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Samedi vers 23 heures, une violente sortie de route s'est produite aux Villettes, faisant un blessé léger et une blessée grave.

L'accident a concerné un seul véhicule, entre "Trevas" et l'entrée en agglomération des Villettes. Dans une courbe à droite, le conducteur d'une Renault "Clio RS" a perdu le contrôle de sa voiture qui est allée à droite avant d'être renvoyée à l'opposé de la route. Après des tonneaux, la "Clio" s'est immobilisée dans le fossé à gauche de la chaussée.

Le conducteur, un Monistrolien de 18 ans, a été catégorisé blessé léger. La passagère, une Sigolénoise de 19 ans, était plus sévèrement touchée. Elles était coincée dans l'habitacle. Elle se plaignait du dos et présentait une plaie à la tête.

Le SAMU 42, venu en voiture, a sollicité l'intervention de l'hélicoptère Hélisa 42 qui s'est posé au stade de rugby du Beauvoir à Monistrol, équipé de l'éclairage à distance. Elle a été emmenée à l'Hôpital Nord.

Dans le match capital de la fin de saison, Le Puy Foot a perdu samedi à domicile devant 2700 supporters contre Aubagne (1-2) qui compte désormais 4 points d'avance à trois matches du terme.

C'est le match à ne pas surtout pas perdre... et Le Puy a perdu. Samedi, devant une tribune pleine, les Ponots se sont faits punir par des Aubagnais ultra opportunistes.

Les Ponots nourrirront forcément des regrets. Surtout qu'Adinany a eu une occasion en or dès la 5e minute sur un ballon relâchée par le gardien.

Aubagne a attendu la 32e minute pour voir son premier tir cadré. Et à la 40e minute, le capitaine Djaballah a marqué un superbe but en lucarne, punissant une première fois les Altiligériens.

Le Puy Foot a poussé pour revenir en seconde période mais s'est encore fait punir en toute fin de match (90e + 1). Jules Meyer ravivait très légèrement la flamme en réduisant l'écart sur pénalty (90e + 3), mais c'était trop tard.

Aubagne s'impose et, sauf surprise, sera champion.

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Cédric Alamercery signe « La Traversée », un journal de bord formidable, récit de son cancer. A mettre dans toutes les mains.

Le récit, qui se déroule essentiellement entre Saint-Didier-en-Velay et Saint-Etienne, est celui de la traversée de la maladie, celle qui est si fréquente et si redoutable, qu’à l’heure de rédiger un avis de décès on la voile d’une expression pudique « longue et douloureuse maladie » …

Une tranche de vie

Cette tranche de vie promptement déroulée au fil de 250 pages, parle sans fioritures, sans complaisance, crûment, du cancer qui s’est invité sans crier gare dans l’existence de Cédric Alamercery en 2013. Passionné depuis sa tendre enfance du Costa Rica, où vivent ses grands-parents, créateur en 2008 d’une agence spécialisée dans le voyage sur-mesure au Costa Rica, c’est pour un tout autre voyage qu’il a dû se résoudre à embarquer alors.

Un humour rageur

Dans « La Traversée », l’auteur raconte avec sincérité, un humour rageur, son combat (selon le vocabulaire guerrier généralement de rigueur), pour accepter ce passager indésirable, puis s’acharner à le bouter hors de ses cellules. Il a affronté les traitements infiniment lourds des équipes médicales ad hoc, les officielles, sans négliger le recours à des aides plus alternatives.

Condamné à vivre avec de bonnes ondes

Il a compté sur ses proches, composé avec eux, essuyé des déceptions, s’est requinqué ponctuellement grâce à d’heureuses surprises. Il a appris « à esquiver les infections, les pandémies et les personnes sans grand intérêt, condamné à vivre entouré de bonnes ondes. »

Comme il l'indique sur la quatrième de couverture pour résumer son livre : « Il y a des moments tristes, des moment drôles, des moments bof, des moments youyou, bref, on ne s’ennuie pas une seconde ». On confirme. « La Traversée » est un plaisant, piquant (et diablement émouvant aussi), témoignage.

Ce livre a été écrit avec la complicité de Denis Alamercery.

Infos pratiques

Prix 14 euros

Disponible en ligne ou en vente à la presse l'Érudit, 8 rue du Président-Kennedy à Unieux (à côté de Carrefour Market).

Contact de l'auteur : caliaa@live.fr

Un extrait qui ouvre le livre

En attendant le médecin, j’ai le temps de me rhabiller et de lire une douzaine de fois la seule affiche dans ce petit sas, écrite en 6 langues : « Si vous êtes enceinte, ou que vous pensez l’être, merci d’en informer le personnel avant la pratique de cet examen ». Pour tromper l’ennui, je ferme les yeux et commence à me réciter la phrase dans chaque langue. Au bout de quelques minutes je connais les six versions par cœur, je pense même que je me débrouille pas mal avec les accents. Je peux désormais communiquer dans la plupart des pays du globe... je n’ai pas le temps de me demander à quoi ça servirait qu’un gaillard comme moi dise à un autochtone qu’il est enceinte – ou pense l’être – ni imaginer la réaction sûrement un peu étonnée de l’autochtone en question, que le médecin arrive :

- C’est ce qu’on pensait, l’examen montre que vous avez une maladie de Hodgkin.

