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Jean-Marie Cuoq est le grandissime favori du Rallye automobile du Haut-Lignon qu'il dispute pour la première fois ce week-end.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, Jean-Marie Cuoq n'a jamais couru sur les routes du Haut-Lignon. "C'est une période toujours chargée en rallyes. Ce n'est pas une volonté de ne pas venir mais le calendrier ne le permettait jamais. Cette année, ça a pu se faire", indique le pilote sur la place de la Fontaine au Chambon-sur-Lignon au moment de passer les vérifications techniques.

Pour ce trentième anniversaire, Jean-Marie Cuoq, des Villettes, et sa Citroën "Xsara" vont se mesurer à Laurent Lacomy, des Bouches-du-Rhône, et sa Citroën "DS3", vainqueur en 2018. D'abord annoncé, Jean-Laurent Chivaydel a dû déclarer forfait, tout comme il l'avait fait pour le Rallye Velay Auvergne. Sa Ford "Fiesta" n'est pas prête.

L'édition 2019 du Rallye du Haut-Lignon subit une petite modification au départ de la première spéciale de Pleyne, celle du Mas-de-Tence.

Depuis deux ans, le départ se faisait au niveau de la station d'eau. Sauf que le départ en côte fait souffrir les boites de vitesse. D'où un départ qui va être avancé de 40 mètres sur une zone plus plane.

Samedi 14 septembre

9 h 30 : départ du rallye

Pleyne (10,10 km)

- ES 1 : 10h15

- ES 3 : 14h43

- ES 6 : 17h54

Les Moulins (18,65 km)

- ES 2 : 13h50

- ES 4 : 16h43

- ES 7 : 19h39

Pont-d’Auze (6,60 km)

- ES 5 : 17h16

- ES 8 : 20h12

Dimanche 15 septembre

Remise des prix

Publié dans Haut-Lignon
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Les deux entreprises de plasturgie SES à Saint-Pal-de-Mons et SEID à Dunières sont placées en redressement judiciaire, totalisant 55 salariés. Les deux sociétés appartiennent à Jean-Philippe Grail.

Vendredi après-midi, le tribunal de commerce du Puy-en-Velay étudiait deux dossiers d'entreprises spécialisées dans la plasturgie. Le premier concerne SIED à Dunières, une société qui réalise de l'extrusion. L'entreprise a été rachetée en 2017 par Jean-Philippe Grail et emploie 15 personnes.

Cette entreprise était en redressement judiciaire depuis deux mois. Le tribunal a prononcé vendredi la poursuite de la période d'observation pour trois mois. Selon un représentant du personnel, l'espoir d'une reprise existe.

Le second dossier concernait SES à Saint-Pal-de-Mons. Créé en 1988 à Dunières par René Grail, Stéphany Emballage et Services avait déménagé en 2008 à Saint-Pal-de-Mons. Aujourd'hui, l'entreprise familiale emploie 40 personnes et est dirigée par Jean-Philippe Grail.

SES avait beaucoup misé sur le plastique "bio"

Pour les salariés, l'annonce du dépôt d'un dossier devant le tribunal de commerce a été vécue comme une douche froide. "En août, tout allait bien. Et le jour de la reprise, on a appris la mauvaise nouvelle", regrette Yohan Fialon, délégué du personnel. Les salariés reprochent la gestion de leur patron. "Rien n'a été fait pour restructurer. On a été mis à l'écart et on ne disposait d'aucune information."

En 2016 et 2017, SES avait investi 7 millions d'euros pour développer les productions d’emballages biocompostables sur le site de Saint-Pal suite à loi sur la transition énergétique. "Aujourd'hui, le bio ne représente que 10 ou 20 % de l'activité."

Une audience le 13 décembre

Les salariés craignaient que le tribunal ne prononce la liquidation de l'entreprise vendredi. Finalement, SES est placé en redressement judiciaire avec une période d'observation de 6 mois. Un administrateur va être nommé. Le tribunal a conseillé au PDG de se rapprocher de l'un de ses principaux clients pour miser sur une coopération commerciale. Les deux dossiers de SES et SEID sont désormais liés. Prochaine audience au Puy le 13 décembre. "On est déterminés à sauver l'entreprise mais on a besoin de directives claires."

