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Tout au long de l'année, Marie-Jo Guinamand intervient chaque vendredi pour deux heures de chant avec les résidents de l'hôpital local. Pendant huit semaines, des enfants de CP et CE1 de l'école Jean-de-la-Fontaine sont venus chanter avec les aînés dans le cadre des Temps d'activités périscolaires. 35 enfants ont ainsi partagé une dizaine d'airs.

L'hôpital a également proposé une Fête de la musique entre maisons de retraite. A tout de rôle, les Yssingelais ont ainsi poussé la chansonnettes avec les seniors de Beaulieu, Rosières, Tence, Saint-Didier-en-Velay, Retournac, Vorey et Monistrol-sur-Loire.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Une rencontre et une petite visite des lieux étaient proposées samedi à l'hôpital local à destination de tous les élus d'Yssingeaux et de la Communauté de communes des Sucs.

Cette réunion a permis à certains élus de mieux connaître l'organisation et l'importance de la structure médicale qui compte 15 places de médecine, 30 lits de soins de suite et de réadaptation, 30 places de soins longue durée, 136 places en Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) dont 30 lits en unité protégée pour les malades d'Alzheimer. L'hôpital local compte 350 agents (230 équivalents temps plein) dont 117 sont d'Yssingeaux, 64 du Pays des Sucs (18 de Grazac, 17 de Lapte), 21 du Meygal, 18 des Marches du Velay, 17 du Haut-Lignon.

"On ne se rend pas compte mais il y a de nombreuses interactions entre les services. En 2016, 344 passages d'un service à l'autre ont été enregistrés. D'où l'intérêt d'organiser le parcours des personnes en perte d'autonomie", estime la directrice Sylvie Tourneur.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Le syndicat CGT a déposé un préavis de grève à l'hôpital de Moze à Saint-Agrève pour la journée de jeudi. Un débrayage de deux heures est proposé de 14 heures à 16 heures.

Dans la lettre adressée à la direction, le syndicat local indique ses revendications, à savoir "le remplacement systématique des agents absents, quelle que soit la cause de leur absence", et "de donner aux agents les moyens humains et matériels suffisants pour assurer une qualité des soins optimums".

"Depuis plusieurs semaines, le nombre d’agents absents non remplacés, ne cesse d’augmenter dans nos services. Cette situation intolérable, entraîne une forte dégradation de la qualité des soins et du bionettoyage, voire ne permet plus d’assurer correctement la sécurité des résidents et des patients", ajoute la CGT dans un tract. "Le nombre d’accidents du travail et d’arrêts maladie en témoigne. Malgré, nos nombreuses interpellations, la direction fait la sourde oreille."

Un rassemblement est proposé jeudi à 14 heures devant l'hôpital.

Publié dans Dans le 07

Samedi, les danseurs de Country d'Yssi ont enchaîné les prestations dans tous les services de l'hôpital local d'Yssingeaux. Comme ils l'avaient déjà fait en 2016 à l'occasion de la Fête des mères, ils ont interprété des chorégraphies devant les résidents et les pensionnaires.

La prochaine animation de l'hôpital concernera la Fête du cochon, un groin de folie.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

L'hôpital local d'Yssingeaux a organisé jeudi les élections au conseil de la vie sociale. Cette instance se compose de représentants des résidants et des familles.

Ce CVS permet d'associer les personnes bénéficiaires de prestations au fonctionnement de l'établissement. Le CVS est ainsi consulté sur toutes les questions concernant le fonctionnement de l'établissement (organisation de la vie au quotidien, les activités, l'animation, les projets de travaux).

Le vote a eu lieu dans chaque service et les résidants étaient appelés à choisir parmi une liste de douze candidats. Comme pour toute élection, ils disposaient d'un isoloir, devaient émarger et signer le registre. Chaque candidat était présenté avec sa photo. Pour certaines personnes, le choix s'est fait par l'intermédiaire du personnel soignant.

Les représentants des familles ont voté par courrier et ils ont élu également trois représentants.

