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Faute de n'avoir su concrétiser ses opportunités, Monistrol s'est fait éliminer dimanche face à Clermont, plus expérimenté et surtout plus réaliste (2-1).

Clermont n'a pas été meilleur que Monistrol. Mais l'Union Jeunesse Clermontoise s'est montré diablement réaliste devant le but.

Les Monistroliens ont pourtant rapidement mené au score à la faveur d'un jeu de flipper. Un tir de Gautier Fabre que repousse le gardien, le ballon rebondit sur Alexandre Assaf, sur un défenseur, sur le gardien avant de mourir derrière la ligne de but.

Cet avantage aurait dû être alourdi. Au lieu de cela, Clermont a refait surface et égalisé avant de prendre l'avantage sur penalty.

En seconde période, Monistrol avait encore le temps de revenir mais le temps jouait inexorablement contre l'USM qui n'avait plus de cartouche. Désordonné, perdu, Monistrol restait incapable de faire basculer le match.

La Coupe de France s'arrête au stade du 4e tour.

MONISTROL-SUR-LOIRE (R3) : 1

UJ CLERMONTOISE (R2) : 2

But pour Monistrol : 6e

Buts pour Clermont : 24e et 38e sp

Monistrol-sur-Loire : Grégoire Tavernier, Clément Fayolle, Nicolas Badiou, Pierre Petrot (cap.), Aziz Abbas, Guillaume Chevalier, Gautier Fabre, Ludovic Lauranson, Lucas Bardel, Fabien Guinand, Alexandre Assaf, Maxime Aubert, Corentin Cheynet, Maxime Cuoq, Léo Clémençon

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Dimanche matin, 250 athlètes ont disputé les 10 km de Chadrac. Aurélien Rivet et Emma Bert s'imposent.

Sur l'asphalte chadracoise, les spécialistes des courses hors-stade étaient à la fête. Et à ce petit jeu, les licenciés de Velay Athlétisme, le club organisateur, se montraient évidemment à leur aise.

Cette distance courte et rapide, ultra plate, se distingue aujourd'hui des épreuves en pleine nature misant sur les terrains accidentés.

Tout s'est joué au train. Rapidement, Aurélien Rivet prenait les devants, suivi par Thibaut Imbert qui le gardait en point de mire. Puis suivait un petit peloton d'outsiders au sein duquel on retrouvait Baptiste Gibert, Théo Debard et Noël Sanial.

Chez les féminines, la junior Emma Bert a survolé l'épreuve. Celle qui vient de rejoindre l'ASM Clermont, le club de Renaud Lavillenie, boucle les 10 km en 38'09.

Les records ne sont pas tombés. Ils restent dans les jambes de Timothée Bommier (30'15) depuis 2016 et Marion Driot (37'28) depuis 2018.

Ces 10 km de Chadrac servaient de qualifications pour les championnats de France qui se disputent le week-end prochain à Perpignan. Les seniors hommes devaient descendre sous le temps de 34'15, les Masters 1 de 37', les Masters 2 de 40', les espoirs de 35', les seniors femmes de 43', les Masters 1 de 48', les espoirs de 44', les juniors de 46e.

Classement

1. Aurélien Rivet en 31'49

2. Thibaut Imbert en 32'42

3. Baptiste Gibert en 33'24

4. Antoine Jeune en 33'33

5. Jordan Touboul en 33'35

6. Germain Guezo en 33'58

7. Théo Debard en 34'00

8. Noël Sanial en 34'18

9. Steve Ripamonti en 34'21

10. Julien Imbert en 34'39

...39. Emma Bert en 38'09

...81. Catherine Digonnet en 41'56

...87. Bénédicte Roqueplan en 42'39

...88. Isabelle Prieur-Gros en 42'59

...102. Nadège Chomat en 44'13

Voir le classement des 10 km

Voir le classement des 2,7 km

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Alors que la réflexion est toujours engagée pour déplacer le lycée professionnel à côté du lycée général dans la montée du Prince, la Ville de Monistrol-sur-Loire veut cadrer le futur aménagement, soit en direct, soit en guidant les investisseurs. Voilà comment.

Depuis l'annonce par l'OGEC de son projet de déménagement, l'avenir du site du lycée d'enseignement professionnel privé (LEP) est au coeur de grandes réflexions au sein de la mairie. Car le tènement en plein centre-ville peut s'avérer crucial pour l'urbanisation future.

Un tènement de 12 000 m2

Des investisseurs montrent leur intérêt pour ce site de 12 000 m2. Parce que la municipalité veut avoir son mot à dire, elle use d'un outil : l'OAP pour Orientation d’Aménagement et de Programmation, sur le secteur de la place Néron, de la place du Prévescal et de la place Maréchal Noël de Jourda de Vaux.

