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La famille de Lauriane Amaglio, qui s'est suicidée en 2016, a obtenu ce qu'elle voulait : la reconnaissance par le SDIS du Maine-et-Loire, où la jeune femme de Grazac se trouvait, que sa mort est liée à son métier de pompier. Un arrêté officiel vient d'être pris en ce sens à Angers.

Morte aux feux. Le décès de Lauriane Amaglio, le 20 avril 2016, est officiellement imputable au service. C'est écrit noir sur blanc. Quand Evelyne Amaglio a reçu le courrier, le 22 janvier, des larmes ont évidemment coulé ses les joues de la maman. Cela signe la fin d'un combat de six années. Six années durant lesquelles la famille a voulu que le Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Maine-et-Loire reconnaisse sa responsabilité.

Un arrêté signé le 19 janvier 2022

En juin 2021, le tribunal administratif de Nantes avait donné gain de cause à la famille de la jeune Grazacoise de 23 ans. Le SDIS avait ensuite indiqué qu'il ne ferait pas appel. Et le 19 janvier 2022, la présidente du conseil d'administration du SDIS a signé un arrêté reconnaissant le lien entre la mort volontaire de Lauriane et les pompiers. Arrêté qui a été envoyé en Haute-Loire à la famille de Lauriane.

25 000 € de frais engagés

"Lauriane est morte en pompier", résume aujourd'hui Evelyne alors que la famille a aujourd'hui dépensé 25 000 euros en frais divers pour défendre cette cause. "Cette reconnaissance, c'est tout ce qu'on attendait. Ça rend tous les honneurs à ma fille. On a envie aujourd'hui qu'une paix s'installe. L'indemnisation, c'est un sujet tabou, c'est l'avocat qui le gère car pour moi, une mort ne se quantifie pas en argent."

La famille et le syndicat CGT unis

La famille Amaglio et le syndicat CGT ont oeuvré main dans la main dans ce combat. "Cela faisait 6 ans qu'on se heurtait à un mur de silence. Notre combat pour Lauriane est terminé et on n'aurait pas pu le mener sans la volonté de la famille. Ce serait bien désormais, de façon symbolique, qu'une salle porte le nom de Lauriane au SDIS à Angers", évoque Sébastien Delavoux, secrétaire général de la CGT SDIS 49 et porte-parole au niveau national à la CGT SDIS.

Une lettre d'explication laissée derrière elle

Lauriane Amaglio avait mis fin à ses jours sur son lieu de formation à Angers. Elle venait d'être exclue de la formation pour devenir officiellement pompier professionnel. Le SDIS du Maine-et-Loire s'était appuyé sur un certificat médical authentique mais falsifié par la jeune femme au sujet d'une blessure bien réelle à une cuisse. Elle avait obtenu un premier certificat médical et avait prolongé la durée de validité pour la fournir à ses supérieurs.

Le 20 avril 2016, elle mettait fin à ses jours, laissant une lettre d'explication, une famille sous le choc et des collègues pompiers remontés contre leur hiérarchie.

Le tribunal avait déjuger le SDIS

Dans sa décision rendue mercredi 16 juin 2021, le tribunal administratif estimait : "Le geste suicidaire de Lauriane Amaglio, survenu sur le lieu du service doit être regardé, alors même qu’il n’est pas survenu dans le temps de service, comme se rattachant directement à son environnement professionnel et présente un lien direct avec le service. [...] En refusant de reconnaître l’imputabilité au service du suicide de Lauriane Amaglio, le président du conseil d’administration du SDIS de Maine-et-Loire a commis une erreur d’appréciation."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Epargnés lors de la première vague du Covid, les pompiers de Haute-Loire ont été plus massivement touchés par le virus, à l'image du reste de la population du département. Les capacités opérationnelles sont restées actives et 120 pompiers ont été formés pour réaliser des tests PCR.