Nous avons tenté de donner la parole à Jean-Philippe Grail à la sortie du tribunal. Mais son avocat lui a déconseillé de s'exprimer sur la situation, renvoyant vers l'administrateur. "Les salariés disposeront des informations nécessaires."

Publié dans Monistrol et environs
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Le Département fait procéder à des travaux sur le mur de soutènement de la route départementale 42 entre le giratoire du pont de la Roche et le carrefour pont de la Loire à Bas-en-Basset).

Ces travaux sont programmés depuis ce jeudi 12 septembre et devraient s'étendre jusqu'au 31 octobre. Pour mener à bien ce chantier délicat, la route est totalement fermée dans les deux sens et une déviation via la RD425 est mise en place.

Une exception sera faite aux riverains qui auront un accès aménagé à la sortie du pont de Bas au carrefour des RD12 et 42.

Des campagnes d'études pour le futur pont de la Loire

Par ailleurs, dans le cadre du projet de reconstruction du pont de Bas-en-Basset sur la Loire, plusieurs campagnes d'études sont en cours ou vont débuter. Elles concernent notamment une étude de trafic et d'acoustique qui sera menée en septembre.

L'étude environnementale (faunes/flores) devrait se terminer cet automne. Tout cela nécessite la présence d'appareils de mesure et de personnels spécialisés répartis en plusieurs points de Bas-en-Basset.

La déviation

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Publié dans Monistrol et environs
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Un tragique accident s'est produit jeudi vers 10 h 15 dans la rue principale de Dunières.

Une femme a été mortellement fauchée par un poids-lourd dans la rue du 11-Novembre, en face de la boulangerie, entre le  Crédit Agricole et la Poste. Le camion-citerne descendait et venait de quitter son stationnement. Le chauffeur âgé de 43 ans s'est arrêté après avoir aperçu une forme dans son rétroviseur.

Il venait de renverser une femme âgée de 79 ans qui commençait à traverser la rue. Cette Duniéroise a été déclarée décédée sur place.

La rue a été totalement fermée à la circulation pendant deux heures, le temps aux secours d'intervenir et aux gendarmes de mener les investigations.

Publié dans Haut Pays du Velay
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La fin de séance du conseil communautaire a été particulièrement houleuse mercredi soir. Suite au vote contraire de la commune de Dunières sur le nombre de représentants sur la prochaine mandature, le président du Pays de Montfaucon Bernard Souvignet a annoncé qu'il retirait les délégations de la vice-présidente de Dunières, Marie-Laure Oudin.

Echanges surréalistes mercredi soir à Saint-Romain-Lachalm pour le conseil communautaire de rentrée. Pour la dernière question du soir à l'ordre du jour, le président du Pays de Montfaucon, Bernard Souvignet, a voulu revenir sur la future répartition des sièges au conseil communautaire qui deviendra effective après les prochaines élections municipales de 2020.

Dunières impose le nombre d'élus à toutes les communes

Alors qu'un accord local, approuvé par le bureau, proposait 29 élus permettant à Dunières de rester à 9 élus et à Montregard d'en perdre un seul, le conseil municipal duniérois a opté en juillet en faveur du droit commun, à savoir 24 élus mais d'où découle une meilleure représentativité pour Dunières. Par ce vote, les élus duniérois imposent le nombre d'élus à toutes les autres communes. Le grand perdant est Montregard qui se retrouve avec un seul représentant au lieu de trois.

Bernard Souvignet a invité les élus de Dunières à s'expliquer. "En 22 années d'existence de la communauté de communes, c'est la première fois qu'une commune vote contre l'avis du bureau", fait remarquer le président.

Les délégations de la vice-présidente de Dunières retirées

Robert Oudin, maire, a pris la parole. Il a rappelé les deux possibilités présentées aux élus de sa commune et le vote à bulletin secret, invitant au respect de la décision du conseil municipal. "Nous avons eu des menaces de sanctions", reproche-t-il avant d'évoquer la présence de Bernard Souvignet le soir du vote à la mairie de Dunières. Présence qu'il aurait interprétée comme une marque de défiance.

