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FÊTES ANNULÉES

Ce week-end, la cité Saint-Chaffre va faire un bon de 500 ans en arrière pour se retrouver en 1524. Compte tenu du succès de la précédente édition de 2022, l’association Tant qu’il y aura des chèvres investit à nouveau le cœur historique du Monastier avec pour thème la sorcellerie. Gratuit pour tous.

Grace à 150 bénévoles, vous pourrez, à partir de 18 heures, le vendredi 17 mai assister et participer à différents spectacles, animations, défilé, jeux, bal, animaux, métiers anciens, ... Il y en aura pour toute la famille et ce jusqu'au dimanche 19 mai, 17 heures.

Évidemment, les sorcières ne seront pas les seules à vous faire frissonner de plaisir, puisqu'en plus de leur fameux hypocras rosé servi en continu dans la cours du château, villageois et moines feront frémir leurs chaudrons pour le plus grand bonheur de vos papilles !

Au menu

Vendredi soir : soupe de pois cassés / lard

Samedi midi : planche de charcuterie et fromages

Samedi soir : planche de charcuterie et fromages

Ragoût d’agneau

Dimanche midi : jambon à la broche

Le programme

Vendredi 17 mai

Soirée en musique et une surprise

Samedi 18 mai

10h30 - marionnettes

11h - théâtre

13h15 /16h15 - maquillages

16h30 - défilé

19h - danse des enfants des écoles

20h30 - spectacle, bal avec initiation

Dimanche 19 mai

10h - marionnettes

10h30 /13h - maquillages

11h - conteur

15h – théâtre

Horaires d’ouverture du site

Vendredi de 18h à 1h

Samedi de 10h à 1h

Dimanche de 10h à 17h

Publié dans Mézenc / Meygal

Aponia, lieu d'art contemporain, présente "Les bruits du pli" jusqu’au 13 mars au Monastier-sur-Gazeille, dans l'écrin de l'église Saint-Jean-Baptiste, une exposition croisant les univers de Gisèle Bonin, Jérémy Faivre et Armel Jullien.

Dans cet ancien édifice cultuel, dont la restauration laisse lire les étapes de sa construction, naturellement chaleureux, de dimensions modestes, loin du faste triomphant de l'abbatiale Saint-Chaffre, le visiteur plongera avec curiosité dans "Les bruits du pli", une heureuse proposition de l'équipe d'Aponia.


Un coup de cœur pour un territoire et une maison

Derrière Aponia (acronyme de Association pour la Promotion, l'Ouverture, la Nouveauté et l'Imaginaire Artistiques), on retrouve Eva Frison-Barret et Alain Christian Barret, fondateurs de ce lieu d'art auparavant localisé en région parisienne, créé en 1998.

Une envie d'aborder une nouvelle étape de leur existence sur un territoire que, de villégiatures en randonnées, ils avaient su apprécier, doublée d'un coup de cœur immédiat pour une demeure qu'ils ont acquis l'espace d'un week-end, ont conduit le couple à ré-enraciner Aponia en Mézenc-Loire-Meygal.

Au côté d'artistes confirmés ou émergents

Aponia poursuit ici sa vocation à mettre à l’honneur la création contemporaine, s'attachant à découvrir et soutenir les artistes émergents comme confirmés. En attendant l’inauguration de leur nouvelle structure, nécessitant encore une bonne année de travaux, Aponia dispose ponctuellement, en accord avec la mairie, de deux lieux d’expositions atypiques : l'ancienne église Saint-Jean et un espace muséal dans les bâtiments conventuels. Quatre expositions jalonneront 2022. La première présente une sélection d’œuvres de Gisèle Bonin, Jérémy Faivre, et Armel Jullien, l'Altiligérien de l'étape, sous la houlette de la commissaire d’exposition Julie Gagne.

Trois écritures artistiques

Sous l'intitulé énigmatique "Les bruits du pli", le visiteur découvre l'univers de trois artistes aux écritures différentes. "Le croisement de ces œuvres sera l’occasion d'ouvrir à une pensée de l’espace, ou plutôt des espaces que nous pratiquons et que nous éprouvons. Une invitation à interroger les manières dont ces espaces peuvent agir sur, par et en nous. De quelle nature sont ces espaces pluriels ? Où ça se plie, où se déplie ? Surfaces, paysages et corps, superposés, courbés, fragmentés. Écrits, extraits ou assemblés; espaces impossibles d’où émerge dans l’éclat du chaos, entre fin et devenir, un lieu où habiter", développe Julie Gagne.

