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Après l’apothéose l’an dernier de la 30ème édition du Festival du Monastier, c’était un défi que de rempiler pour la 31e : défi relevé ce samedi 3 août, par une ouverture en mode majeur.

Tout a débuté avec deux concerts off du brass band The Yellbows, qui a enchanté la place du Clauzel à 11 heures, au Puy-en-Velay, de son énergie très US, mélange solaire de blues, de folk et de jazz qui a tout autant séduit le public du village, lors de la session de 18 h 30 au Monastier-sur-Gazeille.


Une soirée composite entre chanson française et rap

Cette ouverture fort ensoleillée s’est achevée par une soirée composite, dédiée d’abord à la chanson française, puis au rap. La première partie a été assurée par Yoann Launay et son groupe.

Le chanteur charismatique, remarqué il y a quelques années par l'émission The Voice, est venu présenter ici des compositions ciselées et chaleureuses, dans la droite ligne de la grande chanson française.


Hip-hop et groovy pour suivre

La seconde partie a basculé dans une énergie résolument hip-hop et groovy, avec la formation lyonnaise Supa Dupa, portée par le flow inspiré de la chanteuse Ayelya, dont les accents lyriques ont emporté un public survolté.

La brass room, lieu privilégié des noctambules, a ouvert ses portes dans la foulée avec le groupe Les Jimmy, trio cuivré et déjanté qui jalonnera les scènes du festival tout au long de la semaine.

Rendez-vous guinguette gratuit ce dimanche après-midi

C'est une belle semaine qui s'annonce riche en découvertes et variétés musicales, avec, dès ce dimanche, un rendez vous guinguette gratuit sur la grande scène.

Ce moment populaire à dimension familiale sera suivi du traditionnel concert à l'abbatiale en soirée qui fera honneur aux plus belles pages de la musique classique avec en particulier "Le Récital extraordinaire" de Nathalie Henriet et Nicolas Ramez.

Les rendez-vous des 4 et 5 août

Dimanche 4 août

A 11 h 30 Le Monastier Scène Village "Paprika Paradyz" gratuit

A 16 h Cour du Château du Monastier Grande scène Bal guinguette "Le Petit orchestre Parisien" gratuit

A 18 h 30 Le Monastier Scène Village "Nubu" gratuit

A 20 heures Le Monastier Eglise Abbatiale Saint-Théofrède Concert "Le Récital extraordinaire" avec Nicolas Ramez au cor (Génération Spedidam) Nathalie Henriet à la harpe puis No Slide, ensemble de cuivres 25€

A 23 heures BrassRoom gratuit

Lundi 5 août

A 16 heures Le Puy en Velay Espace Saint -Pierre "Faune Acoustique" gratuit

A 17 heures Le Monastier Eglise Saint-Jean "L’heure baroque" 15€

A 18 h 30 Scène Village "Combo du Festival" gratuit

A 21 heures Cour du Château du Monastier Grande scène Concert Jazz Daniel Zimmermann quartet puis Andy Elmer Megaoctet 25€

A 23 heures BrassRoom gratuit

Infos, programmation complète et réservations : www.festivaldumonastier.fr

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Une troisième journée du festival qui a tenu ses promesses et de beaux rendez-vous encore à partager jusqu'à samedi au Monastier.

Lundi au Puy-en-Velay, sur la place du Plot, Ringišpil Orkestar proposait un concert orienté vers la musique des Balkans. Ce groupe, actif depuis bientôt trois ans, s’est formé à la suite d’un des stages de musique tzigane au Monastier. Il est composé d’une dizaine de jeunes musiciens altiligériens, qui, à travers des airs à la fois festifs et langoureux, ont su capter l’attention du public ponot.


