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Le conducteur d'un fourgon a perdu le contrôle de son véhicule mercredi soir vers 23 heures. Il circulait sur la Départementale 42, route d'Araules, sur la commune d'Yssingeaux, près du monument aux morts à la Champ des Cayres. Selon les traces, le véhicule a mordu le bas-côté droite de la route, avant de traverser la chaussée et de finir dans le champ.

Le véhicule a fait plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser. L'occupant, malgré l'intervention des pompiers, a refusé son transport à l'hôpital.

Les poubelles débordent, les mauvaises odeurs s'invitent. Et pourtant, des riverains ou des passants continuent à déposer leurs sacs de déchets, quand ce ne sont pas des objets qui n'ont rien à y faire comme le verre ou le carton.

Depuis un mois, les poubelles de la rue des Joinilles et la rue Traversière ne sont pas ramassées en raison des travaux dans cette rue et du changement de sens de circulation.

Des riverains ont interpellé la mairie à de multiples reprises. Sans succès. "On nous dit que ce n'est pas de leur ressort. Et qu'il n'est pas possible de modifier la tournée des camions." Des habitants du quartier regrettent un manque de communication et une absence de prise en compte de leur doléance.

Mardi, un camion est venu vider un container de tri sélectif à côté des trois bacs d'ordres ménagères. "Si samedi, ce n'est pas réglé, on amène les poubelles devant la mairie", promettent-ils.

Une plaque a été dévoilée mardi sur le perron de l'école Jean-de-la-Fontaine à Yssingeaux. Cette plaque en verre illustre l'implication de l'école publique dans le développement durable. L'école yssingelaise est l'une des cinq à avoir obtenu le niveau le plus élevé, avec Albert-Jacquard à Monistrol-sur-Loire, Saint-Just-Malmont, Sanssac-l'Eglise et Vorey-sur-Arzon. Au total, 20 écoles ont été labellisées en Haute-Loire.

L'année scolaire s'est déroulée sous le thème "Laissons une trace, pas des déchets". Tous les écoliers ont participé à des activités et des missions.

Quatre thèmes ont été développés : la solidarité, la biodiversité, le tri-valorisation des déchets et l'alimentation.

Dans le lotissement Le Pied de la roue à Yssingeaux, les automobilistes sont perdus après l'installation d'un panneau "Stop" et un marquage au sol. Jusque-là, rien de bien étonnant. Sauf que le panneau a été installé d'un côté de la route, sans marquage, et le marquage a été tracé au sol, sans panneau. Le tout à une semaine d'intervalle.

"J'ai bien essayé de le dire à l'agent qui faisait le marquage au sol mais il n'a rien voulu entendre", témoigne le riverain le plus proche.

Dans le quartier, l'anecdote fait beaucoup sourire. "De toute façon, personne ne respecte la nouvelle signalisation", remarque Valérie, une riveraine, alors que la rue des Jardins du Pied de la roue, rebaptisée plus simplement rue du Pied de la roue, après le nouvelle adressage d'Yssingeaux, est utilisée depuis quelques jours pour atteindre l'Ensemble scolaire catholique suite aux travaux de la rue des Joinilles et de la rue Traversière.

L'antenne d'Yssingeaux de l'Office de tourisme des Sucs ouvrira jeudi matin.

Depuis lundi, les agents d'accueil s'affairent à aménager l'intérieur du nouvel espace, situé sur la place du Marché à Yssingeaux. L'ancien bureau est fermé pour permettre ce déménagement entre les deux locaux.

Ce nouveau point d'accueil a été aménagé pour mettre en avant les flyers et livrets avec des présentoirs. Une avancée vitrée a été créée devant cette ex-Perception.

Le mobilier a été réalisé par des artisans locaux à l'image de Laurent Crouzet de Bessamorel et Gilles Grangeon de Saint-Maurice-de-Lignon.

A l'extérieur du bâtiment, une borne interactive permettra aux touristes et aux autochtones de s'informer autour des animations, des hébergements, et plus globalement de l'offre touristique du territoire des Sucs en bords de Loire.

L'office de tourisme a pris ses horaires d'été avec une ouverture 7 jours sur 7, du lundi après-midi au dimanche midi.

Trois mois après le début du jeu, Ludovic Dumond, le pizzaiolo de La Comedia à Yssingeaux, a procédé lundi au tirage au sort du séjour à Rome. Ce jeu, le restaurateur l'avait proposé à ses clients pour fêter ses trois ans à la tête de La Comédia, rue Maréchal-Fayolle.

