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Deux occasions d'échanger autour de la question du loup, sujet sensible s'il en est, qui cristallise les crispations entre une bonne partie du monde agricole et les tenants de la cohabition avec cet animal chargé en symbolique.

Jeudi 26 mai, à 20 h 30, au Cin'étoiles de Sainte-Sigolène et vendredi 27 mai à 20 h 30 au Ciné-Tence, les projections du film "La Gueule du loup" de Jérôme Ségur seront prolongées d'un débat avec le réalisateur et Manoël Atman de Langogne, le président de l'association "Alliance avec les loups".

A la rencontre de tous, sans prendre parti
Ce document plonge le spectateur au cœur de la problématique, sans prendre parti. Incarnation de la nature, le loup a fait son retour, notamment dans le Sud de la France, suscitant d'importants débats entre les éleveurs et les défenseurs de la vie sauvage.

Le réalisateur est allé à la rencontre de ces différents protagonistes, qui s'opposent parfois avec violence. Sur le sujet, bergers et écologistes semblent irréconciliables et ce documentaire ne prétend pas apporter de solution à une hypothétique coexistence pacifique. Il se contente de suivre à la trace et d'écouter avec la même empathie les « pro » et les « anti », dont certains semblent tout droit sortis d'un film de Marcel Pagnol.


Film "La Gueule du loup" de Jérôme Ségur, durée 1h20.

Pour en savoir plus sur Alliance avec les loups, c'est ici

L
a bande annonce du film ci-dessous

Publié dans Actualités 2016
Le chien trouvé à Tence dans un piteux état, présentant une vilaine blessure à l'oeil (pour lequel nous avions d'abord relayé un avis de recherche de maître, puis raconté la triste histoire à lire ici) a été opéré ce mardi. Il a perdu un oeil mais il est entre de bonnes mains et se remet doucement.

Le vétérinaire qui l'a pris en charge a établi un certain nombre de constatations qui confirment que la blessure du paisible animal, dont l'oeil était sorti de son orbite, n'avait rien de naturelle.

Le vétérinaire écrit ceci : "Ce chien avait des lésions importantes condamnant son oeil gauche et une plaie de 2 cm de long sur le haut du crâne, ainsi que de la fièvre. [...] Aucune trace de croc n'a été observée autour de l'oeil lors de la chirurgie d'énucléation. L'oeil était sorti de son orbite, cela étant probablement dû à un choc sur le crâne. Du fait de l'aspect et de la localisation des blessures, un accident de la voie publique apparait peu probable."

L'association ACAMA (association contre l'abandon et la maltraitance animale) qui a recueilli le border collie lance un appel aux dons pour aider au financement de l'opération et des soins.

ACAMA  Lieu-dit Vacheresse 43 520 Le Mazet-Saint-Voy

Voir le site de l'ACAMA ici
Publié dans Actualités 2016
Ce dimanche matin, l'enseigne Intermarché de Chadrac, profitant des opportunités offertes par la nouvelle réglementation relative au travail le dimanche, ouvrait sa surface de vente jusqu'à 12 h 30. Et la CGT se mobilisait pour alerter les consommateurs.

Les arguments de la CGT
Craignant l'effet tache d'huile sur les autres enseignes de grande distribution de l'agglomération ponote et d'ailleurs, la CGT, branche "commerce et services", avait mobilisé ses troupes pour une action sur le parking du magasin.

Les clients potentiels de la grande surface ainsi que ceux (fort nombreux dans un contexte de relative pénurie de carburant) se dirigeant vers la station-service, se voyaient remettre un tract résumant la position de la centrale syndicale. Le document invitait les consommateurs à boycotter ces ouvertures et à faire montre de solidarité avec les salariés.

"Le travail le dimanche, c'est toujours non! Le repos hebdomadaire doit demeurer le dimanche. Les salariés de la grande distribution ont droit à une vie de famille, à avoir la possibilité de pratiquer des activités culturelles, sportives, associatives..." 