L'Heure baroque à l'église Saint-Jean

Au Monastier, s’est tenu le rendez-vous attendu de « l’Heure baroque », donnée par les professeurs virtuoses des stages de musique ancienne. Les voûtes de l’église Saint-Jean ont résonné une fois encore au son aujourd’hui atypique d’instruments tels qu’on les trouvait dans les salons du XVIIe siècle. Yoann Moulin (au clavecin), François Joubert-Caillet (à la viole de gambe), Bernadette Charbonnier (au violon baroque) et Claire McIntyre (à la sacqueboute) ont servi œuvres de Haendel (dont le « Da Tempeste ») et une sonate de Scarlatti, mais aussi des pièces de compositeurs plus oubliés tels qu’Antonio Caldara ou Tobias Hume.


Electro-pop ensuite

C’est avec la formation Electravoice que s’est poursuivie cette troisième journée du Festival du Monastier. Sur des airs d’électro-pop, ils ont su charmer le public devant la scène du Village du festival pour voyager au travers du décor proposé par les quatre musiciens.

Tantôt par des improvisations aux allures jazzy, tantôt par des chansons, ils ont offert un magnifique moment de détente, loin des sentiers battus. Deux artistes d'exception se sont succédé sur la grande scène. Edition anniversaire oblige, le Festival a invité deux « Monstres » de la scène jazz française : Emile Parisien quintet et Thomas de Pourquery & Supersonic. Tous deux récemment titrés aux Victoires du Jazz 2017 – Artiste de l'année pour Thomas de Pourquery, et Album Sensation pour « Sfumato » d'Emile Parisien, l'affiche alléchante a tenu toutes ses promesses.


Emile Parisien, un familier du festival

Le saxophoniste Emile Parisien ayant séduit le public du festival trois ans auparavant en duo avec l'accordéoniste Vincent Peirani, c'est donc avec une ferveur toute particulière que les amateurs de jazz se sont délecté de cette poésie sonore. Une musique passionnée aux nombreuses facettes, à la fois provocante et anarchique mais aussi entraînante et swinguante.

Thomas de Pourquery et ses acolytes du Supersonic ont ensuite investi la scène pour une deuxième partie très attendue. Tantôt lyriques et suaves, tantôt déjantées et totalement free, les compositions de l'album « Sons Of Love » surprennent par leur richesse, laissant le champ libre à la virtuosité débridée des instruments mais aussi à la voix envoûtante du saxophoniste.

Voir le programme de mardi et mercredi

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Le Festival des cuivres se poursuit jusqu'au 10 août au Monastier-sur-Gazeille avec une programmation pétillaante.

Le festival, fidèle à sa tradition de journées musicalement bien remplies, a entamé cette belle journée du dimanche par un concert sur la scène du village. One Man Barge Band. Tout est presque dit dans ce nom de scène : un personnage loufoque à l'humour décapant et aux mimiques hilarantes, muni d'un trombone, d'une loopstation et d'accessoires plus absurdes les uns que les autres. Le rire a rapidement été contagieux sur le village devant ce phénomène musical.


Un bal populaire offert

A l'occasion des 30 ans du Festival, les organisateurs ont souhaité inviter le public à partager un moment convivial et musical. Les Balochiens ont donc investi la grande scène pour un bal populaire, et dès les premières notes, le parquet s'est très rapidement rempli de danseurs pour quelques valses, gigues et java endiablées ! Les Balochiens émergent du chaudron des cafés-concerts parisiens (re)florissant au milieu des années 90 avec des figures tels les Ogres de Barback, la Tordue, les Têtes Raides... L'esprit guinguette fantaisiste du vieux Paris s'est installé dans la douceur de ce dimanche après-midi.

Une surprise de taille attendait les danseurs au beau milieu de cette fête populaire : les enfants musiciens de bénévoles du « festi-mini » ont interprété un « joyeux anniversaire » repris en choeur par l'assistance tandis qu'un gâteau de bonbons – qui n'a pas résisté longtemps aux papilles des plus jeunes – faisait irruption sur scène.


Des instruments peu communs

Après cette après-midi dansante en compagnie des Balochiens, l’ensemble El Fuego a su faire voyager des spectateurs attentifs à travers les époques et les lieux. Cette formation composée de six membres propose un programme tourné vers la musique du XVIe et du début du XVIIe siècle.

