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Deux ans après l'incendie qui a ravagé tout l’atelier de production en septembre 2017, Sigoplast a inauguré vendredi sa nouvelle usine, plus moderne et plus sécurisée à Saint-Pal-de-Mons.

Le 24 septembre 2017, l'histoire de Sigoplast a bien failli se terminer dans les cendres. Un incendie a entièrement détruit l’entreprise à Saint-Pal-de-Mons, dans une usine construite cinq ans plus tôt. Un problème d’origine électrique avait déclenché ce feu dans la nuit.

Vendredi, en présence de partenaires, voisins et élus, Arnaud Roule, le PDG de l’entreprise de plastique, spécialisée dans la sacherie et l’impression d’emballages alimentaires, était tout sourire et aussi ému au moment de célébrer cette nouvelle unité de production.

"Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin"

"C'est un nouveau départ", formule l'entrepreneur qui a hérité d'une usine créée en 1965 à Sainte-Sigolène (d'où son nom). "Il a fallu relever la tête pour prendre les bonnes décisions. Nous y sommes arrivés. L'élan de solidarité nous a permis de passer ce cap compliqué."

Aujourd'hui, Sigoplast et ses 40 salariés se projettent vers l'avenir afin de relever de nouveaux défis. "Une entreprise internationale serait certainement partie après cet incendie", estime Patrick Riffard, le maire san-palou. "Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin."

Une sécurité renforcée en cas d'incendie

Dans les faits, les ouvriers sont progressivement arrivés dans cette nouvelle usine Sigoplast à partir d'octobre 2018. Depuis début 2019, la production monte en puissance dans ces locaux de 5 000 m2 contre 4 000 m2 auparavant. Des aménagements ont été réalisés pour se protéger de l’incendie comme une charpente béton et non métallique, plus stable en cas de feu. Des murs coupe-feu entre chaque atelier, de la télésurveillance, des alarmes incendie ont été renforcées.

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La récurrence de dégâts causés par les sangliers sur les cultures a conduit le préfet de la Haute-Loire à mettre en oeuvre des mesures administratives de régulation sur les secteurs les plus impactés, dont notamment des tirs de nuit sur la commune de Bas-en-Basset qui a connu des dégâts début septembre et qui a été classée « sensible » à ce titre.

Ces actions, encadrées par les agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, ont conduit à tuer des sangliers à proximité notamment de cultures de maïs.

En complément, des actions de chasse opérées par les associations communales de chasse agréées (ACCA) de Bas-en-Basset et de Monistrol-sur-Loire, ont conduit à tuer plus d’une vingtaine d’animaux.

"Il est nécessaire que les chasseurs maintiennent une pression de chasse suffisante pour abaisser le niveau de population de sangliers à un niveau acceptable au regard des dégâts", insiste la préfecture dans un communiqué.

Dans ce contexte, l’arrêté annuel d’ouverture et de clôture de la chasse dans le département prévoit désormais l’exercice de la chasse du sanglier jusqu’au 29 février 2020, y compris par temps de neige, "et il convient que les chasseurs puissent mobiliser les différentes possibilités données par la réglementation, pour aboutir à cet objectif de réduction des dégâts".

"Au vu de l’état actuel des populations de sangliers et des dégâts occasionnés aux cultures, il n’est pas exclu que d’autres actions administratives de régulation soient conduites sur les secteurs où les ACCA locales n’arriveraient pas elles-mêmes à juguler des situations de dégâts trop importants."

 

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Fermés depuis septembre 2018, les 14 duplex de la résidence Les Aubépines à Yssingeaux pourraient être remplacés par 26 logements (dont un gardien) à destination des étudiants.

Les élus d'Yssingeaux ont validé le projet présenté jeudi soir en séance publique concernant la résidence Les Aubépines, située entre le Centre des finances publiques et le lycée agricole. Ici, depuis les années 2000 et l'abandon du village-vacances par son gestionnaire, 14 duplex accueillaient des étudiants, notamment dans le cadre du développement de l'Ecole de pâtisserie et plus globalement de l'enseignement supérieur sur la ville. Mais depuis deux ans, le site a été totalement fermé. "C'est une passoire", assure le maire Bernard Gallot.