La reconversion éventuelle du LEP attise les convoitises. La mairie délimite ainsi ce qui est permis et les aménagements à prévoir.

Le bâtiment du XVIIe siècle, qui fait l'angle entre la rue Louis-de-Charbonnel et la place Maréchal-de-Vaux, serait préservé. Ce lieu de 1 000 m2 sur trois étages serait dévolu à des services mais pas à de l'habitat.

Des services, de l'habitat, du commerce

La chapelle serait rasée pour permettre d'ouvrir depuis la place Néron vers un espace paysager au centre du LEP. Les ateliers actuels seraient démolis pour laisser place à une construction. Une halle marchande est imaginée au centre de la cour. Un ou deux bâtiments neufs pour de l'habitat pourraient voir le jour face à la place du Prévescal.

La mobilité est aussi étudiée avec des déplacements doux à l'intérieur et le rétablissement de la circulation à double sens dans le quartier des Roches.

Ces orientations ont reçu l'assentiment de l'opposition municipale, dont Robert Valour, qui estime que certaines de ses idées ont été reprises.

La mairie doit-elle acheter cet immobilier ?

Sur l'avenir du LEP, Robert Valour est favorable à un achat complet du site par la mairie. L'estimation des Domaines situe ce bien entre 2 millions et 2,2 millions d'euros. "Oui, on pourra toujours préempter mais on n'achètera pas à n'importe quel prix. On ne va pas investir au-delà de ce que ça vaut", prévient le maire Jean-Paul Lyonnet.

Le lycée privé de Monistrol espère se décider avant le début d'année 2020 afin d'enclencher éventuellement les demandes de subventions. Mais pour Notre-Dame-du-Château, le transfert ne se fera que si l'opération financière est supportable.

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Le Trial Club des 4 pattes de Saint-Bonnet-le-Froid referme joliment la saison trial ce week-end à la Rialle, entre Dunières et Saint-Bonnet-le-Froid.

Les trialistes apprécient l'épreuve amicale du Trial Club des 4 pattes de Saint-Bonnet-le-Froid. Ici, le spectacle est assuré, les pilotes ne ménagent pas leurs montures et leurs singes qui font office de contre-poids. Dans la poussière, sur les pentes raides ou dans la boue, le trial vaut le détour sur le terrain de la Rialle qui se situe à mi-chemin entre Dunières, Saint-Bonnet-le-Froid et Montfaucon-en-Velay.

Le site est le même mais les zones sont revues chaque année entre roche et bois. Quinze zones concerneront les véhicules de série, 10 zones sont affectées aux séries améliorées et les super séries et 5 zones pour les prototypes.

Le public est aux premières loges pour suivre les aventures ou mésaventures des concurrents.

Les buvettes seront gérées par des membres de l'association Les Enfants d'arc-en-ciel, basée aux Villettes et qui récolte des fonds pour aider des structures scolaires en Côte-d'Ivoire.

Dimanche 29 septembre

8 heures à 12 heures : compétition

14 heure à 18 heures : compétition

Restauration rapide sur place toute la journée.

Entrée gratuite

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La Ville de Monistrol a commandé une enquête de circulation. Les résultats ont été dévoilés vendredi soir en conseil municipal. Où l’on apprend que le vrai problème… ce sont les cars scolaires autour du rond-point des Droits-de-l’homme.

Les observations avaient beau être attendues, elles ont de quoi surprendre. Selon l’enquête réalisée par une société spécialisée en mars 2019, le nœud du problème résulte dans les bus scolaires qui provoquent des bouchons aux heures de pointe (7h45/8h30 et 16h45/17h45). Sans cela, la circulation est considérée comme relativement fluide à Monistrol. « Le problème n’est pas le volume des véhicules », résume Luc Jamon, conseiller chargé de ce dossier.

7500 véhicules par jour au rond-point des Droits-de-l’homme

Le problème serait davantage dû au gabarit des 45 cars, longs de 13,30 mètres, qui passent matin et soir sur un carrefour non calibré pour leurs grandes manœuvres. Sur ce rond-point ont été comptabilisés 7 500 véhicules par jour. C’est moins que sur l’avenue de la Libération (11 700) ou l’avenue de la Gare (9 100 à 10 400). « Chaque car prend les deux voies de circulation pour tourner. A chaque fois, ce sont quelques secondes qui, accumulées, engendrent des bouchons et des perturbations. On le pressentait mais pas à ce point-là. »

Quatre variantes analysées sur le long terme

Quatre hypothèses ont été étudiées pour résoudre le problème et analyser leurs conséquences : créer une liaison entre l’avenue Charles-de-Gaulle et l’avenue de la Catalogne ; créer un demi-échangeur sur la RN88 et éventuellement une route jusqu’à la route d’Aurec ; créer une liaison de l’avenue de la Libération ou avenue du 11-Novembre jusqu’à l’avenue de la Catalogne ; ou fermer la rue de Charras et créer une nouvelle sortie du centre-ville par la route d’Aurec.

