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Samedi 10 décembre, à 20 h 30, grands et petits sont conviés à une soirée contes et musique, salle sous la mairie du Mazet-Saint-Voy. Cet intermède sera animé par les conteuses du collectif des Villettes Konsl'Diz.

Manue Gracia et Marie-Pierre Tourron évoqueront "Petits et grands héros" au fil de cette soirée à vocation familiale organisée par l'association des parents d'élèves, le comité d'animation du village et le RISOM.

Entrée gratuite. Conseillé dès 5 ans.

Un atelier de pratique théâtrale, ouvert à tous, dès 15 ans, sans pré-requis, pour parfaits néophytes comme pour ceux qui ont déjà tâté des arts de la scène, voilà la proposition de Moulinage Cie.

Cette troupe, fraîchement installée sur le Plateau, n'est pas née d'hier. Elle a vu le jour en 1999 en Haute-Saône sous le nom La Cotonnière, y a oeuvré 16 ans au service de la mémoire textile, a migré quatre années à Montreuil pour aller à la rencontre d'autres publics.

Puis le couple qui préside à ses destinées, Catherine Gautier et Patrick Plaisance, a choisi de poser ses tréteaux sur le Plateau Vivarais-Lignon. Cette décision découle de deux rencontres décisives, l'une avec Jean-François Manier lors des Lectures sous l'arbre, l'autre avec Jacques Livchine, un pionnier du théâtre de rue en France, natif du Chambon-sur-Lignon.

Première rencontre vendredi 28 octobre

Le couple résidant au Mazet-Saint-Voy, l'idée d'y créer des ateliers s'est imposée comme une évidence. "L'objectif est la découverte théâtrale par une approche des pratiques comme l'improvisation, le théâtre de rue, les différentes techniques de plateau, des jeux... Et ceci avec la volonté de favoriser la rencontre intergénérationnelle."

Vendredi 28 octobre à 18 heures, salle sous la mairie au Mazet-Saint-Voy, Patrick Plaisance convie à une réunion d'information pour proposer la création de ces ateliers.

Deux heures par semaine

A raison de deux heures chaque semaine (hors vacances scolaires) à des horaires à définir avec les participants, ces ateliers prendront pour cadre la salle sous la mairie au tarif de 60 euros (réduit à 40 euros pour les demandeurs d'emploi), ainsi qu'une adhésion de 15 euros (réduit 8 euros).

Contact : 06 84 07 80 82

Pierre-François Renouf, 36 ans, est ingénieur du son et il ouvre un studio d'enregistrement au Mazet-Saint-Voy. Il est à la recherche de voix pour des documentaires et des films d'animation.

Pierre-François Renouf, aux racines appelouses, était jusqu'alors basé à Lyon où il est ingénieur du son tout en enseignant dans une école de cinéma à Arles. Avec son épouse architecte Linda Aydostian, ils ont retapé une ferme aux Vastres, en ont fait leur résidence secondaire sur un territoire qui les a séduit : "On est au départ deux amoureux de l'Ecosse et on a retrouvé ici des paysages qui nous rappellent ce pays."

L'envie de créer un studio d'enregistrement à la campagne

L'idée de pouvoir travailler sur le secteur a pris corps peu à peu. Lynda a commencé à installer en partie son cabinet d'architecte aux Vastres. Puis, l'envie de créer un studio d'enregistrement s'est imposée pour Pierre-François.

Pas question de mobiliser leur repaire aux Vastres pour cela, mais plutôt de dénicher une maison au coeur d'un village. "ll est important de pouvoir loger les comédiens qui le souhaitent et qu'ils ne soient pas coupés du monde, qu'ils puissent bénéficier d'un environnement villageois où il est possible d'aller prendre un café au bar, acheter son pain, déjeuner au restaurant..."

Tous les types de voix sont appréciés

C'est donc au Mazet-Saint-Voy, montée du temple, que la maison idoine a été trouvée. Elle est en cours de rénovation et, sous la belle charpente de la grange, un cube s'est glissé. C'est le studio d'enregistrement conçu dans les régles de l'art avec un beau volume.