La commune démolit, Alliade Habitat construit

Une solution est en passe d'être trouvée via Alliade Habitat qui se propose de construire une résidence étudiante en lieu et place des 14 duplex. La commune prendrait à sa charge la démolition des bâtiments actuels et cèderait à l'euro symbolique la parcelle pour bâtir ce nouvel ensemble immobilier de deux étages en forme de L, comprenant 18 studios, un T2 pour le gardien, sept T3, un bureau, une salle commune et une laverie.

Le coût prévisionnel, au stade de l'esquisse, est estimé à 2 millions d'euros

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Sur fonds de revendications nationales liées au manque de moyens, des agents de l'Ehpad Vellavi à Saint-Didier-en-Velay ont planté un piquet de grève. Le malaise oppose plus localement la directrice et des agents soignants.

A l'Ehpad de Saint-Didier-en-Velay, qui compte 108 résidents et 75 salariés, certains ont l'impression de revivre la crise qui remonte à dix ans en arrière. Le malaise couvait depuis quelques temps et il éclate cette semaine avec une grève de la part des personnels soignants titulaires.

Les revendications citées dans le préavis de grève

Les revendications sont à la fois d'ordre national et local. Dans le préavis de grève déposé par le syndicat CGT, il est indiqué "la sécurité des soins et des résidents, "l'arrêt du travail en sous-effectif récurrent, facilitant l’épuisement des soignants, "l’arrêt de l’accroissement excessif et continu de la charge de travail", "la nécessité de procéder à des mises en stage pour fidéliser les agents contractuels (arrêt de contrats abusifs)", "l’arrêt de la maltraitance institutionnelle envers les soignants et envers les résidents", "l'arrêt de la pression systématique de la direction sur le personnel soignant EHPAD", "l'arrêt du mépris du travail exercé par le personnel soignant" et "apporter des réponses et de l’apaisement concernant le conflit direction/soignants".

Jeudi après-midi, des agents de l'établissement public, rejoints par des collègues d'autres Ehpad du secteur (Yssingeaux, Monistrol, Aurec...) et des familles de résidents, ont planté un piquet de grève au bord de la rue.

Un médiateur sollicité

Le maire de Saint-Didier-en-Velay, Madeleine Chabanolle, est venue à la rencontre des grévistes pour annoncer une médiation sollicitée par la direction auprès d'une société spécialisée de Valence. "Je tiens au dialogue."

Un dialogue rompu

Du côté des agents, le dialogue est actuellement rompu avec la direction. "La directrice a indiqué que des sanctions seraient prises si nous participions au mouvement de grève. On n'est pas en grève pour le plaisir. On a essayé le dialogue sans succès", lâche une soignante. Selon la CGT, "100 % des agents titulaires participent à la grève, avec maintien des soins, des agents étant réquisitionnés". Toujours selon la CGT, "ici, il y a 40 % de titulaires contre 60 % de contractuels, c'est plus qu'ailleurs".

Selon un aide-soignant, le manque d'effectifs empêche la bonne organisation de leur travail. "Certains résidents n'ont pas pris de douche depuis trois semaines. Sur certains après-midi, on est deux aides-soignants pour 50 personnes.

Ce qu'en dit la directrice ?

La directrice a été nommée directrice en avril 2019 après douze mois en tant que directrice adjointe. "En ce qui concerne les revendications nationales, je les rejoins évidemment dès lors qu'il s'agit de sous-effectifs et de postes mal payés. On n'a pas la volonté de ne pas titulariser mais il faut pour cela disposer de candidats qualifiés, ce qui n'est pas le cas. Je ne me considère pas en conflit avec les agents. Et le mécontentement de certains ne doit pas être pris pour une généralité. A aucun moment ma porte n'a été fermée. On entend les difficultés des agents et on essaie d'y répondre."

Publié dans Loire Semène

Jeudi matin, Pôle Emploi organisait le forum "1 Semaine pour 1 emploi" avec 120 postes à pourvoir à Monistrol et Firminy. Pôle emploi veut s'attaquer aux offres non pourvues après 30 jours. Et elles sont nombreuses.

A Pôle emploi, on refuse de perdre espoir face au décalage entre les offres non pourvues et les demandeurs d'emploi. Actuellement, 3 800 personnes sont inscrites en catégorie A (sans aucun emploi) sur le bassin d'Yssingeaux-Monistrol, et 6 000 si on compte toutes les catégories. En face, on dénombre 500 offres d'emploi disponibles. Sur ces 500 annonces, 40 % sont affichées depuis plus de 30 jours. Une éternité.

