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L'association de remise en forme d'Yssingeaux, Synergie, a débuté l'année avec plusieurs nouveautés : une salle de musculation agrandie, de nouvelles machines, des horaires élargis et des cours de zumba pour enfants qui font un carton.

Synergie fête ses 20 ans. L'association poursuit son développement et tente de coller aux envies de ses adhérents en adaptant son offre. Ainsi, la salle de musculation a poussé les murs pour gagner quelques mètres carrés supplémentaires. Un vestiaire et le sauna ont été supprimés. "On avait des besoins et on manquait de place. Les personnes étaient les unes sur les autres. On sentait que les adhérents se lassaient. En six semaines, tout s'est fait. La mairie a réalisé les travaux. Le sauna était là depuis 20 ans. Il y a 20 ans, on était les premiers. Aujourd'hui, il y en a partout", justifie Frédéric Combette, président de Synergie.

Cet agrandissement a permis d'aérer l'espace musculation d'une part mais surtout d'investir dans du matériel dernier cri, de la marque Laroq, fabriquant français installé dans les Bouches-du-Rhône. Deux imposantes machines pour un investissement de 3 300 euros par matériel afin de travailler les dorsaux et les pectoraux.

Des horaires élargis

Le créneau horaire a également été élargi, à 17 heures au lieu de 17 h 30, jusqu'à 20 h 30 chaque soir (sauf le vendredi à 20 heures). Le matin, on peut se muscler de 9 heures à 13 h 30, le mercredi toute la journée. Le samedi, la salle est ouverte de 9 heures à 11 heures.

Et désormais, la salle de muscu est accessible aux adolescents à partir de 14 ans et non plus 16 ans.

De la zumba pour enfants

Autre nouveauté de la rentrée 2018 : des cours de zumba pour enfants sont animés par Lauriane Blanc. Le succès a été immédiat avec 45 enfants de 4 à 13 ans. Un troisième cours a dû être créé. La zumba enfants se pratique le mardi ou le mercredi.

Une nouvelle locomotive à vapeur est arrivée en gare de Tence par la route. Déposée sur les rails, elle va rejoindre Raucoules en vue de sa restauration complète.

Cette machine de 1908 a été construite en Allemagne pour les chemins de fer portugais de la Vallée du Douro (région de Porto). Rachetée par un particulier, la locomotive est gratuitement mise à disposition de l'association Voies ferrées du Velay en vue de sa restauration et de son utilisation sur la ligne du Velay-Express. Elle s'inscrit dans un objectif de développement de la ligne ferroviaire touristique Raucoules/Saint-Agrève.

La machine a été livrée en gare de Tence par convoi routier exceptionnel, et déchargée sur la voie ferrée à l'aide d'un plan incliné démontable, sous les yeux de Fabian Grégoire, président de l'association, et de Jean-Claude Paulet, 84 ans, qui en 1958 veillait à la circulation des trains en gare de Tence.

Tractée d'un côté, retenue de l'autre, la "loco" est lentement mais sûrement passée du camion aux rails qui l'ont emmené jusqu'à un hangar où elle attendra son transfert pour Raucoules, lieu de sa restauration.

Sa mise en service ne devrait pas intervenir avant deux ou trois ans.

Pierre-Marie Placide, qui a présidé aux destinées de l'hostellerie familiale renommée de Tence, dispense désormais son savoir-faire à votre domicile, pour des cours particulier ou collectifs.

On ne présente pas Pierre-Marie Placide qui a été titulaire d'une étoile dans le Guide Michelin durant dix ans dans son affaire de Tence. Son patronyme reste attaché à l'univers de la gastronomie du territoire. Aujourd'hui, après avoir imprimé sa patte aux menus de L'Arbre vagabond au Chambon-sur-Lignon, le voilà embarqué pour d'autres aventures gourmandes.