Le public a pu en apprendre davantage sur l’histoire de la sacqueboute (ancêtre du trombone actuel) ou sur celle du cornet à bouquin, un cuivre bien particulier, très répandu à la fin de la Renaissance. Les spectateurs se sont laissé enchanter par ces instruments peu communs, semblant parfois imiter la voix humaine, à travers des morceaux venus de toute l’Europe (Italie, Angleterre, Espagne…).


Versailles et ses splendeurs

Cette journée s’est poursuivie en l’église abbatiale, sous le signe de « Versailles et ses splendeurs musicales ». L’ensemble « Les Trompettes des Plaisirs », est revenu prendre du service, et pour cause : leur nom évoque les quatre « souffleurs » attachés au service du Roi Soleil. Les quatre trompettes « naturelles » - elles ne disposent pas du système de pistons que nous connaissons à cet instrument – ont accompagné le Choeur Régional d’Auvergne, et l’Orchestre du Festival dans l’interprétation d’un grand répertoire donnant une idée assez vaste de ce qui pouvait se jouer de plus flamboyant et de plus solennel à la cour de Versailles.

Donnant dans un premier temps de la musique de cour, avec des œuvres de Lully, Couperin, Philidor et autres Delalande, et dans un second temps de la musique religieuse, avec le somptueux Te Deum de Charpentier, cette programmation prestigieuse a envoûté une fois encore un public toujours fidèle à ce rendez-vous.

Lundi 6 août

11 h 30 Le Puy en Velay – Place du Plot : Ringišpil Orkestar. Gratuit

17 heures Le Monastier – Eglise Saint-Jean : L’heure baroque : de Monteverdi à Frescobaldi. 15 €

18 h 30 Parvis église abbatiale : cérémonie officielle

18 h 30 Scène Village : Electravoice. Gratuit

21 heures cour du château du Monastier – Grande scène : concert jazz EMILE PARISIEN QUINTET / THOMAS DE POURQUERY & SUPERSONIC " 25€

23 heures Brass Room. Gratuit

Mardi 7 août

11 heures Le Puy en Velay – Espace Saint Pierre : Kunta. Gratuit

11 h 30 Marché du Monastier : Electravoice. Gratuit

18 h 30 Scène Village : Kunta. Gratuit

21 heures Cour du château du Monastier – Grande scène : concert world music IDENTITE / KUMBIA BORUKA. 16 €

23 heures Brass Room. Gratuit

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Lo Radzouka a ouvert le bal avant deux formations très rock samedi soir au Monastier-sur-Gazeille.

C’est sur un ton festif de musiques du monde que le groupe altiligérien Lo Radzouka ouvre les portes de la 30e édition du festival du Monastier avec un concert délocalisé à 11 heures au Puy-en-Velay.

Musiques du monde à l'apéro

A 18 h 30 sous un ciel très ensoleillé, ils sont venus inaugurer la nouvelle scène du village du festival, pour le premier concert sur le site. Dans des atmosphères de jazz manouche ou sur des airs de tango argentin, le trio déjanté a su transporter du Puy jusqu’au Monastier. Une ambiance
chaleureuse qui a séduit les spectateurs venus nombreux.

The Gogg's authentiquement rock’n roll

La première grande affiche de cette importante édition, ouvertement placée sous le signe du rock, a été occupée par deux formations des plus énergiques. La soirée a été ouverte par The Gogg’s, groupe authentiquement rock’n roll, quoiqu’il mêle au classique triptyque du genre (guitare saturée, basse, batterie) la chaleur festive de deux trompettes.

Au long d’une dizaine de compositions anglophones, aux riffs entraînants, et d’une interprétation toute personnelle du thème de Don Pullen qui doit traverser toute cette édition anniversaire, « Kadji », les jeunes rockeurs ont conquis le public par leur énergie joviale et immédiatement sympathique.

