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Vendredi 15 juillet, le bar restaurant le Lunch Box, à Monistrol-sur-Loire, organise une soirée « Gay Friendly ». Les homosexuels, les hétérosexuels, les bisexuels et les transexuels sont les bienvenus.

La soirée débutera par la présentation de l’exposition de Lucien Soyère vers 19 heures. Le photographe amateur et passionné, qui avait réalisé une exposition sur le mariage pour tous, ressort ses photos réalisées lors de la Gay Pride de Lyon en 2014 et 2015.

Puis Isabelle Bouthéon, la maîtresse des lieux, prévoit un repas coloré avec des clins d’œil prononcés aux couleurs arc-en-ciel du drapeau LGBT (réservations conseillées au 04 71 65 94 78)

« On a l’image erronée de la Gay pride, transmise par certains médias avec des images chocs d’homos provocs. 5 % des participants occupent 95 % de l'espace médiatique », affirme Lucien Soyère qui a voulu apporter son regard sur ce rassemblement. « La Gay Pride c'est avant tout une marche revendicative. La Gay Pride, c'est une marche festive, gaie, dynamique avec des camions et du gros son. La Gay Pride c'est une marche où la jeunesse se retrouve, une jeunesse sans frontière de genre, une jeunesse de tolérance qui veut que cesse l'homophobie, que l'égalité soit vraiment un droit pour tous. L'homosexualité n'est pas un choix, l'égalité si. Je fais cette expo photo pour apporter ma pierre. »

Publié dans Loisirs 2016

A partir du samedi 2 juillet, au Chambon-sur-Lignon, à l'initiative de Bidot, le plasticien, poète, bidouilleur, prince de la récupération, une douzaine d'artistes croisent leurs univers dans un ancien garage route de Saint-Agrève.

Vous ne pouvez pas louper cette salle d'exposition éphèmère, idéalement située sur le trajet qui conduit au marché du samedi matin place des Balayes.

L'exposition est visible les deux mois d'été. Toutes les expressions sont représentées. Ce serait bien le diable si vous n'y trouviez pas chaussure à votre pied.

Quant au maître des lieux et ses créations singulières, il ne laisse personne indifférent. Il séduit ou il exaspère. Mais il mérite le détour.

Publié dans Haut-Lignon

L'Europe, qu'est-ce que c'est? A l'heure où l'actualité tourne autour du "Brexit", la décision des Britanniques de quitter l'Union européenne, voilà une exposition qui tombe à pic.

Conçue par l"équipe du PIJ (Point information jeunesse) du Haut-Lignon pour éclairer les jeunes générations, parions qu'elle sera également utile pour rafraîchir la mémoire et fixer les idées des plus anciens.

Elle est à découvrir à l'étage de la maison des Bretchs au Chambon-sur-Lignon.

Publié dans Haut-Lignon

Un "Voyage dans le temps au travers des arts" conçu par les écoliers de Fay et des Vastres à découvrir jusqu'à vendredi 24 juin à la galerie de l'office de tourisme de Fay-sur-Lignon.

Une nouvelle expo de fin d'année, direz-vous...  Des dessins, des collages, des modelages sur lesquels on s'attendrit parce que l'on en connaît les auteurs, des gosses qui vous sont chers. Des créations sur lesquelles on devine la patte des adultes qui ont encadré ces travaux manuels à visée artistique.

Et bien non, rien de tout ça dans ce "Voyage dans le temps au travers des arts" proposé par les écoles de Fay-sur-Lignon et des Vastres. Si vous passez la porte de la galerie de l'office de tourisme à Fay, jusqu'a ce vendredi 24 juin, vous ressortirez épatés.

Des créations en écho aux oeuvres étudiées

Au fil de quinze mercredis, les écoliers, tantôt à Fay, tantôt aux Vastres, se sont retrouvés pour plancher sur cinq grandes périodes historiques en les appréhendant via des oeuvres d'art majeures. Une fois familiarisés avec une oeuvre de l'époque, par exemple la grotte de Lascaux, les mosaïques de l'Antiquité, les vases de Gallé, ou encore le procédé de peinture a tempera... les écoliers étaient invités à concevoir des productions en écho aux oeuvres qu'ils avaient étudiées.

Ce sont ces créations accompagnées des fiches, de livrets relatant chaque séquence de travail, qui sont accrochées à la galerie de l'office de tourisme. Et le résultat vaut, vraiment, le détour.

Chapeau les artistes en herbe et les enseignantes, Céline Bouilhol et Mariam Lions de Fay, Mathilde Ebrard des Vastres!

Merci le car de la communauté de communes du Mézenc et de la Loire sauvage

Ce dispositif, qui a permis aux élèves de ces petites écoles et leurs équipes enseignantes de rompre un certain isolement, a été possible grâce au bus de 27 places que la communauté de communes du Mézenc met, avec un chauffeur, à la disposition des écoles. Cet équipement, qui a un coût pour la collectivité (20 000 euros par an), se révèle un outil précieux pour conforter ce type de projet.