Moins de 5 cas positifs au printemps et 112 au cours de cette seconde vague : les pompiers de Haute-Loire ont connu deux périodes très différentes. 29 sont des professionnels, 82 des volontaires et 5 des personnels administratifs, techniques et spécialisés. "104 sont guéris", fait savoir le colonel Christophe Glasian, directeur du SDIS 43 qui compte 1800 hommes et femmes sur le département. "La procédure avait été établie lors du premier confinement et nous étions prêts pour cette 2e vague. La période la plus critique a été début novembre. Même si les pompiers sont sportifs et en bonne santé, deux-trois cas ont été proches de la réanimation."

Une réorganisation des équipes en opération

Le SDIS a réorganisé son service depuis le printemps afin de limiter les risques et protéger ses équipes. Les ambulances sont passées de 4 à 3 éléments, dont seulement deux restent au contact des victimes. "On aura des enseignements à tirer de toute cette période. Nos interventions ne seront plus les mêmes en terme d'approche et de protection."

Un service de santé très sollicité

Le Service de santé et de secours médical (SSSM), qui compte 33 médecins, 80 infirmiers, 5 pharmaciens, 3 psychologues et 2 vétérinaires, a été très sollicité. Pendant la crise sanitaire, il s'est occupé de la mise en oeuvre des mesures de protection du personnel et une cellule est activée sept jours sur sept.

Capacité de tester sur des opérations coup de poing

Dès le mois d'avril, 40 agents du service de santé ont été formés avec l'hôpital Emile-Roux. Quarante autres sapeurs-pompiers secouristes ont été formés depuis octobre avec Altilabo, ce qui permet un renforcement des équipes de l'hôpital public et des laboratoires Altilabo au Puy et Oxylab sur le Brivadois pour réaliser des prélèvements naso-pharyngés. Les pompiers sont déjà intervenus au drive d'Altilabo à Taulhac et dans une quinzaine d'Ehpad pour des tests massifs de résidents. "On ne sait pas si on sera sollicité mais on est en mesure d'intervenir pour des actions coup de poings, des besoins de tests massifs et rapides", indique encore le directeur du SDIS qui précise que le SDIS a décliné les sollicitations des mairies pour les centres de dépistages locaux.

Calendriers et Téléthon

Souvent en première ligne en fin d'année pour les calendriers et le Téléthon, les pompiers sont cette année en retrait, confinement et règles sanitaires obligent.

Toutes les cérémonies de Sainte-Barbe sont reportées.

La distribution de calendriers est en cours d'être à nouveau autorisée tout en maintenant une interdiction de rentrer au domicile.

Publié dans Actualités

De nouvelles méthodes d'intervention ont été mises en place pour les 1700 pompiers de Haute-Loire. L'objectif est de limiter la propagation du coronavirus, de protéger les victimes et les personnels, et de garantir la réponse opérationnelle dans la durée.

"Ça sent la javel comme jamais dans les centres de secours", s'amuse à raconter le colonel Christophe Glasian, directeur départemental du Service d'incendie et de secours (SDIS 43).

Pour l'heure, l'activité des pompiers est calme en Haute-Loire, plus calme qu'à l'accoutumée. Le nombre d'interventions a baissé de 15 à 20 %.

Trois pompiers par camion au lieu de quatre

Sur le terrain, de nouvelles règles strictes ont été données aux pompiers, professionnels comme volontaires. Depuis dix jours, ils ne sont plus que 3 par camion au lieu de 4. Dans une ambulance, le chauffeur ne doit pas descendre. Un kit Covid-19 a été fourni. La victime doit porter un masque. Les deux pompiers auprès de la victime mettent le masque et des lunettes de protection. Jusqu'à leur retour à la caserne, ils ne sont plus en contact avec le conducteur, jusqu'à la désinfection du véhicule.

Aucun pompier n'a encore été atteint directement par le coronavirus. "On n'a pas vocation à être épargné par la maladie. On s'attend à avoir des pompiers touchés", reconnaît le colonel.

