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Françoise Jacob a acheté une maison bourgeoise près du parc Henri-Vinay au Puy-en-Velay pour aménager une colocation réservée aux seniors autonomes. Six chambres sont ouvertes à la colocation avec une maîtresse de maison en permanence.

"Hama" du grec ancien signifie "Ensemble". Françoise Jacob a développé ce projet immobilier pour créer une grande maison de famille dans laquelle vivraient plusieurs seniors, profitant d'un espace privatif et partageant des pièces communes comme la cuisine, le salon et le jardin.

Une maison chaleureuse et adaptée

Dans la rue du Vent l'Emporte, en face du tribunal des prud'hommes, Françoise Jacob a trouvé la maison parfaite avec un jardin. Une ancienne demeure de tanneurs qui date du XVIe siècle. "J'ai aménagé cette maison dans le même esprit que celles qui existent à Tence, Yssingeaux et Retournac. J'ai chiné des meubles, on a donné une ambiance différente à chaque chambre en lien avec une fleur : églantine, mimosa, bleuet, pensée...", raconte la propriétaire.

Une maîtresse de maison

Et pour s'occuper de l'intendance, d'un suivi personnalisé et des repas, une maîtresse de maison a été recrutée. La Ponote Valérie Pagliai, après avoir travaillé dans la photographie au sein de la maison Trevis, a été captée par ce projet innovant axé sur un accompagnement bienveillant. Une seconde salariée devrait être recrutée pour le week-end. Pour les ingrédients utilisés pour la confection des repas, la Villa Hama prône les circuits courts et bio.

Le 1er mars, la première locataire, une Ponote de 87 ans, prendra possession de sa chambre. "Elle a envie d'être chouchoutée et de ne plus avoir les contraintes d'un maison."

Le coût

Le coût de la prestation totale (logement, charges, repas, gestion du linge, accompagnement...) avoisine les 2 000 euros, une somme sur laquelle il devrait prochainement pouvoir être possible de bénéficier de 400 € de crédit d'impôts.

Contact : 06 98 89 11 96 ou contact@villahama.com

Publié dans Puy et Agglo

(Publi-reportage) Il y a 4 ans naissait à Tence une initiative qui allait faire des émules : la Maison Marguerite, un domicile partagé, solidaire et à taille humaine pour personnes âgées. Aujourd’hui, le concept essaime dans une multitude de communes.

Le projet est né d’un simple constat : en milieu rural, il existe très peu de structures autres que les maisons de retraite ou résidences pour personnes âgées.

Pourtant les seniors n’ont jamais été aussi nombreux et actifs ! Beaucoup se retrouvent dans des situations d’isolement et sont pourtant encore assez autonomes et valides pour choisir une alternative à la maison de retraite.

C'est pour répondre aux attentes de ces seniors et de leurs familles que le projet Maisons Marguerite est né. Il s’agit d’un projet de vie, une colocation au cœur de la ville où le bien-être des locataires, le respect de leur intimité et la préservation de l'autonomie sont les priorités absolues.

Des parties communes, un espace privé

Les Maisons Marguerite sont sans doute l’alternative parfaite pour vous ou un parent proche.

Chaque maison est organisée autour de parties communes (cuisine, salons, salle à manger, jardin) et de parties privées avec ligne téléphonique (chambres de 17m² à 35m² équipées de salle de bain, WC, chevet réfrigéré, fauteuil avec relax, bureau et penderie).

Une maîtresse de maison 7 jours sur 7

Les Maisons Marguerite sont animées par une maîtresse de maison présente 7 jours sur 7 et 8 heures par jour. Elle est chargée de faire le lien entre tous les locataires et de gérer l'intendance (repas maison préparés tous les jours, ménage, entretien du linge, coordination des interventions extérieures comme kiné, infirmières, coiffeur…).

Grâce à elle, un esprit familial règne dans la maison où chacun peut participer tout en préservant son intimité. Elle est secondée par deux assistantes.

Les Maisons Marguerite accueillent de 8 à 9 personnes. Pourquoi ? Car en mutualisant les moyens, l’idée est de proposer un service de qualité et de proximité bénéfique pour les colocataires et rassurant pour les familles.

Plusieurs projets en cours

A Retournac, la Maison Marguerite ouvrira ses portes en février 2020. Il y a déjà plusieurs pré-réservations, la maison accueillera 9 colocataires avec une vue imprenable sur le Mont Gerbizon.