La majorité municipale persiste sur l’échangeur de la RN88

Si les améliorations ne sont pas si évidentes, la majorité municipale maintient son souhait de créer un demi-échangeur supplémentaire sur la RN88 et un barreau Nord vers la route d’Aurec. « A une échelle de 20 ans, on en aura besoin. Et c’est la meilleure solution pour désengorger le rond-point des Droits-de-l’homme, jusqu’à -30 % de cars au droit du carrefour. »

L’opposition préfère une solution réalisable à court terme

L’opposition municipale préfère la création d’une liaison entre l’avenue Charles-de-Gaulle et l’avenue de la Catalogne. Moins coûteuse et réalisable plus rapidement.

Concernant la problématique des cars scolaires, la mairie de Monistrol va demander l’expertise de la Région. L’utilisation de bus plus petits de 33 places et 8,50 mètres de long pourrait résoudre rapidement le problème de fluidité. Mais engendrerait inévitablement des coûts supplémentaires et multiplierait le nombre de cars.

Publié dans Monistrol et environs
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Au lendemain de la vente aux enchères de tout le matériel de l'entreprise Cheynet et fils, Frédéric Girodet, maire et président de Loire Semène, ne cache pas sa colère. Surtout qu'un espoir demeurait qu'un repreneur rachète tout et relance l'entreprise.

"Je suis accablé par le dénouement de la vente des actifs Cheynet qui s’est déroulée hier (jeudi) sur site", lâche Frédéric Girodet, maire de Saint-Just-Malmont et président de la communauté de communes, laquelle est propriétaire depuis quelques mois des bâtiments.

"Il est tout simplement scandaleux de voir comment, en France, un outil de production peut être démantelé dans l’indifférence la plus totale, par le biais de procédures qui se moquent totalement de l’emploi, du savoir-faire et des impacts sur tout un territoire."

Un industriel était pourtant intéressé...

"Je travaille dur depuis l’annonce de la cessation d’activité Cheynet, en avril dernier, à la réindustrialisation du site. Etant propriétaire du bâtiment cela m’offre des marges de manoeuvre pour discuter avec des investisseurs, des porteurs de projet générateur d’emplois pour le territoire. Un industriel avait été identifié permettant de construire un avenir textile sur ce site. Ensemble, nous avons élaboré un véritable projet industriel avec des emplois à la clé et des perspectives de développement. Cet investisseur était prêt à acheter les actifs Cheynet, acquérir le bâtiment, remonter une activité textile, embaucher du personnel."

"Pour rendre possible ce projet, j’avais expressément demandé à ce que les actifs de Cheynet soient regroupés en un seul lot garantissant ainsi une reprise de l’activité textile par un seul entrepreneur."

"Toute cette énergie, cette volonté d’aboutir, ces espoirs, ont été balayés en deux jours."

"Deux jours passés à démanteler méticuleusement, lot après lot, l’outil de production rendant la reprise de l’activité impossible. Le bilan de ces quarante-huit heures : un tiers des actifs reste en France, les deux autres tiers partent à l’étranger ou à la ferraille."

"Ce site offre un beau potentiel"

"Je suis triste pour les personnes qui se sont battues jusqu’au bout, qui ont cru jusqu’à la fin que les métiers allaient de nouveau retentir. Triste pour les salariés qui avaient espoir de reprendre une activité textile sur ce site."

"Cependant, la collectivité demeure propriétaire des bâtiments, le territoire est attractif et la main d’oeuvre reste qualifiée. Parallèlement, je poursuis mon travail sur d’autres pistes concernant d’autres domaines d’activités. Ce site offre un beau potentiel et certains porteurs de projet ne s’y tromperont pas."

Publié dans Loire Semène
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La première phase du chantier gigantesque de rénovation du lycée Emmanuel-Chabrier touche au but. Après les vacances de la Toussaint, les élèves vont intégrer de nouveaux bâtiments dont les cuisines pédagogiques et le self. Pour l'établissement scolaire, ce redimensionnement ouvre la voie à de nouvelles formations.