Au-delà de l'aspect qualité de vie des salariés, la CGT conteste le bien-fondé pour l'économie de ces ouvertures dominicales des commerces. "Le chiffre d'affaires réalisé le dimanche reste faible. Et ce qui est dépensé le dimanche ne le sera pas le lundi."

De plus, le syndicat reste perplexe sur la notion de volontariat. "On sait ce que signifie ce volontariat dans certaines entreprises. Le salarié est rarement en position de force."

Les arguments du responsable d'Intermarché
Pour Philippe Bertuel, le patron de l'Intermarché de Chadrac, cette ouverture est une nécessité pour endiguer une perte de parts de marché. "Si tout le monde ferme le dimanche, je fermerais bien volontiers. Mais lorsque je vois que des enseignes comme Grand Frais et Leader Price sont ouverts le dimanche, les règles de la concurrence sont faussées."

Et le PDG de préciser." Les personnes qui travaillent ce dimanche sont volontaires pour le faire. Sur les vingt salariés occupés ce dimanche matin, quatre font partie des effectifs permanents et seize sont des étudiants recrutés spécialement. Je verse une prime de 40 euros par dimanche travaillé et règle les heures supplémentaires ou complémentaires le cas échéant."

L'entreprise emploie 85 personnes, soit 55 emplois en équivalent temps plein.

Et les consommateurs?
Sur ce territoire fortement marqué par le catholicisme, à l'heure où une messe réunissait dans la cathédrale les confréries de pénitents de France, il était toutefois bien difficile de savoir si les consommateurs étaient sensibles aux arguments développés.

Publié dans Actualités 2016
Les syndicats CGT, CFTC, FO, FSU et Solidaires appelaient, ce mardi, à un nouveau rassemblement contre la loi Travail. Ce matin, un petit millier de manifestants se sont retrouvés au Puy-en-Velay pour marquer leur désaccord persistant contre cette loi désormais votée par l'Assemblée nationale, après un passage en force du gouvernement avec le recours à l'article 49.3.

Les syndicats appellent à un nouveau rassemblement ce jeudi 19 mai au Puy-en-Velay.
Publié dans Actualités 2016
L'Yssingelais Olivier Suc crée du mobilier et des objets décoratifs en béton. Ces pièces uniques sont bien loin de l'image mastoc que peut renvoyer ce matériau banal dans la construction. On peut les découvrir actuellement, en primeur, sur la Foir'expo d'Yssingeaux.

Le designer du pays des sucs fraîchement installé à La Croix de Montchaud à Yssingeaux bouscule les a priori. Le béton est un matériau plein de ressources, de finesse et de légéreté. Non, il ne fait pas grise mine si on sait lui instiller les piments idoines. Oui, il se prête à toutes les folies, pourvu que l'on soit capable de créer le moule qui lui donnera la forme que l'on imagine. 

Et de l'imagination, Olivier Suc n'en manque pas!

Des tables, des lampes, des horloges...
Il suffit pour s'en rendre compte de faire une étape sur la Foir'expo d'Yssingeaux, dimanche 15 et lundi 16 mai, sous le chapiteau positionné juste devant le restaurant Le Bourbon, place de la Victoire. Vous y découvrirez quelques uns des objets, tables, lampes, horloges... conçus et fabriqués par Olivier Suc.

Le trentenaire, designer d'espace de formation, qui a collaboré avec profit, lors de deux missions, avec la Cité du design de Saint-Etienne, pour les biennales 2013 et 2015, a trouvé sa voie. A l'enseigne "Béton futé", il vient de monter son affaire, bien aiguillé dans l'aventure par la Chambre de Métiers de Haute-Loire et un accompagnement de Pôle emploi.

Formé par un maitre du béton décoratif
Ajoutons qu'Olivier Suc a eu le privilège de bénéficier d'une formation au contact d'un précurseur devenu un maître dans le domaine, Francesco Passaniti d'Ivry-sur-Seine.