Représentants des résidents

135 résidents

73 votants

Verdier Antoine : 30 voix

Gallot Germaine : 28 voix

Vernet Antoine : 25 voix

Petiot Maria : 21 voix

Liogier Marie : 20 voix

Brusc Marie-Louise : 19 voix

Représentants des familles

62 votants

Bonnefoy Suzanne : 37 voix

Chanon Jean-Marc : 34 voix

Argaud-Liogier Elisabeth : 32 voix

Mourier Bernadette : 31 voix

Giraud Josiane : 28 voix

Guiraud Josette : 17 voix

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Huit photographes exposent à l'hôpital de Moze. Une initiative conjointe de la structure hospitalière et du centre socio-culturel.

Une exposition à l'hôpital, ce n'est pas courant. Si les résidants ne peuvent accéder à l'art pour des questions de mobilité, alors c'est l'art qui ira jusqu'à eux.

C'est en substance ce que s'est dit Laurence Chardon, directrice de l'hôpital de Moze à Saint-Agrève, qui est aussi une maison de retraite. "15 000 personnes passent dans les couloirs chaque année", signale-t-elle. Aussi, le long couloir qui mène aux consultations s'est transformé en galerie d'art éphèmère.

Dans le prolongement de l'exposition qui vient de s'achever au centre socio-culturel de Saint-Agrève, huit photographes amateurs y présentent une série de clichés sur le thème "Effet miroir".

Il s'agit de Rachel Combauroure, Françoise Nayroles, Sabine Fischer, Vanille Vallois, Richard Gadiollet, Henri Bariol, Denis Pasquet et Jean-Louis Forti.

Si les artistes se retrouvent autour de la thématique commune, les propositions sont très variées. A côté des paysages de Haute-Loire, d'Ardèche et d'ailleurs, avec un focus sur des espaces aquatiques tel le lac de Veron à Saint-Agrève, on découvre des mises en abîme originales, des oiseaux les pieds dans l'eau, un instrument de musique impeccablement lustré saisi lors du rassemblement des fanfares à Tence, des frondaisons chatoyantes...

La promenade pleine de charme réveille l'intérêt des résidants comme des visiteurs dans leur cheminement devenu souvent machinal. Une échappée belle d'autant plus précieuse à l'heure d'aborder des caps difficiles.

Publié dans Dans le 07

Un incendie s'est déclaré jeudi après-midi vers 15 h 20 à l'hôpital d'Annonay, dans le nord de l'Ardèche.

Deux détonations auraient été entendues et le feu serait parti de la blanchisserie. Une épaisse fumée noire s'est dégagée et était visible à plusieurs kilomètres à la ronde.

D'importants moyens de secours ont été déployés sur place pour maîtriser les flammes. Plusieurs services ont dû être évacués. La cause de cet incendie est pour l'heure inconnue et aucune victime n'est à déplorer.

Publié dans Faits Divers 2016
Les comptes de l'hôpital de Moze sont toujours dans le rouge. Avant de penser à entreprendre un lourd programme de rénovation et d'agrandissement, l'établissement doit retrouver une stabilité financière. Trois pistes sont étudiées.

L'hôpital de Saint-Agrève a terminé l'année 2015 avec un résultat net déficitaire de 628 000 euros, alors qu'il était déjà de 565 000 euros en 2014. Le conseil d'administration de l'établissement hospitalier a présenté un plan de redressement à l'Agence régionale de santé qui porte sur trois points.

Norbert Exbrayat, trésorier, a détaillé les trois pistes qui doivent mener à un retour à l'équilibre. 200 000 euros doivent être trouvés par une facturation supplémentaire auprès des patients, 200 000 euros par le réaménagement des contrats des anesthésistes Dr Jacques Berteaux et Dr Berthet. le contrat du Dr Berthet n'a pas été renouvelé. Les horaires de travail du Dr Berteaux ont été modifiés. Et encore 200 000 euros doivent être trouvés par une réorganisation du travail, notamment des CDD, qui prendra du temps. "450 000 devraient être acquis dès 2016", annonce le trésorier, également représentant du diocèse. "Nous avons eu une bonne nouvelle avec une prime de 100 000 euros versée par l'ARS, en étant reconnu hôpital de proiximité.