Ah. Comme je n’ai pas fait médecine après le Bac, je le regarde sans comprendre, ce qu’il interprète mal :

- Ne vous inquiétez pas, cette maladie se soigne très bien avec de la chimiothérapie.

Ok. Alors, en fait, merci, mais je ne m’inquiétais pas avant cette dernière petite phrase. Parce que certains mots comme « chimiothérapie », même sans avoir fait médecine, on a l’impression que ça sent moyennement bon.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Vincent Legrand a installé plus de 1000 bougies au milieu des rangs de vignes en Haute-Loire et Cantal pour leur permettre de résister au gel. Une expédition qu'il a menée avec des amis.

"C'est un hommage à Johnny Hallyday", sourit le viticulteur, installé avec des associés au sein du Domaine JCVA (Jean-Christophe, Acsa et Vincent). L'ancien caviste, devenu viticulteur, a déployé les grands moyens pour protéger ses vignes du gel. Le plan a été déclenché jeudi matin et s'est refermé vendredi matin. A l'aide d'une dizaine de copains et connaissances, il a allumé entre 1000 et 1400 bougies fabriquées à la Ciergerie du Sud-Est au Puy-en-Velay. Ils ont scruté le thermomètre et n'ont pas fermé l'oeil de la nuit pour réagir face au mercure négatif. 

Une taille spécifique a aussi été mise en place sur les vignes pour les aider à se renforcer face au froid extrême. A Espaly, Villeneuve-d'Allier, Molompize ou encore Messiac, le viticulteur et ses copains ont allumé des bougies tous les 25 m2. C'est la première lutte anti-gel pour le viticulteur de Haute-Loire. "On a des hivers chauds, alors les vignes bourgeonnent tôt", remarque le vigneron qui a pourtant choisi des variétés plus résistantes. "On a eu entre -2 et -5 °C, c'était violent."

Des gelées sont encore annoncées. Vincent Legrand reste à l'affût et dispose encore de bougies en cas de besoin.

Samedi en fin de matinée, les secours se sont portés au chevet d'un vététiste blessé dans une chute dans un bois sur le territoire de Riotord. Cet homme de 48 ans participait à la randonnée vélo de Saint-Romain-Lachalm. Il a dérapé sur un chemin et présentait une plaie à la jambe gauche.

L'accident s'est produit à 500 mètres du hameau de "Pourrat" à Riotord. Devant la situation, les pompiers de Riotord et Saint-Romain-Lachalm ont sollicité le renfort des pompiers spécialisés en milieu périlleux (SMPM) venus de Dunières et du Puy-en-Velay.

L'hélicoptère de la Sécurité civile du Puy-de-Dôme, Dragon 63, s'est positionné au-dessus du chemin pour hélitreuiller le vététiste, allongé dans une coquille. L'hélicoptère s'est ensuite posé dans un pré au hameau du "Pourrat". Puis, la victime a été installée dans l'ambulance pour un transport aux urgences de Firminy.

À Saint-Agrève, à une semaine du lancement de sa première saison en Championnat de France d'enduro à Rocroi (les 27 et 28 avril), Justine Vareille, pilote du Team Beta Ox Moto National, a réuni ses sponsors au tour d'un pot de remerciements.  

Ce moment a donné l'occasion à Justine Vareille de montrer sa moto de course aux couleurs de son team Beta OX MOTO National à ses partenaires, de présenter sa saison, ainsi que les objectifs de sa première saison nationale.

Et la pilote de lancer : "N'oubliez pas, la 4e manche du Championnat de France d'enduro aura lieu à domicile, à Saint-Agrève le 31 août et 1er septembre, venez nombreux au bord des spéciales ! "

En match en retard des 8e de finale, le GEJ Emblavez s'est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de la Haute-Loire U18. Les jeunes de l'Emblavez retrouveront le Puy Foot en quart.

A l'issue d'une rencontre très ouverte et riche en buts, le GEJ (Groupement Emblavez Jeunes) et Langeac-Siaugues ont dû en passer par la séance des tirs au but vendredi soir.

Le GEJ a mené au score. Le premier but est converti par Noah Soulier après une transversale de Victor Dagnicourt et grâce à un lob astucieux. Noah Soulier est ensuite devenu passeur pour Saidou Bamba. Et Noah Soulier, dans tous les bons coups, a converti le troisième but d'une frappe pied gauche qui se loge dans la lucarne gauche.

Le GL2S a réduit le score une première fois sur un corner degagé par la défense, puis sur une frappe à la limite de la surface de réparation. Et à dix minutes de la fin du match, un long ballon dans la surface de réparation est mal négociée par la défense du GEJ.

Lors de la séance des tirs au but, le GL2S a mis deux fois le ballon au-dessus du but. Les U18 de l'Emblavez en ont profité et se qualifient pour les quarts où ils retrouveront leur tombeur de la demi-finale 2023, Le Puy Foot.