13 agents de Pôle emploi mobilisés

Treize employés de Pôle emploi de Monistrol et Firminy sont appelés à s'intéresser tout particulièrement à ce segment. "On a des pistes de travail. On va regarder le sourcing. On doit rendre des métiers plus sexy. C'est un travail de petits pas", indique Christophe Erpelding, directeur de Pôle emploi Monistrol-Yssingeaux.

Cela peut passer par de la formation pour permettre à des candidats de répondre aux attentes des employeurs et des postes. A cet égard, le plan investissement compétences a très bien fonctionné avec 150 personnes bénéficiaires. "On est à 103 % de la mobilisation de ce budget."

La plasturgie et les Ehpad recrutent

Jeudi matin, 41 entreprises affichaient 120 postes à pourvoir entre Monistrol et Firminy dont 51 dans l'industrie, 23 dans l'agro-alimentaire et 15 dans le BTP.

En complément, deux conférences spécifiques étaient proposées pour présenter les métiers de la plasturgie et ceux des Ehpad, deux secteurs qui recrutent.

Publié dans Monistrol et environs

L’association Brin d’Osier, composée de passionnés de vannerie, organise ce week-end la 9e édition du Marché aux paniers à Saint-Pal-de-Mons. L'accent sera mis sur la mode.

L'objectif du Marché aux paniers est de connaître la richesse de cet artisanat, soutenir sa pratique et favoriser les échanges de savoir.

Le témoignage des vanniers l’a confortée dans l’idée que l’organisation d’un marché qui leur est réservé est tout à fait pertinente quant à l’aide apportée à leur profession, et très stimulante pour leur créativité.

D’autre part, la curiosité des visiteurs, éveillée par l’observation des vanniers en plein travail, est satisfaite par les échanges directs avec eux, dans les salles communales, dans des commerces inoccupés. La vannerie traditionnelle ou contemporaine sera au rendez-vous.

11 défilés en deux jours

Cette année, l’association Brin d’Osier souhaite mettre en évidence l’expression artistique de la vannerie, le thème sera « la mode » en créant un grand défilé de mode vannière (tarif : 2 € par adulte). Ces défilés auront lieu le samedi à 14 heures, 15 heures, 16 heures et 17 heures, le dimanche à 10 heures, 11 heures, 12 heures, 14 heures, 15 heures, 16 heures et 17 heures.

35 vanniers répartis dans le village

Différentes animations sont prévues en continu : atelier d’initiation à la vannerie, jeux en bois, tombolas.

Trente-cinq vanniers sont attendus, répartis au cœur du village, fermé pour l’occasion à la circulation.

Samedi 12 octobre de 10 heures à 18 heures et dimanche 13 octobre de 9 heures à 18 heures.

Publié dans Monistrol et environs

Sanseverino a joué mercredi soir devant 370 spectateurs au foyer rural d'Yssingeaux dans le cadre du festival Le Chant des Sucs, le jour de ses 58 ans.

En ce 9 octobre, Stéphane Sanseverino fêtait ses 58 ans. Et c'est avec le public d'Yssingeaux qu'il a passé cette soirée particulière. Si l'artiste n'a pas sorti de tube qui aurait pu marquer une génération, son nom reste connu auprès du grand public.

Mercredi soir, il y avait ceux qui venaient pour Sanseverino. Et il y a ceux qui venaient pour réécouter les textes de François Béranger, un chanteur libertaire des années 70, phare de la chanson contestataire d'alors. Cet auteur-interprète savait à merveille parler des plus démunis avec une langue crue et emplie d'amour. Des textes qui touchent au coeur et restent d'une singulière actualité.

Sanseverino y a ajouté sa touche musicale, son humour corrosif et son gratté inimitable à la guitare. Seul en piste, spécialiste de la scène, l'artiste a emmené tout le public dans cet univers qui a rappelé une certaine jeunesse aux têtes chenues dans la salle.

