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Ce mercredi 22 juin, à 20 heures, le Festival Impromptu fait escale au Mazet-Saint-Voy avec un choeur de femmes "D'âmes, de coeurs" qui promet de beaux moments. Les choristes se produisent au temple dans un programme  de chansons françaises.

On se régalera de reprises de Barbara, Nicole Croisille, Mouloudji, Claude Nougaro, Georges Brassens, Anne Sylvestre, Julios Beaucarne, Yves Duteil...

Libre participation

Publié dans Loisirs 2016

Le chiffre 7, comme les jours de la semaine, comme l'âge de raison, les couleurs de l'arc-en-ciel. "7" c'est le nom de l'album qui comporte 7 titres et c'est son prix aussi.

En effet, il vous en coûtera 7 petits euros pour écouter les dernières chansons de Franck Gambina accompagné de son complice Guy Véron. Le musicien ardéchois avec qui il chemine, artistiquement parlant, depuis 2009. Et avec qui il a créé en 2015, l'association Cap music dont le but est de produire des maquettes et de composer pour de jeunes artistes.

Amitié, partage, prière
L'album a été dévoilé à La Costette au Mazet-Saint-Voy. Les deux comparses Franck Gambina et Guy Véron l'avouent sans ambages : "Cet album est sans doute le plus abouti. Sa couleur musicale est plutôt folk. On a composé en studio au fur et à mesure. Et les textes parlent surtout d'amitié, de partage, de rencontres."

De ces rencontres qui jalonnent une existence et font du bien, éclairant soudain le présent et donnant des ailes pour aborder l'avenir. Franck Gambina, qui ne fait pas mystère de sa foi chrétienne, envoie dans ses chansons des signaux forts, qui parlent au coeur comme à l'âme.

L'album est disponible à La Costette au Mazet-Saint-Voy et à Intermarché au Chambon-sur-Lignon. L'enseigne chambonnaise a, par ailleurs, facilité l'enregistrement de cet album. Franck Gambina y donnera un mini-concert le samedi 16 juillet.

Publié dans Loisirs 2016

Samedi, les Fatoohi, la famille d’Irakiens hébergés depuis décembre au Mazet-Saint-Voy, ont dit aux revoir aux amis mazetois et du Plateau qui les ont aidés depuis leur arrivée sur le territoire. Ils ont obtenu leur statut de réfugiés et vont s’installer dans l'Est lyonnais, à Vaulx-en-Velin.

L'étape du Mazet, grâce à une chaîne de solidarité, leur a permis d'être accompagnés dans leurs démarches administratives, leur apprentissage de la langue française et, plus largement, a contribué à les familiariser avec la vie quotidienne ici. Une fois installés à Vaux-en-Velin, les Fatoohi vont parfaire leur français et chercher du travail.

Une quarantaine de personnes est venue souhaiter bonne chance dans leur nouvelle vie à Nadeem, Fadya et leurs enfants Fadi, Rand et Rami. Pour l'occasion, 
Fadya avait préparé ses spécialités irakiennes que l'on a pu déguster accompagnées de la bière mazetoise de Mike Rohner.

Publié dans Haut-Lignon
Du 2 au 8 mai, la deuxième édition du festival Après la neige, un festival de théâtre professionnel, entre Haute-Loire et Ardèche, invite à la découverte. Pour grands et petits curieux, au Chambon-sur-Lignon, au Mazet-Saint-Voy, à Saint-Agrève, Tence et Yssingeaux. Au menu, Molière, Victor Hugo, Descartes, Choderlos de Laclos...


Le programe est riche et alléchant. Le voici in extenso. 



Tence, Les Fourberies de Scapin de Molière, lundi 2 mai à 14 heures (scolaires), Gymnase de Tence.

Yssingeaux, L’Intervention de Victor Hugo, mardi 3 mai à 14 h 30 et 20 h 30, au théâtre.

TenceL’Intervention de Victor Hugojeudi 5 mai à 20 h 30, au cinéma. 

Le Chambon-sur-Lignon, Une liaison dangereuse, d’après Laclosvendredi 6 mai 20 h 30, Maison des Bretchs.