38 pompiers "cas contacts"

Pour l'heure, 38 pompiers ont été exposés au risque. S'ils ne présentent pas de symptômes, ils ont été en contact avec un malade avéré du Covid-19. Sur les quinze malades biologiquement confirmés positifs au Covid-19, quatre ont été transportés par les pompiers.

"Aujourd'hui, tout pompier en intervention doit ramener son questionnement au Covid-19."

Après l'appel au don de masques pour les pompiers, le SDIS a récupéré 8 000 exemplaires. "On dispose de six semaines de réserves. Chacun des 58 centres de secours va recevoir une semaine de stocks."

Deux fois plus de pompiers disponibles

Avec le confinement et le chômage technique, la disponibilité des pompiers volontaires est conséquente. Alors que la moyenne par jour est de 400 à 450 pompiers mobilisables sur les 1500 volontaires, la moyenne actuelle est entre 700 et 800 par jour. "Pour les pros, on a réduit les effectifs au Puy et à Brioude. L'objectif est de pouvoir tenir dans le temps. Pour le traitement des alertes au siège du CODIS à Taulhac, on a sanctuarisé les personnes qui traitent les appels. Ils sont quinze à se relayer et à se concentrer sur les appels."

Un pic annoncé entre le 26 et le 30

En résumé, le SDIS 43 se dit prêt à affronter la vague de coronavirus en Haute-Loire. "On nous annonce le pic entre le 26 et le 30. Peut-être qu'en Haute-Loire, on sera en léger décalage. On se prépare à prendre la vague, on a eu le temps de s'y préparer. Cette vague, on va la prendre, mais on ne sait pas mesurer sa taille."

Colonel Christophe Glasian, directeur du SDIS 43

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Les techniques de désincarcération évoluent en même que les véhicules se perfectionnent. Exemple avec les pompiers de Monistrol-sur-Loire.

Dimanche matin, sur un terrain mis à disposition, les pompiers ont pu s'exercer sur deux anciens modèles de voitures, bonnes pour la casse et surtout utiles pour les entraînements des pompiers.

Deux véhicules pour deux équipes ont été disposés afin de permettre aux pompiers de s'exercer aux nouvelles méthodes de secours. Si la découpe de certains véhicules est encore pratiquée, l'évolution des véhicules amène les secours à revoir leurs pratiques.

"L'habitacle se déforme pour éviter au corps humain de prendre tout le choc. Aujourd'hui, les voitures sont plus solides. Et nous avons aussi de plus en plus de câbles électriques dans les montants des voitures. Tout ça fait qu'il n'est pas toujours intéressant d'utiliser la pince coupante. Plutôt que de découper une carrosserie pour extraire une victime, on va se créer un espace à l'intérieur de l'habitacle, reformer le véhicule pour créer ce qu'on appelle un tunnel d'extraction", raconte l'adjudant Romuald Faure, pompier professionnel dans la Loire et volontaire à Monistrol où il a co-dirigé une manoeuvre dimanche matin pour une quinzaine de pompiers.

"On change notre façon d'intervenir et il faut dire que c'est finalement plus intéressant pour les secouristes."

La manoeuvre en vidéo

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Mardi soir, neuf pompiers étaient de garde au centre de secours d'Yssingeaux. Nous leur avons demandé leurs souvenirs les plus marquants de la nuit de la Saint-Sylvestre.

Mardi soir, le début de soirée était encore calme dans la salle des pompiers d'Yssingeaux. La télévision donnait un bruit de fond, la table de fête était dressée. En ce soir de réveillon, les pompiers volontaires de garde ont droit à quelques mets d'exception. Le dessert a été apporté par la députée Isabelle Valentin en début de soirée, après une rencontre fortuite dimanche lors d'une manoeuvre.

Une chute dans le ravin au Pont de l'Enceinte

Si le réveillon de l'an dernier est resté calme avec un malaise comme bilan, toutes les années de réveillon ne sont pas aussi discrètes. Ainsi, Philippe se souvient d'avoir tenté de secourir un retraité il y a quelques années, victime d'une fausse route lors des agapes avec ses proches.