Le ton est monté crescendo. "J'ai été reçu comme un chien, j'ai été humilié. Ce vote me dégoûte et vous vous êtes mis à dos sept communes", lâche Bernard Souvignet avant d'annoncer : "On pourrait supprimer les fonds de concours à Dunières (des subventions intercommunales envers les communes) ou arrêter le projet de maison de santé mais on ne veut pas que toute la population en paie les pots cassés. En revanche, je décide de retirer toutes les délégations à la vice-présidente, Marie-Laure Oudin (également épouse du maire, NDLR). Avec effet immédiat."

"Vous me faîtes honte"

Pendant quelques dizaines de minutes, les élus ont lavé leur linge sale en famille, se reprochant tous les maux, entre manque de solidarité, avis contraires sur la maison de santé, intégration au sein du bureau, projets non soutenus... Même le directeur de la CCPM est sorti de ses gongs. "Vous me faites honte", a-t-il lancé à l'attention du maire de Dunières avant de claquer la porte.

Visiblement, les élus en avaient gros sur le coeur et besoin de vider leur sac. Cela sera-t-il salutaire pour l'avenir ?

Publié dans Haut Pays du Velay
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Depuis le début de semaine, les internautes partagent en quantité une publication sur les réseaux sociaux concernant l'obligation des pneus neige dans 48 départements dont la Haute-Loire du 1er novembre au 31 mars. C'est faux.

Le débat revient chaque année quand c'est la pagaille sur les routes : faut-il rendre les pneus neige obligatoires en Haute-Loire, département de moyenne montagne ? Et depuis le début de semaine, la toile s'affole avec une publication relayant l'obligation faite d'installer des pneus neige sur les voitures dans 48 départements à partir du 1er novembre et jusqu'au 31 mars sous peine de contravention (135 euros) et d'une immobilisation possible du véhicule. L'annonce a de quoi faire peur.

"Le décret sur la loi montagne signé le 1er juillet 2019 oblige désormais les conducteurs de 48 départements français à s'équiper de pneus adaptés entre le 1er novembre et le 31 mars", alertent de nombreuses pages.

La "loi montagne" de décembre 2016 a introduit une nouvelle disposition donnant au préfet de département autorité pour déterminer "les obligations d'équipement des véhicules en période hivernale". Mais des décrets d'applications sont nécessaires pour que cette disposition entre en vigueur. Et aucun décret de ce type n'est encore paru au Journal officiel. En résumé : la loi existe mais sans décret, elle ne peut être appliquée.

Et dans chaque département, toutes les communes pourraient ne pas être concernées à la même hauteur : c'est au préfet d'établir la liste précise des communes qui le sont. En Haute-Loire, Nicolas de Maistre ne s'est pas encore penché sur la question.

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Ce mercredi, 8 professeurs sur 10 sont en grève au collège Roger-Ruel à Saint-Didier-en-Velay pour protester contre le refus d'ouverture d'une sixième classe en 4e, entraînant deux classes à 31 élèves.

Après avoir essayé différentes recours, les professeurs du collège public de Saint-Didier-en-Velay ont décidé de se mettre en grève et de le faire savoir ce mercredi.

Deux classes de 4e à 31 élèves

Dans cet établissement, l'un des trois plus gros de la Haute-Loire, la grève reste très rare. Mais les enseignants tirent la sonnette d'alarme autour des effectifs en 4e. Alors que cette section dépasse le seuil d'ouverture, le rectorat refuse d'accorder la dotation de 26 heures supplémentaires pour permettre d'alléger les classes. Résultat : deux classes se trouvent avec 31 adolescents. "Il s'agit de réclamer des conditions décentes de travail pour les élèves. Une classe à 31 ne permet pas de travailler dans un climat serein en collège. Et certaines salles ne peuvent tout simplement pas accueillir 31 élèves, le prof et éventuellement l'AESH (accompagnant d'élève en situation de handicap) pour des raisons de confort et de sécurité."