Le Mazet-Saint-Voy, samedi 7 mai, salle de la Mairie, spectacles jeune publicLa Sorcière innocente (à partir de 4 ans) à 14 h 30 et Quand je serai Andersen (à partir de 7 ans) à 15 h 30.

Saint-Agrève, Je suis une chose qui pense, solo théâtre/danse/vidéo, d’après Descartes, la nouvelle création de  Se non è vero, le samedi 7 mai à 20 h 30, Salle des Arts.

Le Chambon-sur-LignonLes Fourberies de Scapin de Molièredimanche 8 mai 16 heures, Parc international Cévenol, Salle François-Lods.



Des soirées conviviales

Soirée d’ouverture • Rencontre avec l’équipe du festival • lundi 2 mai à 19 h 30

apéro-buffet offert, gare du Chambon-sur-Lignon.

Soirée bonus • Surprises des artistes • mercredi 4 mai à 19 h 30

libre participation au chapeau, apéro sur réservation, Bar Les Mélèzes, Le Chambon-sur-Lignon. 04 71 59 70 15.

Soirée de clôture • « À l’année prochaine ! » • dimanche 8 mai à 19 h 30

apéritif offert, dîner sur réservation, L’Ours maçon, Tence. 04 71 65 49 99.



Tarifs du festival

Pass pour 4 spectacles : plein tarif 25€ / étudiants, chômeurs, moins de 18 ans 20€

Pass pour 3 spectacles (sans L’Intervention) : plein tarif 20€ / étudiants, chômeurs, moins de 18 ans 15€

Pour chaque spectacle tout public : plein tarif 11€ / étudiants, chômeurs, moins de 18 ans 8€

Spectacles pour le très jeune public : tarif unique 4€

Groupes (scolaires/maisons de retraite) : tarif unique 4€, gratuit pour les accompagnateurs



Réservations

Auprès de l’office de tourisme du Haut-Lignon


Le Chambon-sur-Lignon 04 71 59 71 56

Le Mazet-Saint-Voy 04 71 65 07 32

Tence 04 71 59 81 99

La réservation est très fortement recommandée pour toutes les manifestations, y compris les soirées de rencontre conviviale.


Publié dans Loisirs 2016
Le GIE (groupement d'intérêt économique) des producteurs de fruits rouges des Monts du Velay, dont le siège est à Saint-Jeures, ne compte pas pour des prunes dans le paysage agricole.


Le GIE est fort de 
44 adhérents, emploie 3,5 salariés permanents et 10 saisonniers. L'activité, en 2015 (excellente année), a généré 5 millions d'euros de chiffre d'affaires, un résultat en hausse de 22 % par rapport à 2014.

En 2015, le GIE a écoulé 571 tonnes de fraises (+120 tonnes qu'en 2014), 171 tonnes de framboises, 157 tonnes de groseilles, 58 tonnes de mûres, 16 tonnes de myrtilles, 15 tonnes de mirabelles, 7 tonnes de cassis, 7 tonnes de cerises, 6 tonnes d'abricots. "Les rendements comme les rémunérations des producteurs en découlant ont été très corrects", confirme le président Eric Pauchon.


Vers des cultures raisonnées de fruits rouges
L'expérience de vente directe de fruits rouges et produits dérivés, menée l'été 2015, dans le magasin créé à cet usage à Pouzols, à Saint-Jeures, au siège du GIE, a séduit les consommateurs. Les touristes ont constitué le gros de la clientèle. Cet été, en juillet et août, le dispositif sera donc reconduit.

Sur un plan technique, deux axes de travail mobilisent les producteurs du GIE.

Dans un contexte où seulement 1,25 % du chiffre d'affaires est constitué par une production en bio, le GIE accèlère son travail sur la recherche de méthodes alternatives à la production conventionnelle. En pratique, cela signifie que, en 2013, 2014 comme 2015, un nombre encore plus important de producteurs a mis en place des traitements à base de décoctions et aux extraits de plantes.


De nouvelles installations, côté Ardèche
Le développement des cultures de fraises et de framboises en jardins suspendus s'est confirmé.