Ours et Emilie Marsh, l'envie d'en voir davantage

En première partie, le public yssingelais a eu droit à deux artistes que l'on retrouvera encore au Chant des Sucs : Emilie Marsh et Ours (le fils d'Alain Souchon). L'occasion de mieux connaître leurs univers musicaux et d'avoir envie d'aller en voir davantage. Par exemple vendredi 11 et samedi 12 octobre à Saint-Julien-Chapteuil (salle de la mairie, 12 €). Ou ce jeudi 10 octobre en ce qui concerne Ours, à la médiathèque de Tence à 18 h 30 dans un set intimiste (entrée libre).

Jeudi 10 octobre, 18 h 30

Médiathèque, Tence

Ours Entrée libre

Vendredi 11 octobre, 20 h 30

Salle de cinéma, Saint-Julien-Chapteuil

Emilie Marsh ; Ours ; Bodie

Samedi 12 octobre, 15 heures

Médiathèque, Sainte-Sigolène

Bodie Entrée libre

Mardi 15 octobre, 18 h 30

Médiathèque, Monistrol-sur-Loire

Bodie Entrée libre

Mercredi 16 octobre, 20 heures

Médiathèque, Retournac

Bodie Entrée libre

Vendredi 18 octobre, 20 h 30

Médiathèque, Langeac

Ours Entrée libre

Vendredi 18 octobre, 20 h 30

Calibert, Mazet-Saint-Voy

Bodie (show électrique) Entrée libre


Samedi 19 octobre, 20 h 30

Le Cercle, Saint-Just-Malmont

Ours ; Yvan Marc

Tarif 8 euros, enfant 2 euros

Vendredi 8 novembre, 20 h 30

Théatre Latour-Maubourg, Saint-Maurice-de-Lignon

Yvan Marc + CM1-CM2 école publique

Samedi 9 novembre, 20 h 30

Salle polyvalente, Sainte-Sigolène

La Rue Ketanou (COMPLET)

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

La saison de motocross 2019 va se refermer dimanche par les finales Auvergne-Rhône MX1, MX2, 125 cc et vétérans. Six pilotes yssingelais courront à domicile sur le terrain d'Amavis.

Le terrain d'Amavis attend 176 pilotes dimanche 13 octobre à Yssingeaux pour en découdre pour l'ultime épreuve de la saison.

Pour cette finale, on retrouvera les 11 meilleurs pilotes des quatre zones d'Auvergne-Rhône-Alpes dans les catégories 125cc, MX1, MX2 et vétérans.

Plusieurs pilotes locaux sont qualifiés. Au Moto Club Yssingeaux, Maxime Gonon sera le seul représentant en 125 cc, tout comme Antoine Colombet en MX2. En MX1, on retrouvera Thomas Lelièvre et Benjamin Decroix.

Chez les vétérans, la course comptera deux Yssingelais : Hervé Seyve et Jean-René Soleilhac.

L'entrée à la course sera au tarif de 5 euros.

Samedi 12 octobre

15 heures - 19 heures : contrôles techniques et administratifs

Dimanche 13 octobre

8 h 30 - 8 h 45 : essais vétérans

8 h 50 - 9 h 05 : essais 125 cc

9 h 10 - 9 h 25 : essais MX2

9 h 30 - 9 h 45 : essais MX1

10 h 10 - 10 h 30 : essais chronos vétérans

10 h 35 - 10 h 55 : essais chronos 125 cc

11 heures - 11 h 20 : essais chronos MX2

11 h 25 - 11 h 45 : essais chronos MX1

13 h 30 - 13 h 55 : 1re manche vétérans

14 heures - 14 h 25 : 1re manche 125 cc

14 h 30 - 14 h 55 : 1re manche MX2

15 heures - 15 h 25 : 1re manche MX1

15 h 45 - 16 h 10 : 2e manche vétérans

16 h 15 - 16 h 40 : 2e manche 125 cc

16 h 45 - 17 h 10 : 2e manche MX2

17 h 15 - 17 h 40 : 2e manche MX1

17 h 45 : podiums

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

La 11e édition du Capito Trail à Saint-Julien-Chapteuil, prévu le dimanche 27 octobre, met à l'honneur le village de "Monedeyres", ancien hameau capitolien rattaché à Queyrières. Et les coureurs vont se ravitailler en musique en traversant l'église, jamais consacrée.

