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Après "La Gueule du loup" et "Royal orchestra", c'était "Le Caravage", le documentaire d'Alain Cavalier, qui était proposé mardi soir au cinéma municipal en partenariat avec l'association Cinémagie et sa présidente Carine Loubeau.

Une soixantaine de personnes ont assisté à cette projection suivie d'une
 discussion. Cet échange autour du film a permis de poursuivre la soirée avec Bernard Bout, président du comité régional Rhône-Alpes-Auvergne de tourisme équestre, et Marie Bufferne, handisportive depuis 30 ans, et six fois vice-championne de France en dressage.
Publié dans Dans le 43 2016
Avis aux collectionneurs d'affiches de cinéma : l'association Cinéma m'était conté organise depuis samedi matin une grande vente d'affiches de cinéma. 800 modèles sont soigneusement pliés et stockés et n'attendent que de trouver un mur pour être de nouveau affichés. "On garde les affiches depuis 2006. On organise une vente chaque année", indique Yves Béal, le président de l'association qui participe à la programmation de la Grenette et à l'affichage.

Ces grands modèles d'1,20 m par 1,60 m sont vendus 10 euros l'unité, 18 euros les 2, 25 euros les 3 et 30 euros les 4. "Ce sont surtout les films d'animation pour enfants et les blockbusters qui partent bien."

La vente a lieu au 20 avenue Clémenceau (en face de la cave Molière) jusqu'à samedi 18 heures.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Les spectateurs du Ciné Tence étaient conviés à une dégustation de produits locaux vendredi avant la projection du film suivi d’un débat. La dégustation était proposée par le magasin bio de Tence, Coeur d'artichaut, les confitures et jus de fruits des Surprises d'Elise (Laura Bouilhol d'Araules) et Jean-Régis Charreyre, producteur bio de fromages de brebis à Tence. Cette animation a été très appréciée par les spectateurs qui ont pris place à table, dans le hall du cinéma.

Après le film "Des Locaux très motivés", le public a profité de l’intervention de Cédric Jouve, agriculteur bio à « Verne » sur la commune de Lapte. Son activité principale est la culture bio de légumes sur 3 hectares. Cela a suscité beaucoup de questions. Cédric Jouve a mis en avant le rôle des producteurs locaux et l'importance du bio : vente directe du producteur au consommateur, culture de légumes que les gens n'ont pas forcément l'habitude de consommer, préparation de paniers bio personnalisés avec des recettes, pas de gaspillage puisqu’en fin de saison, les tomates servent à faire du coulis, et bien sûr respect de la terre et de l'environnement.
Publié dans Haut-Lignon
Mardi soir, la première du cycle rétro au cinéma Monistrol-sur-Loire permettait de retrouver ou découvrir le somptueux film de Visconti "Rocco et ses frères".

La nostalgie n'est plus ce qu'elle était... La proposition n'a pas attiré la grande foule à La Capitellle, mardi soir. Et c'est dommage car ce premier film de la trilogie consacrée à Annie Girardot permet de retrouver dans "Rocco et ses frères" de Visconti, sorti en 1961, l'actrice dans la splendeur de ses 30 ans tout comme un jeune premier séduisant. Un certain Alain Delon, 26 ans lors du tournage, qui ne parlait pas encore de lui à la troisième personne...
Pour la présentation de la soirée, Carine Loubeau, présidente de Cinémagie, à l'initiative du cycle rétro, en partenariat avec le cinéma municipal, bénéficiait du concours précieux de Jean-Claude Pical-Capré le "Monsieur cinéma" stéphanois.
 
Un drame et une farce
Le cycle rétro se poursuit avec deux opus, aux univers très différents.

Le prochain film, 
mardi 3 mai, à 20 heures, met à l'affiche "Mourir d'aimer", un drame réalisé par André Cayatte, sorti en 1971. L'intrigue fait écho à un fait divers. Gabrielle Russier, incarnée par Annie Girardot, professeur, tombe amoureuse d'un de ses élèves de seconde, dans la période de Mai 68. La romance tourne au scandale dans une France puritaine. L'opposition des parents du jeune homme à cette idylle accule l'enseignante, emprisonnée, condamnée à un an de prison pour détournement de mineur, au suicide.

Le troisième et dernier film se situe dans un registre comique. Mardi 10 mai, à 20 heures, on rigole sans état d'âme en suivant les péripéties d'une aventure qui fait écho au contexte politique de l'époque, "La Zizanie", de Claude Zidi, sorti en 1978, avec l'inénarrable Louis de Funès.