Numérique, crayon, pinceau

C'est ainsi que l'on plonge volontiers dans l'univers de Jérémy Faivre, qui crée des installations numériques à partir de programmes informatiques qu’il conçoit de toutes pièces. Quatre écrans disposés devant le pimpant retable invitent l'imprévu dans la monotonie apparente du codage. On se laisse tout autant épater par le travail d'orfèvre de Gisèle Bonin, qui, à la sanguine et à la mine graphite, se concentre sur des bribes du corps humain. Une dentellière de la peau libérant ses secrets.

Et, bien sûr, les familiers du peintre Armel Jullien (passé du Brignon à La Chaise-Dieu désormais) retrouveront, avec un plaisir toujours renouvelé, des toiles sans doute moins connues de son cru, alliant une technique impressionnante à un sens sidérant de la composition.


Un précieux regard extérieur

Armel Jullien ne cache pas sa satisfaction d'avoir été choisi pour participer à cette aventure. "C'est précieux de pouvoir bénéficier de ce regard extérieur propre au commissaire d'exposition. C'est enthousiasmant de découvrir les autres artistes retenus pour croiser leur univers au mien. Et puis l'agencement même des réalisations, les chevalets de bois conçus pour les mettre en valeur dans ce lieu en particulier, tout cela contribue à donner à cette exposition un relief particulier."


Infos pratiques

Jusqu'au 13 mars

Ouverture de l'exposition vendredi-samedi-dimanche de 15 heures à 18 heures

Les autres jours sur rendez-vous pour les groupes ou scolaires au 06 20 49 36 90

L'église Saint-Jean, place Saint-Jean, au Monastier-sur-Gazeille est accessible aux personnes à mobilité réduite

Entrée libre et gratuite

Publié dans Mézenc / Meygal
mercredi, 22 septembre 2021 16:30

La Transcévenole : 65e marche le 3 octobre

La 65e marche de la Transcévenole, accessible à tous, est programmée dimanche 3 octobre. Des parcours de 7 km, 15 km, 18,5 km et 24 km sont proposés, au départ du Monastier-sur-Gazeille, Lantriac. Un repas à midi, à Présailles, peut être réservé.

Un périple dominical à ne pas manquer pour découvrir ou redécouvrir un parcours chargé d’histoire. Une journée de rencontre pour partager ses émotions sur le travail titanesque réalisé. "Vous serez admiratif devant l’architecture de tous ces ouvrages d’art dont le célèbre viaduc de la Recoumène", assurent les organisateurs.


Un patrimoine à préserver

L’association « la Transcévenole » et les communes oeuvrent pour entretenir ce patrimoine à préserver. "Ainsi à Lantriac, vous aurez le plaisir d’emprunter un tronçon réaménagé et sablé tout récemment grâce à la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal."

"C'est une magnifique randonnée au milieu de la nature et accessible à tous. Dimanche 3 octobre, vous pourrez entrer sur la voie en divers points. Ce parcours, jusqu’à l’arrivée dans le charmant village de Présailles, permet de profiter d’un grand bol d’air pur."


Un repas chaud

"A ce stade, si vous le souhaitez, vous pourrez déguster un excellent repas chaud (13 € pour adulte et 8 € pour enfant) préparé par l’association « Rando-Présailles » toujours dans une ambiance conviviale malgré l’obligation de la présentation du pass’sanitaire."

Un service de car, pour une somme modique (3 €), est prévu à 14 h 45 pour le retour à votre point de départ.


Quatre parcours

- Parcours 24 km : 8 heures à Peyrard / Les Bourgères [45°1′42046″N 3°56′41.564E″] (3 km de Brives-Charensac, direction Le Monastier-sur-Gazeille).

- Parcours 18,5 km : gare de Lantriac, à partir de 9 heures [44°59′5824’’N 3°59′32.406’’E].

- Parcours 15 km : Les Quatre chemins (face au village de la Collange) à partir de 9 h 45 [44°58′23142’’N 3°59′19.01’’E ].

- Parcours 7 km : gare du Monastier-sur-Gazeille, à partir de 11 heures [44°56′8.09’’N 3°59′51.849’’E].

Infos pratiques

Buvette et ravitaillement payants prévus sur le parcours.