Robin, en dix ans de volontariat, évoque "un feu d'habitation à Tence". Sylvie et Philippe ont encore en mémoire un accident de la route entre Yssingeaux et Grazac, au "Pont de l'Enceinte". La voiture comptait quatre amies, habillées en tenues de soirée. Elles s'en sortiront indemnes après une chute dans le ravin alors qu'elles se rendaient à leur réveillon. "Elles se sont juste effilé les collants."

Une descente en luge stoppée... par les barbelés

Jérôme, 17 ans de pompiers, aura porté secours vers "Ceveyrac" à des fêtards, éclairés par le lampadaire communal, qui avaient entrepris une descente en luge... sans voir les fils barbelés. Sans se souvenir de l'année, "il y avait au moins de la neige cette année-là".

"Des fois, il ne se passe rien, et parfois, les nuits sont animées. Et au cours de nos interventions, on croise les infirmières à l'hôpital ou les gendarmes sur un accident. Ils sont dans le même cas que nous, on se réconforte", raconte aussi Jérôme. "On est là pour veiller sur les autres", résume Philippe.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Vingt-deux pompiers de Haute-Loire ont pris la route lundi à 22 h 30 depuis le siège du SDIS à "Taulhac" au Puy-en-Velay. Direction le Sud de la France pour combattre les feux de forêts.

Ces pompiers ont été sollicités pour aller renforcer leurs collègues dans le Sud de la France, confrontés à des feux de forêts de grande ampleur, dans le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône où les flammes ont déjà ravagé plusieurs centaines d'hectares en quelques heures.

22 pompiers, 7 engins

"La demande a été formulée à 19 h 30", indique le capotaine Pascal Perrin, chef du service "Prévision". Vingt-deux hommes, principalement des sapeurs-pompiers volontaires, et 7 engins ont été mobilisés pour former une colonne Auvergne avec leurs homologues du Cantal et du Puy-de-Dôme.

Ils ont pris la route pour Orange où le point de rassemblement est fixé sur l'aire de Mornas. A ce moment, la colonne Auvergne sera formée et aura connaissance de son point de chute.

Cinq interventions extérieures en 2016

En 2016, la Haute-Loire avait été sollicitée à cinq reprises pour aller combattre des incendies en dehors du département. Cet appel est le premier de l'année. "Nous acceptons deux pompiers maximum par caserne. Nous étions désengagés ces derniers temps en raison du passage du Tour de France qui nous a beaucoup occupés. La situation est bonne en Haute-Loire. Les risques d'incendies restent faibles en raison des pluies tombées depuis une semaine", ajoute le capitaine Pascal Perrin.

Les casernes représentées

Blesle, Beaulieu, Saint-Paulien, Mazet-Saint-Voy, Riotord, Saint-Ilpize, Velay-Semène, Le Puy-en-Velay, Grazac-Lapte, Aurec-sur-Loire, Le Monastier-sur-Gazeille, La Chaise-Dieu, Pradelles, Saint-Pal-de-Chalencon, Yssingeaux, Sainte-Florine, Saint-Romain-Lachalm et Le Brignon-Solignac-sur-Loire.

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Si la fête du 14-Juillet est souvent associée au bal des pompiers, à Monistrol-sur-Loire, les deux n'étaient pas liés. Ce ne sera pas le cas cette année puisque la caserne participera aux festivités locales au côté de Monistrol Animation et la municipalité.

En fin de matinée, à 11 heures, un défilé partira de la mairie avec les anciens combattants, l'harmonie et des véhicules de pompiers.

La fête se déroulera sur le parking de la Capitelle à partir de 16 heures avec des animations non-stop jusqu'au feu d'artifice. Les jeunes sapeurs-pompiers proposeront des démonstrations de manoeuvre. Il en sera de même avec les pompiers : découpe de véhicule, feu de voiture et exposition de matériel sont prévus. Mieux, une vingtaine de pompiers vont réaliser un "flash mob" pour l'occasion, guidés par Cécile Dance, professeur de zumba.

