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La boucherie du Lizieux à Saint-Jeures a décroché la médaille d'or sur le concours agricole lors du Salon de l'agriculture 2017.

Et une médaille de plus pour Emmanuel et Hélène Delacroix. Depuis 2014, les artisans de la boucherie du Lizieux, aussi appelée Maison Ouillon, à Saint-Jeures, collectionnent les médailles sur le concours général agricole, organisé pendant le Salon de l'agriculture à Paris.

La terrine de la boucherie du Lizieux a ravi les papilles du jury qui a décerné la médaille d'or. Ce produit avait déjà obtenu l'argent en 2014, et le bronze en 2015 et 2016. "C'est une reconnaissance de la régularité et de la qualité", apprécie Emmanuel Delacroix qui connaît les avantages d'une médaille à Paris en terme de ventes. "Depuis 2014, on enregistre 30 % de ventes en plus sur la terrine."

Cette terrine à l'ancienne, dénommée "Les Saveurs d'autrefois", est fabriquée avec du porc de Haute-Loire "et des ingrédients les plus naturels possible".

La deuxième médaille d'or

Ce n'est pas la première médaille d'or pour la boucherie de Saint-Jeures qui a récemment emménagé dans un bâtiment tout neuf au Bru. En 2014, la saucisse sèche avait remporté le premier prix au concours parisien.

Cette année, la saucisse sèche, le saucisson sec et le jambon cuit étaient également en lice. Ils ont été finalistes.

Publié dans Haut-Lignon

La boucherie-charcuterie de Saint-Jeures ouvre mercredi 23 novembre à 8 heures son nouveau magasin, construit à l'entrée du village, du côté Yssingeaux.

Hélène et Emmanuel Delacroix voient leur ambitieux projet aboutir. Ce mercredi 23 novembre, la boucherie-charcuterie du Lizieux, aussi dénommée Maison Ouillon, ouvre son nouveau magasin dans ce village de 1 000 habitants. Gérants de cette entreprise depuis quatre ans, Hélène et Emmanuel Delacroix ont acheté une partie de l'ancien terrain de football, au "Bru", à l'entrée côté Yssingeaux, pour faire pousser un bâtiment de 600 m2. La nouvelle structure va leur changer la vie et leur permettre de développer leur affaire qui compte 6 salariés.

Un confort de travail incomparable

L'investissement est conséquent (950 000 euros) mais ce projet doit offrir de nouvelles perspectives de développement vers l'export et la vente en épiceries fines, et gagner en confort de travail. L'ancien commerce était réparti sur trois niveaux avec un escalier étroit qui menait aux séchoirs.

Viser l'export et les épiceries fines

La Maison Ouillon, comme elle est encore souvent appelée par les clients, écrit une nouvelle histoire dans un bâtiment semi-industriel. "Depuis deux ans, on est saturé. On ne peut pas répondre à toutes les demandes, notamment en saucisson sec. Avec le nouveau magasin, on pourra faire de l'export, viser les épiceries fines lyonnaises et parisiennes", nous avait expliqué le boucher-charcutier lorsque nous avions présenté leur projet en avril dernier.

Toujours la même qualité

Ce bâtiment flambant neuf ne modifie en rien les méthodes de travail et le choix des professionnels de privilégier la proximité dans leurs approvisionnements. Les matières premières restent 100 % locales. "Les cochons naîtront toujours à Chenereilles, ils seront élevés à Saint-Jeures chez Gilles Moulin et ses fils, et ils seront abattus à Yssingeaux. On garde la même façon de travailler. C'est un magasin neuf mais avec la même qualité", assure Emmanuel Delacroix.

Des horaires inchangés

Les horaires d'ouverture restent inchangés : du mardi au samedi de 7 h 30 à 18 h 30 non-stop, et le dimanche de 7 heures à 12 h 30.

Publié dans Haut-Lignon