11 245 bulbes de tulipe avaient été plantés dans le bourg de Moudeyres, à côté de la Ferme des frères Perrel. Six mois plus tard, les fleurs apparaissent. Elles seront vendues le samedi 27 avril au profit de la lutte contre le cancer.

En octobre dernier, sous le soleil, une quarantaine d'élus du Mézenc Loire Meygal avaient participé à cette première plantation insolite de 11 245 bulbes de tulipe à 1170m d'altitude. En suivant les cordeaux tirés et les consignes de Laurent Gentes, appuyés sur des planches en bois, ils avaient mis ces bulbes sous terre à intervalles réguliers.

Le résultat apparaît et les couleurs sont éclatantes. Les tulipes rouges et jaunes sont les premières à montrer le bout de leur nez. Les violettes, qui forment le ruban symbole de la Ligue contre le cancer, suivent. Les tulipes blanches sont les plus tardives.

La vente va pouvoir intervenir. Cela débutera samedi 27 avril sur place à partir de 11 heures. La vente se fera le samedi jusqu'au soir et le dimanche toute la journée. Si tout n'est pas vendu, les tulipes seront proposées sur les marchés du territoire Mézenc Meygal, auprès des mairies. Le prix minimum conseillé est de 5 € les 5 tulipes. Tout l'argent sera reversé à la Ligue contre le cancer.

La société EKO Réemploi vient de se lancer, elle est dédiée à la seconde vie des matériaux de construction. Elle récupère des matériaux destinés à la démolition, des stocks de fins de chantiers ou dormants, puis les entrepose pour les revendre aux professionnels du bâtiment, aux maîtres d'ouvrages, aux particuliers.

Ils sont quatre associés à lancer cette activité en plus de leurs entreprises. Audrey Chapuis et Nicolas Terrasse sont architectes, Jérôme Bonnidat charpentier menuisier à Cayres et Jean-François Montagne comptable.

Une vente spéciale le 26 avril

Propriétaires d'un dépôt de 600 m2 sur le boulevard du Président-Bertrand au Puy-en-Velay, entre la future ex-Chambre des métiers et le Greta, ils y entreposent du matériel qui était destiné à la poubelle. On retrouve des portes, des luminaires, des plafonds, des parquets en chêne, des lavabos, barrières. Ce stock sera très évolutif et dépendra des chantiers réalisés. "Nos premiers partenaires sont les démolisseurs. On y est allé au culot mais ils ont rapidement compris l'intérêt", estiment ces associés qui viennent aussi de participer à la démolition de l'intérieur de l'ancienne Chambre des métiers, le bâtiment va devenir un centre de formation universitaire professionnelle. Une vente spéciale sera réalisée, le vendredi 26 avril au matin pour les professionnels, le samedi 27 avril toute la journée pour les particuliers.

Un magasin ouvert le vendredi et sur rendez-vous

EKO Réemploi va ainsi ouvrir son magasin au grand public et professionnels qui pourront acheter des produits, 50 à 70 % moins cher que la valeur du neuf. Ce sera ouvert dans un premier temps le vendredi de 7 heures à 12 h 30 et de 14 heures à 19 heures. Ou sur rendez-vous pour les professionnels.

Infos pratiques

Téléphone : 07 65 24 41 19

Mail : contact@ekoreemploi.fr

Facebook : https://www.facebook.com/EKOreemploi

Site internet en construction

La vente de mobilier de jardin s'est ouverte ce vendredi à Sainte-Sigolène. Vous avez jusqu'à lundi 22 avril inclus pour trouver votre bonheur pour profiter des beaux jours.

Imagin’ est spécialisé dans la vente de jouets, mobilier de jardin et objets de décoration aux professionnels de la distribution. Cette vente de printemps est ouverte au grand public. Ozalide propose de nouveau la pergola bioclimatique. D'une dimension de 12 m2, elle est entièrement fabriquée en France. Cette tonnelle bioclimatique dispose d'une structure 100% aluminium de coloris gris anthracite ainsi de que de lames blanche mat, orientables manuellement grâce à une manivelle magnétique.

3000 produits et plusieurs marques

L'équipe d'acheteurs sélectionne avec le plus grand soin des gammes de produits à des tarifs toujours plus avantageux.

Avec ses 20 collaborateurs, Imagin' propose plus de 3 000 produits à travers ses différentes marques : Ozalide, La Ferme de Chantemule, Christmas Days,...

Quatre jours de vente

​Rendez-vous du vendredi 19 au lundi 22 avril 2024, rue du Calvaire à Sainte-Sigolène de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 19 heures.

Vous pouvez faire votre choix parmi une gamme de déstockage (fin de série...), une gamme de mobiliers de jardin Ozalide (www.ozalide.fr) et une gamme de plancha haut de gamme.

Un parking est indiqué et permet de stationner à proximité. La marchandise est à récupérer dans les locaux d'Imagin, sur la ZI Les Pins 2, à Saint-Pal-de-Mons.

Où se situe la vente ?