4 000 tickets ont été déposés dans l'urne réservée à cet effet. Lundi après-midi, la main innocente de Louane, jeune voisine de 10 ans, a tiré au sort le gagnant. Il s'agit de Noémie Lucie Dussenne, de Saint-Hostien.

Elle remporte un bon pour un séjour de trois jours et deux nuits pour deux personnes. Ludovic Dumond a aussitôt appelé cette cliente pour lui annoncer la bonne nouvelle.

Deux accidents impliquant des cyclistes se sont produits samedi après-midi. Le premier a eu lieu à Yssingeaux à 13 h 39. Une femme de 40 ans a été prise en charge par les pompiers et conduite à l'hôpital du Puy-en-Velay.

La seconde chute a concerné un sportif de 26 ans qui participait au Triathlon des sucs. Lors de l'épreuve de vélo, il a chuté au lieu-dit "Ribatou" à Saint-Jeures.

Souffrant de brûlures, ce Clermontois a aussi été transporté à l'hôpital ponot.

Vendredi soir, 150 des 280 licenciés de l'Association gymnique yssingelaise se sont produits dans le grand gymnase du Complexe omnisports de Choumouroux. Pour la cinquième année consécutive, les bénévoles ont oeuvré pour décorer la salle sur le thème du disco.

Un praticable était installé au centre avec des agrès (barres asymétriques et poutre) sur les côtés. Des plus jeunes aux seniors, les gymnastes ont proposé une palette de chorégraphies pour marquer cette fin d'année, que ce soit de la gymnastique artistique féminine et masculine, le baby-gym ou l'aérobic.

La question de l'accompagnement de la communauté de communes aux Ateliers du Meygal a fait grincer quelques dents chez les élus des Sucs, que ce soit sur le fond ou sur la forme.

Les élus de la communauté de communes des Sucs ont eu à se prononcer sur l'aide de la collectivité au projet de nouvelle usine, synonyme d'embauche (70 emplois minimum), des Ateliers du Meygal à Yssingeaux. Un bâtiment de 3 000 m2 doit être construit à Bellevue, près de la gendarmerie, d'ici l'été 2018.

C'est la première fois que ce dossier était au menu du conseil communautaire. Ce que n'ont pas apprécié deux élus, Claude François d'Yssingeaux et Dominique Rouchouze d'Araules, mécontents d'avoir appris ce projet et ce soutien de la com-com dans la presse, sans pouvoir en débattre au préalable.

Un contexte électoral au moment de l'annonce

L'information avait été gardée secrète par le bureau du président et des vice-présidents. L'annonce officielle a été dévoilée par Vincent Rabérin, le patron des Ateliers, le samedi 3 juin en présence de Bernard Gallot, maire d'Yssingeaux et président de la CCDS, Laurent Wauquiez, président de Région, et Isabelle Valentin, candidate aux Législatives. Ce contexte électoral a été rappelé jeudi soir lors des débats.

Tout en voulant éviter la polémique, Claude François et Dominique Rouchouer ont pris la parole pour s'étonner, s'offusquer ou regretter. "C'est incompréhensible qu'une boîte comme celle de Rabérin soit chasseuse de primes sur de l'argent public", s'agace Dominique Rouchouze, finalement le seul à s'abstenir au moment du vote.

Un projet de 2,2 millions d'euros

Pour Claude François, "le plus important, ce sont les emplois. On peut difficilement être contre ce projet. J'avais émis des doutes après les promesses de 2012 qui tardaient à arriver. Cette construction fait prendre beaucoup de risque à la CCDS (choix d'un atelier-relais, 2 millions pour construire le bâtiment, 200 000 euros pour acheter le terrain, un loyer de 8 000 euros par mois, NDLR). A nous de voir si ça vaut le coup. Le risque, c'est qu'un jour ou l'autre, la maroquinerie du luxe devienne plus difficile et qu'on se retrouve avec cette usine sur les bras. On aurait quand même pu être mis dans la confidence. C'est comme ça la démocratie."

Bernard Gallot assume

"L'économie locale, ce n'est pas nous qui pouvons la changer. On s'adapte à la situation. Si on s'érige contre, le train nous passe devant. C'est une belle opportunité d'emplois ici et maintenant. Ne faisons pas la fine bouche", argumente Pierre Astor, maire de Retournac.

