pour héberger temporairement les familles des résidents.

De bonnes ondes dans la maison
Jacqueline Decultis n’y croyait pas forcément mais des témoignages l’ont convaincu de faire venir un géobiologue. « Je voulais avoir son ressenti. » Elle n’a pas été déçue. « Une ligne de ley traverse la maison, elle est censée relier deux lieux importants, forts en énergies. On retrouve aussi des méridiens positifs qui donnent une belle énergie. Il y a aussi un vortex dans un salon, c’est un tourbillon qui indique que les personnes seront en harmonie.

Les tarifs de location
Le coût a été fixé à 1400 euros par mois. Ce prix comprend la location, les services (maîtresse de maison, blanchisserie, ménage…) ainsi que les repas. « Les locataires peuvent bénéficier de l’APL pour la partie loyer ou d’un abattement d’impôts. Et c’est moins cher qu’une maison de retraite », revendique la propriétaire.

Une campagne de financement participatif vient d'être lancé. Si vous souhaitez contribuer à ce projet, cliquez ici


Publié dans Actualités 2016
Cent cinquante entreprises et collectivités autorisent leurs employés à rejoindre les secours en cas d’urgence ou pour profiter de formations, ce qui représente 375 sapeurs-pompiers volontaires conventionnés en Haute-Loire.

Un bip qui retentit. Et en quelques secondes, il quitte son poste de travail pour rejoindre la caserne des pompiers. En Haute-Loire, 375 sapeurs-pompiers volontaires disposent d’une autorisation pour quitter leur entreprise pour aller secourir d’autres personnes ou épisodiquement pour bénéficier d’une formation sur plusieurs jours sans prendre sur leurs temps de vacances.

Depuis 2012, un label est remis aux entreprises et collectivités qui jouent le jeu en signant une convention avec le SDIS (Service départemental d’incendie et de secours). Un partenariat d’autant plus capital en Haute-Loire où les pompiers volontaires, qui représentent 94 % des effectifs, réalisent 85 % des interventions.


"Une nécessité absolue dans nos campagnes"
A Fay-sur-Lignon, Yannick Crouzet et Arnold Philip, deux employés communaux, sont conventionnés. « C’est une nécessité absolue dans nos campagnes. Cela renvoie à la notion de service public. Et je ne me pose absolument pas la question de la gêne que cela peut occasionner pour le bon déroulement du service », argumente Christian Chorliet, le maire.

Pompier et chef d'entreprise de père en fils à Dunières
A Dunières, on est pompier de père en fils depuis quatre générations, tout en gérant l’entreprise familiale spécialisée dans la charpente et la construction de maisons en bois. L’entreprise compte quatre pompiers, deux à Dunières (Mathias Carrot et Christian Durieux) et deux à Tence (Nicolas Delolme et Frédéric Bonnefoy). « On a intégré cette possibilité d’intervention dans la gestion de nos équipes. Et quand un salarié arrive en retard le matin, on se dit qu’il a pu être appelé pour les pompiers. Cette convention, c’est un rapport gagnant-gagnant qui apporte une plus-value pour l’entreprise puisque ce personnel est formé aux premiers secours », raconte Christian Durieux, qui perpétue la tradition, comme l’ont fait avant lui son père Henri, son grand-père André et son arrière-grand-père Florentin.


Des postes adaptés aux circonstances chez Cornut
Cornut, carrossier industriel installé à Montfaucon-en-Velay, a été parmi les premières entreprises à s’engager avec le SDIS. « On n’a pas beaucoup d’absences. Cela représente deux pompiers sur 58 salariés. Et ils sont sur des postes qui permettent ce type d'urgence », relate Pascale Cornut, la directrice des ressources humaines.

Faire profiter un salarié d'une formation
Petit nouveau, la chaudronnerie serrurerie Montélimard à Tence vient de rejoindre les rangs. Sollicités par les pompiers, Céline et Laurent Chalendard ont accepté le partenariat avec le SDIS pour permettre à leur salarié Laurent Pacalon de suivre des formations. « Nos vacances se font en août et il y a très peu de formations à cette époque. Je suis pompier depuis dix ans et j’aimerais évoluer », justifie l’intéressé.
Publié dans Actualités 2016
Le comité de jumelage Tence-Garrucha et Ciné Tence ont mis à l'honneur Paco de Lucia, un guitariste considéré comme le meilleur guitariste de toute l'histoire du flamenco, décédé en 2014.

Mardi, 105 collégiens sont venus au cinéma pour voir le film documentaire tourné par le fils de Paco de Lucia. A la sortie de la séance, le comité de jumelage a offert un chocolat chaud, de la brioche, des gâteaux et du pop-corn.

Le soir, environ 80 personnes étaient dans la salle pour visionner les photos de Barcelone ainsi que le documentaire. Entre les deux moments, le comité de jumelage a proposé un buffet agréable à l'oeil et délicieux pour les papilles avec tapas, charcuterie espagnole, vin espagnol et tortillas.
Publié dans Haut-Lignon
La mauvaise nouvelle était à craindre et le Comité départemental de l'Education nationale, qui s'est tenu mardi, est venu confirmer.

L'école publique du Chambon-sur-Lignon va craindre une classe de primaire, celle de Tence aura une classe de maternelle en moins.

La barre pour garder les classes a été fixée à 104 enfants par l'inspecteur d'académie pour la rentrée de septembre 2016. Au Chambon, on atteint 95 enfants mais pas plus dans les prévisions. Difficile dans ces conditions de pouvoir défendre le dossier. Nicole Pernin-Capet et les parents d'élèves du Chambon avaient peu d'espoir de voir une de leurs classes sortir de la liste des suppressions. "On a déjà mené le combat l'an dernier et on avait réussi à sauver un poste menacé. Cette année, on est trop juste en effectifs. Il va être difficile de trouver des arguments et on sait qu'il sera très difficile de rouvrir une classe si nous remontons le nombre d'enfants inscrits. Les prévisions démographiques ne sont pas bonnes. La perte d'un poste sur les cinq classes va entraîner une réorganisation des niveaux avec certaines classes doublées du CP au CM2", évoque Nicole Pernin-Capet.

Une fermeture de classe pour un enfant
A Tence, la fermeture a été décidé pour un enfant. Le seuil était fixé à 58 enfants. L'équipe locale aurait 57 maternelles l'an prochain. "On va négocier avec M. Séméraro (Jean-Williams Séméraro, inspecteur d'académie, pour éviter cette fermeture, signale Brigitte Renaud, maire. Quand une ferme une classe, c'est difficile de la rouvrir ensuite." L'école passerait ainsi de trois classes de maternelles à deux.

Au total, le CDEN a validé la suppression de neuf postes en Haute-Loire, dont un à Saint-Didier-en-Velay. Deux autres postes sont en suspens. Une ouverture est validée. A Yssingeaux, un poste de titulaire remplaçant est ouvert pour l'école Jean-de-la-Fontaine.
Publié dans Actualités 2016
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