En soirée, les bénévoles de Monistrol Animation espèrent servir 300 soupes aux choux, qu'ils auront soigneusement mitonné toute la journée dans les chaudières mises à disposition par René Bonnevialle.

Le repas sera à 10 euros. Possibilité de réserver au 04 71 61 63 57.

Une fois la nuit tombée, des agents municipaux s'occuperont d'éclairer le ciel avec un feu d'artifice.

Autre date à réserver : le 2 septembre, les pompiers proposeront leur tournoi de foot en salle dont les bénéfices seront reversés au Téléthon.

Publié dans Monistrol et environs

Le lieutenant Eric Coste prend les commandes du centre de secours de Saint-Julien-Chapteuil. Le capitaine Jean-Pierre Exbrayat reste pompier volontaire à la caserne capitolienne.

C'est une passation de commandement dans la sérenité. Le capitaine Jean-Pierre Exbrayat, 55 ans, n'attend pas d'atteindre l'âge de la retraite pour passer la main. Il a fait le choix de transmettre les clés de la caserne au lieutenant Eric Coste.

Jean-Pierre Exbrayat, éducateur spécialisé de son état, et pompier à Saint-Julien-Chapteuil depuis 35 ans, reste dans les effectifs de la caserne et continuera sa mission. Il était en poste depuis le 30 novembre 1998, à la suite du lieutenant René Riffard.

Eric Coste, chef du centre d'entretien et d'intervention de Cussac-Le Puy à la DIR Massif central, prend les rênes d'un centre de secours auquel il appartient depuis 37 ans. Il prendra officiellement son poste de chef de centre le 1er juillet. Une date qui coïncidera avec sa nomination au grade de capitaine.

Samedi après-midi, sur la place de la mairie, la cérémonie protocolaire s'est déroulée en présence des pompiers, de la population, des élus.

Publié dans Puy et Agglo

Les pompiers de Bas-en-Basset organisent le Challenge du souvenir depuis 2008. Cette manifestation a d'abord fait suite au décès de Romaric Sommeil en 2007. La caserne a dû faire face à d'autres pertes depuis : Jacques Tissot en 2010, Loïc Sayetta en 2015 et Bastien, fils de Sylvain Charnay, en 2016.

Cette animation permet aux pompiers de reverser la moitié des bénéfices à l'Oeuvre des pupilles des pompiers et l'autre moitié aux pupilles de la caserne bassoise.

Samedi, 80 doublettes ont participé au concours de pétanque, remporté finalement par une paire bassoise : Cédric Croc et Maxime Martin. Quatre cents convives se sont retrouvés à l'Espace Fabro pour déguster l'aligot saucisses.

Une animation musicale était proposée par un jeune groupe de rock, Rockabas, né il y a trois mois et qui compte huit chansons. Certains musiciens de ce groupe sont également d'anciens pompiers.

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Le service départemental de la Haute Loire (SDIS 43) a organisé samedi une journée d’accueil pour les nouvelles recrues sapeurs-pompiers volontaires.

Certains sont issus des Jeunes Sapeurs-Pompiers titulaires du brevet national des jeunes sapeurs-pompiers (JSP) mais aussi des membres du Service de Santé et de Secours Médical, infirmiers, médecins (SSSM).

Cette journée a permis à ces nouveaux sapeurs-pompiers de découvrir l’organisation et le fonctionnement de la structure. Elle concerne 30 agents provenant de différents centres de secours du département.

Cette séance d’accueil était organisée avec une séance de sport, une présentation des différents services, la visite du CTA-CODIS (le centre opérationnel et de la prise d’appel d’urgence : 18/112 et la gestion de la disponibilité), et une présentation de la formation d’équipier de sapeur-pompier volontaire.

Un sapeur-pompier volontaire doit effectuer une durée de formation de 24 jours afin d’acquérir les modules qui lui permettent d’intervenir sur les missions : secours à personne, incendie, opérations diverses.

Le groupe a pris en compte la Charte du sapeur-pompier volontaire (droits et devoirs) lu par un candidat.

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