Bernard Gallot a défendu ce choix de discrétion : "C'est le sens des affaires. C'est au chef d'entreprise d'annoncer son projet avec toutes les retombées politiques qui en découlent. Bien sûr qu'il y a des risques mais j'assume les risques, j'assume les emplois créés, j'assume l'économie que ça va générer sur le territoire."

Une bonne image pour Yssingeaux et les Sucs ?

Parmi les vice-présidents, on reconnaît un certain embarras au moment où on leur a présenté le projet. "Il a fallu mesurer les risques très vite. Le contexte politique était gênant avec ces élections législatives. On a serré le poing dans la poche", reconnaît André Defour, maire de Lapte. Pour Isabelle Servel, maire de Saint-Maurice-de-Lignon, "on n'a rien géré dans la communication. Mais il faut penser à l'image que ça va drainer du secteur".

"C'est un beau projet... d'entrepreneur"

"On peut quand même avoir un esprit critique", revient à la charge Dominique Rouchouze. "Ce sont des personnes qui ont les moyens d'investir eux-mêmes. C'est un beau projet... d'entrepreneur."

La comparaison avec l'Ecole de pâtisserie

Et Bernard Gallot de répondre : "Il y a cinq ans, 87 emplois de Lejaby étaient sauvés. Aujourd'hui, l'entreprise compte 180 salariés et compte encore embaucher avec cet agrandissement. Je crois que l'argent public a été bien utilisé. A l'époque, l'Ecole de pâtisserie avait coûté 3,2 millions d'euros à la collectivité. On est ici avec un projet très particulier qu'on ne pourra pas reproduire à l'infini. C'est un accompagnement exceptionnel lié à une circonstance exceptionnelle."

Le triathlon des sucs, au barrage de Lavalette, fête samedi son 20e anniversaire. Théo Debard, vainqueur en 2016, sera au départ et compte bien être le premier à souffler les bougies sur la ligne d'arrivée.

Pour cette 20e édition, le club du Tryssingeaux est resté fidèle à la dernière formule. A savoir deux formats de courses (S et XS) et deux épreuves jeunes. Il reste encore quelques heures pour s'inscrire : la clôture est prévue jeudi soir pour les jeunes, vendredi soir pour les seniors. Trois cents concurrents sont attendus en individuel et en relais.

Sur la distance S (750 m de natation, 24 km de vélo et 5 km de course à pied), Théo Debard, natif d'Yssingeaux et licencié à Vitrolles, tentera la passe de trois après les succès en 2015 (sur la distance M) et en 2016 (sur la distance S). Il a remporté le week-end dernier le triathlon d'Aydat (Puy-de-Dôme). "Les sensations reviennent petit à petit", indique le triathlète qui a connu une préparation difficile suite à une fracture d'un orteil.

Côté Tryssingeaux, il faudra surveiller la performance de Jean Maillet, seulement 11e en 2016 et récent 4e du Triathlon du Lac du sapin dans le Beaujolais. Une épreuve où Théo Debard a pris la 2e place.

La température de l'eau devrait rester agréable samedi. On n'atteindra pas les 24° C de 2016. Mercredi, elle était de 22° C. Elle devrait osciller autour de 20° C samedi. Le port des combinaisons sera libre (obligatoire en-dessous de 16° C, interdit au-delà de 24° C.

Parmi les participants, une famille clermontoise a reçu l'aval de Tryssingeaux pour s'engager. Il s'agit d'une personne handicapée qui sera tirée depuis un bateau par son frère avant de faire l'épreuve cycliste avec son père.

Les distances

Distance XS

Départ 12 heures

400 m natation/10 km vélo /2.5 km course à pied

à partir de minime, 2003 et avant

Tarif : 14 € licenciés, 17 € non licenciés

Triathlon jeunes 12-19 ans

Départ 13 h 30

200 m/5 km/1.2 km

Tarif : 3 € licenciés, 5 € non licenciés

Distance S

Départ 15 h 30

750 m/24 km/5 km

à partir de cadet (2001 et avant)

Tarif : 22 € licenciés, 29 € non licenciés

Distance S relais

Départ 15 h 30

750 m/20 km/5 km

équipe de 3, à partir de minime, 2003 et avant

Tarif : 36 €

Triathlon jeunes 8-11 ans

Départ 17 h 30

75 m/2 km/600 m

Tarif : 3 € licenciés, 5 € non licenciés

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