Tarif : 4 euros
Publié dans Loisirs 2016
Le cycle du ciné-club d'Yssingeaux se poursuit mardi 26 avril, à 19 h 30, avec un chef d'oeuvre de Nicholas Ray "Johnny Guitar".


Ce film de 1954 avec la bellissima Joan Crawford, impériale dans ce western flamboyant et baroque, dans lequel les deux rôles principaux sont interprétés par des femmes.
Mercèdes Mac Cambridge lui donne efficacement la réplique dans cette opposition jusqu'au boutiste qui finira par un duel entre les deux protagonistes.
La cause du conflit : l'amour bien sûr, celui d'un héros du cru, Johnny Logan, le musicien un brin voyou, le "dancing king" adulé par ces dames.

Ciné-Grenette mardi 26 avril à 19 h 30
Tarif : 4 euros
Publié dans Loisirs 2016
dimanche, 17 avril 2016 10:25

Ciné Lux : le cinéma disparaît, le bar reste

L'ancien cinéma de la rue Blanc est en cours de démolition. Un lieu culturel chargé de nostalgie pour les Yssingelais. De l'époque mythique de Julot Valdener, il reste encore le bar tenu par Olivier Gaillard.

Un clairon et l'enseigne. Voilà tout ce qu'il reste du Ciné Lux d'antan. Ces deux objets de collection sont précieusement gardés par Olivier Gaillard qui préside aux destinées du Ciné Lux bar à Yssingeaux. Pour le reste, seuls les murs rappellent l'ancien cinéma de la rue Blanc créé par Jules Valdener en 1947 et revendu en 1991 à André Jolivet. En 2005, l'ouverture du cinéma de La Grenette, a signé la fin du petit cinéma de quartier. "On ne pouvait pas garder deux cinémas dans une ville de 7000 habitants", estime André Jolivet. "Ça fait un p'tit coup au coeur."


Les sièges ont été vendus ou jetés
Cette semaine, l'entreprise SDRTP de Montregard a procédé au désamiantage de la salle. A l'intérieur, il ne reste plus rien. Sur la centaine de sièges, une trentaine, encore en bon état, a été vendue en début d'année. Le reste est parti à la poubelle. Un passionné de Retournac a récupéré les vieux projecteurs. Sur le mur, on devine encore l'emplacement du grand écran. Sur la porte d'entrée, d'épaisses toiles d'araignée laissent entrer un peu de lumière extérieure.


Le bâtiment va être démoli
Dans les semaines qui viennent, le bâtiment sera démoli pour laisser place à un square. Il ne restera alors que les souvenirs de ce lieu qui a servi de cadre de sortie pour de nombreux Yssingelais. Chacun pourrait évoquer une anecdote. André Jolivet se souvient d'avoir vécu Titanic en live. "Quand on a passé le film, vers 1996, une grosse averse s'est abattue sur Yssingeaux. Ça a traversé le toit. Quand les spectateurs ont quitté la salle, ils sont tombés nez à nez avec les pompiers qui pompaient l'eau."

Julot  l'incorrigible farceur
Le Ciné Lux, c'est aussi et surtout Jules Valdener, surnommé "Julot", qui a monté cette salle obscure et tenait le bar à quelques mètres de là. Julot, c'était un personnage farceur. Ce joyeux drille s'amusait ainsi à asperger de farine les hommes habillés en costume qui s'attablaient à son comptoir. Il embouchait son clairon rempli de farine et soufflait... Olivier Gaillard, qui a repris le bar, a récupéré ce fameux clairon ainsi que l'enseigne, qui trône désormais au-dessus des banquettes de l'établissement. En souvenir de Julot et de la gaieté qu'il savait répandre autour de lui.
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Il faut se presser ce samedi 16 avril, à 20 h 30, au ciné-Grenette à Yssingeaux pour assister à la projection du documentaire réjouissant "Merci Patron", le film de François Ruffin, le fondateur et rédacteur en chef du journal Fakir "Journal fâché avec tout le monde. Ou presque".

Cette projection sera suivie d'un échange avec un journaliste de Fakir, Baptiste Lefèvre, comme c'était le cas vendredi soir au Cinéma Scoop du Chambon-sur-Lignon.

Ce documentaire déjoue tous les pronostics. Sorti en salle le 24 février, financé grâce aux abonnés du canard alternatif, l'opus décapant a déjà fait plus de 260 000 entrées. Il raconte l'histoire
 de Jocelyne et Serge Klur, un couple du Nord, au chômage et criblé de dettes depuis que leur usine, qui fabriquait des costumes Kenzo (Groupe LVMH), a été délocalisée en Pologne. François Ruffin décide alors de les aider et d'aller porter (à sa manière!) le dossier directement sur le bureau de Bernard Arnault, le PDG du premier groupe de luxe au monde, et l'homme le plus riche de France.