"En tant qu’arrière-petit-fils de la Maison Placide, j’ai été le dernier à perpétuer la tradition. Aujourd’hui, je choisis de transmettre mon savoir dans votre cuisine, à travers des cours à domicile, je me propose d'accompagner les particuliers dans l’élaboration de différents plats à partir de recettes qu'ils auront choisies. Apprentissage, perfectionnement, mais également partage et convivialité seront les maîtres-mots lors de ces séances."

Les secrets des chefs à votre portée

Il entend guider chacun, quel que soit son niveau de connaissances, dans la préparation d’une manière ludique et conviviale. Il se propose d'aider à s'organiser en optimisant le temps de préparation culinaire et de présentation des plats. Pierre-Marie est très attaché à donner les clés pour cuisiner sainement, bio, diététique et tendance.

"Vous découvrirez les secrets dont usent les grands chefs pour une réussite parfaite de vos plats et comment surmonter vos appréhensions pour une meilleure réception de vos hôtes."

Plusieurs possibilités

Coach à la carte

Cours à domicile à partir de 40 €/personne.

Demi-Journée (Entrée, Plat, Dessert) 3 personnes > 67 €/Personne, 4 personnes > 55 €/Personne, 5/6 personnes > 40 €/Personne

Mon chef dans ma cuisine

Pour 6 à 8 convives, recevez chez vous pour 200 €/la demi- journée.

Deux menus possibles

Déplacement en Haute-Loire et environs (demandez un devis)

Contact

Tél.  06 24 00 34 52

mail placide.pierre@yahoo.fr

Un défaut d’audition oblige à communiquer à distance uniquement par SMS ou mail. Cela dit, Pierre-Marie n’éprouve aucun problème de communication en face à face (il a e u l’habitude de manager des équipes en cuisine).

Et le site ici

Depuis la fin de l'été, le bâtiment de Krömm Group est vide à Saint-Jeures. L'entreprise installée depuis six ans a quitté le Haut-Lignon pour le Chambon-Feugerolles.

Krömm Group employait une quinzaine de salariés à Saint-Jeures, sur la zone d'activités la Bourlaratte. La société est spécialisée dans les panneaux de signalisation et les panneaux de chantier. Si elle rachète et revend les panneaux classiques de signalisation en tant que grossiste, elle réalisait sur place les panneaux temporaires ou les panneaux XXL qui indiquent devant un gros chantier les lots et les entreprises retenues.

Installé depuis six ans à Saint-Jeures

L'annonce du déménagement a été faite aux salariés quelques semaines avant le départ. Krömm Group a ainsi pris possession de ses nouveaux locaux ligériens dans le courant du mois d'août.

A Saint-Jeures, l'entreprise, qui dispose aussi d'agences à Paris, Toulon et Alès, était installée depuis six ans après avoir racheté un atelier-relais.

Ses dirigeants auraient justifié leur choix par un dépôt trop petit et des problèmes d'accessibilité pour les camions en hiver. Sollicitée à plusieurs reprises, la direction n'a pas donné suite à nos appels.

Trois salariés ont refusé de partir au Chambon-Feugerolles

Sur les 15 salariés, trois ont refusé d'aller travailler au Chambon-Feugerolles : une personne en production, et deux personnes dans les bureaux.

Krömm Group appartient à une holding, Swann Group, installée à Tence et qui possède également l'entreprise Cintrafil pour laquelle un important investissement est en cours de réalisation par la communauté de communes afin de lui permettre de rester sur le territoire et de se développer.

Un bureau de tabac a été braqué mardi soir juste avant la fermeture. L'auteur a pointé une arme sur le buraliste qui lui a remis la caisse.

Il était 18 h 50. Quelques minutes avant la fermeture, un individu est rentré dans le bureau de tabac de la place de la mairie. Vêtu avec des habits sombres, une capuche sur la tête et le visage dissimulé par un foulard, muni de gants, le malfrat a réclamé la caisse. Pour convaincre le buraliste, il a pointé une arme dans sa direction. Un pistolet en l'occurrence.

Le buraliste n'a opposé aucune résistance et a remis le contenu de sa caisse, soit 300 euros environ en argent liquide. Tout s'est fait en quelques secondes et l'individu est reparti aussi vite.