Joseph Gros, le président de l'association du village, a joué les lobbyistes amicaux pour faire venir le trail de Saint-Julien-Chapteuil. Comme en 2018, le hameau perché entre Saint-Julien et Queyrières va voir passer les runneurs. Cette année, les trois parcours traverseront l'église. Une église qui n'a toutefois jamais été consacrée.

Une église jamais consacrée

Construite de 1887 à 1914, elle a été érigée par les habitants eux-mêmes qui refusaient de se rendre dans le bourg Queyrières pour la messe, distant de moins de 3 km. Cette construction visait à convaincre l'évêché de nommer un prêtre. L'évêque n'a jamais cédé.

Depuis 1986, l'église est devenue salle des fêtes et permet aux riverains de se retrouver pour les rassemblements. Ils sont 85 à vivre à "Monedeyres" à l'année, deux fois plus en période estivale.

Ingalawash en concert pour les coureurs dans l'église

François Richaud, le président de Chapteuil Sports Nature, organisateur du trail, a basé sa 11e édition autour de "Monedeyres". "Les trois parcours vont y passer. C'est un coin plaisant, c'est beau pour arriver là. Le panorama est grandiose."

Les 800 coureurs attendus vont ainsi traverser l'édifice dont le clocher a été refait il y a un mois et le coq remis droit. Le passage dans l'église se fera au son de la musique du groupe Ingalawash, dont l'un des membres, Romain Nicolas, est un ancien médecin capitolien.

Les parcours

Le Capito 14 : il débute par la montée de la vallée de Combe Noire, monotrace surprenant guidé par la Sumène qui prend sa source à quelques pas de là. Puis direction Monedeyres, ce village ne vous laissera pas indifférent avec son architecture typique du Meygal et l'accueil de ses habitants qui vous proposeront un ravitaillement dans l'église...

Le retour est plus roulant mais vous apporte son lot de surprises, points de vue, monotrace au milieu des Chiers volcanique... Avec ce tracé le trail découverte prend tout son sens.

Le Capito 20 : uniquement en duo. Il faudra de la cohésion de l'entraide pour ce parcours exigeant, atypique, surprenant et quelque peu aérien. À vous de trouver le frère, la soeur le pote, la copine, conjoint conjointe etc pour vivre une expérience Trail inédite.

Le Capito 33 : objectif le Lac Bleu. Vous allez partir à la découverte du Meygal et ses contre-forts à travers monotraces et sentiers emmuraillés ré-ouverts pour l'occasion. Plus de trois ans de prospection pour aboutir à ce parcours inédit.

Une marche de 12 km sera également proposée. Le bénéfice sera intégralement reversé à l'association "LepetitMatheo".

Publié dans Mézenc / Meygal

Samedi 5 et dimanche 6 octobre, les fédérations départementales des chasseurs du Cantal et de la Haute-Loire ont organisé, sur le massif de l’Alagnon, la 18e édition du comptage interdépartemental cerf. Cette opération d’envergure a été menée sur 36 communes : 20 dans le Cantal et 16 en Haute-Loire, soit une surface prospectée de près de 70 000 ha.

Ce suivi appelé comptage par corps s’inscrit dans le cadre de la gestion des populations interdépartementales de cerfs. Il est répété tous les 6 ans sur chaque unité de population interdépartementale.

Plus de 650 bénévoles se sont ainsi mobilisés pour prospecter, à quatre reprises, les 400 secteurs de la zone. Les chasseurs locaux et les professionnels de fédérations ont constitué l’essentiel des observateurs, leurs connaissances de l’espèce et du terrain étant indispensables pour le bon déroulement de l’opération. Des chasseurs extérieurs, des non chasseurs, des étudiants, ainsi que less différents partenaires ont complété efficacement les équipes.

Les données récoltées ce week-end devront être analysées afin de déterminer l’état quantitatif et qualitatif de la population de cerf ainsi que sa répartition géographique sur la vallée de l’Alagnon.

Au-delà de ces résultats, ce type de comptage complète les données apportées par les autres suivis réalisés annuellement par les Fédérations des Chasseurs (comptage au brame...).

Tous ces éléments aident ainsi à définir les politiques de gestion des populations de cerfs.


Bilan du comptage 2019

1 565 animaux :

- 461 mâles

- 1 024 femelles et jeunes

80 non déterminés (âge, sexe…)

Publié dans Actualités
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