Signal positif, de nouvelles installations en production de fruits rouges sont signalées, une à Montregard en Haute-Loire, une à Mars en Ardèche. De plus, de nouveaux adhérents sur le versant ardéchois confirment l'attractivité du GIE.
Publié dans Actualités 2016
Les propos de Gilles Baix, le président de l'office de tourisme intercommunal du Haut-Lignon, lors de l'assemblée générale, ont fait l'effet d'une douche froide. Le budget de la Halle fermière du Mazet-Saint-Voy, déficitaire, pèse sur l'avenir de cette structure atypique qui combine un magasin de producteurs et artisans à une antenne de l'office de tourisme.

Le bâtiment à l'architecture originale appartient à la commune du Mazet-Saint-Voy qui le loue (pour la somme de 1200 euros par an), à l'office intercommunal de tourisme qui en assure le fonctionnement, avec une ouverture onze mois de l'année. Il y emploie une salariée.


"Il ne faut pas parler de fermeture"
Le chiffre d'affaires généré de 100 000 euros ne permet pas d'équilibrer, loin s'en faut, les comptes. Pour ce faire, il faudrait atteindre les 140 000 euros. L'idée de fermer la structure est avancée ou plus exactement de ne plus financer l'emploi de la salariée qui y travaille. Et ce dès lors que le contrat "emploi tremplin Auvergne" qui contribue à alléger le coût de ce poste pour la collectivité sera terminé dans deux ans.

Une solution que ne voit pas d'un bon oeil la municipalité du Mazet. Alain Debard, élu du Mazet, vice-président de la com'com' en charge de la culture, de la communication et du tourisme, se veut rassurant : "Il ne faut pas parler de fermeture. Il faut se mobiliser pour créer les conditions d'augmentation du chiffre d'affaires. Il existe une marge de développement."


Mieux mettre en valeur la Halle fermière
Nancy Epalle-Saby, la directrice de l'office de tourisme du Haut-Lignon, est pragmatique. "La Halle fermière nous coûte, sans compter le salaire de la salariée, 3000 euros par mois. Il y a certainement des actions à mener pour mieux "vendre" la Halle. Marie-Hélène Huart, membre du conseil d'administration de l'office, ancienne commerçante, a donné quelques idées judicieuses dans ce sens. Nous avons participé à une opération de promotion touristique de la Haute-Loire à Lyon la semaine dernière, au centre commercial des Confluences, où nous avons mis en valeur les productions fermières que l'on propose à la Halle."

Et la directrice d'ajouter : "La halle fermière est une structure qui a été novatrice en son temps, et à laquelle les producteurs sont très attachés. Dans un contexte où les budgets des collectivités sont contraints à des économies, nous tirons la sonnette d'alarme à un moment où il est encore possible de redresser la barre."


La Halle fermière Le Mazet-Saint-Voy

Une boutique de produits du terroir et d'artisanat local : charcuterie, fromages, confitures, miels, vins, oeufs, foie gras, champignons, escargots, châtaignes, liqueurs, viande d'agneau, de lapin etc. Poterie, lave émaillée, cuir, bois, photographie etc.

Les horaires
Avril et mai : mardi de 15 à 18 h 30; mercredi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 15 à 18 h 30; dimanches et jours fériés de 10 à 12 heures.

Juin et septembre : mardi de 14 h 30 à 18 h 30, mercredi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 18 h 30; dimanches et jours fériés de 10 à 12 heures.

Juillet et août : lundi de 14 h 30 à 19 heures; mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 19 heures; dimanches et jours fériés de 10 à 12 heures.

Octobre à mars : du jeudi au samedi de 10 à 12 heures et de 15 à 18 heures; dimanches et jours fériés de 10 à 12 heures.

Fermé en janvier


Plus d'infos sur le site de la Halle fermière ici

Publié dans Haut-Lignon
Luc Crépy, l'évêque du diocèse du Puy-en-Velay, a poursuivi ce vendredi sa visite sur le Haut-Lignon par Le Mazet-Saint-Voy, une étape qui revêtait un caractère symbolique à bien des égards.

