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Le quatrième et dernier chantier jeunes des vacances d'été sur le pays des sucs se déroule cette semaine à Retournac, sur la zone d'activités de la Sausse. Onze jeunes sont à la maison vigneronne et ont remis en état le mur d'enceinte de cette bâtisse, transformée en refuge pour oiseaux et chauve-souris.

Ils ont aussi pour mission de fabriquer des nichoirs pour les oiseaux, des abris pour les insectes et les hérissons.

Les 11 jeunes, qui viennent d'Yssingeaux, Retournac, Grazac et Beaux, sont encadrés par Raymond Chanal, maçon à la retraite, et Didier Robert, employé des services techniques de Retournac, ainsi que l'animatrice Christelle Chanon.

A l'issue de cette semaine de chantier, les jeunes pourront ainsi bénéficier d'une aide de 200 euros octroyée par la communauté de communes pour les aider à financer leur permis de conduire.

Les mercredis de l'été, le musée des Manufactures de dentelles de Retournac propose des initiations à la technique traditionnelle de dentelle au fuseaux sur carreau plat.

L'initiation démarre depuis le dessin du motif jusqu'à la réalisation d'un petit galon de dentelle que les participants emportent à la fin de la séance.

Ce mercredi matin, quatre touristes originaires des régions parisienne et lyonnaise ont testé leur adresse avec un plaisir visible.

Pratique

Réservation obligatoire au plus tard la veille de l'activité au 04.71.59.41.63.

Tous les mercredis de l'été, à 11 heures.

A partir de 8 ans

Tarif : 5 euros

Les footballeurs avaient le choix et la moitié s'est porté volontaire pour un footing. Le reste a repris illico contact avec le ballon sur le terrain synthétique du stade Boncompain lundi soir.

Loïc Clavaron, qui entame sa 6e saison en tant qu'entraîneur des seniors à Retournac, s'est estimé satisfait des 16 joueurs présents pour cette reprise. "L'an dernier, quand on trouvait qu'on était nombreux, on n'était pas ce nombre là." Cette saison, la concurrence sera de mise avec le renfort de plusieurs joueurs. "Les compteurs sont remis à zéro", a prévenu Loïc Clavaron.

Deux renforts, deux départs

Retournac a enregistré deux départs : Bastien Jourda va tenter sa chance à Monistrol-sur-Loire alors que Nicolas Pobolisag retourne à Saint-Georges-Lagricol. Le club enregistre les signatures du milieu de terrain Loïc Moulin 'La Fouillouse, Excellence Loire) et du milieu de terrain Dimitri Bernaud (Bas-en-Basset, Promotion). Il faut ajouter les arrivées en seniors des U19 DH.

Le programme des matches

Plusieurs matches amicaux sont programmés avant le début du championnat de District 1 : à Saint-Julien-Chapteuil le 13 août (18 heures), contre l'AS Livradois le 17 août (20 heures), à Lapte le 24 août (19 heures), au Pertuis le 27 août (19 heures), à Monistrol-sur-Loire le 31 août (19 heures).

Retournac est engagé en Coupe de France. le 1er tour a lieu le 21 août à Bains/Saint-Christophe (Promotion). Le vainqueur rencontrera le qualifié de Coubon (District 2)/Saint-Julien-Chapteuil (Régionale 3).

Sous la présidence de Jean-Jacques Joly, président intérimaire, l’assemblée générale extraordinaire des BD médiévales d'Artias a officialisé la dissolution de l'association vendredi soir.

Selon un communiqué transmis par l'association à notre rédaction, cette décision se justifie face à « l'impossibilité de travailler en bonne harmonie avec le maire actuel de Retournac » (lire l'article).

L'association jette l'éponge alors qu'elle affirme que tout était prêt pour organiser la 4e édition. « Nous avions un parrain de renom en la personne d'André Houot. Les parrains des éditions précédentes étaient annoncés, Jean-Charles Kraehn, Yves Swolfs et Jaime Calderon, ainsi que de nombreux dessinateurs et scénaristes. Les spectacles vivants étaient retenus ainsi que la présence d'un conférencier de renom qui aurait traité de l'hérésie albigeoise : "Les Cathares" », indique Francis Deltour, ex-président.

L'édition 2015 avait accueilli 1 800 visiteurs.

