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Mercredi, les 44 élèves de 6e du collège Saint-Martin de Tence ont visité l'exploitation agricole de Jean-Julien et Sophie Deygas.

Cete visite sur le terrain d'une ferme est en lien avec le programme de "sciences et technologie". Les agriculteurs tençois ont volontiers répondu aux questions relatives aux conditions d'élevage, la nourriture et la reproduction des vaches laitières et des porcs.

Les élèves ont visité la stabulation et observé tous les animaux présents à l'intérieur durant la période hivernale. Ils ont découvert la salle de traite et le matériel utilisé pour la production du lait. Ils se sont rendus dans la porcherie pour caresser les porcelets âgés de seulement 10 jours.

Enfin, ils ont observé le principe de fabrication d'électricité et de chaleur grâce à la méthanisation provenant des excréments animaliers. Les collégiens ont également noté la manière dont cette exploitation s'efforce de réduire ses impacts sur l'environnement.

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Vendredi, l'heure était à la découverte des métiers du bâtiment pour les 5ème du collège Saint-Martin à Tence grâce aux "artisans messagers" de la CAPEB.

La semaine des artisans messagers de la CAPEB (Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment) s'est déroulée ces derniers jours dans plusieurs collèges de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ce vendredi, Michel Suc et Philippe Gommet sont intervenus toute la journée au collège Saint-Martin de Tence avec les 19 élèves de 5B, afin de construire la maquette d'une maison.

Eveiller la curiosité

L'objectif est d'éveiller la curiosité, de valoriser et promouvoir les métiers du bâtiment auprès des jeunes, mais aussi de leurs enseignants. Le dispostif « Artisans messagers » conduit en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et soutenu financièrement par le Conseil régional, repose sur l’idée qu’il faut rendre les jeunes, acteurs de leur orientation, et leur donner une image concrète de la diversité et de la richesse des métiers artisanaux alliant savoir-faire traditionnels et innovation technique.

Des métiers au coeur des enjeux sociétaux

Pour la CAPEB, la valorisation du savoir-faire des artisans et des métiers du bâtiment en général est une priorité.  En effet, les artisans messagers constatent que les jeunes et leurs enseignants ne sont pas toujours conscients du rôle majeur que joue le secteur du bâtiment sur des enjeux sociétaux cruciaux tels que les questions d’économie d’énergie, la qualité de l’habitat ou le développement durable en général.

Des emplois à la clé

Ils ignorent souvent la technicité que les métiers requièrent aujourd’hui pour répondre aux exigences des normes environnementales. D’autres arguments, comme les perspectives réelles d’évolution et la sécurité de l’emploi, font également échos auprès des jeunes, tout en rassurant leurs parents.

Les élèves et leurs enseignants s'associent pour remercier la CAPEB et ses deux représentants pour cette activité attrayante et riche d'informations.
 

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Mercredi matin, le collège Saint-Martin de Tence a mobilisé plusieurs intervenants extérieurs afin de sensibiliser les élèves des quatre classes de 4e et 3e à la sécurité routière.

Cette opération prenait la forme d'ateliers tournants animés par des intervenants spécialisés comme la gendarmerie, les sapeurs-pompiers, l'association "Vivre et conduire", Nadine Michel pour la Coordination Sécurité routière de la Préfecture.

Ici, on teste ses réflexes avec un simulateur de conduite, là on apprend comment être efficace à l'heure d'alerter les secours... Les bonnes pratiques en qualité d'usagers de la route, à vélo, à moteur, à pied, sont inlassablement rappelées. Et naturellement, les dangers des conduites addictives sont mis en exergue de plusieurs manières.

Ainsi, les représentants de l'association "Vivre et conduire", Jeannine Tempère et Gérald Aubert, apportent la force de leurs témoignages d'êtres touchés dans leur chair. L'une a perdu sa fille dans un accident. L'autre est devenu handicapé à la suite d'un accident.

Les membres de "Vivre et conduire" invitent les collégiens à prendre conscience que beaucoup de drames de la route pourraient être évités si chacun s'efforçait d'être exemplaire en supprimant la prise d'alcool et de drogue, en limitant sa vitesse, bref, en veillant au respect scrupuleux des règles du Code de la route.