Le lycée polyvalent prend ses aises. Clairement à l'étroit depuis plusieurs années, le lycée général, technologique et professionnel public profite d'une cure de jouvence sans précédent. C'est tout simplement un nouveau lycée qui est en train de naître.

Le futur lycée pourra accueillir jusqu'à 750 élèves

Il y a dix ans, l'établissement ne comptait que 240 élèves. L'ouverture des filières générales en 2012 l'a fait passer dans une autre dimension et ils sont aujourd'hui 600 jeunes à occuper les locaux, la moitié en filière professionnelle, l'autre en filière générale et technologique.

Les premiers coups de pelle ont été donnés en mai 2018. Après les vacances de la Toussaint, les lycéens pourront découvrir le nouveau self de 250 places, les deux cuisines pédagogiques. "C'est une opération à tiroirs", convient François Faure, le proviseur qui bénéficiera à la rentrée 2021 d'un lycée calibré pour 750 élèves. Ces travaux se chiffrent à 17 millions d'euros. Le lycée va passer de 4 200 m2 à 8 000 m2. Le ratio actuel est de 9 m2 par élève. Il va grimper à 20 m2.

Développer l'apprentissage en restauration

Le futur lycée va offrir de nouvelles perspectives de développement de formations nouvelles, en particulier dans les filières technologiques. Yssingeaux possède moins de places que le bassin ponot malgré un potentiel équivalent.

Les nouveaux équipements doivent permettre de développer des formations en apprentissage. Outre la maintenance, le lycée Chabrier serait partant pour la restauration et le service.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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vendredi, 27 septembre 2019 09:22

Tiranges : il crée un jeu de société… en chinois

Serge Faure de Tiranges a inventé « Youdao-dayou », un jeu de société en chinois.

Youdao-dayou est à l’image de son inventeur : atypique. A 60 ans, Serge Faure, qui habite Tiranges, a mis au point un jeu de société traduit en français, anglais et chinois.

Son créateur a connu une première vie en tant qu’animateur socio-culturel dans le quartier Montchovet à Saint-Etienne. « On prenait en charge les enfants de la banlieue de Saint-Etienne. On les faisait beaucoup jouer. »

Après le milieu socio-culturel, Serge Faure est parti en 1992 dans la métallurgie où il y restera jusqu’en 2007. Il se spécialisera par la suite dans le service qualité à travers des missions dans des entreprises. Entre deux contrats, en 2011, il décide de partir à Shanghai dans l’espoir de faire valoir ses compétences auprès des entreprises chinoises. Cela durera deux mois. « Ça m’a beaucoup plus. »

Apprendre le chinois de façon ludique

Il effectuera d’autres voyages et développera ses connaissances autour de la langue et de la culture. « De plus en plus d’applications existent pour apprendre le chinois mais je suis toujours déçu car ce n’est pas assez ludique. »

Voilà comment naît alors Youdao-dayou (un jeu de mots autour de youdao « avoir la méthode, le savoir » et dayou « relever un défi ».

108 caractères de la langue chinoise

Trois prototypes ont été réalisés depuis 2016 pour ce jeu de société qui se pratique de 3 à 12 joueurs, à la façon d’un scrabble. « Le chinois utilise 49 000 caractères. J’ai choisi ceux qui constituent la base du chinois. La première version en comptait 132. Là, je suis à 108 caractères. »

Serge Faure veut s’adresser à un public francophone et anglophone. « Ce jeu consolide les acquis de façon ludique, il doit donner du plaisir à mémoriser les caractères et les prononciations. »

Infos pratiques

Serge Faure propose de réunir des joueurs pour utiliser son jeu

Voir la page Facebook

Téléphone : 06 73 13 81 35

Vidéo de présentation

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Pour la troisième fois depuis juin, une manifestation a lieu ce jeudi après-midi à l'hôpital Emile-Roux. Cette fois-ci, tous les services de l'hôpital public du Puy-en-Velay sont concernés.

Le malaise se généralise à l'hôpital Emile-Roux, à l'image de l'hôpital public en France. A l'appel de l'intersyndicale composée de la CGT, Force Ouvrière et la CFDT, les 1 500 agents qui travaillent à l'hôpital ponot étaient appelés à manifester leur mécontentement jeudi après-midi, au départ du services des urgences, d'où tout est parti.

On comptait environ 200 participants, dont une trentaine de Gilets jaunes et une dizaine de pompiers, qui se retrouvent dans les revendications.