Ce vendredi après-midi, l'évêque du Puy était reçu, en mairie, par Bernard Cotte et une partie de son équipe municipale, dans ce village où le culte catholique n'est plus célébré depuis des lustres. Le premier magistrat, dont on connaît la foi protestante et l'attachement viscéral à la laïcité, avait accepté de rencontrer le représentant de l'église catholique dans les murs de la maison commune. 

Toutefois, une étape, non programmée dans l'emploi du temps déjà très serré de Luc Crépy, s'est ajoutée in petto. La délégation s'est rendue dans la "si mignonne église" de Saint-Voy pour reprendre les mots de l'évêque.

Alain Debard jouait volontiers le guide, livrant des informations sur l'histoire particulière de ce lieu. En effet, ce sont les Diaconesses de Reuilly, des religieuses protestantes, qui veillent sur cette charmante petite église romane dont les ouvertures suivent  la course du soleil.

Une première historique...

Bernard Cotte signalait avec malice : "Ma caution historique Alain Debard n'étant pas affirmatif, je ne dis donc pas que Luc Crépy est le premier évêque à poser les pieds au Mazet. Mais ce qui est certain, c'est que, de mémoire d'homme, aucun évêque n'y était venu."


Les autres rendez-vous de l'évêque du Puy sur la paroisse de Tence. 

Samedi 5 mars

- 9 h 30-11 heures : rencontre des enfants du catéchisme de l'école publique à la maison Saint-Jean à Tence

- 10 h 30-11 heures : rencontre avec les parents des catéchèses

- 11 heures : rencontre de l'Action catholique des femmes en rassemblement à Tence

- 14 heures-16 h 30 : rencontre ouverte à tous salle Marie-Bonnet à Tence (sous la maison de santé)

- 17 heures : messe à l'église de Tence
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La chronique d’une famille de Mazelgirard au Mazet-Saint-Voy fourmille d’informations sur la météo de 1722 à 1870. Et réserve des surprises.

Josette et Louis Monnier ont non seulement la chance de vivre dans une belle demeure typique, mais ils ont le privilège rare de disposer d’archives relatant la vie quotidienne des anciens propriétaires de leur maison, entre 1722 et 1870.
Ces chroniques rédigées par les habitants de l’époque, ils les avaient confiées à l’historien Christian Maillebouis qui les a publiées, rassemblées sous le nom de « La chronique "Deschomets" de Mazelgirard, près de Tence, en Velay ».
Elles livrent une multitude de détails sur la vie paysanne, les travaux des champs, les étapes de la construction des bâtiments...  Les observations météorologiques y tiennent une place de choix.


On y découvre en particulier que certains hivers, à l’image de celui que nous traversons actuellement, la météo pouvait être assez clémente et la neige se faire attendre.
On lit, pour l’année 1844 ceci : « Il n’a pas beaucoup tombé de neige mais les blés ont reçu de grands dommages des gelées de l’hiver. Le printemps a été sec, surtout avril et jusques la fin de mai qu’il a un peu tombé de la pluie, puis le 20 de la neige. Le 27, il tombait quelque de neige. L’automne a fait bien beau temps. L’hiver a commencé bien froid mais cela n’a pas duré puis il a fait beau temps.»


On poursuit en douceur encore au début 1845 : « Le commencement de l’année a été bonne. La neige n’a tombé que le 15 de janvier. Et encore il ne faisait pas froid mais le 21  il burlait bien en sorte qu’il n’y a point eu de foire à Tence. (Le 21 janvier était la date de la première foire de l’année à Tence). Et après la burle, de forts brouillards givrés. »

De même en 1846 : « L’hiver a été des meilleurs, sans neige ni presque de gelées. Les personnes ont presque bêché et labouré tout le temps, en janvier, février et mars. » Ce qui n’excluait pas des épisodes neigeux tardifs. « Il a tombé de la neige le 18 avril, tout le jour, bien fortement mais il ne gelait pas en sorte qu’il en fondait continuellement. »

1722-1870. La chronique "Deschomets" de Mazelgirard, près de Tence, en Velay a été publiée par Christian Maillebouis Le Volamont 43520 Le Mazet-Saint-Voy
A retrouver sur le site : maillebouis.free.fr
Publié dans Haut-Lignon
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