Plus d'infos sur "Vivre et conduire" en lisant l'article ici

Et via leur page Facebook

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Des élèves de troisième du collège Saint-Martin de Tence sont partis pour une semaine en Allemagne. Ils ont été reçus par les élèves du Gymnasium Grafing, un établissement situé près de Munich en Bavière.

Après avoir passé le week-end en famille, différentes visites étaient prévues : Munich, musée BMW, camp de concentration de Dachau, Allianz Arena, matinée de cours au Gymnasium, mines de sel de Berchtesgaden, temps libre à Salzburg…

Suite à cette semaine bien chargée, les Allemands sont venus à Tence. Durant cette semaine d'immersion linguistique chez leurs correspondants français, ils ont apprécié à leur tour les richesses locales : Le Puy-en-Velay, Polignac, Lyon, le musée Canson, les chocolats Valrhona…

Et comme à chaque fois, les séparations ont été difficiles. Mais Français et Allemands restent avec des souvenirs plein la tête et des promesses de se revoir au plus vite. Rendez-vous est d'ores et déjà pris pour l’année prochaine.

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Le cinéma de Tence a consacré une bonne partie de cette semaine au film : "Pourquoi nous détestent-ils ?"

Ce documentaire réalisé et incarné par Amelle Chahbi, Alexandre Amiel et Lucien Jean-Baptiste se concentre sur les relations qu’entretient la France avec trois tranches de sa population : les musulmans, les juifs et les noirs.

Il a été pensé après les évènements tragiques survenus lors des attentats de Charlie Hebdo et inspiré des expériences de chacun des réalisateurs comme Lucien Jean-Baptiste qui explique avoir été "choqué" lorsque son fils de 6 ans lui déclare un jour: "papa, à part toi, je n'aime pas les noirs"

La persistance des clichés racistes

A travers leurs vécus et une série de rencontres, c'est la persistance des préjugés et des clichés racistes en France que dénonce ce film.

Par exemple, l'humoriste et comédienne Amelle Chahbi se confronte avec un sang froid incroyable, lors de la manifestation du 1er mai 2016 à un militant nationaliste. Le comédien et réalisateur Lucien Jean-Baptiste interviewe Henry de Lesquen, le président de Radio Courtoisie, qui souhaite notamment bannir la musique «nègre», qu'il juge trop sexuelle, des médias publics.

Le racisme se nourrit de fantasmes

De son côté, le journaliste et producteur Alexandre Amiel s'interroge sur la situation de la communauté juive en France et rencontre Jérôme Bourbon, patron de «Rivarol», journal ouvertement antisémite... Ces rencontres ayant pour objectif d’enfermer les racistes dans leurs contradictions et dans leur fantasme.

Les trois réalisateurs se sont également entretenus avec, entre autres, un historien, un journaliste, ou encore un anthropologue pour nous permettre de réfléchir et de comprendre pourquoi ces clichés sont ancrés dans notre société depuis si longtemps.

Des séances scolaires et tout public

Le film a été proposé aux deux collèges de Tence : 69 élèves de 4e et 3e du collège Saint-Martin et 141 élèves de la 6e à la 3e du collège de La Lionchère, sans compter la séance ouverte à tous.

A la suite de ces projections, Amelle Chahbi a échangé avec le public. Véritable film citoyen, le document a interpellé tous les spectateurs et notamment le jeune public, qui bien qu'intimidé au départ par la présence de la réalisatrice ont osé des questions pertinentes. Et c'est avec beaucoup de générosité qu'elle a répondu à chacun.

Le dialogue pour lutter contre le racisme

Elle a bien sûr mis en avant les dangers du racisme qui conduisent souvent à la haine de l'autre, que ce soit de manière physique ou verbale (le film est très explicite sur ce point) et a expliqué aux collégiens que la meilleure façon de répondre aux attaques racistes était le dialogue, même si c'est loin d'être évident.

Retenons une phrase prononcée par un collégien, à la fin de la discussion à l'attention d'Amelle Chahbi : " Si on vous insulte, c'est parce que vous avez quelque chose en plus, que les racistes vous envient "

Moment de partage et d'échange émouvant pour les élèves, les professeurs, les spectateurs en général et pour les membres du cinéma. Tous les collégiens ont applaudi et accueilli généreusement ce film ainsi que l'intervention d'Amelle Chahbi.