Des images de vidéo-protection ont été visionnées, que ce soit le commerce, la banque voisine ou ceux de la commune. Le parcours du braqueur a ainsi pu être relevé avant de disparaître dans la nature. Gardant sa capuche et le visage masqué, il a parcouru plusieurs rues du centre-bourg.

Des gendarmes spécialisés en investigation criminelle sont venus relever d'éventuels indices techniques et les images de vidéo-surveillance doivent encore être passées au peigne fin. Plusieurs questions restent en suspens : le braqueur a-t-il agi seul ? Bénéficiait-il de complices ? Le pistolet était-il vrai ou factice ?

Le collectif de riverains de Perpezoux s'est mué en un collectif écocitoyen pour refuser l'agrandissement du centre d'enfouissement de Monistrol-sur-Loire. Ses membres apportent des idées et se veulent constructifs.

Enfouir, oui, enfouir trop, non ! Les adhérents de Perpezoux Défense Environnement restent arc-boutés sur leurs positions. Ils s'opposent toujours farouchement à l'extension du centre d'enfouissement des déchets de Perpezoux à Monistrol-sur-Loire. Le projet prévoit 5,5 hectares pour construire un casier de 575 000 tonnes afin d'accueillir un potentiel de 30 000 tonnes de déchets par an sur 19 ans.

Les lanceurs d'alerte monistroliens ont multiplié les interventions auprès des élus et du grand public. Avec plus ou moins de réussite. "On est déçu de l'implication de la population. Tant que ce n'est pas à côté de chez eux, les gens s'en désintéressent", évoque un membre du collectif.

Un projet surdimensionné et hors la loi selon le collectif

Deux enquêtes publiques ont été réalisées et ont obtenu un avis favorable. "Il est encore temps de reconditionner ce projet. La principale incohérence, c'est le surdimensionnement", martèle le collectif qui parle d'un projet "hors la loi" : "Cette extension ne respecte pas le code de l'environnement qui fixe l'objectif de réduire de 30 % les capacités de stockage des déchets non dangereux, non inertes, admis en installation de stockage en 2020 par rapport à 2010 et de 50 % en 2025. La demande porte sur 30 000 tonnes par an et non pas 18 550 tonnes en 2020 et 13 250 en 2025. Il semblerait que la DREAL a demandé au porteur de projet de réduire sa demande à 20 000 tonnes."

Des pistes d'amélioration du côté des industriels

Perpezoux Défense Environnement pointe les efforts à faire sur le territoire du SYMPTTOM (Syndicat mixte pour le tri et le traitement des ordures ménagères et assimilés) pour réduire les déchets enfouis. Avec des chiffres impressionnants à la clé. "Sur 9 900 tonnes enfouis chaque année, 7 980 tonnes pourraient être valorisées. 1114 tonnes pourraient être valorisées tout de suite si les industriels triaient mieux et ça représente 40 % de l'enfouissement. De nouvelles filières de valorisation doivent aussi permettre de valoriser très bientôt. A cela s'ajoute les 17 % de bacs jaunes enfouis à cause des erreurs de tri. Pour une erreur de tri, c'est le contenu de tout un camion qui est enfoui."

Monistrol peut-il servir de point de chute aux poubelles d'autres territoires ?

Le collectif craint aussi qu'un site d'enfouissement surdimensionné donne l'occasion à d'autres territoires de venir mettre ses déchets à Monistrol. "Conditionner notre centre d'enfouissement à nos réels besoins évite ce genre de risque."

Moins visible, le collectif reste aujourd'hui dans l'accompagnement et la construction auprès des élus du SYMPTTOM

La commune de La Chapelle-d'Aurec dispose d'un arbre unique et très rare à proximité du bourg, vraisemblablement de la famille des érables sycomores. Des spécialistes tentent d'en percer le mystère.