Un mail type envoyé par les parents

Depuis janvier, les professeurs alertent l'inspection académique. Ils ont obtenu 14 heures mais pas 26. Ce qui permet de dédoubler certains cours mais pas la totalité. "Et on craint que cela ne se reproduise à l'avenir", commente un professeur.

Les parents aussi ont décidé d'agir. Les familles sont invitées à transmettre un mail type à l'inspectrice académique.

Un collège surchargé

Le collège Roger-Ruel s'est beaucoup agrandi. Rénové il y a huit ans, il était conçu pour 500 jeunes. Cette année, les effectifs sont de 654 élèves contre 340 il y a vingt ans. Des salles modulaires ont été installées à côté de la cour pour répondre aux besoins depuis trois ans.

Publié dans Loire Semène
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Depuis le 17 juin, les personnels des urgences sont en grève illimitée à l'appel de l'intersyndicale composée de la CGT, Force Ouvrière et la CFDT.

Depuis lundi, les agents de la régulation SAMU ont rejoint le mouvement. Au lendemain des annonces de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, les grévistes réclament plus de moyens humains à l'hôpital Emile-Roux au Puy-en-Velay.

La colère des personnels des urgences n'est pas calmée. Voilà près de trois mois qu'ils sont en grève, à l'hôpital Emile-Roux au Puy-en-Velay et partout en France.

Mardi, les agents grévistes ont renouvelé une opération symbolique devant les urgences. Une trentaine de personnes ont enfilé des sacs plastiques de recyclage des déchets et brandi des pancartes de protestation.

"Les urgences sont asphyxiées et les annonces de la ministre ne sont pas à la hauteur", assure Amandine Rabeyrin de la CGT.

Du personnel supplémentaire au Puy cet été

A l'hôpital public du Puy-en-Velay, des brancards ont été réparés, du petit matériel a été acheté, un agent administratif a été employé jusqu'au 31 août de 21 heures à minuit. "On veut zéro hospitalisation sur un brancard. Au Puy, on manque d'effectifs, on réclame un agent de sécurité 24 heures sur 24 pour éviter les agressions, un agent administratif de nuit", liste Carole, une infirmière syndiquée.

"Il est urgent d'investir dans l'hôpital", estime Catherine Experton, secrétaire de section à la CFDT.

"La ministre n'a pas apaisé la situation. Les 750 millions d'euros, elle va les prendre dans d'autres services. Déshabiller Paul pour habiller Pierre, cela risque de mettre le feu aux poudres ailleurs", ajoute la CGT.

Les agents de régulation SAMU à leur tour en grève

Depuis lundi, au Puy, les 12 agents de régulation du SAMU, ceux qui réceptionnent les appels du 15, ont rejoint le mouvement. "On est le premier maillon. On était oublié et donc on rejoint la grève. On travaille à flux tendu, les appels augmentent mais les moyens stagnent. Les insultes et les agressions verbales augmentent aussi", témoigne Ghislain Perbet, régulateur SAMU depuis dix ans.

Malgré la grève, les urgences fonctionnent normalement. L'accueil du public est garanti.

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Aurec Environnement organise samedi 14 septembre de 10 heures à 18 heures la 7e édition de la Foire bio à la Maison des associations. Marché, conférences, ateliers agrémenteront cette journée d'animations.

La Foire bio d’Aurec-sur-Loire devient un évènement incontournable de la rentrée.

Aurec Environnement propose un programme avec une orientation sur le développement durable, les nouvelles formes d’énergie et l’économie sociale et solidaire.

Tout au long de la journée, à partir de 10 heures, une quarantaine d’exposants feront découvrir avec passion leurs différentes spécialités soit dans les produits du terroir, soit dans l’artisanat d’exception. Il sera aussi proposé des ateliers et des animations.

Les méthodes ancestrales des boulangers

L’atelier "Autour d’un four" vous initiera aux méthodes ancestrales des boulangers : créer un levain ; comprendre les gestes du pétrissage, du façonnage, de l’enfournement à la pelle dans un modèle unique de four à bois à sole tournante. Pendant la cuisson, vous pourrez tester un modèle de moulin à meule de pierre pour comprendre les différentes étapes pour passer du grain de blé à une farine blanche et légère.