Dans son atelier de La Croix de Montchaud, Olivier Suc dessine des prototypes et conçoit, de A à Z, des objets singuliers à base de béton très fin, fibré, qui se prête à des finitions multiples, des traitements déperlants, anti-taches... Son aspect alvéolé, lunaire, fait merveille sur des lampes à poser qui devraient s'arracher. Elles sont vendues 80 euros l'exemplaire. Pour une table basse, aérienne, unique naturellement, comptez 400 euros.

Le designer s'adresse aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels, architectes notamment, sans oublier les collectivités.


Infos au 06 50 37 87 63 et contact@beton-fute.com
Publié dans Actualités 2016
De nouvelles émissions, de nouveaux partenariats, de nouveaux bénévoles, une audience à la hausse et des finances saines : les voyants sont au vert pour la radio associative FM43 qui rayonne sur la Haute-Loire et le Vivarais.


Ce dimanche, animés par le président Guillaume Ravier, les travaux de l'assemblée générale de FM43 attestaient du dynamisme de cette radio associative basée à Yssingeaux et qui draine des auditeurs sur la Haute-Loire et l'Ardèche.

Toutes les musiques
La grille des programmes témoigne de la richesse des centres d'intérêts des bénévoles qui se recrutent dans une fourchette d'âges et de profils socio-culturels diversifiés. Sur FM43, tous les styles de musique ont leur place. Les chroniques balayent des sujets multiples avec le souci permanent de mettre en valeur les initiatives et les gens du territoire.


Des partenaires en Haute-Loire et en Ardèche
Autant d'atouts qui séduisent les acteurs privés et publics comme en attestent de nouveaux partenariats noués cette année avec, par exemple, la ville d'Yssingeaux ou encore la communauté de communes Val'Eyrieux versant ardéchois.
Les recettes sont en augmentation de 15%. La radio franchit, d'exercice en exercice, des paliers qui lui permettent de gagner en crédibilité et d'engranger davantage de subventions.
La structure emploie deux salariés, grâce à des contrats aidés. L'idée d'employer une personne supplémentaire est envisagée.


La composition du bureau
Le bureau a été reconduit. On retrouve Guillaume Ravier à la présidence, Rémy Delbarre à la vice-présidence, Olivier Fargier au secrétariat, Hélène Samuel à la trésorerie.


Plus d'infos sur le site de FM43 ici
Publié dans Actualités 2016
C'est un président offensif qui a ouvert la session extraordinaire du conseil départemental ce vendredi au Puy-en-Velay. Jean-Pierre Marcon ne veut plus entendre parler de morosité.

"Nous ne devons pas perdre de temps. Nous devons refuser le défaitisme qui s'installe dans notre pays. Nous devons proposer une autre vision. Profitons des élèments positifs de la loi NOTRe qui nous ouvre la possibilité de lancer de nouvelles actions tout en nous confortant dans nos missions de solidarité. Il y a un avenir pour nos territoires et ses habitants. C'est une conviction profonde. Ce n'est pas une posture."

Moins d'argent mais davantage d'idées
Au préalable, dans une conférence de presse, Jean-Pierre Marcon avait précisé sa pensée : "Alors que l'on constate une embellie au plan national, il ne faut pas rester dans la morosité ambiante. On aura peut-être moins d'argent, mais on aura encore plus d'idées. On s'adapte."

"Et je reste confiant. Il y a de bonnes surprises parfois. On peut collecter plus d'impôts que prévu ou recevoir des dotations supplémentaires en fin d'année comme cela a été le cas en 2015. Je ne vois pas pourquoi on ne serait pas ambitieux. On a voté une feuille de route. On a voté un plan pluriannuel. Je n'ai pas peur! On avance."
Publié dans Actualités 2016
La Tençoise Estelle Fils-Aimé va sillonner les marchés d'Ardèche, de Loire et Haute-Loire avec un camion dans lequel elle vendra des plats végétariens et végétaliens.