Contre toute attente, le spectateur se marre tout au long du film, à suivre les improbables aventures de ces pieds nickelés inventifs prêts à terrasser le Goliath du luxe. "Oui, on peut faire de la politique sans se faire chier", résume Baptiste Lefevre. Au-delà, c'est bien une lueur d'espoir qu'allume ce récit.

Samedi 16 avril à 20 h 30 au cinéma La Grenette à Yssingeaux, séance prolongée d'un débat.

Et aussi

Dimanche 17 avril à 17 heures au Cinéma Scoop du Chambon-sur-Lignon

Mardi 19 avril à 19 h 40 au ciné Grenette à Yssingeaux

A Monistrol-sur-Loire, à la Capitelle, le film est programmé à partir du 20 avril



La bande-annonce du film

Publié dans Loisirs 2016
"Merci Patron", le film de François Ruffin déjoue tous les pronostics. Sorti en salle le 24 février, ce long-métrage tourné par le fondateur et rédacteur en chef du journal alternatif Fakir et financé grâce aux abonnés, a déjà fait plus de 200 000 entrées. Samedi, l'association Cinéma m'était conté, en partenarait avec Plein champ, l'association des cinémas d'Auvergne, le propose à l'affiche de la Grenette avec un débat. Pour animer ce débat, les bénévoles de l'association accueillent un journaliste de Fakir, Baptiste Lefèvre.

Ce film parle de Jocelyne et Serge Klur, un couple du Nord, au chômage et criblé de dettes depuis que leur usine qui fabriquait des costumes Kenzo (Groupe LVMH) a été délocalisée en Pologne. François Ruffin décide alors de les aider et d'aller porter le dossier directement sur le bureau de Bernard Arnault, le PDG du premier groupe de luxe au monde, et homme le plus riche de France.

Samedi 16 avril à 20 h 30 au cinéma La Grenette à Yssingeaux.


La bande annonce du film "Merci Patron"
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

L'Assemblée, Panorama et la Grange des Vachers proposent "De vous... au film", la nouvelle édition du festival de films, vendredi 15 et samedi 16 avril à la 
Grange des Vachers, à Blanlhac, à Rosières.


Vendredi 15 avril à 20 heures
Urga (1991) film russe de Nikita Mikhalkov, une oeuvre choisie après un vote des familiers de la manifestation
Une petite friandise et un verre sont offerts

Samedi 16 avril
A 14 heures, Trains étroitement surveillés (1966), une comédie tchèque de Jiri Menzel
A 16 heures 30, Indiana Jones, Les Aventuriers de l'arche perdue (1981), un film tout public de Steven Spielberg avec Harrisson Ford
A 21 heures, Convoi de femmes (1951), un western de William A. Wellman dans lequel 150 femmes entament une traversée périlleuse des États-Unis


Tarifs : 6 € le film (4 € pour les moins de 14 ans), 18 € le pass pour les 4 films

Buvette sur place.  Un cookie "maison" est offert pour chaque consommation

Repas le samedi soir, à 12 €, servi avec un verre de vin ou un verre d'un bon jus de fruit

Réservations : 
04 71 03 35 04


Publié dans Loisirs 2016
Le centenaire de la Première Guerre mondiale a été l’occasion pour l’atelier cinéma du Collège du Lignon au Chambon-sur-Lignon de réaliser un court-métrage sur ce tragique événement : « Gaston, pour la Patrie… ». La grande collecte, organisée dans le cadre de la commémoration de la Grande Guerre, a constitué le point de départ du projet cinématographique. Très vite, les élèves ont été enthousiasmés par cette idée même si l’ampleur de la tâche a suscité quelques interrogations au début.

Le film a connu un tel succès que les jeunes de l’atelier qui forment la nouvelle équipe ont souhaité concevoir une suite de la saga de Gaston et de sa famille.

Les vidéo jointes donnent un aperçu du travail réalisé.

"Il est aussi intéressant de noter que de plus en plus d’élèves qui sont passés par cet atelier se sont engagés dans des formations liées au spectacle et au cinéma. On attend avec impatience la nouvelle production de l’atelier D", évoque Claude Schaff, le directeur du collège, qui avait donné de sa personne en participant comme comédien.



La bande annonce du premier court-métrage




L'atelier cinéma vu par les collégiens

Publié dans Haut-Lignon
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