Les revendications justement, elles sont d'ordre national et local. Localement, les grévistes réclament des créations de postes, des ouvertures de lits, le retrait de la Loi Santé 2022, se disant "asphyxiés" par la charge de travail croissante. "Le combat que nous menons syndicale est plus que légitime et nécessaire", assure Amandine Rabeyrin de la CGT. La CFDT ajoute d'autres revendications. "On veut l'arrêt des changements de planning de façon récurrente, et le retour des dix postes ASH (Agent des services hospitaliers) gelés en 2018 par crainte d'un déficit".

Le cortège de 200 manifestants a effectué jeudi après-midi un premier arrêt devant le bâtiment de la direction avant de rejoindre le centre-ville où une délégation devait être reçue en préfecture.

Chanson "Buzyn Ciao"


Les paroles

Ça fait des mois, voire même des années

Oh Buzyn Ciao, Buzyn Ciao

Buzyn Ciao, Ciao, Ciao

On n'nous entend pas, ne nous écoute pas

Et ça ne peut plus durer

Toujours plus de patients, mais d'moins en moins de lits

Oh Buzyn Ciao, Buzyn Ciao

Buzyn Ciao, Ciao, Ciao

Pas de matériel, moins de personnel

Mais de plus en plus le bordel

On s'occupe d'humains, pas de marchandises

Oh Buzyn Ciao, Buzyn Ciao

Buzyn Ciao, Ciao, Ciao

Toutes nos têtes pensantes, ne pensent qu'aux finances

Mais ce n'est pas le but des urgences

Trouves tu ça normal, ceux qui s'tirent une balle

Oh Buzyn Ciao, Buzyn Ciao

Buzyn Ciao, Ciao, Ciao

Juste parce qu'ils s'épuisent, dans ton hôpital

En essayant de faire leur travail

Victimes de violences, ou bien d'agressions

Oh Buzyn Ciao, Buzyn Ciao

Buzyn Ciao, Ciao, Ciao

Tout le personnel est à saturation

Et aucune va-lo-ri-sa-tion

Agnès écoute nous, surtout entends nous

On n'lâchera pas, n'lâchera pas,

N'lâchera pas, pas, pas

Notre santé s'enfonce, pourtant on s'défonce

Apportes nous une vraie réponse...

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Salomé Méalier, 25 ans, ouvre lundi 30 septembre son cabinet d’orthoptie à Montfaucon-en-Velay.

Originaire de Dunières, Salomé Méalier avait à cœur de s’installer dans sa région d’origine, à la campagne. A partir de lundi, les patients pourront ainsi profiter de ses connaissances pour la vue.

La jeune femme domiciliée au Chambon-sur-Lignon va s’installer dans le nouvel espace coworking de Montfaucon-en-Velay aménagé dans l’ancienne perception, à côté de la Poste.

Tout en gardant un poste à mi-temps à l’hôpital d’Annonay, l’orthoptiste consultera quatre jours par semaine.

Formée à la fac de médecine de Montpellier

Après l’obtention d’un BTS opticien-lunetier à Saint-Etienne et une année de prépa, Salomé Méalier a réussi son concours à la faculté de médecine de Montpellier en spécialisation orthoptie.

Au cours des trois années de formation, elle a eu l’occasion de découvrir le milieu professionnel dans un centre basse vision à Nîmes et à la Fédération des aveugles de France dans le Languedoc-Roussillon.

Depuis l’obtention du diplôme, en juillet 2018, Salomé Méalier a effectué plusieurs remplacements en Haute-Loire, Loire et Ardèche.

L’orthoptie permet la rééducation, la réadaptation et le dépistage visuel. « On regarde la fonctionnalité de l’œil. »

Des méthodes pour la basse vision

La professionnelle est particulièrement intéressée par la basse vision. Cela concerne les personnes âgées atteintes de DMLA ou glaucome par exemple. « On va chercher à optimiser la vision encore efficace pour aider dans la vie quotidienne à réaliser des tâches. »

Une alternative possible à l’ophtalmologie

L’orthoptie est une discipline paramédicale qui peut être une alternative à l’ophtalmologie pour les besoins les plus simples. A l’aide d’une ordonnance de son médecin traitant, on peut consulter un orthoptiste, ce qui amène au remboursement de la consultation (60 % par la Sécurité sociale, 40 % par la mutuelle). En cas de doute, la professionnelle pourra orienter vers un médecin spécialisé.

Infos pratiques

Les consultations se feront le lundi, mercredi et vendredi de 9 heures à 19 heures, le samedi de 9 heures à 13 heures.

Téléphone : 06 08 56 00 04

Mail : orthoptistemontfaucon@gmail.com

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