Du métal avec Pastors of Muppets

La deuxième partie a été assurée par les trublions déjantés de Pastors of Muppets… Ceux qui étaient au Monastier ce soir-là se souviennent de leur première apparition au festival, en 2013, où ils avaient fait sensation. Les festivaliers ont ainsi retrouvé telle qu’en elle-même la plaisante originalité d’une formule que résume leur nom de scène (clin d’œil à un album de Metallica), et à laquelle ils doivent une réputation qui leur a déjà ouvert quatre fois les portes du Hellfest : reprendre des standards du métal et du hard rock au moyen des seuls cuivres.

Les douze comparses grimés chacun à l’effigie d’une rock star (Slash, Lemmy…), qui sévissent depuis dix ans maintenant, sont donc revenus pour défendre leur troisième album, « Heavy Birthday », sur la même scène où, cinq ans plus tôt, ils étaient venus défendre leur premier disque.

Une brassée de tubes métalleux

Et ce, pour le plus grand plaisir des festivaliers, les Pastors of Muppets ont livré une nouvelle brassée de tubes « métalleux » revus et corrigés, transfigurés par leur spectaculaire présence sur scène et l’alliage de virtuosité et de second degré qu’on leur connaissait.

A leur tour les Pastors of Muppets ont offert leur version personnelle de Kadji. Elle sera bien sûr rediffusée, avec toutes les contributions des artistes invités, lors des trente heures du marathon artistique Kadji Project qui constituera un exceptionnel temps fort de cette édition anniversaire.

Le Brass Room pour prolonger la nuit

Cette ouverture en fanfare s’est poursuivie tard dans la nuit avec, pour les irréductibles, l'ouverture de la « Brass Room », lieu musical à part entière agrandi cette année - anniversaire oblige -, et où se côtoieront encore toute la semaine musiciens et festivaliers. DeeJay H a une fois de plus mis à profit des oreilles une incroyable collection de vinyles aux sonorités funky.

Une première soirée qui a rempli toutes ses promesses et qui augure un excellent cru millésimé 2018 !


Le programme de dimanche et lundi

Dimanche 5 août

11 h 30 Le Monastier - Scène Village " One man barge band " gratuit

16 h Cour du Château du Monastier – Grande scène Bal guinguette " Le Festival vous invite ! " : " LES BALOCHIENS " gratuit

18 h 30 Le Monastier - Scène Village " El Fuego " gratuit

20 h Le Monastier – Eglise Abbatiale Saint-Théofrède Concert " Versailles … Splendeurs musicales " : M.A. CHARPENTIER : « Te Deum » " Chœur régional d’Auvergne / Les Trompettes des plaisirs /Orchestre du Festival / Dir. Blaise Plumettaz " 22€

23h Brass Room Magnet Band gratuit

Lundi 6 août

11 h 30 Le Puy en Velay – Place du Plot " Ringišpil Orkestar " gratuit

17 h Le Monastier – Eglise Saint-Jean L’heure baroque : de Monteverdi à Frescobaldi L’ensemble instrumental et vocal du Festival invite V. Martinez (soprano) 15€

18 h 30 Scène Village " Electravoice " gratuit

21 h Cour du Château du Monastier – Grande scène Concert " Jazz " : " EMILE PARISIEN QUINTET / THOMAS DE POURQUERY
& SUPERSONIC " 25€

23 h Brass Room Combo du Festival + Magnet Band gratuit

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Le festival du Monastier se termine ce vendredi. Pour les retardataires, il est encore temps d'avoir profité des musiques cuivrées.

Pour son avant-dernière journée, jeudi, la 28e édition du festival du Monastier-sur-Gazeille a proposé une idée originale : faire connaître au public l’ancêtre des cuivres, la conque marine. Le groupe de style « transe gnawa », Stromb s’en est chargé avec Global Gnawa.