Connaissez-vous l'arbre en boule de La Chapelle-d'Aurec ? Il faut le voir pour le croire. Dans un pré communal, à côté d'un lotissement, à proximité immédiate du centre-bourg, un arbre majestueux est planté. Sans avoir jamais été taillé, il épouse une forme ronde, légèrement pyramidale. Une forme de taupière, à l'image de l'as de pique.

A La Chapelle, tout le monde connaît son existence. Des panneaux signalent la direction pour inviter le promeneur à porter ses pas jusqu'à cette curiosité végétale.

Deux spécialistes veulent percer le mystère

Tout le monde le connaît mais personne ne connaît son origine. Le mystère pourrait bientôt être levé grâce à l'intérêt porté par Gilles Liège et le Stéphanois Lionel Staub, expert forestier. "Je n'en avais jamais entendu parler", reconnaît Gilles Liège, grand spécialiste arboricole. Depuis six semaines, il a enclenché son réseau. "Deux cents variétés sont répertoriées et décrites dans les sycomores, une espèce uniquement présente en France et en Europe occidentale. Mais celle-ci n'existe nulle part. Cela pourrait être un cas unique."

16 mètres de haut, 16 mètres de large

Selon les premières analyses, la plantation de cet arbre daterait entre 1850 et 1870. Il a une circonférence de 2,20 mètres à 1,30 mètre du sol. "Il est large de 16 mètres et haut de 16 mètres aussi. Il dispose d'une cinquantaine de branches. J'ai demandé à la mairie de regarder le cadastre napoléonien pour savoir si un chemin existait ici, ce qui pourrait expliquer sa présence."

Le Plan local d'urbanisme a pris en compte cet arbre en définissant un panorama préservé. Gilles Liège souhaite lui le faire classer parmi "les arbres remarquables" pour renforcer sa protection et légitimer son caractère exceptionnel... et unique.

C'est une nouvelle bataille de gagnée par les opposants au projet des éoliennes sur le territoire des Vastres. Le préfet vient de refuser l'autorisation de construire et d'exploiter 5 éoliennes.

Après l'avis défavorable du commissaire enquêteur au printemps, le préfet de Haute-Loire vient de refuser d'autoriser la construction et l'exploitation de cinq éoliennes sur le territoire des Vastres. Ce projet prévoit l'implantation de 5 éoliennes (sur deux sites distants de 2,5 km) de 150 mètres de haut sur le territoire des Vastres, à la frontière avec Fay-sur-Lignon et Saint-Clément. Le dossier est porté par les promoteurs Quénéa Energies Renouvelables et BayWa r.e. France.

Le représentant de l'Etat détaille les raisons de ce refus dans l'arrêté préfectoral daté du 21 septembre et publié sur le site internet le 28 septembre : une forte sensibilité, l'impact avec le site classé du massif du Mézenc dont la distance est de 4 km, le mitage des reliefs renforcé par les deux implantations distinctes, une importante gêne visuelle et dégradation du paysage, le manque de concertation entre la population, les collectivités locales et le porteur du projet,

586 avis ont été reccueillis par courrier, mail ou lors de l'enquête publique dont 512 contre le projet.

Le porteur du projet dispose d'un délai de deux mois pour déposer un recours devant le tribunal administratif de Clermont-Ferrand.

La carte du projet

Le Département a entrepris la réalisation d'un petit contournement à l'intérieur du village de "Lichemialle", partagé entre les communes de Saint-Pal-de-Mons et Saint-Romain-Lachalm. Six mois sont nécessaires pour ce chantier de sécurisation.

Chaque jour, le village de "Lichemialle" voit passer 2 100 véhicules, dont 130 poids lourds. A défaut de financer un contournement complet de ce hameau dont la particularité est de se partager à moitié entre Saint-Pal-de-Mons d'un côté et Saint-Romain-Lachalm de l'autre, le Département a choisi de réaliser une petite déviation sur le secteur le plus critique, à savoir de l'école à la sortie en direction de Saint-Romain.

"Cette route départementale assure la liaison entre deux secteurs économiques importants de la partie Est du Département : Dunières et Saint-Just Malmont d’un coté (RD23) et Sainte-Sigolène, la Séauve (RD500) et la RN88 de l’autre", fait savoir Jean-Pierre Marcon, président du Département.