Réservation du repas avant le vendredi 1er octobre à 13 heures, par téléphone ou SMS au 06 46 41 86 88 / 06 14 86 42 60, par mail transcevenole@laposte.net

Publié dans Loisirs Sorties

Le 31e festival du Monastier-sur-Gazeille débute le samedi 3 août. Les cuivres à la sauce jazz, baroque, chanson française, afro-beat, classique, groove, swing, rap et funk, se combinent jusqu'au vendredi 9 août avec des propositions spéciales jeune public.

La tête d’affiche de cette belle édition du festival qui célèbre les cuivres est sans conteste Electro Deluxe avec son mélange de jazz organique, de funk, de fun... et de jubilation.

Citons encore parmi les bonnes pioches dans la veine jazz Andy Emler Méga-octet et Daniel Zimmerman Quartet, des pointures.


Un zeste de classique

Dans l'abbatiale, on se régalera avec le corniste Nicolas Ramez accompagné de la harpiste Nathalie Henriet. Ils proposeront un récital principalement axé autour de la musique française, mettant en valeur des compositeurs comme Ravel, Dukas, Saint-Saëns ou encore Boiledieu.


La chanson française aussi

La chanson française est bien représentée par le groupe de Yoann Launay. Ces six musiciens d'univers différents livrent une musique généreuse et universelle, un tourbillon, tour à tour classique, métissée, acoustique où se côtoient la chaleur des cuivres des Balkans, la richesse du reggae et l’ivresse de la valse.


Un coup de coeur

Le coup de cœur du festival est le Galaad Moutoz Swing Orchestra et ses huit musiciens, dans la lignée des orchestres américains des dancings de Harlem dans les années 30. Les spectateurs sont invités à venir costumés en mode rétro et bénéficieront alors du tarif réduit.

Les enfants gâtés

Le mercredi est dédié aux enfants. Le groupe Mobylette invite les jeunes oreilles à un voyage sonore animé. Pour les gosses encore, le théâtre musical plein de fantaisie des Frères Choum et leurs machines mécaniques.

LE PROGRAMME

Samedi 3 août (18 € la soirée) : Yoann Launay, ancien candidat de l'émission télévisée The Voice ouvrira la première soirée du festival à 21 heures sur la Grande scène.

La soirée se poursuivra avec le groupe Supa Dupa

Dimanche 4 août : Le Petit orchestre parisien donnera un bal guinguette gratuit sur la grande scène dès 16 heures.

À 20 heures, le festival se poursuivra  en l'église abbatiale (25 € la soirée) pour un "Récital extraordinaire" de Nicolas Ramez (cor) et Nathalie Henriet (harpe) puis le groupe No Slide.

Lundi 5 août : soirée jazz sur la Grande scène (25 € la soirée) dès 21 heures avec le Daniel Zimmermann Quartet Andy Emler Megaoctet

Mardi 6 août : Après le jazz, le swing sur la Grande scène avec Galaad Moutoz swing orchestra et une initiation au Lindy hop (18 € la soirée) dès 21 heures.

Mercredi 7 août : Le spectacle musical "Les frères Choum" de la compagnie l'Odyssée sera à découvrir au théâtre musical (18 €) à 21 heures.

Jeudi 8 août : la funk, la soul et le jazz d'Electro Deluxe devrait ravir les spectateurs sur la Grande scène dès 21 heures. (21 €).

Vendredi 9 août : Supergombo (18 €) dès 21 heures sur la Grande scène.

Puis Ekrem Mamutovic orkestar pour clore la 31e édition du Festival du Monastier. 


Toute la programmation sur le site ici

Pass tous concerts 90 €

Publié dans Mézenc / Meygal

« Musique du cru », un intitulé qui allait à merveille pour le concert qui a ouvert cette journée du mercredi 8 août sur la scène du village. Le festival se poursuit avec un chouette programme (à retrouver ici).

Les Madza Tsabres, comprenez « Mange-chèvre » dont le nom se réfère au fameux sobriquet des habitants du Monastier, est un collectif de musiciens impliqué dans l'organisation du festival, créé pour animer le camp du même nom lors des fêtes du Roi de l'oiseau. Forts de prestations dans des festivals renaissances comme celui de Tortosa en Espagne, c'est en costume d'époque qu'ils ont proposé un concert au public, les initiant à quelques pas de danse sur des bransles endiablés !


