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Le Festival du film de pêche à la mouche fête ses 10 ans au Puy-en-Velay vendredi 14 février, à partir de 20 heures, au Ciné Dyke. Rêves, passion et évasion au programme.

Les amateurs de pêche et de nature vont profiter cette année d’une remarquable sélection des meilleurs films internationaux dédiés à la pêche à la mouche. Venus des quatre coins du monde et de l’Hexagone, les productions transporteront le spectateur pour deux heures de voyage, de rêves et d’évasion.


Sensibilisation et éducation des plus jeunes

Il y a tout juste dix ans l’aventure « Rise Festival » débutait en France avec une modeste projection au Puy-en-Velay. Aujourd’hui, cet événement s’est forgé une solide réputation dans le milieu de la pêche. Plusieurs éléments expliquent cette reconnaissance : un état d’esprit mêlant partage, amitié, découverte et respect. Cette opération constitue une vraie force de sensibilisation au travers de magnifiques images et un vecteur d’éducation auprès des plus jeunes.


La vision d'une pêche respectueuse

Grâce à la fidélité de ses spectateurs et de ses partenaires, le Festival a pu reverser cette année une partie importante de ses bénéfices pour le soutien à la production de films français. Ce soutien aux réalisateurs français contribue à porter plus haut encore cette vision d’une pêche respectueuse et l’intensité d’une passion profondément attachée à la qualité de notre environnement.


Neuf courts métrages

Pour ce dixième anniversaire, la projection proposera une sélection de sept courts métrages français et de deux courts métrages étrangers. Des mers tropicales aux hauts sommets alpins en passant par le Grand Nord canadien ou la jungle amazonienne, la diversité des thèmes, des poissons et des aventures humaines, va emmener le public dans la magie de cet univers « mouche ». Le spectateur n'aura plus qu’une envie : filer vers la rivière ou le fleuve le plus proche... qui pourrait être la Loire sauvage puisqu’un des films lui est dédié.


Infos pratiques

L’événement a lieu vendredi 14 février à partir de 20 heures au Ciné Dyke au Puy-en-Velay.

La projection sera suivie d’une soirée anniversaire à laquelle l’équipe d’organisation a le plaisir de convier les spectateurs.

Tout le programme ici

Des animations pour les scolaires sont prévues.

Tarifs

12 € pour un adulte, gratuité pour un enfant de moins de 16 ans accompagné d’un adulte payant

10 € par personne pour un groupe de 15 personnes

Réservations obligatoires sur www.rise-festival.fr

 
Le teaser du festival

 

 

Publié dans Loisirs Sorties
Le réalisateur Jean-Claude Parayre a présenté la mouture définitive de son reportage sur les confréries de pénitents au Ciné-Dyke samedi.

Son film "Les pénitents, piété et tradition", est le fruit d'un patient collectage d'images et d'interviews des quatre confréries de pénitents blancs de la Haute-Loire : Le Puy-en-Velay, Sainte-Sigolène, Saugues et Tence. Mais l'opus lève également le voile sur l’'ensemble des confréries du Sud.


L'aventure a démarré à Saugues, dans la tour des Anglais, à l'occasion du vernissage d'une exposition de son ami le photographe Lucien Soyere. Ce dernier était intéressé, non pas par la démarche spirituelle de ces confréries, mais plutôt par l'esthétique singulière des défilés, à la nuit tombante, de ces personnages costumés qui répondent à un rituel hors d'âge.

Une symbolique détaillée
Jean-Claude Parayre a donc suivi Lucien Soyere dans sa quête d'images. Il s'est attaché à faire entendre la voix de ces pénitents de Haute-Loire et d'ailleurs, qui vivent leur foi chrétienne d'une manière qui peut paraître ostentatoire. Ils parlent de leurs confréries respectives, détaillent les symboliques des objets qui émaillent leurs rituels. Ils évoquent aussi les objectifs d'entraide qu'ils se sont assignés.


Le tournage de ce document démarré en 2014, a été bouclé en 2016, après avoir a été enrichi d'un entretien avec Luc Crépy, le nouvel évêque du Puy-en-Velay. 


Le film est disponible en Dvd. Contact :
jean-claude.parayre@wanadoo.fr

Quant à l'exposition de Lucien Soyere sur les confréries de pénitents, elle restera en place jusqu'au 4 juillet dans le hall du Ciné-Dyke, au Puy-en-Velay.