A Roisey (Loire), proche de Pélussin, La Maison Marguerite “le Clos des Ruisseaux” ouvrira début 2020 et proposera un standing “haut de gamme” pour une retraite paisible.

Courant 2020, plusieurs projets vont voir le jour, dans l’Est de la Haute Loire, mais aussi dans la Loire, en Bourgogne, en Bretagne, dans le Nord…

Infos pratiques 

Les locataires pourront aussi bénéficier de l'APL, de l'APA ainsi que d’un crédit d’impôt sur le service à la personne. Devis sur demande.

Maison Marguerite Retournac : Mathieu au 06 29 81 68 23 ou m.decultis@maisonsmarguerite.com

Maison Marguerite Roisey : Claire au 06 26 79 46 60 ou leclosdesruisseaux@maisonsmarguerite.com

site internet : www.maisonsmarguerite.com

Publié dans Actualités

Après avoir étudié la possibilité d'en faire une maison de santé, la commune de Retournac va finalement vendre l'ancienne cure à Mathieu Decultis qui va transformer le bâtiment en colocation pour seniors. A l'image de celle qui existe à Tence, la Maison Marguerite. Ouverture prévue dès 2020.

Créé à Tence en plein coeur de bourg, le concept des Maisons Marguerite va se démultiplier à travers un réseau national. Jacqueline Decultis, infirmière de formation, avait investi sur le Haut-Lignon pour proposer de la colocation pour seniors.

Aujourd'hui, son fils Mathieu, 38 ans, et Thierry Sabot, un courtier en travaux, s'associent pour accompagner des porteurs de projet pour dupliquer la Maison Marguerite dans d'autres communes. Retournac est la deuxième à voir le jour.

Un projet à 550 000 euros

A Retournac, le projet est personnellement porté par Mathieu Decultis. Ce Beauzacois est sur le point d'acheter l'ancienne cure de Retournac, à côté de la maison de retraite. Ce grand bâtiment des années 70 de 400 m2 va être repensé pour accueillir dès janvier 2020 jusqu'à neuf personnes âgées, autonomes. Les travaux doivent débuter en juin et l'investissement se chiffre à 550 000 euros (dont 129 000 euros pour l'achat du bâtiment).

Une maîtresse de maison, un cadre familial

Cette deuxième Maison Marguerite disposera d'une maîtresse de maison qui s'occupera de cuisiner, faire le ménage, du linge, de l'intendance. Elle sera épaulée par deux assistants. Le but est de rappeler le cadre familial et alternatif. "On n'a pas encore fait connaître ce projet que des personnes se sont signalées", apprécie Mathieu Decultis.

La Maison Marguerite de Retournac proposera neuf chambres de 18 à 35 m2 avec toilettes et salle de bain privées. Deux salons, une salle à manger, une cuisine et un jardin seront communs à tous les résidents. Un ascenseur va équiper la demeure.

Infos pratiques

Si le tarif de location n'est pas encore défini avec précision, Mathieu Decultis espère propose un prix à partir de 1 400 euros, comprenant tous les services. "Les locataires pourront aussi bénéficier de l'APL, de l'APA."

Contact : 06 29 81 68 23 ou m.decultis@maisonsmarguerite.com

Voir le site internet

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Jacqueline Decultis a été nominée pour son projet de colocation à destination des seniors à Tence. Une marque de reconnaissance pour une maison qui a trouvé son public.

Jacqueline Decultis est une femme qui ne manque pas d'énergie. Et c'est bien ce qui a tapé dans l'oeil du jury du concours "Initiative O féminin" qui s'adressait à toutes les créatrices et les repreneuses d'entreprises sur la région Auvergne-Rhône-Alpes.

152 dossiers avaient été déposés, 16 ont été retenus pour la finale. La Tençoise en faisait partie avec sa maison pour seniors. Lancée en mai 2016, la Maison Marguerite monte en puissance. Assurément précurseuse mais tellement humaine, cette colocation pour seniors autonomes propose six chambres individuelles et un jardin dans une vieille bâtisse en plein coeur de ville et les services d'une maîtresse de maison qui s'occupe de préparer les repas et de gérer les besoins quotidiens des résidents.