Le jeune public choyé

L’après-midi a été consacrée au jeune public, avec deux spectacles donnés par le Katastroff Orkestar dans la salle Saint-Chaffre, bondée, et qui a pris pour l’occasion des couleurs balkaniques. Lui malmenait soubassophone, trompette et trombone ; elle entonnait à pleine voix des chants traditionnels d’Europe de l’Est tout en s’escrimant avec son accordéon et toutes sortes de percussions …

Les deux comédiens, eux-mêmes originaires des pays de l’Est, ont donné chair avec talent à ce couple de personnages, pour un spectacle burlesque, aux confins de la danse, du mime et du muet, qui a déchaîné les rires des petits comme des grands.


Un concert au Puy place Clauzel aussi

Se trémousser sur un large panel de grooves originaux, se balader à la Nouvelle Orleans et au Brésil, chalouper sur des rythmes électro, balkaniques et funky, voici ce qu'a proposé Room Bazar lors d'un concert sur la place du Clauzel au Puy dans l'après-midi. Equipés d'une batterie portable, d'un saxophone et d'un petit clavier, le trio laisse libre court aux inspirations mélodiques et rythmiques alliés avec des effets sonores détonants. Un cocktail explosif et festif qui a su embarquer les passants dans l'univers du groupe.

Bazar et bémols

La journée s’est poursuivie sur la scène du village avec le groupe Bazar et bémols. Au gré d’un swing, d’un reggae, ou d’une salsa, le trio de musicien multi-instrumentiste est venu partager une ambiance chaleureuse est conviviale, tout en gardant la chanson française comme fil conducteur. Contrebasse, guitare jazz, classique ou manouche, trompette et percussions se sont mélangés tout le long du concert. L’énergie et l’humour des musiciens ont tenu en haleine les spectateurs venus nombreux.


Notes et humour avec Moya

C’est ensuite sur un ton humoristique que le groupe Moya trombone a ouvert la soirée.

Les quatre trombonistes Francesco D'Urso, Jean-Sébastien Scotton, Maxime Chevrot et Guillaume Copt, se sont livrés a un concert surprenant, mêlant humour, théâtre et musique. Ils ont repris à leur manière les plus grands tubes de musique classique en commençant sur les chapeaux de roue avec la quatrième symphonie de Tchaïkovski qu’ils ont arrangés pour quatuor de trombones. Et aussi foxtrots, des opéras, et même le thème propre à la trentième édition du festival, le fameux Kadji du pianiste Don Pullen, toujours avec humour. A la fois chanteurs, danseurs, comédiens et musiciens, les membres du quatuor déjanté ont su capter le public.


Mère-grand and The sound avengers

Pour finir, ce sont les musiciens de la formation Mère-grand and The sound avengers qui ont pris les rênes de la soirée pour la clôturer en beauté avec un répertoire trop peu joué sur scène. Ils ont revisité les génériques mythiques des séries TV des années 70 à nos jours. De Game of thrones en passant par Dexter, Mission impossible ou encore Magnum, les sept musiciens ont offert un spectacle original plein de surprises.

Arrangés par le percussionniste Marc Glomeau et imprégnés de soul et de funk, les airs célèbres se sont emparés de toutes les générations qui composait le public venu nombreux.

Publié dans Mézenc / Meygal

Une troisième journée du festival qui a tenu ses promesses et de beaux rendez-vous encore à partager jusqu'à samedi au Monastier.

Lundi au Puy-en-Velay, sur la place du Plot, Ringišpil Orkestar proposait un concert orienté vers la musique des Balkans. Ce groupe, actif depuis bientôt trois ans, s’est formé à la suite d’un des stages de musique tzigane au Monastier. Il est composé d’une dizaine de jeunes musiciens altiligériens, qui, à travers des airs à la fois festifs et langoureux, ont su capter l’attention du public ponot.


L'Heure baroque à l'église Saint-Jean

Au Monastier, s’est tenu le rendez-vous attendu de « l’Heure baroque », donnée par les professeurs virtuoses des stages de musique ancienne. Les voûtes de l’église Saint-Jean ont résonné une fois encore au son aujourd’hui atypique d’instruments tels qu’on les trouvait dans les salons du XVIIe siècle. Yoann Moulin (au clavecin), François Joubert-Caillet (à la viole de gambe), Bernadette Charbonnier (au violon baroque) et Claire McIntyre (à la sacqueboute) ont servi œuvres de Haendel (dont le « Da Tempeste ») et une sonate de Scarlatti, mais aussi des pièces de compositeurs plus oubliés tels qu’Antonio Caldara ou Tobias Hume.