A voir aussi les clichés de Lucien Soyere pris dimanche durant la "Maintenance" des confréries de pénitents ici
Publié dans Loisirs 2016
Une exposition de photos combinée à la projection d'un documentaire mettent en lumière les confréries de pénitents samedi, à 19 heures, au Ciné-Dyke au Puy-en-Velay.

Des blancs, des noirs, des gris, des rouges, des bleus... en ribambelle. Des Schtroumpfs? Non. Loin des lutins facétieux de Peyo, les personnages costumés que le photographe Lucien Soyere a traqué durant trois ans, relayé par le réalisateur Jean-Claude Parayre, ce sont les représentants des diverses confréries de pénitents qui fleurissent en pays catholique et "processionnent" rituellement.

En Haute-Loire, le pénitent préfère le blanc, à Sainte-Sigolène, Le Puy-en-Velay comme à Saugues et à Tence. Tandis que les Méridionaux de Valréas, Monaco, ou encore d'Italie, se parent de couleurs moins immaculées.


L'actualité est marquée par un regroupement (une maintenance selon la terminologie en usage) des confréries au Puy ce week-end des 21 et 22 mai. Cet événement est une bonne occasion d'approcher cet univers singulier, qui fascine, interloque, voire rebute franchement le non-initié. 

Samedi, à partir de 19 heures, au Ciné-Dyke, les Monistroliens Lucien Soyere et Jean-Claude Parayre, vous donnent l'opportunité de découvrir les pénitents de Haute-Loire via une expo de photos puis un documentaire.

Le film "Les pénitents, piété et tradition"
Le réalisateur Jean-Claude Parayre a pris comme fil rouge le photographe Lucien Soyere en le suivant depuis trois ans ans tout au long des prises de vues. Il a rencontré les pénitents de Haute-Loire qui parlent de leurs confréries respectives et du but qu'ils se sont assignés.


Son film, "Les pénitents, piété et tradition", est un reportage essentiellement tourné vers les quatre confréries de pénitents blancs de la Haute-Loire mais également avec un regard sur l’'ensemble des confréries, situées dans un triangle dont les sommets seraient Le Puy-en-Velay,– Monaco,– Perpignan.

Ce document a été tourné en 2014, achevé en 2016, enrichi d'un entretien avec Luc Crépy, nouvel évêque du Puy-en-Velay. 


Quant à l'expo de Lucien Soyere, qui restera en place jusqu'au 4 juillet, il faut bien la comprendre comme la démarche d'un photographe qui ne poursuit pas un dessein religieux, mais qui ausculte avec constance les mouvements marquants de notre société. Sa précédente exposition au Ciné-Dyke s'appelait "Article 143" et traitait du mariage pour tous avec un parti pris positif.


Samedi 21 mai au Ciné-Dyke, au Puy-en-Velay

A 19 heures, présentation de l'expo par Lucien Soyere 

A 20 heures, projection du film de Jean-Claude Parayre "Les pénitents, piété et tradition"


Un extrait ici
Publié dans Loisirs 2016
Mardi 22 mars, à 20 h 30, au Ciné-Dyke au Puy-en-Velay, un ciné-débat est proposé autour du film « Les convoyeurs attendent » dans le cadre de la Semaine d’information sur la santé mentale.

Cette comédie dramatique de 1999, réalisée par Benoît Mariage, avec Benoît Poelvoorde, Dominique Bayens, Bouli Lanners, introduira le débat.

L'histoire invite à suivre le quotidien de 
Roger Closset qui habite un petit pavillon de la banlieue de Charleroi. Il vit en famille avec sa femme et ses deux enfants. Il a aussi un voisin colombophile qui ne jure que par Napoléon, son pigeon voyageur champion. Il y a le village et ses usines qui tournent au ralenti. Roger gagne modestement sa vie comme photographe pour le journal local. Il pirate les fréquences de la police, guette les faits divers. Roger veut s'en sortir et rêve de rentrer dans le livre des records pour gagner ainsi la voiture promise par l'Association des commerçants.

Cette séance ciné-débat s’inscrit dans le cycle « la folie à l’image » 2015 /2016, proposé par le collectif «Parce qu’on est là», Brut de Béton Production et l’association Panorama.

Mardi 22 mars, au Ciné Dyke, au Puy-en-Velay, à 20 h 30 . Un buffet est offert à 19 h 45.

Plus d'infos ici
Publié dans Dans le 43 2016