860 mètres de déviation

Le dossier aboutit après plus de quinze ans de réflexion et de négociations. Divers tracés ont étudiés depuis 2001. Après de nombreux échanges et une enquête publique, un nouveau tracé sécurisant ce secteur a été validé. La longueur totale du projet est de 860 m dont 460 m de contournement et 400 m d’aménagement sur place. Au début de l’été, les travaux ont été attribués à l’entreprise Moulin des Villettes, les matériaux de chaussée viendront des Barrys à Yssingeaux, entreprise CMCA.

10 000 m3 de matériaux vont être amenés sur ce chantier pour la réalisation de la nouvelle route.

Pas de coupure de la circulation mais de l'alternat

Le chantier a commencé depuis le 10 septembre. Après les travaux concernant les réseaux d’eau d’assainissement, les réseaux électriques et de téléphonie, les terrassements seront entrepris coté Saint-Romain, avant de se poursuivre en direction du centre de Lichemialle. La période des vacances scolaires est retenue pour travailler à proximité de l’école et du parking déplacé sur l’ancienne emprise SNCF.

Il n’est pas prévu de coupure à la circulation, cette fin d’année, toutefois des alternats seront nécessaires en fonction de l’avancée du chantier.

Les chaussées seront réalisées par l’Entreprise Eurovia au printemps 2019, avec des interruptions de trafic ponctuelles pour les zones de raccordements de chaussée.

Le coût global de l’opération s’élève à 850 000 € TTC.

Les Duniérois se sont qualifiés pour le 5^e tour de la Coupe de France en battant Sucs et Lignon à l’issue des prolongations. C'est la première défaite de l'USSL cette saison.

L’affiche Dunières-Sucs et Lignon a été à la hauteur des attentes et de l'enjeu. Devant des mains courantes bien garnies, les deux formations ont livré un match intense, plaisant, à l’issue longtemps incertaine.

Après une mi-temps sans but, les Yssingelais ont pris l’avantage dès le retour des vestiaires grâce à Christophe Perbet (46^e).

Mais Dunières n’a pas cessé d’y croire et a fini par briser le verrou de l’USSL qui venait de perdre Johan Blassy sur blessure (72^e).

Benoit Prebet était à la conclusion d’un débordement. Son tir croisé, bien qu’écrasé, venait tromper la vigilance de Julien Guillot (74^e).

Les prolongations allaient tourner à l’avantage des Rouges de Dunières. Suite à un coup franc, la frappe croisée du gauche de Killian Rivory faisait mouche (99^e).

Et lors de la seconde période ces prolongations, Christophe Perbet était expulsé en position de dernier défenseur (116^e). Sur le coup franc, Julien Guillot était suppléé par le poteau. Jordan Duchamp suivait et envoyait définitivement son équipe au 5^e tour.

DUNIÈRES (DISTRICT 1) : 3

SUCS ET LIGNON (RÉGIONAL 3) : 1

Buts pour Dunières : Benoit Prebet (74^e), Killian rivory (99^e) et Jordan Duchamp (118^e)

But pour l’USSL : Christophe Perbet (46^e)

Dunières : Baptiste Pacalon, Anthony Vacher, Jérémy Barralon, Pierre Verot, Maxime Prebet, Vitalis Sabot, Thomas Crouzoulon, Maxime Graillon, Benoit Prebet (cap.), William Fournel, Alexis Varagnat, Florian Mathieu, Killian Rivory, Kevin Faugier, Jordan Duchamp, Kevin Varagnat

Sucs et Lignon : Julien Guillot, Sébastien Valentin (cap.), Tom Giraud, Loïc Peyrard, Johan Blassy, Julien Samouillet, Léo Dolmazon, Christophe Perbet, Dimitri Pust, Laurent Fessy, Ludwig Martorell, Mickaël Riou, Damien Samouillet, Arthur Pourtier, Mathias Francavilla, Anthony Sahuc.