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L'association Cinéma m'était conté propose une vente d'affiches de cinéma samedi chez l'un de ses bénévoles, Jean Fanget, au numéro 20 avenue Clemenceau (en face de la cave Molière).

Les collectionneurs d'affiches ou ceux qui souhaitent garder un souvenir d'un film récent ou passé trouveront certainement leur bonheur.

800 modèles sont stockés depuis 2006 et n'attendent que de trouver un mur pour être de nouveau affichés.

Ces grands modèles d'1,20 m par 1,60 m sont vendus 10 euros l'unité, 18 euros les 2, 25 euros les 3 et 30 euros les 4.

La vente a lieu de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.

Vendredi soir, avant la projection du film au Ciné Tence, les bénévoles de l'association ont procédé au tirage au sort des deux gagnants d'une semaine pour quatre personnes dans un village-vacances VVF de leur choix dans toute la France.

Ce partenariat entre le VVF de Tence et Ciné-Tence existe depuis trois ans. Tous les spectateurs peuvent remplir, gratuitement, un bulletin de tombola du début juin au 30 septembre (sauf pendant les 10 jours du festival du dessin animé). Cette année, 600 billets ont été remplis.

Les gagnants des deux saisons précédentes étaient présents pour le tirage au sort, dont Samuel Roux (gagnant en 2015, qui a passé une semaine avec sa famille au VVF à côté du Futuroscope de Poitiers).

Les gagantes de cette année sont Ghislaine Mabillon de Chazelles (Isère) et Christine Chevrel de Bezons (Val-d'Oise).

Les deux gagnantes, qui ont passé des vacances à Tence, seront recontactées par François Guillemet, directeur des VVF de Tence et de Saint-Julien-Chapteuil.

Elisabeth Cuffel et François Guillemet donnent rendez-vous en 2017 pour une nouvelle tombola. A savoir que les clients des VVF qui viennent au cinéma avec leur clef de logement bénéficient d'une réduction et d'un petit déjeuner, offert le jour de leur départ.

Une quarantaine d'exploitants de salles de cinéma ont bénéficié jeudi à Tence d'une formation autour des peurs enfantines et de leur gestion.

"Peurs enfantines mais pas anodines", tel était le thème de la formation proposée jeudi à Tence et organisée par l'ACRIRA (Association des cinémas de recherche indépendants de la région alpine), Les Ecrans (association régionale de cinémas indépendants), le GRAC (Groupement régional d'actions cinématographiques) et Plein Champ (association des cinémas indépendants en Auvergne).

Une quarantaine d'exploitants, de la Haute Loire, de l'Ardèche, mais aussi de l'Ain, de la Drôme, ou du Rhône, ont participé à cette formation.

Mélanie Arnoux, éducatrice et formatrice en travail social, a donné une conférence, après le visionnement d'un court-métrage, "Oripeaux", de Mathias de Panafieu, et en se basant sur l'album jeunesse d'Antoine Dole, "Le Monstre du placard existe et je vais vous le prouver". Elle a orienté son intervention sur cette question : comment la peur peut contribuer à la construction de l'enfant ? Suite à cette présentation, une large discussion s'est ouverte entre les participants, très riche en échange par rapport aux expériences de chacun.

Un autre temps fort a été la présentation, après la projection du film "Ma Vie de courgette", de l'association Philosoph'art qui propose aux enfants à partir de 5 ans, dans la région Rhône-Alpes, des ateliers d'art et de réflexion philosophique : ces ateliers permettent, notamment après la projection d'un film, d'amener les enfants à s'exprimer, partager leurs sentiments, leurs opinions, mais aussi écouter et respecter celles des autres. 

La journée s'est terminée par un débat sur le thème « Quelle médiation pour ces films, notamment auprès des adultes accompagnants ? », question qui nous interroge sur nos comportements d'adultes face aux peurs de l'enfant.

Vendredi soir, une trentaine de spectateurs sont venus assister à la première séance ciné-débat de la saison tençoise.

Ciné Tence a accueilli vendredi Mathilde Syre, la réalisatrice de "Ecole en vie", un film-documentaire qui s'attache à démontrer que les pédagogies actives ne sont pas réservées aux seules écoles privées.

Fille d'une enseignante férue de la méthode Montessori, Mathilde Syre se questionne quand elle s'aperçoit que ses propres enfants ne sont plus en adéquation avec l'éducation qu'elle leur a donné durant leurs trois premières années et qu'ils perdent leur confiance en eux au moment où ils sont scolarisés.

Durant 1 h 30, les questions de parents, grand-parents et enseignantes offrent un débat intéressant. En compagnie de Mathilde Syre, les spectateurs ont pu aller au bout de la réflexion. Le constat est que les pédagogies actives favorisent la place que l'enseignant donne à l'enfant qui devient ainsi acteur de son apprentissage. Il a des envies, des projets et sera accompagné individuellement par l'enseignant.

Un film qui questionne en profondeur sur la position des adultes (enseignants et parents) par rapport aux enfants.

La nouvelle programmation 2016-2017 des films vient d'être dévoilée. Ils seront projetés une fois par mois le mardi à 20 heures (ou 14 heures pendant les vacances scolaires) à la salle des arts et des cultures de Saint-Agrève.

