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Finalement, quelques vestiges des bâtisses de l'ïlot des rues Mercière et Blanc, dont la démolition est quasiment terminée, vont être conservés.

Ce sera le cas des arches de la dernière maison jouxtant celle d'Yvette Chaussinand, rue Mercière. Initialement promises à la déconstruction et à la récupération, ces arches formées de belles pierres imposantes devraient faire partie intégrante du décor du futur square.

Comme un clin d'oeil des anciens aux modernes urbanistes, ces témoins du passé feront le lien entre les générations.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
Le chantier de démolition de l'ilôt de maisons de la rue Mercière et de la rue Blanc a débuté le lundi 2 mai.

Les entreprises d'Henry Chanon d'Yssingeaux et Joël Besson d'Araules ont entrepris de casser le béton, de faire tomber les murs et d'entreproser délicatement sur des palettes les grosses pierres de valeur. La première maison, qui faisait l'angle, est rangée au rayon des souvenirs. Toutes les toitures ont été enlevées.

Quant au Ciné Lux, emblématique cinéma du coeur de ville, fermé depuis dix ans suite à l'ouverture des deux salles à la Grenette, il a aussi subi les foudres de la pelleteuse.

La démolition de ces quatre immeubles doit permettre la création d'un parc de jeux.


Les premières images de la démolition (vidéo)

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dimanche, 17 avril 2016 10:25

Ciné Lux : le cinéma disparaît, le bar reste

L'ancien cinéma de la rue Blanc est en cours de démolition. Un lieu culturel chargé de nostalgie pour les Yssingelais. De l'époque mythique de Julot Valdener, il reste encore le bar tenu par Olivier Gaillard.

Un clairon et l'enseigne. Voilà tout ce qu'il reste du Ciné Lux d'antan. Ces deux objets de collection sont précieusement gardés par Olivier Gaillard qui préside aux destinées du Ciné Lux bar à Yssingeaux. Pour le reste, seuls les murs rappellent l'ancien cinéma de la rue Blanc créé par Jules Valdener en 1947 et revendu en 1991 à André Jolivet. En 2005, l'ouverture du cinéma de La Grenette, a signé la fin du petit cinéma de quartier. "On ne pouvait pas garder deux cinémas dans une ville de 7000 habitants", estime André Jolivet. "Ça fait un p'tit coup au coeur."


Les sièges ont été vendus ou jetés
Cette semaine, l'entreprise SDRTP de Montregard a procédé au désamiantage de la salle. A l'intérieur, il ne reste plus rien. Sur la centaine de sièges, une trentaine, encore en bon état, a été vendue en début d'année. Le reste est parti à la poubelle. Un passionné de Retournac a récupéré les vieux projecteurs. Sur le mur, on devine encore l'emplacement du grand écran. Sur la porte d'entrée, d'épaisses toiles d'araignée laissent entrer un peu de lumière extérieure.


Le bâtiment va être démoli
Dans les semaines qui viennent, le bâtiment sera démoli pour laisser place à un square. Il ne restera alors que les souvenirs de ce lieu qui a servi de cadre de sortie pour de nombreux Yssingelais. Chacun pourrait évoquer une anecdote. André Jolivet se souvient d'avoir vécu Titanic en live. "Quand on a passé le film, vers 1996, une grosse averse s'est abattue sur Yssingeaux. Ça a traversé le toit. Quand les spectateurs ont quitté la salle, ils sont tombés nez à nez avec les pompiers qui pompaient l'eau."

Julot  l'incorrigible farceur
Le Ciné Lux, c'est aussi et surtout Jules Valdener, surnommé "Julot", qui a monté cette salle obscure et tenait le bar à quelques mètres de là. Julot, c'était un personnage farceur. Ce joyeux drille s'amusait ainsi à asperger de farine les hommes habillés en costume qui s'attablaient à son comptoir. Il embouchait son clairon rempli de farine et soufflait... Olivier Gaillard, qui a repris le bar, a récupéré ce fameux clairon ainsi que l'enseigne, qui trône désormais au-dessus des banquettes de l'établissement. En souvenir de Julot et de la gaieté qu'il savait répandre autour de lui.
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Mardi en fin de journée, le traditionnel marché de producteurs initié par l'association des Citoyens solidaires à chaque nouvelle saison réunissait une dizaine d'étals devant le Le Ciné-Lux.

Les travaux engagés le matin même devant le bar avaient laissé craindre un moment que le déroulement du marché soit perturbé.

Finalement, les équipes de travaux publics chargées des travaux d'aménagement de la rue Mercière, alertées par Olivier Gaillard, avaient fait en sorte que les abords soient le plus accessibles possible dans ce contexte de chantier.
















































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Bal et concert vendredi 18 mars au foyer rural avec Shelta

Vendredi 18 mars, la saison culturelle, l’école intercommunale de musique et de danse des Sucs, l’association yssingelaise de danse et l'association Piccolo Saxo et Cie fédèrent leurs énergies pour proposer une soirée dans le cadre de la Saint-Patrick.
Rendez-vous est donné au foyer rural, à partir de 20 h 30. Au programme, Shelta, une formation composée de cinq passionnés de musique traditionnelle irlandaise.
En première partie, des dizaines d’élèves de l'école de musique vont se succéder sur scène afin de participer à la fête. Deux maîtres de danse inviteront le public à entrer dans la danse.

Tarif : 5 euros.

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Vendredi 18 et samedi 19 mars, des concerts dans les pubs de la ville

Le vendredi, à La Lupa, chez Virginie et Jérôme, à 21 heures, La Chose impose son univers musical singulier, un audacieux mélange de hip hop, de jazz, de reggae et d'électro auquel s'ajoutent des textes rappés ou chantés, à la fois incisifs et poétiques.

Le samedi, au Ciné Lux, à 21 heures, on retrouve Burn out, une formation familière de la tanière d'Olive, avec un répertoire mêlant des reprises, dans un univers teinté de rock, des chansons françaises à leurs propres compositions.
 
Le samedi encore, chez Bebock, à partir de 21 heures, les Quipou's, qui puisent leur inspiration dans tous les styles, s'affranchissant de toutes les frontières, assureront l'ambiance.

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Publié dans Loisirs 2016