Pierre-François Renouf recherche donc des voix, plus exactement des voix de comédiens. "J'ai besoin de me constituer une bibliothèque. Je lance un casting de comédiens afin de pouvoir proposer des voix de la région à mes clients." Les besoins sont larges. Tous les styles de voix sont appréciés, voix typées, classiques, jeunes, âgées, masculines, féminines, enfantines...

Des bruitages recueillis en milieu naturel ou créés en studio

En effet, Pierre-François Renouf intervient sur des films d'entreprise mais il a aussi à son actif une série "Les Odyssées sonores". Il s'agit des adaptations audio de contes pour enfants. Les ambiances et les bruitages réalistes sont recueillis en milieu naturel ou créés spécialement en studio. Les voix des comédiens interviennent dans cet univers sonore.

Courriel : studio@phoneme.fr

Voir la page Facebook des Odyssées sonores

Une vidéo sur le making off d'une Odyssée sonore, "La Petite Sirène"

Bernard Cotte a réuni son conseil municipal vendredi soir autour d'un ordre du jour resserré. Un sujet principal, particulièrement important pour la vie du Mazet-Saint-Voy, justifiait cette séance : le financement du projet de salle à vocation culturelle.

A la suite de la décision de Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, de ne pas honorer une subvention de 200 000 euros pour la construction d'une salle culturelle au Mazet-Saint-Voy (lire ici) d'un coût global de 900 000 euros, Bernard Cotte a pris l'attache d'un avocat d'une part et de Christine Hacques la sous-préfète d'autre part.

Pour le premier aspect, le dossier complet a été remis au conseil de la commune le 30 août. Il est actuellement examiné en vue d'une action devant le tribunal.

Une écoute attentive de la sous-préfète

Pour le second aspect car il s'agit bien d'avancer (sans attendre le résultat d'une procédure contentieuse qui risque d'être longuette) pour boucler le financement de la salle, le premier magistrat se félicite : "Nous avons eu une oreille attentive de la part de la sous-préfète".

Une écoute attentive qui pourrait déboucher sur une première possibilité de financement supplémentaire de la part de l'Etat.

54 000 euros attendus

En effet, le conseil a délibéré pour demander une "troisième tranche de dotation d'équipement aux territoires ruraux (DETR) au titre des finitions" pour un montant de 54 000 euros.

D'autres pistes de financements complémentaires destinés à combler le manque à gagner lié à la décision de la nouvelle équipe à la tête de la Région sont explorées en parallèle.

Musiques en Vivarais-Lignon s'est refermé en beauté samedi soir au Mazet-Saint-Voy avec un concert attirant plus de 300 personnes venues applaudir le violoncelliste Edgar Moreau et l'orchestre d'Auvergne.

Le temple recevait comme à l'accoutumée ce dernier rendez-vous du festival qui chemine entre Ardèche et Haute-Loire depuis le 15 août, financé grâce aux communautés de communes du Haut-Lignon et de Val'Eyrieux.

Cet ultime concert est toujours très suivi au Mazet mais cette année, il était d'autant plus attendu que l'affiche se révélait exceptionnelle. Edgar Moreau, prodige du violoncelle, populaire et médiatique, se produisait avec l'orchestre d'Auvergne. Cette formation chère aux coeurs des Altiligériens, fidèle du festival Musiques en Vivarais-Lignon, est placée sous la direction exigeante de Roberto Fores Veses.

Le programme invitait des oeuvres de Bach, Haydn, Mendelssohn et Beethoven pour le plus grand bonheur des auditeurs, transportés par l'interprétation brillante, colorée et impétueuse d'Edgar Moreau, soutenue à merveille par ces complices musiciens.

Aussi, le vénérable édifice était archi comble avec un confort d'écoute qui reste relatif. Une affluence qui ne peut que conforter la collectivité dans son projet de créer une salle de spectacle sur la commune comme le soulignait en introduction à la soirée Alain Debard, élu du Mazet, vice-président de la communauté de communes du Haut-Lignon. 

Ce dimanche 14 août, la rencontre annuelle de La Favéa au coeur de la forêt du Lizieux, à l'initiative du Consistoire de la Montagne, poussait à la réflexion autour des valeurs du protestantisme et invitait à l'engagement.