La journée a commencé à 11 heures par un premier set chargé de sons exotiques. Rendez-vous était ensuite pris pour un atelier découverte à 16 heures, qui a permis aux petits et grands d’essayer de tirer des sons de cet instrument peu conventionnel. Au terme de cet exercice, les participants ont pu se joindre aux groupes, pour interpréter un morceau lors de leur second set.

L'église de Saint-Front, une première

Au même moment se tenait un concert classique dans un lieu que le festival n’avait pas encore investi : l’église de Saint-Front. La classe de trompette naturelle y a donné un concert, au terme de quatre jours de travail, soutenue par le président du festival, Gilles Mercier, emmenée à la tymbale par Jérôme Lahens,  et accompagnée par une violoniste et un organiste. Stagiaires et professeurs ont interprété tant une cantate de Bach, que des pièces baroques de compositeurs moins connus comme Clarke ou Torelli, ou encore des sonneries de la cour des rois de Norvège.

Un avant-goût du concert de vendredi

Les stages de l'académie du festival arrivent à leur terme, et c'est avec plaisir que les badauds restés après les conques au village du festival ont vu arriver les stagiaires fanfare tzigane des balkans, venus rôder leur programme avant la restitution « officielle » de ce vendredi 12 août. Les thèmes traditionnels qu'ils ont joués ont rapidement fait mouche attirant les spectateurs dans ce lieu toujours aussi convivial et finalement jamais à l'abri d'une petite gourmandise musicale impromptue.

25 stagiaires de l'académie jazz sur la scène

A 21 heures, sur la grande scène du festival, la soirée « Let's Swing !» a encore tenu toutes ses promesses. La première partie de ce concert mettait en scène les stagiaires de l'académie jazz du festival, une classe qui a accueilli cette année plus de 25 musiciens venus de toute la France. C'est donc pour proposer le fruit d'une semaine de travail que l'atelier combo encadré par Fred Nardin a ouvert le bal.

Les traditionnels instruments de cette formation que sont saxophones, trompettes, trombones et section rythmique étaient agrémentés de la belle voix de l'une des stagiaires. Le big band de l'académie a ensuite investi la scène, pour quelques titres travaillés dans la semaine comme « Change of pace » de Quincy Jones, des standards de Duke Ellington jusqu'à des titres plus funky comme « I want you back » des Jackson Five.

Le swing du tromboniste

Du swing, le tromboniste Pierre Guicquéro n'en manque pas ! C'est au sein de son PG jazz septet qu'il en a fait une démonstration de haut vol en cette deuxième partie de soirée. Le tromboniste clermontois a proposé au public ses compositions, tirées de son 2e album sorti en 2015, mais aussi des nouveautés qui laissent présager un retour prochain en studio. Sur scène, les sept musiciens maitrisent aussi bien les phrasés chauds des swings « cool » que les improvisations aux couleurs New Orleans, et font preuve d'une précision redoutable dans les impressionnants traits be-bop.

Un boeuf cosmopolite en fin de soirée

La soirée se poursuivait au Brass Room, repaire bien connu de tous les festivaliers noctambules. L'atelier Brass band de l'académie jazz du festival encadré par Simon Girard proposait à son tour un répertoire très festif.

Mais la nuit n'avait pas encore livré toutes ses surprises. Les musiciens du PG Jazz septet n'en avaient pas encore fini avec leur envie de jouer ! C'est donc dans une ambiance survoltée qu'ils ont investi les lieux pour « taper le bœuf », partageant ce langage universel qu'est la musique avec des Brésiliens, Allemands et autres nationalités présentes cette semaine au Monastier.

Programme de vendredi

11 heures : concert des stagiaires orgue en l’abbatiale Saint-Théofrède au Monastier. Gratuit

16 heures : concert des stagiaires musique ancienne en l’église Saint-Jean au Monastier. Gratuit

18 heures : concert des stagiaires fanfare tzigane des Balkans sur la scène du village. Gratuit

20 heures : concert "Fanfara Transilvania/Molotov Brothers" sur la grande scène. 15 €

23 heures : bœuf des Balkans au Brass Room. Gratuit

Publié dans Loisirs 2016