Si Jacqueline Decultis n'a finalement pas reçu le prix "Territoire rural" et la bourse de 3 000 euros (c'est un muséum d'Ardèche à Balazuc qui a été distingué), cette seule présence parmi les quatre initiatives singulières permet de valoriser la Maison Marguerite qui est pratiquemment complète pour l'hiver.

Contacts : 06 82 61 62 59 ou 06 64 38 92 34

La visite de la Maison Marguerite en vidéo à retrouver ici

Publié dans Haut-Lignon

Ce samedi à midi, Jacqueline Decultis et Annie Gallet avaient réuni pour un moment convivial les personnes ayant contribué à la mise sur orbite de la Maison Marguerite, notamment via la campagne de financement participatif.

Cette colocation pour seniors non dépendants au sein d'une belle demeure du coeur de Tence, doté d'un grand jardin, animée par une maîtresse de maison Marie-Hélène Huart, est un
 projet novateur et encore atypique sur le territoire.

Mais il pourrait bien faire des émules comme le souligne Thierry Sabot d'Activ Travaux, l'architecte en charge de la réhabilitation : "Nous avons eu plusieurs contacts pour des demandes d'informations suite à l'ouverture de la Maison Marguerite. Ce type de structure, au-delà de son intérêt pour les personnes âgées, permet aussi de redonner vie au centre des communes."

Contacts : 06 82 61 62 59 ou 06 64 38 92 34

La visite de la Maison Marguerite en vidéo à retrouver ici

Publié dans Haut-Lignon

Les premiers résidants de la colocation pour seniors vont prendre possession des lieux à partir de lundi. Petite visite de cette maison hors du commun au coeur de Tence.

Nous vous avions présenté le projet de Jacqueline Decultis d'ouvrir une colocation pour les seniors. Son projet est sur le point d'aboutir puisque les premiers résidants sont attendus à partir de lundi. La Maison Marguerite, du nom de la dernière occupante des lieux, est destinée aux personnes âgées non dépendantes et prend la forme d'une colocation améliorée. Des espaces communs ont été aménagés. Chaque locataire dispose d'un espace privatif, en l'occurence la chambre, et bénéficie de services et de la présence d'une maîtresse de maison. Marie-Hélène Huart, ancienne commerçante bien connue sur la région de Tence et du Chambon-sur-Lignon, accompagnera les seniors au quotidien.

Sur trois niveaux, la maison est équipée d'une cuisine, une salle à manger, deux salons, six chambres et un parc magnifique où un potager pourra être cultivé. Chaque chambre dispose d'un lit, d'une commode, d'un fauteuil relaxant, d'un chevet réfrigéré, d'une salle de bain et d'une télévision.

Un appartement pour les familles en visite
Le coût de la location est d'environ 1500 euros par mois. Ce prix comprend la location, les services (maîtresse de maison, blanchisserie, ménage) ainsi que les repas. Il est possible de bénéficier de l'APL pour la partie loyer et d'un abattement d'impôts.

Au deuxième étage, un appartement avec cuisine équipée, et deux chambres, a été aménagé pour recevoir les familles des résidants.

Il reste encore quelques places pour intégrer la Maison Marguerite de Tence qui a bénéficié en partie d'un financement participatif via la plateforme Ulule. "68 personnes ont donné de l'argent, ce qui représente une somme de 9700 euros", apprécie Jacqueline Decultis qui n'a bénéficié d'aucune aide publique pour cette maison partagée.

Contacts : 06 82 61 62 59 ou 06 64 38 92 34



Publié dans Haut-Lignon
jeudi, 10 mars 2016 08:59

Une colocation pour seniors à Tence

Jacqueline Decultis ouvrira le 2 mai une maison partagée à destination des personnes âgées en plein cœur de Tence. La moitié des chambres de la Maison de Marguerite ont déjà été réservées.