Electro-pop ensuite

C’est avec la formation Electravoice que s’est poursuivie cette troisième journée du Festival du Monastier. Sur des airs d’électro-pop, ils ont su charmer le public devant la scène du Village du festival pour voyager au travers du décor proposé par les quatre musiciens.

Tantôt par des improvisations aux allures jazzy, tantôt par des chansons, ils ont offert un magnifique moment de détente, loin des sentiers battus. Deux artistes d'exception se sont succédé sur la grande scène. Edition anniversaire oblige, le Festival a invité deux « Monstres » de la scène jazz française : Emile Parisien quintet et Thomas de Pourquery & Supersonic. Tous deux récemment titrés aux Victoires du Jazz 2017 – Artiste de l'année pour Thomas de Pourquery, et Album Sensation pour « Sfumato » d'Emile Parisien, l'affiche alléchante a tenu toutes ses promesses.


Emile Parisien, un familier du festival

Le saxophoniste Emile Parisien ayant séduit le public du festival trois ans auparavant en duo avec l'accordéoniste Vincent Peirani, c'est donc avec une ferveur toute particulière que les amateurs de jazz se sont délecté de cette poésie sonore. Une musique passionnée aux nombreuses facettes, à la fois provocante et anarchique mais aussi entraînante et swinguante.

Thomas de Pourquery et ses acolytes du Supersonic ont ensuite investi la scène pour une deuxième partie très attendue. Tantôt lyriques et suaves, tantôt déjantées et totalement free, les compositions de l'album « Sons Of Love » surprennent par leur richesse, laissant le champ libre à la virtuosité débridée des instruments mais aussi à la voix envoûtante du saxophoniste.

Voir le programme de mardi et mercredi

Publié dans Loisirs Sorties

Le Festival des cuivres se poursuit jusqu'au 10 août au Monastier-sur-Gazeille avec une programmation pétillaante.

Le festival, fidèle à sa tradition de journées musicalement bien remplies, a entamé cette belle journée du dimanche par un concert sur la scène du village. One Man Barge Band. Tout est presque dit dans ce nom de scène : un personnage loufoque à l'humour décapant et aux mimiques hilarantes, muni d'un trombone, d'une loopstation et d'accessoires plus absurdes les uns que les autres. Le rire a rapidement été contagieux sur le village devant ce phénomène musical.


Un bal populaire offert

A l'occasion des 30 ans du Festival, les organisateurs ont souhaité inviter le public à partager un moment convivial et musical. Les Balochiens ont donc investi la grande scène pour un bal populaire, et dès les premières notes, le parquet s'est très rapidement rempli de danseurs pour quelques valses, gigues et java endiablées ! Les Balochiens émergent du chaudron des cafés-concerts parisiens (re)florissant au milieu des années 90 avec des figures tels les Ogres de Barback, la Tordue, les Têtes Raides... L'esprit guinguette fantaisiste du vieux Paris s'est installé dans la douceur de ce dimanche après-midi.

Une surprise de taille attendait les danseurs au beau milieu de cette fête populaire : les enfants musiciens de bénévoles du « festi-mini » ont interprété un « joyeux anniversaire » repris en choeur par l'assistance tandis qu'un gâteau de bonbons – qui n'a pas résisté longtemps aux papilles des plus jeunes – faisait irruption sur scène.


Des instruments peu communs

Après cette après-midi dansante en compagnie des Balochiens, l’ensemble El Fuego a su faire voyager des spectateurs attentifs à travers les époques et les lieux. Cette formation composée de six membres propose un programme tourné vers la musique du XVIe et du début du XVIIe siècle.

Le public a pu en apprendre davantage sur l’histoire de la sacqueboute (ancêtre du trombone actuel) ou sur celle du cornet à bouquin, un cuivre bien particulier, très répandu à la fin de la Renaissance. Les spectateurs se sont laissé enchanter par ces instruments peu communs, semblant parfois imiter la voix humaine, à travers des morceaux venus de toute l’Europe (Italie, Angleterre, Espagne…).


Versailles et ses splendeurs

Cette journée s’est poursuivie en l’église abbatiale, sous le signe de « Versailles et ses splendeurs musicales ». L’ensemble « Les Trompettes des Plaisirs », est revenu prendre du service, et pour cause : leur nom évoque les quatre « souffleurs » attachés au service du Roi Soleil. Les quatre trompettes « naturelles » - elles ne disposent pas du système de pistons que nous connaissons à cet instrument – ont accompagné le Choeur Régional d’Auvergne, et l’Orchestre du Festival dans l’interprétation d’un grand répertoire donnant une idée assez vaste de ce qui pouvait se jouer de plus flamboyant et de plus solennel à la cour de Versailles.