Ce rendez-vous annuel renvoie à l'histoire du protestantisme sur le Plateau. Dans une clairière sous le pic du Lizieux, entre Le Mazet-Saint-Voy, Araules et Freycenet de Saint-Jeures, se tenaient les cultes clandestins imposés par la révocation de l'édit de Nantes en 1685.

Ce dimanche après-midi, dans la fraîcheur bienfaisante des sous-bois, sous les hêtres et les sapins, le Consistoire de la Montagne (les églises protestantes unies de Devesset, Le Chambon-sur-Lignon, Le Mazet-Saint-Voy, Le Puy, Saint-Agrève, Tence, Yssingeaux) organisait la rencontre de La Favéa sur ce site des cultes du Désert.

Se souvenir sans commémorer officiellement

Bernard Valla, représentant le Consistoire de la Montagne, rappelait en prélude : "Nous réunir une fois par an sur un lieu emblématique est la façon protestante de nous souvenir que nous devons notre existence et notre liberté au courage et aux sacrifices consentis par nos pères, sans toutefois en faire une commémoration officielle."

Bien sûr, les sentiments animant les personnes réunies dans cette assemblée pacifique n'ont plus rien à voir avec ceux de leurs ancêtres persécutés pour leur foi. Pour autant, la peur, la peur de l'inconnu, du différent, du divergent, est bien là. La peur de la folie meurtrière, de l'attentat qui frappe partout, n'importe qui, est cruellement présente. Cette peur qui ne grandit pas mais pousse au mieux au repli sur la sphère intime, au pire au rejet violent de l'autre.

Craindre ses loups intérieurs plutôt que les autres

"Qui a peur de qui?" interrogeait le pasteur Jean-Pierre Sternberger à travers sa percutante prédication prenant appui sur le Livre de Jérémie dans l'Ancien Testament.

La prédication s'ouvrait et se refermait sur le texte de la chanson "Les loups sont entrés dans Paris" de Serge Reggiani. "Et si c'était une nuit Comme on n'en connut pas depuis, Depuis cent mille nuits. Une nuit de fer, une nuit de sang ... Les hommes avaient perdu le goût De vivre, et se foutaient de tout Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas Pour eux c'était qu'du cinéma Le ciel redevenait sauvage, Le béton bouffait l'paysage..."

Le pasteur lançait in fine : "On craint les loups de l'extérieur, mais ils sont plus dangereux encore nos loups du dedans."

Des pommiers à planter inlassablement avec Luther...

En première partie de rencontre, la  conférence donnée par le professeur Marc Lienhardt sur le sujet "Luther en son temps et de nos jours", permettait de mieux cerner une personnalité majeure dans l'histoire de la Réforme, tranchée, pas du tout ouverte à la pluralité des doctrines et malaisée à cerner pour le commun des mortels. Marc Lienhardt s'est attaché à replacer l'homme et ses idées dans le contexte de son époque puis à en restituer toute l'actualité.

On retiendra volontiers cette phrase qui invite à l'action tenace et optimiste, que l'on prête à Martin Luther : "Même si demain est le dernier jour, je planterais aujourd'hui un pommier".

"Et il y a encore beaucoup de pommiers à planter !" signalait le conférencier.

Dans toute la fraîcheur de leur jeunesse, Sébastien Augsburger et Maïlys Gros composaient un ravissant tableau à l'heure de se dire "oui" en mairie du Mazet-Saint-Voy ce samedi après-midi.

Sébastien, 21 ans, originaire de Montélimar dans la Drôme, développeur en informatique, fils de Fredy et Liliane Augsburger, a épousé Maïlys, 23 ans, infirmière, fille de Frédéric et Irène Gros du Bouchat au Mazet-Saint-Voy.

Du 15 au 27 août, avec Musiques en Vivarais-Lignon, les solistes internationaux, de jeunes talents associés à des ensembles de tout premier plan, feront vibrer tout un territoire, entre Ardèche et Haute-Loire.

Les voix exceptionnelles de Léandro Marziotte et Shigeko Hata, de magnifiques jeunes ensembles tel Plurium, ou Il Delirio Fantastico, d’autres plus anciennement connus comme Magnifica et l’Orchestre d’Auvergne ou encore le jeune prodige du violoncelle Edgar Moreau forment le corps d'une édition relevée.

