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(Publi-reportage) La Charcuterie de Lavoux à Monistrol-sur-Loire a récolté deux nouvelles médailles au dernier Salon de l’agriculture à Paris. C’est un gage de la qualité et de l’investissement de cette salaison artisanale sur la durée.

Et de six ! La Charcuterie de Lavoux a glané deux nouvelles médailles de prestige, portant à six le nombre de récompenses depuis 2020 au concours général agricole : médaille d’argent pour le pâté de campagne supérieur en 2020 ; médaille de bronze pour la saucisse sèche traditionnelle et médaille d’argent pour le jésus sec traditionnel et le saucisson sec traditionnel en 2022 ; et médaille de bronze pour le jésus sec traditionnel et médaille d’argent pour la saucisse sèche traditionnelle en 2024.

Un travail d’équipe

Ces médailles viennent récompenser un travail de qualité de longue date, poursuivi et enrichi de concours depuis la reprise en 2020 par Patrick Sapet et Rémi Palay. « On privilégie les viandes de pays. On privilégie la qualité et le local », estiment les deux associés qui sont entourés d’une équipe talentueuse avec 10 salariés et 2 apprentis. « Ces médailles sont une belle récompense pour le travail de nos équipes. »

Ces distinctions valorisent le produit et le travail de la Charcuterie de Lavoux au profit d’une clientèle fidèle et connaisseuse « qui nous donne envie de progresser et d’avancer ».

Un prix d’excellence sur un autre concours réputé

Pour être complet, il faut ajouter à ces six médailles gagnées au Salon de l’agriculture à Paris une autre récompense récemment décrochée sur un autre prestigieux concours : le Sauci’creor. La Charcuterie de Lavoux a obtenu le Prix d’excellence sur un produit innovant : la saucisse sèche au bleu et noix.

Publié dans Monistrol et environs

Mathieu Valla est agriculteur et sapeur-pompier volontaire au Chambon-sur-Lignon. Avec dix autres pompiers de France, il va enseigner les gestes de premier secours ce week-end sur le Salon de l'agriculture.

A 31 ans, Mathieu Valla, fils d'agriculteur, est exploitant au Chambon-sur-Lignon. Diplômé d'un BTS technique du végétal, il avait débuté à 21 ans en créant son entreprise de travaux agricoles à Boisset.

Pompier à Tiranges puis au Chambon

En 2016, il est recruté comme sapeur-pompier dans le village de Tiranges. "En 2018, suite à la longue maladie de mon père, agriculteur et ancien maire du Chambon, j'ai eu le désir de changer de vie professionnelle. C'est pourquoi j'ai décidé de m'installer sur l'exploitation familiale en société (GAEC) avec mon oncle à la place de mon père", raconte Mathieu Valla. "Notre exploitation cultive 175 ha en agriculture biologique depuis plus de 10 ans. Nous produisons 215 000 litres de lait par an, mais aussi des lentilles bio et des pommes de terre bio. Nous vendons à la ferme pour favoriser les circuits courts. Prochainement, nous allons offrir à nos clients de l'huile de colza bio. Et nous allons dans les prochains mois nourrir exclusivement nos vaches avec du foin afin d'améliorer encore la qualité de notre lait."

Deux passions à cumuler

Tout en se consacrant à son activité, le Chambonnais a eu la volonté de continuer son engagement comme pompier volontaire. Aujourd'hui caporal, il est muté au centre d'incendie et de secours du Chambon.

"L'agriculture et les pompiers sont deux passions qui prennent une part importante de ma vie."

Son double statut a permis que sa candidature soit retenue pour se rendre au Salon de l'agriculture et enseigner le week-end prochain les gestes de premier secours aux visiteurs du SIA à Paris.

 

Publié dans Haut-Lignon

La boucherie du Lizieux à Saint-Jeures a décroché la médaille d'or sur le concours agricole lors du Salon de l'agriculture 2017.

Et une médaille de plus pour Emmanuel et Hélène Delacroix. Depuis 2014, les artisans de la boucherie du Lizieux, aussi appelée Maison Ouillon, à Saint-Jeures, collectionnent les médailles sur le concours général agricole, organisé pendant le Salon de l'agriculture à Paris.

La terrine de la boucherie du Lizieux a ravi les papilles du jury qui a décerné la médaille d'or. Ce produit avait déjà obtenu l'argent en 2014, et le bronze en 2015 et 2016. "C'est une reconnaissance de la régularité et de la qualité", apprécie Emmanuel Delacroix qui connaît les avantages d'une médaille à Paris en terme de ventes. "Depuis 2014, on enregistre 30 % de ventes en plus sur la terrine."

Cette terrine à l'ancienne, dénommée "Les Saveurs d'autrefois", est fabriquée avec du porc de Haute-Loire "et des ingrédients les plus naturels possible".

La deuxième médaille d'or

Ce n'est pas la première médaille d'or pour la boucherie de Saint-Jeures qui a récemment emménagé dans un bâtiment tout neuf au Bru. En 2014, la saucisse sèche avait remporté le premier prix au concours parisien.

Cette année, la saucisse sèche, le saucisson sec et le jambon cuit étaient également en lice. Ils ont été finalistes.

Publié dans Haut-Lignon

La chèvre du Massif central, qui a failli disparaître et bénéficie d'une sauvegarde depuis 20 ans, sera présentée au public du Salon de l'agriculture du 25 février au 5 mars à Paris.

La chèvre du Massif central était la chèvre commune de Haute-Loire et plus généralement d'Auvergne et de ses contreforts. Suite à l'intensification de l'élevage à partir des années 60, elle a failli disparaitre. Sa sauvegarde a été initiée en 1994 par l'association FERME, puis par l'Association pour le renouveau de la chèvre Massif central, créée en 1996.

Mille bêtes recensées

Les derniers effectifs faisaient alors état de 200 animaux avec divers niveaux de croisements. Après 20 ans de travail, les effectifs se montent maintenant à environ 1000 bêtes.

La chèvre du Massif central est une race à faible effectif et fait toujours partie des races menacées. Elle a été officiellement reconnue par le ministère de l'Agriculture en 2010.

Des éleveurs labellisés en "bio" pour la plupart

"Les éleveurs de chèvres du Massif central sont des amateurs soucieux de préserver le patrimoine local (chèvre de compagnie) et des professionnels (fromagers et écopâturage). Ils utilisent les aptitudes de ces chèvres à valoriser les ressources naturelles. La très grande majorité des éleveurs fromagers sont labellisés Agriculture Biologique", raconte Fabien Fuchez, président de l'Association pour le renouveau de la chèvre du Massif central.

Une chèvre montagnarde capable d'endurer les intempéries

Pour la première fois, cette chèvre rustique sera présente au Salon international de l'agriculture qui se tiendra à Paris du 25 février au 5 mars. Trois animaux seront présentés au public et aux professionnels. "L'objectif est de faire découvrir la chèvre au plus grand nombre, ses caractéristiques morphologiques, ses différentes robes mais aussi ses aptitudes : c'est une montagnarde, capable d'endurer des intempéries et surtout valorisant les ressources naturelles comme les ronces, genêts, feuilles, herbe, et ainsi montrer son potentiel pour une autre agriculture que l'agriculture industrielle, adaptée à un territoire", argumente Fabien Fuchez.

Les animaux seront présentés par Frédéric et Magalie Lang, éleveurs à Saint-Privat d'Allier, sur le stand de Capgènes, organisme de tutelle de toutes les races caprines de France.

Publié dans Actualités 2017