Publié dans Dans le 43 2016

Le Musée des manufactures de dentelles accueille du 11 juin au 15 décembre une exposition remarquable : « Vivre et rêver… en dentelle », des œuvres d'Annie Bascoul, artiste plasticienne qui s'inspire de la dentelle.

Annie Bascoul a appris la technique de la dentelle à l'aiguille auprès de Brigitte Dépalle, présente vendredi soir lors du vernissage au musée de Retournac.

Cette exposition, dans une ambiance intimiste et chaleureuse, évoque douceur et volupté à travers les créations d'Annie Bascoul et leur mise en espace valorisée par les jeux de lumières et d'ombres. La pièce majeure de cette installation est un moucharabieh. Il divise la salle et oblige le visiteur à traverser cette dentelle gigantesque pour poursuivre sa visite.

Une pièce originale commandée
La venue à Retournac de cette artiste reconnue dans le milieu des musées textiles a été l'occasion pour la Société des Amis du Musée de passer commande d'une pièce originale, qu'Annie Bascoul a réalisé spécialement pour fêter les 20 ans de l'association.

Il s'agit d'une interprétation du tableau « La petite fille à la rose » présent dans les colleCtions du musée, qui avait particulièrement touché Annie Bascoul et dont elle livre ici une version très personnelle et en complète adéquation avec les collections du Musée. Une raison de plus de filer au Musée des manufactures de dentelles de Retournac, un établissement culturel ouvert tous les jours de 14 à 18 heures.

Renseignements au 04.71.59.41.63

Publié dans Loisirs 2016
Dans le cadre des temps d’activités extra scolaires les élèves de CM1 et CM2 de l’école Théodore-Monod de Retournac ont pu découvrir en avant-première l’exposition «Vivre et rêver en dentelle… Annie Bascoul» dont l’installation est sur le point de se terminer. L’artiste a pu ainsi échanger avec eux pour leur présenter son travail nourri par la dentelle et les jeux de lumière qu'elle autorise.

Cette exposition ouvrira ses portes au public à partir du samedi 11 juin et ce jusqu’au 15 décembre, tous les jours, de 14 heures à 18 heures, et même jusqu'à 19 heures en juillet et août.

Le vernissage a lieu vendredi 10 juin à 18 h 30, au Musée des manufactures de dentelles de Retournac, 14 avenue de la Gare, en présence de Annie Bascoul, artiste plasticienne de grande renommée dont l'atelier est Saint-Nectaire.
 
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Le réalisateur Jean-Claude Parayre a présenté la mouture définitive de son reportage sur les confréries de pénitents au Ciné-Dyke samedi.

Son film "Les pénitents, piété et tradition", est le fruit d'un patient collectage d'images et d'interviews des quatre confréries de pénitents blancs de la Haute-Loire : Le Puy-en-Velay, Sainte-Sigolène, Saugues et Tence. Mais l'opus lève également le voile sur l’'ensemble des confréries du Sud.


L'aventure a démarré à Saugues, dans la tour des Anglais, à l'occasion du vernissage d'une exposition de son ami le photographe Lucien Soyere. Ce dernier était intéressé, non pas par la démarche spirituelle de ces confréries, mais plutôt par l'esthétique singulière des défilés, à la nuit tombante, de ces personnages costumés qui répondent à un rituel hors d'âge.

Une symbolique détaillée
Jean-Claude Parayre a donc suivi Lucien Soyere dans sa quête d'images. Il s'est attaché à faire entendre la voix de ces pénitents de Haute-Loire et d'ailleurs, qui vivent leur foi chrétienne d'une manière qui peut paraître ostentatoire. Ils parlent de leurs confréries respectives, détaillent les symboliques des objets qui émaillent leurs rituels. Ils évoquent aussi les objectifs d'entraide qu'ils se sont assignés.


Le tournage de ce document démarré en 2014, a été bouclé en 2016, après avoir a été enrichi d'un entretien avec Luc Crépy, le nouvel évêque du Puy-en-Velay. 


Le film est disponible en Dvd. Contact :
jean-claude.parayre@wanadoo.fr

Quant à l'exposition de Lucien Soyere sur les confréries de pénitents, elle restera en place jusqu'au 4 juillet dans le hall du Ciné-Dyke, au Puy-en-Velay.

A voir aussi les clichés de Lucien Soyere pris dimanche durant la "Maintenance" des confréries de pénitents ici
Publié dans Loisirs 2016
L'île de Cheyrac à Saint-Vincent est le cadre idylique d'un événement artistique à ciel ouvert "Un printemps créatif" sous la houlette de Roger Benoit. Ce dimanche 22 mai de 10 à 18 heures, chacun peut participer à des ateliers.