Dans les temples et les églises

Selon un usage bien établi et apprécié du public, les concerts prennent pour cadre églises et temples et combinent des représentations payantes (20 euros, réduit 12 euros) à des rencontres à libre participation. A signaler aussi que l'accès est gratuit, à tous les concerts, pour les élèves des écoles de musique de moins de 18 ans sur présentation de la carte d’élève.

Avec l'Orchestre d'Auvergne

Il est prudent de réserver sans tarder sa place pour le final de cette édition avec le violoncelliste Edgar Moreau dont l'image de sa prestation lors de la cérémonie aux Invalides en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre reste dans bien des mémoires. Prix Rostropovitch à l’âge de 15 ans, soliste 2013 aux Victoires de la musique classique à 19 ans, ce musicien est prodigieux. C'est une réelle chance de pouvoir l'apllaudir sur le territoire.

Samedi 27 août, à 21 heures, au Mazet-Saint-Voy, il se produit avec l’excellent Orchestre d’Auvergne, un habitué au festival, sous la direction de Robert Fores-Veses. L'orchestre donne cet été deux concerts exceptionnels avec Edgar Moreau… dont celui du Mazet-Saint-Voy.

Les quatre concerts payants à 21 heures

Mardi 16 août

Eglise de Tence Léandro Marziotte et l’ensemble Plurium.

Cantates de Bassani pour voix de contre-ténor sous la direction de Clotilde Gaborit, le jeune ensemble de musiques anciennes Plurium, donnera en création 2016 spécialement pour le festival, les cantates de Giovanni Bassani avec le contre-ténor Léandro Marziotte dont la voix exceptionnelle de profondeur et de sensibilité devrait sublimer l’expressivité de ces musiques baroques italiennes du début du XVIIIe siècle.

Vendredi 19 août

Eglise de Saint-Agrève Il Delirio Fantastico Vivaldi et l’Allemagne.

Un ensemble de sept musiciens à la fougue communicative dans un programme aux violons virtuoses du maestro Vivaldi, associé à Teleman et à J.F Bach. Un programme étourdissant que l’ensemble vient d’enregistrer en CD.

Déjà applaudi lors de ses premières années d’existence sur le festival, Il Delirio Fantastico, dirigé par Vincent Bernhart se produit désormais sur les plus grandes scènes européennes.

Jeudi 25 août

Eglise du Chambon-sur-Lignon Shigeko Hata et l’ensemble Magnifica.

Une communication musicale rare, aux couleurs chaleureuses et délicates entre le quintette à vents et la voix majestueuse de Shigeko Hata. La soprano japonaise a choisi avec l’ensemble Magnifica de très grands airs lyriques qui devraient ravir les auditeurs : Haendel mais aussi Gounod, Bizet, Puccini, Catalani, Mascagni...

Samedi 27 août

Temple du Mazet-Saint-Voy Edgar Moreau et l’Orchestre d’Auvergne.

Le prodige du violoncelle jouera des concertos de Haydn, Mendelssohn, Beethoven...  Ce concert est réalisé avec le soutien du mécène Saint-Gobain.

 "Les heures avec" à libre participation à 18 heures

Lundi 15 août

Eglise de Saint-Jeures pour "Hors des sentiers battus". Un duo de violoncelle et de contrebasse, rare, talentueux et éclectique... du baroque à aujourd’hui avec Marion Picot et Jean-Baptiste Morel.

Mercredi 17 août
Eglise de Devesset pour "La guitare des annees 30… vers le jazz" par Lionel Rascle.

Jeudi 18 août
Eglise de Saint-Jeure-d’Andaure , un récital de contrebasse par Julien Matthias.

Samedi 20 août
Temple de Mars, le quatuor Yeta et les musiques du monde.

Dimanche 21 août
Eglise du Mas de Tence L’Estudiantina, un ensemble rare de mandolines et guitares.

Lundi 22 août
Salle Jean-Boit d’Intres, le Duo Népenthes, familier du festival. Violoncelle et guitare pour un répertoire de musique classique espagnole : Granados, De Falla, Albeniz…

Mardi 23 août
Salle des Fêtes de Rochepaule, un récital d’accordéon par Roman Jbanov autour de la musique russe et européenne.