Estelle Fils-Aimé a le truc pour faire manger des fruits et des légumes aux enfants. Démonstratrice d'un extracteur de jus, elle veut proposer des plats et des recettes en lien avec son mode de vie. Car Estelle Fils-Aimé est végétarienne, et même végétalienne. Non seulement elle ne consomme ni viandes, ni poissons, ni crustacés (végétarienne donc) mais elle exclut aussi les oeufs, les produits laitiers et le miel (végétalienne).

Une cuisine gage de santé
A partir du 1er juin, la Tençoise va sillonner les marchés, les villes et les villages où elle proposera un bar à jus, des soupes, des galettes, des hamburgers, des frites, des hot-dogs, pancakes et pâtisseries. Originaire de la région parisenne, Estelle Fils-Aimé et son mari sont tombés amoureux de la Haute-Loire pendant leurs vacances et ont choisi de s'y installer voilà deux ans. Cette éducatrice spécialisée a ainsi fait le choix de changer de région... et de métier, en alliant ses convictions à son activité professionnelle. "J'ai toujours baigné dans l'univers bio. Mon père s'occupe d'un magasin de La Vie claire depuis longtemps. Je suis végétarienne depuis dix ans suite à un souci de santé où j'ai eu une hernie hiatale. Confectionner des jus permet de désenflammer l'estomac."


La tournée à partir du 1er juin
Lundi : marché de Saint-Agrève
Mardi : marché de Tence le matin et magasin Biocoop de Monistrol-sur-Loire l'après-midi
Mercredi : marché du Chambon-sur-Lignon
Jeudi : marché d'Yssingeaux
Vendredi : marché bio de Saint-Etienne le matin (place Albert-Thomas) et magasin La Vie Claire à Monistrol-sur-Loire l'après-midi
Week-end : foires et salons


Infos pratiques
Aider le projet sur la plateforme Ulule
Publié dans Actualités 2016
Le REN 43, Réseau écologie nature de Haute-Loire, regroupe 27 associations engagées dans la préservation de l'environnement, de l'écologie et de la santé. Force de propositions, il anime le débat public et se veut constructif.


S'engager dans la transition écologique. L'expression vous agace, vous indiffère... Ou tout simplement, elle ne vous "parle" pas. Elle vous semble faire référence à des actions très éloignées de votre quotidien, à des décisions qui doivent être prises à des échelles supérieures, Etat, Europe, communauté internationale.

Le REN 43, Réseau écologie nature de Haute-Loire, s'attache à démontrer qu'il n'en est rien. Que cet engagement n'est finalement pas sorcier. Qu'il peut se pratiquer à l'échelle d'une collectivité, comme la commune, en prenant le problème sous plusieurs angles. Avec ténacité, par petits pas significatifs, en faisant preuve de pédagogie pour lever les a priori.

Extinction de l'éclairage nocturne, bio et local à la cantine...
Samedi, à Saint-Germain-Laprade, les travaux de l'assemblée générale du REN 43 ont ciblé le rôle des collectivités locales dans cette transition écologique en Haute-Loire. Avec un exemple concret. Celui de la municipalité de Saint-Germain-Laprade qui a présenté les mesures les plus significatives de son action en ce domaine. Rien de révolutionnaire, mais des mesures de bon sens qui rejoignent ou anticipent des directives nationales.

Ce sont à la cantine les 30% d'approvisionnement en produits bio et/ou en produits locaux. C'est encore l'extinction une partie de la nuit de l'éclairage public. C'est l'engagement dans la procédure dite "Zérophyto" pour l'entretien des espaces verts. C'est encore la réduction de la consommation énergétique de la commune grâce à la construction de l'école de Noustoulet en allant au-delà (+20 %) des bases de la réglementation thermique actuelle. Et la liste n'est pas limitative.