Les ateliers

Avec Fanchon, l'atelier créatif s'appuiera sur le recyclage et le détournement d’objets du quotidien. On trouvera aussi un atelier vannerie, un atelier initiation au tri sélectif, Ocivélo alias les réparations vélo et marquage bicycode, la fabrication de tawashi (éponges à faire soi-même) et bee’s wrap (emballage alimentaire écologique) avec Citoyens solidaires des Sucs, et l'activité "fais-le toi même" avec l'Atelier Colibri : création d'un gel douche au caramel à 11 heures et création d'un animal en carton en 3D à 15 heures.

Conférences et projections

Comme dans les années précédentes conférences et projections vous seront proposées : "Bye bye pesticides" à 11 heures, conférence sur la "spiruline" par Pascal Posséty à 14 h 30 et conférence "l’économie sociale et solidaire" par Bertrand Lordon à 16 h 30.

Un stand de restauration bio sera ouvert en continu. L’entrée est gratuite.

Un film-débat le vendredi

Un film suivi d'un débat sera proposé vendredi en ouverture de la foire. Le film "Un Lien qui nous élève" sera suivi d'une discussion animée par Anne-Marie Januel, éleveuse à Sainte-Sigolène.

La séance est programmée vendredi 13 sept à 20 heures à la salle de ciné d'Aurec (médiathèque, place des Hêtres). Entrée : 5 €.

Les exposants

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Mobi'Pouce, le dispositif d'auto-stop partagé, vient d'être lancé sur tout le territoire du Pays de la Jeune Loire à l'exception du Haut-Lignon. Voici les explications.

A voir la carte de Mobi'Pouce, on s'aperçoit très vite que toutes les communautés de communes sont concernées sauf le Haut-Lignon. Les Sucs, le Pays de Montfaucon, les Marches du Velay-Rochebaron et Loire Semène ont accepté le dispositif. Sauf le Haut-Lignon.

Ce qui veut dire que les habitants de ce territoire ne peuvent s'inscrire (gratuitement) et recevoir le kit comprenant un brassard, un panneau, un sac, un crayon et un autocollant à mettre sur le pare-brise.

Une exception d'une habitante de Tence

Martine Ravni, qui habite à Tence, regrette cette mise à l'écart. "C'est vrai qu'on est tellement bien desservi ici !", ironise-t-elle. Elle a malgré tout bénéficié du kit. "Je me suis rendue en mairie de Dunières car j'y passe souvent pour me rendre à la piscine ou à Saint-Etienne. J'ai obtenu le kit par erreur mais je n'ai pu le recevoir pour mon mari et une amie." Elle a ainsi appris que le Haut-Lignon n'avait pas adhéré à Mobi'Pouce. "C'est une super idée. Je suis inscrite en tant que voiture et auto-stoppeuse. On peut toujours être amenée à faire du stop ici. Je trouve que ça sécurise l'échange et on signe une charte de qualité."

Claude Vial : "La porte reste ouverte"

Claude Vial, le président du Pays de la Jeune Loire, n'explique pas le refus du Haut-Lignon mais laisse la porte ouverte. "Le Haut-Lignon peut toujours intégrer Mobi'Pouce. Un groupe de travail sur le transport a étudié ce dispositif et les élus du Haut-Lignon y étaient favorables. Avec les aides, on ne demandait que quelques milliers d'euros pour les deux premières années."

Mobi'Pouce vs BlaBlaCar

Pour Julien Melin, président du Haut-Lignon, le refus n'est pas définitif mais le bureau n'a pas retenu cette solution. "On va voir comment ça fonctionne. On aimerait plutôt des lignes de bus pour répondre aux problématiques de transport sur le territoire. Des sites existent déjà comme BlaBlaCar ou des groupes sur Facebook. Et l'auto-stop, on est censé pouvoir le faire n'importe où."

Publié dans Haut-Lignon