BD médiévales d'Artias a décidé de redistribuer l'argent de sa trésorerie à d'autres associations : 200 € à « Leny pour la Vie », 200 € à « Clef de sol », 200 € à « La Calade de Garamentes » et près de 1 100 € à « Les Amis d'Artias »

Une association s'est récemment créée pour venir en aide au jeune Lény Panei-Cros, 6 ans, de Saint-Didier-en-Velay, atteint de Neurofibromatose de type 1. Une maladie qui touche son corps et le déforme. Sa famille retournacoise organise une action samedi pour récolter de l'argent.

Lény Panei-Cros est atteint d'une fibromatose de type 1, une maladie très développée et extrêmement grave chez ce petit garçon de 6 ans. On ne compte que 22 cas à travers le monde. Lény a un neurofibrome à l'omoplate gauche qui s'étend, déforme ses cervicales et son rachis dorsal en passant par son bras gauche, son poumon et au niveau cérébral.

Il vient de subir coup sur coup quatre opérations au CHU de Clermont-Ferrand pour greffer des bouts d'os pris sur ses tibias et les hanches pour consolider ses cervicales. Une opération urgente et risquée mais nécessaire pour consolider les cervicales et stopper un peu le neurofibrome. Lény se retrouvera en fauteuil motorisé et sera bientôt pris en charge dans un centre de rééducation.

Sa tante et sa cousine se mobilisent à Retournac

L'objectif est que Lény puisse retourner chez lui. Mais la maison n'est pas conçue pour un enfant handicapé et des aménagements coûteux sont nécessaires, sa chambre et la salle de bain se situant à l'étage.

Le bonhomme de 6 ans peut compter sur sa famille, notamment sa cousine et sa tante à Retournac qui proposent une animation samedi pour récolter des fonds. Sylvie Robert, la tata, est justement la présidente de Lény pour la vie, une association née au printemps. Quant à Eva, sa cousine, elle a créé une page Facebook pour mobiliser les énergies.

Samedi à partir de 14 heures sur les bords de Loire

Samedi, des jeux pour enfants et des balades en poney sont proposés à partir de 14 heures, à l'aire de pique-nique de La Chaud, au bord de Loire, à Retournac.

A 17 heures, un concours de pétanque en doublettes sera lancé. Le prix est de 10 euros par équipe. le premier lot sera deux lots dégustation avec boissons d'une valeur de 90 euros au restaurant Lou Pinatou à Solignac-sous-Roche.

Le bar-restaurant Le Comptoir de nos pères situé au 32 rue de l'Hôtel-de-Ville, dans le fameux virage du centre-ville, a récemment changé de gérant. Xavier Pichon-Mathieu, qui avait repris l'affaire en 2012, a trouvé un repreneur pour l'établissement en la personne de Fabrice Peyrot.

Fabrice Peyrot s'est porté acquéreur du bar-restaurant. Ce Retournacois d'origine, âgé de 40 ans, a repris les rênes à la mi-juin après une expérience dans le commerce et surtout dans la grande distribution. "C'est une affaire de coeur. C'est un établissement que j'ai toujours fréquenté", signale le nouveau gérant qui s'est entouré d'une nouvelle équipe, à l'exception de Camille Maurin, apprentie en cuisine. Le nouveau chef est Nicolas Olivier et le service en salle est assuré par Fabrice Peyrot et Isabelle Coutanson.

Le bar est ouvert tous les jours, sauf le lundi (jour de fermeture) à partir de 6 h 30. La restauration se fait les soirs d'été, sauf le jeudi et le dimanche, et le midi du mardi au dimanche.

A partir de septembre, la partie restaurant sera ouverte le midi du mardi au dimanche, ainsi que le vendredi soir et samedi soir. "Nous proposons une cuisine traditionnelle et faite maison", revendique le gérant.

Contact : 04 71 59 40 57

Olivier Zanarelli, chanteur de 28 ans, est en pleine éclosion artistique et médiatique. Autant dire que le concert du samedi 30 juillet en plein air à Retournac, sur la place Boncompain, est une chance à saisir pour tous les amateurs de chanson française et de variété. Les connaisseurs lui promettent un grand avenir.

Cet auteur-compositeur-interprète, né à Lyon, vient présenter son premier EP "Rue des vertus" enregistré avec l'équipe de Patrick Bruel et Elodie Frégé. Une chanteuse avec qui il a eu l'occasion de partager la scène en assurant sa première partie.