Donnant dans un premier temps de la musique de cour, avec des œuvres de Lully, Couperin, Philidor et autres Delalande, et dans un second temps de la musique religieuse, avec le somptueux Te Deum de Charpentier, cette programmation prestigieuse a envoûté une fois encore un public toujours fidèle à ce rendez-vous.

Lundi 6 août

11 h 30 Le Puy en Velay – Place du Plot : Ringišpil Orkestar. Gratuit

17 heures Le Monastier – Eglise Saint-Jean : L’heure baroque : de Monteverdi à Frescobaldi. 15 €

18 h 30 Parvis église abbatiale : cérémonie officielle

18 h 30 Scène Village : Electravoice. Gratuit

21 heures cour du château du Monastier – Grande scène : concert jazz EMILE PARISIEN QUINTET / THOMAS DE POURQUERY & SUPERSONIC " 25€

23 heures Brass Room. Gratuit

Mardi 7 août

11 heures Le Puy en Velay – Espace Saint Pierre : Kunta. Gratuit

11 h 30 Marché du Monastier : Electravoice. Gratuit

18 h 30 Scène Village : Kunta. Gratuit

21 heures Cour du château du Monastier – Grande scène : concert world music IDENTITE / KUMBIA BORUKA. 16 €

23 heures Brass Room. Gratuit

Publié dans Loisirs Sorties
dimanche, 18 juin 2017 12:04

La Fête du tennis au Monastier sous le soleil

Le Tennis club du Monastier a organisé la Fête du tennis sur les courts extérieurs de la commune par un temps merveilleux.

Quatorze enfants ont participé à des rencontres avec un seul but : celui de pratiquer le meilleur tennis possible en s'amusant avec les conseils avisés de leur enseignant, Fred Darcy. Les enfants venaient de plusieurs clubs : Le Puy-en-Velay, Espaly, Polignac, Saint-Julien-Chapteuil et bien entendu Le Monastier.

Il s'agissait bien d'un jeu puisque chacun est reparti avec une médaille, souvenir du plaisir partagé en faisant du sport agréablement. Une trentaine de personnes, avec les parents, se sont retrouvées à la fin des rencontres et de la remise des médailles autour d'un goûter.  Tous sont repartis heureux et prêts à recommencer.

Cette manifestation était initiée par la Fédération française de tennis en même temps que le Tournoi de Roland-Garros à Paris. Une grande campagne de communication avait été faite à ce sujet.

Publié dans Puy et Agglo

La 9e course de La Récoumène, le trail du Monastier-sur-Gazeille, a été remportée dimanche par Baptiste Gibert sur 7 km et David Lasherme sur 14 km.

Deux cents cinq coureurs ont participé à l'épreuve sportive.

Retrouvez en photos cette course qui s'est déroulé sour le soleil.

Publié dans Photos / Vidéos

Vendredi 10 mars, à 20 h 30, au Monastier-sur-Gazeille, la pièce "Samuel" raconte l'itinéraire d'un enfant trisomique. Un hymne à la différence à voir en famille à partir de 7 ans.

"Samuel" raconte l’itinéraire d’un enfant porteur de trisomie 21 avec humour et tendresse, émotion et parfois un brin de cruauté.

"Samuel", le personnage central de la pièce, n'est présent sur scène qu'en voix off. Les 9 autres personnages sont tous incarnés par une seule et même comédienne, Sandrine Gelin, co-auteur de ce spectacle qui explore le thème de la différence.

L'intermède invite chacun à se questionner sans pour autant apporter toutes les réponses car si certaines relèvent de la génétique, de la médecine, d’autres sont enfouies au plus profond de nous.

Cette pièce de la compagnie lyonnaise "Le Voyageur debout" est née de la rencontre entre Sandrine et deux enfants atteints de trisomie 21, Alice et Samuel.

La comédienne a travaillé auprès d'eux durant deux ans. Cette expérience explique la justesse et la sincérité de cette pièce qui explore le thème délicat de la différence. "Samuel", véritable hymne à la tolérance fait passer du rire aux larmes.

Entrée : 8 euros

Vendredi 10 mars, à 20 h 30, à la salle des fêtes du Monastier-sur-Gazeille

Publié dans Loisirs 2017
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