Pour cette septième saison, la programmation fait peau neuve avec une sélection grand public où il y en aura pour tous les goûts. Et pour commencer, le mardi 20 septembre, ce sera « Chocolat », réalisé par Roschdy Zem.

Le tarif pour les entrées est de 2 euros pour les adultes et 1 euro pour les enfants. Il est possible de s'abonner pour dix séances au tarif de 10 €.

Une navette gratuite sur inscription vous mènera depuis le centre socioculturel jusqu’à la salle des arts et des cultures. Départ à 19 h 45.

Pour tous renseignements complémentaires, vous pouvez appeler le 04 75 30 26 60 et consulter le site internet

Le festival de cinéma du Chambon-sur-Lignon débute ce mercredi soir, avec deux films "L'Economie du couple" en avant-première et "L'Image manquante" en exclusivité.

Ancien journaliste, James Burnet a travaillé pour Le Monde et Libération et a couvert plusieurs conflits dans le Sud-est asiatique, notamment au Cambodge et au Vietnam. Ami du réalisateur cambodgien Rithy Panh, il ouvre le festival Ciné-Fête au Chambon-sur-Lignon en animant une rencontre-débat prolongeant la projection de "L'Image manquante" le bouleversant film documentaire de son ami Rithy Panh.

Les films sont projetés à 21 heures au Cinéma Scoop du Chambon-sur-Lignon.

Lire l'article sur Ciné-Fête ici

Le programme de Ciné-Fête ici

L'expérience insolite, tentée en 2015 avec le film "Les Tuches", a motivé les bénévoles de Cinémagie à renouveler la proposition d'un cinéma en plein air et gratuit. Ce sera samedi 9 juillet à 21 heures.

Samedi, la cour du château des évêques à Monistrol-sur-Loire va se transformer en salle de cinéma pour une soirée forcément insolite à partir de 21 heures, et gratuite en plus.

Avant de regarder un film qui a fait un carton au box-office avec 7,5 millions d'entrées depuis sa sortie, la séance débutera par le visionnage de courts-métrages du festival monistrolien Tournez Jeunesse. Vous pourrez ainsi voir ou revoir l'oeuvre de Corentin Camplong, un jeune réalisateur qui avait reçu le Prix de la ville au festival 2015 avec son film "Quelques gouttes suffisent". Corentin Camplong sera d'ailleurs en tournage à Monistrol du 13 au 20 juillet pour un nouveau projet cinématographique.

Après la diffusion de quelques courts-métrages, le film "La Famille Bélier" sera projeté sur l'écran géant.

Si vous avez toujours rêvé de faire du cinéma, c'est le moment de vous lancer. Un court-métrage est en préparation sur Monistrol-sur-Loire.

Le réalisateur est Corentin Camplong et a été lauréat du prix de la Ville lors du festival du film court Tournez Jeunesse 2015 à Monistrol-sur-Loire pour son film "Quelques gouttes suffisent". Cette distinction, la première pour le jeune réalisateur, lui a ouvert certaines portes. La Ville de Monistrol finance l'hébergement et l'association Cinémagie apporte un soutien logistique.

Deux comédiens recherchés

Ce court-métrage de 6 à 8 minutes évoquera l'histoire d'un père qui emmène son fils ou sa fille sur une colline, une nuit d'été. Pour les besoins de ce tournage qui aura lieu à Monistrol du 13 au 20 juillet, Corentin Camplong est à la recherche de deux comédiens amateurs : un homme âgé entre 30 et 40 ans et un enfant (garçon ou fille) âgé de 7 à 10 ans. "Je ne suis pas arrêté sur le profil de chaque comédien. J'attends de voir les candidats face à moi", indique le jeune réalisateur, originaire de Tours et qui effectue ses études de cinéma à Rennes.

Les lieux du tournage n'ont pas été définis. Les premiers jours de la présence de l'équipe permettra de choisir le site et de procéder aux réglages des scènes. Le tournage en lui-même aura lieu en lui-même du 16 au 18 juillet, de nuit.

Comment candidater

Pour poser sa candidature il faut envoyer un mail à collectiftournezjeunesse@gmail.com avec une photo type identité ainsi qu'une photo entière, et une courte présentation écrite. 

Le réalisateur rencontrera ensuite les candidats sélectionnés pour faire son choix.

Le film sera notamment projeté lors du prochain festival Tournez Jeunesse du 4 au 7 octobre.

Une trentaine de spectateurs ce vendredi soir pour le ciné débat à Tence ont apprécié le film "La Gueule du loup". La projection s'est déroulée en présence du réalisateur Jérôme Ségur et de Manoël Atman, président de l'association Alliance avec les loups de Langogne.

Le réalisateur a expliqué les raisons pour lesquelles il a souhaité tourné ce premier long métrage au cinéma. Il ne voulait pas faire un documentaire animalier, d'où son parti pris de ne pas montrer le loup dans son film, laissant à chacun le soin de garder l'image parfois fantomatique que l'on se fait du loup. Il a choisi de filmer la vie des bergers en montrant le clivage entre les pro et les anti loups et les passions qu'ils suscitent chez l'homme.

La question du loup en particulier mais aussi celle de la chasse, de la biodiversité, de l'écologie en général, ont occasionné de nombreuses questions à l'issue de la projection.