Le site a lui seul est déjà une invitation au farniente, à la rêverie paisible à l'ombre des grands arbres ou au papotage mollement alangui au soleil. Mais, en plus, actuellement, l'île de Cheyrac, enserrée dans les bras de la Loire, à Saint-Vincent est le théâtre d'une manifestation de "land'art" qui mobilise les forces vives de la commune, jeunes et moins jeunes.

Le maestro Roger Benoit en résidence
Le sculpteur Roger Benoit, originaire du Haut-Lignon, orchestre depuis mardi 17 mai et jusqu'au samedi 27 mai, des initiatives créatives qui puisent leur source dans la nature environnante, avec des matériaux de prédilection comme l'osier, le bois, les galets... 

Sous l'impulsion de la commune, les écoliers, les bambins de la crèche, les anciens du club des aînés, les passionnés de l'Atelier des mécaniques anciennes... sans oublier des artistes associés, ont fait le pari de peupler l'île d'installations, de sculptures, de personnages, dont la vocation est d'être, pour l'essentiel, éphèmères.

Des ateliers créatifs in situ
Ce dimanche 22 mai, de 10 à 18 heures, artistes en herbe, simples curieux, vous êtes invités à participer à des ateliers créatifs proposés par les associations du cru. Vous pourrez jouer avec les éléments naturels et lâcher la bride à votre imagination. Un concours de photos est aussi organisé.

Samedi 28 mai, à partir de 11 heures, le public sera convié à des déambulations sur l'île à la découverte des réalisations dont certaines, déjà visibles, sont pleines de charme tel ce personnage d'Annette Drost, plasticienne de Beaulieu, venu se nicher tendrement contre un arbre partiellement brûlé sur la berge.

Gratuit


Publié dans Loisirs 2016
Du 23 avril au 18 juin, le Lieu de Mémoire au Chambon-sur-Lignon présente une exposition "La maternité suisse d'Elne, un berceau d'humanité au coeur de l'inhumain". Vernissage ce samedi 23 avril à 18 heures.


Cette exposition empruntée auprès de la Maternité suisse d’Elne (Pyrénées-Orientales) retrace l’histoire de cette institution, ouverte par le Secours Suisse aux enfants pour aider les mères et les jeunes enfants, principalement juifs et espagnols, internés dans le sud de la France.
En 1939, des centaines de milliers de réfugiés espagnols, qui fuient la répression des troupes franquistes, sont parqués sur les plages de Saint-Cyprien, d’Argelès et du Barcarès, puis à Rivesaltes, Gurs… Les conditions de détention sont horribles, le taux de mortalité, en particulier infantile, atteint des hauteurs insoutenables.

Dès 1939, Elisabeth Eidenbenz, collaboratrice du Secours suisse aux enfants, crée au château d’en Bardou à Elne (Pyrénées-Orientales), une maternité destinée à accueillir des mères internées dans ces camps, vivant dans la clandestinité ou subissant les dures restrictions de la guerre, mères juives, espagnoles, françaises, d’au moins 15 nationalités différentes. Ainsi, entre 1939 et 1944, près de 600 enfants ont vu le jour dans cet établissement courageusement dirigé par cette institutrice. Au-delà des nouveau-nés, des frères et sœurs purent bénéficier du régime salutaire de la Maternité et être, eux aussi, sauvés d’une mort possible. Un havre de paix au milieu d’un océan de souffrances, voilà ce qu’était la Maternité suisse d’Elne.

Cette exposition préfigure la programmation 2016 du Lieu de mémoire du Chambon-sur-Lignon autour de l’histoire des maisons d’enfants au Chambon et ailleurs.

Samedi 23 avril, vernissage à 18 heures, visite libre. Puis visite aux horaires et tarifs habituels du Lieu de mémoire.

Plus d'infos ici



Publié dans Loisirs 2016
Dans la galerie, à l'étage de l'office de tourisme du Haut-Lignon, au Chambon-sur-Lignon, Nadège David de Montfaucon-en-Velay ouvre la saison des expositions avec de la peinture sur verre.


La jeune femme, peintre amateur autodidacte, libère son imagination sur des supports en verre et des miroirs. Elle a découvert la peinture sur verre il y a trois ans et se plait inlassablement à personnaliser des vases, des bougeoirs, des assiettes et bien d'autres objets qu'elle pare de motifs floraux, animaliers, géométriques... et de millle couleurs irisées."
"Je travaille sans modèle. Chaque pièce est unique. J'adore la décoration et je propose mes objets peints à des tarifs raisonnables. Mon objectif est de faire partager mon plaisir. Je répond aussi à des commandes pour un anniversaire par exemple."
De 2,50 euros le petit photophore à 65 euros le grand miroir, le choix est vaste.


Office de tourisme du Haut-Lignon 2 route de Tence Le Chambon-sur-Lignon. Jusqu'au 23 avril, du lundi au samedi de 9 à 12 heures et de 14 h 30 à 17 h 30.


Nadège David contact au 06 70 34 18 68
Publié dans Haut-Lignon
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