Mercredi 24 août
Eglise de Saint-André-en-Vivarais, Lo Barrut, un ensemble de chanteurs « Nouvelle polyphonie occitane ».

Vendredi 26 août
Eglise de Chenereilles, le gracieux Duo Hermès., flûte traversière et harpe pour un répertoire de « Musique française ».

Infos pratiques

Renseignements et billetterie dans les offices de tourisme

• Le Chambon-sur-Lignon
04 71 59 71 56

• Tence
04 71 59 81 99

• Le Mazet Saint-Voy
04 71 65 07 32

• Saint-Agrève
04 75 30 15 06

Autour de la Grande guerre, deux propositions de la SHM : "Fusillés pour l'exemple", une exposition au Mazet-Saint-Voy jusqu'au 28 août et le film "Le Pantalon" de Yves Boisset mardi 9 août au Cinéma Scoop du Chambon-sur-Lignon.

Ils s'appelaient Anselme Chambonnet, Gaston Cochet, Alexandre Crémilleux, Louis Féroussier, Claude Magnouloux, Joseph Maire, Pierre Mestre, Régis Rochelimagne, Pierre Servel, Jean-Pierre Soulier, Jean Tachon, Baptiste Veysseyre. Ils étaient nés en Ardèche ou en Haute-Loire, à Beaulieu, Colombier-le-Jeune, Saint-Fortunat, Saint-Privat d'Allier... Ils ont perdu la vie dans la grande boucherie de 14-18. Pourtant leurs noms ne figurent pas sur les monuments aux morts de leur commune.

Ils sont douze des 600 "fusillés pour l'exemple" durant la Grande guerre. Ces soldats ont été exécutés pour des délits tels qu'abandon de poste, mutilations volontaires, mutineries... dans un souci d’exemplarité visant à maintenir les troupes en parfait état d’obéissance. 

Jusqu'au 28 août, dans sa grange de L'Aulagnier Petit au Mazet-Saint-Voy, sous l'égide de la Société d'histoire de la Montagne (SHM), Jacques Julien présente une exposition "Fusillés pour l'exemple" qui vise à nourrir la réflexion et la connaissance de ces événements relativement méconnus.

Jacques Julien ne prétend pas à l'exhaustivité, sauf pour les six Ardéchois et les six Altiligériens, mais présente une soixantaine de ces cas.

Une bibliographie complète la proposition, depuis "Fusillés pour l'exemple" la somme d'André Bach ou encore les ouvrages de Jean-Yves Le Naour, spécialiste de la Première guerre mondiale.

Pour prolonger la réflexion, ce mardi 9 août, à 20 h 45, au Cinéma Scoop du Chambon-sur-Lignon, la SHM présente le film "Le Pantalon" (d'après le livre d'Alain Scoff) de Yves Boisset (voir la bande annonce ci-dessous).

L'exposition est visible jusqu'au 28 août, tous les jours (sauf le mardi) de 14 à 18 heures.

Contact : 04 71 65 09 65

"Le Pantalon" de Yves Boisset

Dimanche après-midi, le défilé qui constitue le point d'orgue de la traditionnelle Foire du terroir du Mazet a bénéficié d'une météo parfaite et de figurants au top, fédérés autour du thème populaire des personnages de bandes dessinées. 

Les badauds se sont pressés par milliers pour applaudir le défilé costumé soigneusement préparé par les habitants du Mazet-Saint-Voy, mêlant joyeusement les générations. Il faut dire que l'équipe municipale montre l'exemple. On a ainsi pu découvrir le premier magistrat en cow-boy, Alain Debard en impassible chef sioux, Marianne Mermet-Bouvier en tenancière de saloon, inspiré de Blueberry

Le vide-greniers a réuni 300 exposants. 360 repas ont été servis dimanche midi et 400 sarassous, samedi soir, sous la houlette de l'association des parents d'élèves et le club de foot du Mazet-Chambon.

Retrouvez le défilé en photos. Faites défiler les images ci-dessus.

Le défilé en vidéo