Son projet est visiblement trop novateur pour bénéficier d’aides publiques alors que la question du vieillissement de la population et de sa prise en charge des seniors sont au cœur des enjeux d’aujourd’hui et de demain. Mais Jacqueline Decultis n’en a que faire. Son projet est sur le point d’aboutir et elle en est ravie. L’ancienne infirmière, qui a occupé les mandats de maire et de conseillère générale sur Tence, s’est mis en tête d’ouvrir une maison pour les seniors. L’été dernier, avec sa belle-sœur Annie Gallet, elle aussi issue du secteur médical, elle a acheté une maison dans la montée de la Sérigoule, à deux pas de l’église, au bord du ruisseau. « Je me suis posée la question du lieu où j’aimerais vivre quand j’aurais 85 ans. On veut proposer une alternative au placement de nos aînés en maison de retraite. »

Une maison et un jardin en plein cœur de ville
Le projet, d’un montant global de 412 000 euros, consiste en la réhabilitation de cette vieille bâtisse de trois niveaux. La Maison de Marguerite, du nom de sa dernière occupante (Marguerite Souvignet), se situe en plein cœur du village, proche des commerces et des services. A l’arrière, elle est entourée d’une enceinte dans laquelle un jardin potager, d’agrément et qui fera une belle place aux plantes médicinales, doit permettre aux résidents d’être au calme.

La Maison comprend six chambres, une cuisine, deux salons, une salle à manger. Et six cheminées. Elles ont toutes été découvertes lors des travaux et ont été préservées pour renforcer l’aspect chaleureux de la demeure. Sur une cheminée du séjour, une décoration gravée dans la pierre indique que la maison a dû appartenir à un franc-maçon qui avait le grade de compagnon. Dans le salon, les fleurs de lys sur une plaque de cheminée laissent à penser qu’un noble a occupé les lieux.

Des chambres équipées
Chaque chambre est équipée d’un lit, une commode, un fauteuil relaxant, une télé, un chevet réfrigéré, en plus d’un placard et d’une salle de bain.

« On vise un public seul, isolé, à la recherche de lien social. Je veux qu’à terme, les occupants vivent comme une famille. Et que chaque personne conserve son espace intime. On ne veut rien imposer, chacun garde sa liberté de choix », argumente Jacqueline Decultis qui a déjà enregistré plusieurs réservations grâce au bouche-à-oreille : un octogénaire tençois, une personne de Saint-Etienne et une autre de Saint-Chamond qui va se rapprocher de ses enfants. Gilbert a été le premier à réserver sa chambre. « J’ai un grand appartement à Tence qui est trop grand pour moi. J’étais prêt à quitter la région pour trouver une résidence seniors et cette opportunité s’est présentée. Célibataire et sans enfant, je suis quelqu’un de très indépendant. Cette maison va me permettre de rompre l’isolement tout en préservant mon autonomie. Je vais débarrasser la plupart de mes affaires et ne garder que l’essentiel. Quand je casserai ma pipe, je ne veux pas que ma famille soit embêtée. »

Une maîtresse de maison pour les résidents
L’une des particularités de la Maison de Marguerite est la présence d’une maîtresse de maison. Jacqueline Decultis va confier les clés de la vie intérieure à sa sœur, Marie-Hélène Huart. « Je viendrai chaque matin, après le petit-déjeuner, pour prendre le pouls, évaluer les besoins. Je préparerai le déjeuner et le dîner avec les résidents intéressés. » Une personne de l’ADMR prendra le relais le week-end pour ce poste de maîtresse de maison, ainsi qu’en semaine pour la partie ménage.

Un appartement spécial
On n’est pas au bout des surprises avec la colocation tençoise puisqu’un appartement avec deux chambres a été aménagé pour héberger temporairement les familles des résidents.

De bonnes ondes dans la maison
Jacqueline Decultis n’y croyait pas forcément mais des témoignages l’ont convaincu de faire venir un géobiologue. « Je voulais avoir son ressenti. » Elle n’a pas été déçue. « Une ligne de ley traverse la maison, elle est censée relier deux lieux importants, forts en énergies. On retrouve aussi des méridiens positifs qui donnent une belle énergie. Il y a aussi un vortex dans un salon, c’est un tourbillon qui indique que les personnes seront en harmonie.

Les tarifs de location
Le coût a été fixé à 1400 euros par mois. Ce prix comprend la location, les services (maîtresse de maison, blanchisserie, ménage…) ainsi que les repas. « Les locataires peuvent bénéficier de l’APL pour la partie loyer ou d’un abattement d’impôts. Et c’est moins cher qu’une maison de retraite », revendique la propriétaire.

Une campagne de financement participatif vient d'être lancé. Si vous souhaitez contribuer à ce projet, cliquez ici


Publié dans Actualités 2016
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