Il enregistre actuellement l'album de ses rêves, financé grâce à 150 internautes. Ce disque se situe dans un répertoire pop/glamour et sera à découvrir dans les prochains mois.

Zanarelli aime également reprendre les tubes d'hier et d'aujourd'hui, de Claude Nougaro à Stromae.

"J'ai adoré"

"Changer"

Le conseil municipal de Retournac, d'une courte majorité, a décidé de valider l'option de la sérigraphie à l'effigie de Théodore Monod sur le futur préau de l'école maternelle.

Une image de Théodore Monod allongé dans le désert : voilà ce qui apparaîtra sur le futur préau de l'école maternelle de Retournac qui porte le nom du naturaliste, explorateur et humaniste français, mort en 2000.

Un écart de 18 000 euros

Si tous les élus retournacois se rejoignaient sur l'idée de construire un préau supplémentaire à l'école maternelle Théodore-Monod, il y avait deux écoles en ce qui concerne la réalisation d'un brise-vents sur lequel serait projeté le visage de Théodore Monod. La différence concernait surtout le prix : 149 000 euros sans la sérigraphie, et 167 000 euros avec l'option. En sachant que l'estimation du prix des travaux à la base se chiffrait à 165 000... sans la sérigraphie.

Des retombées médiatiques et touristiques ?

L'option a été prise de rajouter la sérigraphie avec 10 voix pour et 8 voix contre. "J'ai bien conscience que c'est un peu cher. Mais en terme de médiatisation, c'est novateur. Cela donne une bonne image de Retournac. On aura peut-être des articles dans le Moniteur (revue spécialisée, NDLR) ou la Gazette des communes", espère Pierre Astor.

Le nouvel équipement va profiter aux enfants de maternelle. L'école compte 192 écoliers, dont 71 en maternelle. Seuls les enfants du primaire bénéficiaient jusqu'alors d'un espace abrité de la pluie et du soleil. Lors des intempéries, les maternelles ne peuvent jouer dans la cour. Le futur préau assurera un abri pour la pluie et le soleil sur l'aire de jeux existante.

L'école de Jussac aussi

L'école de Jussac, qui accueille 23 enfants du CE2 au CM2, va aussi avoir son préau. L'ancien abri a été transformé en 2008 en salle informatique. Un préau de 40 m2 sera bâti sur une partie de la cour et sera relié au bâtiment scolaire par un auvent. Le coût est d'environ 30 000 euros.

Les élus communautaires ont décidé de faire une exception en participant au financement de matériel pour accueillir un médecin à Lapte et sauver la dernière offre médicale sur la commune.

Lundi soir, lors du dernier conseil communautaire avant les vacances, au bord de la piscine de Retournac, les élus de la communauté de communes des sucs ont accordé un soutien financier à la commune de Lapte qui a engagé une action pour attirer un médecin après le départ à la retraite du dernier praticien, le Dr Jean-Pierre Paya, en septembre 2015.

La plupart des pistes mène à des professionnels roumains. Si les premiers contacts sont restés infructueux malgré la générosité des élus laptois pour intéresser un médecin au pays des sucs, une piste semble avancer sérieusement et l'installation pourrait se faire à l'automne. Des démarches ont été entamées avec le conseil national de l'Ordre des médecins.

Un bassin de 3 000 habitants

La mairie de Lapte louerait un local neuf et doit intervenir dans l'achat de matériel médical, estimé entre 7000 et 10 000 euros. La commune a sollicité le soutien de la communauté de communes pour l'aider à financer ce matériel à hauteur de 50 % via un fonds de concours.

Parmi les élus communautaires, l'idée même de tout offrir interroge. Comme Nathalie Sivelle, par ailleurs médecin à Retournac. "Si tu paies tout, c'est comme un enfant trop gâté." Bernard Gallot, maire d'Yssingeaux, président de la CCDS et lui-même médecin généraliste, évoque "une situation très particulière. C'est un peu comme le dernier commerce d'un village qu'il faut sauver. On parle de Lapte mais cela comprend aussi Grazac. C'est un territoire de 3000 habitants."

"On n'a peut-être pas le choix"

Pour Dominique Rouchouze, élu d'Araules, le lien doit être fait avec la future maison de santé. "Lapte-Yssingeaux, c'est 12 km. Avec la maison de santé, on pourrait imaginer une convention pour réaliser des permanences dans d'autres communes. Payer pour faire venir un médecin en libéral, ce sont des politiques qui me perturbent."