Des représentants à plusieurs commissions
Le REN 43, agréé au titre d'association de protection de l'environnement, est amené à siéger dans plusieurs commissions. Des representants siègent ainsi à la commision départementale de la chasse et de la faune sauvage; à la commission départementale d'aménagement commercial (CDAC); commission départementale de préservation espaces naturels, agricoles et forestiers; comité départemental loup; conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques.
Là aussi, REN 43 a l'ambition d'être constructif, en choisissant des représentants ayant des compétences en phase avec la teneur de la commission. Ainsi, au comité loups, trois agriculteurs, dont deux éleveurs, ont été désignés par REN 43.


Contact : 07 83 67 92 10 et contact@ren43.org


Plus d'infos sur REN 43 ici


Liste des associations fédérées dans REN 43 ici
Publié dans Actualités 2016
Alors que la famille Meyssonnier a choisi de stopper les démarches judiciaires, il reste encore la voie diplomatique pour tenter de réduire la peine de prison infligée à Renaud Meyssonnier, condamné à un an pour usage de fausse monnaie.

Demander pardon. Renaud Meyssonnier a écrit une lettre où il demande pardon à l'Etat népalais. Il espère ainsi bénéficier d'une remise de peine suite à sa condamnation à un an de prison au Népal. Celui qui a déjà purgé six mois a épuisé tous les recours judiciaires. "On n'ira pas devant la Cour suprême", a annoncé Nadine Meyssonnier, la maman de Renaud, ce samedi matin dans la maison familiale à Monistrol-sur-Loire, entourée du comité de soutien et d'action qui a permis de lever 20 000 euros pour soutenir la famille, entre les voyages au Népal et les frais d'avocats. La moitié de cet argent provient des 900 adhérents au comité de soutien.


La grâce présidentielle impossible
La peine confirmée en appel le 21 mars a jeté un froid dans les espoirs du clan Meyssonnier. La famille Meyssonnier a été profondément éprouvée par cette annonce alors que René est actuellement au Népal, auprès de son fils qu'il visite deux fois par semaine. Il doit rentrer le 8 juin en France. "Notre détermination reste la même", affirme Olivier Cigolotti, le sénateur, qui s'est joint dès le départ au mouvement et suit de très près le dossier. "Cette peine de prison confirmée a été une véritable stupeur."

La demande de grâce présidentielle, un temps évoquée, n'a pu être menée à son terme puisque l'une des conditions est d'avoir purgé la moitié de la peine, ce qui n'était pas le cas au moment de la demande. Le dernier espoir provient de cette demande de pardon. Une réponse est attendue le 28 mai au plus tard. En cas de refus, Renaud devra patienter jusqu'en octobre pour sortir. Il aurait alors fait un an de prison.


Renaud veut continuer son tour du monde
Le jeune globe-trotter de Monistrol, qui avait entrepris de faire le tour du monde en solitaire avant d'être stoppé net dans son aventure, compte bien, quoi qu'il arrive, poursuivre son chemin mondial. C'est ce qu'il affirme dans une lettre publiée sur le site internet du comité de soutien. Il écrit : "Je ne sais pas ce que je vais ressentir après ma libération. Mais je sais maintenant que mon projet est de poursuivre mon voyage autour du monde [ndlr : après un temps de pause en France]. Celui-ci n’est pas fini comme j’ai pu le lire dans certains articles publiés en France. A contrario, cette expérience de la captivité dans un pays étranger renforce d’autant ma volonté de trotter dans le monde entier. En prison, je suis en fait à la poursuite de l’objectif initial de mon voyage. Je suis profondément en contact avec une autre culture et j’apprends de nouvelles choses. [...] Ce qui m’est arrivé est juste un accident de parcours, un accident rare. Abandonner mes projets de voyages donnerait raison à une crainte injustifiée. Je ne dois pas et je ne veux pas céder."
Publié dans Actualités 2016
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