Nouvelle direction, premiers constats
La nouvelle directrice, Laurence Chardon, a livré son premier regard sur l'hôpital après un mois de présence. "Les usagers sont très satisfaits de la prestation malgré des locaux qui ne sont pas en bon état. On a des personnels impliqués qui prennent soin des patients malgré des conditions de travail difficiles."
La première action de la directrice a été d'entreprendre des travaux de peinture dans deux chambres individuelles du service médecine et soin de suite. Ces chambres particulières, en disposant d'équipements suffisants comme des sanitaires complets, pourraient ainsi être facturées 30 euros supplémentaires alors qu'elle ne le sont pas actuellement. Les travaux des neuf autres chambres devraient intervenir à la rentrée. "On va pouvoir communiquer sur ces locaux, plus acceptables et ainsi accueillir des patients qui nous fuient actuellement pour rallier Saint-Etienne ou Valence. Je suis aussi surprise de l'image dégradée de l'établissement auprès de certains professionnels."


Retour à l'équilibre en 2018 ?
La directrice, qui a réussi "avec un peu de chance" à faire venir un gynécologue, doit aussi mener un chantier lié à l'organisation du travail pour réduire au minimum le recours aux CDD. L'hôpital ardéchois compte 90 CDI et autant de CDD sur une année.
Quid de l'avenir de l'hôpital. "Il n'est pas question de le fermer", martèle la nouvelle directrice. L'hôpital regarde plus loin et espère revenir à l'équilibre le plus tôt possible pour envisager ensuite des travaux de rénovation et d'agrandissement. Un investissement chiffré pour l'instant à 20 millions d'euros. "On espère revenir à l'équilibre en 2018. Je suis peut-être trop optimiste mais je vais continuer à l'être", affirme Henri Brottes, le président du conseil d'administration.


Le conseil d'administration de l'hôpital
Le conseil d'admininistration enregistre l'arrivée de Bernard Lescaille, radiologue à la retraite. Le bureau reste inchangé : Henri Brottes président, Jean-Claude Cheynel vice-président, Marie-Christine Pizot secrétaire, Claudette Garde secrétaire adjointe, Norbert Exbrayat trésorier et Pierre Metzdorff délégué médical.
Publié dans Dans le 07
Après dix ans d'attente, un mammographe a été installé dans le service d’imagerie médicale du Centre hospitalier Emile Roux. Les premières patientes sont prises en charge depuis lundi.

Qu’est-ce qu’une mammographie ?
C’est un examen d’imagerie médicale des seins, réalisée soit dans le cadre d’un dépistage du cancer du sein (particulièrement pour les femmes entre 50 ans et 74 ans) soit en présence de symptômes (mammographie de diagnostic).


Qui pratiquent ces examens ?
Ce sont des médecins radiologues, formés en sénologie. Au Centre Hospitalier du Puy-en-Velay, les docteurs Ioana Mihaila, Iuliu Mihaila et Abdo Arbash assurent les examens. Un quatrième médecin, le Dr Renan Perignon, rejoindra l’équipe en fin d’année.


Qu’est-ce que la tomosynthèse mammaire ou mammographie 3D ?
C’est la dernière avancée en matière de mammographie. Elle fournit une vision plus claire et plus fine des seins et permet aux radiologues une analyse plus précise de la taille, de la forme, de la localisation et du nombre des anomalies.


Si la mammographie conventionnelle en 2D produit une image unique et aplatie des seins, ce qui rend parfois difficile la détection des petites tumeurs, la tomosynthèse utilise le déplacement de la caméra et prend ainsi des images à partir d'angles multiples.

C’est un outil supplémentaire pour le diagnostic et la détection précoce des petits cancers du sein. Le positionnement de la patiente et la compression du sein est le même que pour une mammographie conventionnelle 2D.

Ainsi, la tomosynthèse ou mammographie 3D représente un progrès pour le diagnostic et la détection précoce des cancers du sein. Elle permet également d’affirmer plus facilement et avec plus de certitude la normalité d’une mammographie.

Quel est le montant de cette machine ?
L’investissement en 2016 pour ce mammographe dernière génération représente la somme de 275 000 euros. 
Cette acquisition a été rendue possible grâce à l’aide de la Ligue contre le cancer 43 (20 000 euros) et l’association Act Cancer (6 000 euros).

Prise de rendez-vous
Les rendez-vous pour une mammographie sont pris auprès du secrétariat de l’imagerie médicale au 04 71 04 34 51.
Publié dans Actualités 2016