"On n'a peut-être pas le choix. On a eu 6 ou 7 candidats. Ils sont venus. Certains paraissaient très intéressés. Mais on a dû faire face à une surenchère financière", indique Jean-Paul Degache, élu à Lapte. A ses côtés, Huguette Liogier confirme : "On a essayé de rester raisonnable. On a peut-être rien perdu si c'est pour avoir quelqu'un qui est plus intéressé par le mercantile que le médical", indique l'adjointe au maire de Lapte en faisant référence à une candidate qui avait présenté un tableau comparatif entre plusieurs communes, avant finalement de ne plus donner signe de vie.

Un salaire assuré pendant deux ans

Bernard Gallot évoque l'exemple de Beauzac : "C'est l'immensité de la tâche qui a fait partir le médecin, ce n'est pas le côté mercantile. Lapte-Grazac, avec 3000 habitants, aurait besoin de 2 médecins et demi. "A Saint-Maurice-de-Lignon, on cherche aussi des médecins. On en a rencontré, mais ce qui est sûr, c'est qu'ils ne veulent plus travailler comme ce qui se faisait avant", 

A Lapte, l'installation d'un médecin, une femme roumaine, pourrait se faire à l'automne. Quel que soit le candidat retenu, le professionnel de santé devrait pouvoir bénéficier de l'aide de l'ARS (Agence régionale de santé) avec un salaire assuré de 6900 euros brut par mois pendant deux ans à la condition de réaliser au minimum 165 consultations par mois.

L'optimisme demeure aussi pour l'installation d'un cabinet de dentiste à Lapte. La commune est en contact avec un cabinet de la Loire.

A Retournac, dans le village de "Sarlanges", une amie des animaux mobilise son énergie pour les bêtes à poils de tous crins.

Ne cherchez pas le chêne, il n'existe pas. L'arbre majestueux qui apporte son ombre bienfaisante sur "Le Refuge de l'écureuil sur le vieux chêne" est un marronnier d'Inde.

Dans son refuge à "Sarlanges" à Retournac, officiellement né en 2014, Sandrine Ribeyron accueille des chats, des chiens, des chevaux, un bouc, un cochon...

"Toute petite, j'aimais les animaux.  J'élevais des grenouilles... Je ne pouvais pas me passer du contact avec les animaux." Pourtant, par la suite, Sandrine sera amenée à travailler dans des secteurs d'activités n'ayant pas de lien avec ces bestioles qu'elle adore.

C'est en 2007 qu'elle saute le pas. Elle crée Anim Auto, une activité de taxi animalier, garde à domicile d'animaux de compagnie, promeneuse de chiens.

Une maison de retraite pour les chevaux

L'idée du refuge prendra corps peu à peu, lorsque, au côté de sa propre jument, deux chevaux (24 et 27 ans) lui sont confiés pour finir leurs jours paisiblement. Lorsque encore des matous perdus, abandonnés, rescapés, arrivent jusqu'à elle.

Un mari bricoleur, de l'énergie à revendre, un coup de pouce de la Fondation Brigitte Bardot (une aide de 1000 euros), l'appui de la mairie de Retournac pour les stérilisations de chats, des dons en nature, l'aide d'une bénévole Emma... Une chaîne s'est mise en mouvement et, aujourd'hui, "Le Refuge de l'écureuil sur le vieux chêne" fonctionne en mode associatif.

Des chats libres d'aller et venir

Des structures astucieuses recoivent dans de bonnes conditions 18 chats. Les félins passent la nuit à l'intérieur d'une maison aménagée dans les moindres détails pour eux. Il ont un accès libre à l'extérieur dans un enclos grillagé. Et, la journée, s'ils ne sont pas en quarantaine pour des soins spécifiques, ils profitent du grand jardin.

Et bientôt les chiens

Croquette, une chienne errante, a fait grossir les rangs de la gent canine, au côté des deux toutous de la maison. Et cette nouvelle arrivée a donné l'idée à Sandrine Ribeyron d'aménager un espace spécifique pour les chiens.

Elle lance un appel aux dons pour l'aider à financer un chalet qui viendra étoffer les possibilités de ce refuge à taille humaine, au fonctionnement familial.

Contacts

Téléphone : 06 80 61 70 94

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