Des rendez-vous

Une séance à tarif préférentiel : à partir du mois de mai, le cinéma proposera une séance en journée, ouverte à tous, au tarif préférentiel de 4,50 euros, à 14 heures chaque mardi. Première séance mardi 16 mai avec le film "Sage-femme".

Le prochain ciné débat : vendredi 28 avril avec "Nature paysanne" de Thibault Mazars, en présence du réalisateur.

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Les 37 élèves de 6ème du collège Saint-Martin de Tence ont visité l’exploitation agricole de Jean-Julien et Sophie Deygas.

Cette visite était proposée en lien avec le programme de sciences et technologie de élèves de 6e. Les exploitants agricoles ont répondu à toutes les questions concernant l’élevage des vaches laitières et des porcs.

Les collégiens ont visité la stabulation et observé les animaux présents à l’intérieur durant la période hivernale. Ils ont découvert la salle de traite et le matériel utilisé pour la production du lait. Ils se sont rendus dans la porcherie pour caresser les porcelets âgés de seulement 1 jour.

Enfin, ils ont observé le principe de fabrication d’électricité et de chaleur grâce à la méthanisation provenant des excréments des animaux.

"Cette matinée très appréciée a permis de rencontrer des professionnels passionnés par leur métier, soucieux du bien-être des animaux de leur élevage et de la qualité de leurs productions. Les élèves ont également pu noter comment cette exploitation réduit ses impacts sur l’environnement", signalent les enseignants.

Et, in fine, cette visite aura peut-être suscité des vocations.

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Les élèves de 6ème et de 5ème du collège Saint-Martin de Tence ont vécu une fin d'année scolaire dépaysante et sportive à La Canourgue (Lozère) grâce à une classe verte.

La semaine dernière, les collégiens sont partis dans les Gorges du Tarn pour trois jours d'évasion au contact de la nature. Au programme de cette escapade riche en sensations, des sports variés, soigneusement encadrés par des professionnels.

Les jeunes ont ainsi descendu des gorges en canoë, cheminé en trottinette tout-terrain sur les hauts plateaux, descendu en rappel les belles falaises du village de La Canourgue. Et ils ont même expérimenté la spéléologie, une activité particulièrement originale. 

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Jeudi, les élèves de 6ème et 5ème du collège Saint-Martin ont été séduit par un ciné-spectacle à La Comédie de Saint-Etienne, qui s'inscrit dans "un pass culture", un dispositif leur permettant d'assister à trois spectacles.

"Blanche-Neige ou la chute du mur de Berlin" : c'est un "ciné-spectacle" inoubliable auquel les élèves ont assisté ce jeudi 19 mai . Sur scène, des musiciens et des comédiens ont réalisé tous les bruitages nécessaires pour que le film muet, projeté derrière eux, prenne vie.

Sous le regard attentif des spectateurs, une belle harmonie règne sur scène où tradition ancestrale des contes et Grande Histoire s'animent pour raconter une même histoire. Les Tençois sont rentrés ravis de cette dernière sortie culturelle à Saint-Étienne.

"Cette première année, c'est avec enchantement que cette formule nous a fait découvrir les arts de la scène. Cette belle aventure, partie prenante du projet d'établissement se poursuivra donc l'an prochain", relate Mathilde Grand, enthousiaste, qui conclut : "longue vie au pass-culture !"
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Le festival de théâtre professionnel Après la neige a ouvert sa riche programmation ce lundi après-midi à Tence devant 150 collégiens ravis.


Devant un parterre de 150 élèves des collèges publics et privé du Haut-Lignon, les excellents comédiens de la compagnie Les Fous masqués ont donné un des plus grands succès de Molière, "Les Fourberies de Scapin", tout en énergie et en fantaisie.

Les rires fusaient dans le gymnase de la Lionchère transformé l'espace d'une après-midi en salle de spectacle.  Et on s'étonne encore une fois de voir à quel point ce texte écrit en 1671 passe encore bien la rampe, pour peu qu'il soit efficacement dépoussiéré par des artistes inventifs.

Une nouvelle représentation de ces Fourberies de Scapin est prévue dimanche 8 mai, à 16 heures, salle François-Lods de l'ancien Collège Cévenol au Chambon-sur-Lignon.


Tout le programme du festival qui se poursuit jusqu'au 8 mai, entre Ardèche et Haute-Loire, ici


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