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La Séauve-sur-Semène : la boucherie Gayton perpétue la tradition du bœuf de Pâques
(Publi-reportage) La boucherie-charcuterie de La Séauve-sur-Semène propose une génisse élevée à Monistrol-sur-Loire pour Pâques.
Jonathan et Stéphanie Gayton, le couple qui tient la boucherie-charcuterie à La Séauve-sur-Semène, apporte un soin particulier à l’animation de leur village et à la qualité des produits.
Dimanche matin, ils ont accueilli la génisse de deux ans qui va être proposée à la vente dans les prochains jours, perpétuant la tradition du bœuf de Pâques.
Une génisse élevée à quelques kilomètres
Cette génisse provient du GAEC de la Pensée de Chazelles à Monistrol-sur-Loire, dirigée par Yoan et Mikaël Giraud, et Damien Peyrard. Cette exploitation agricole locale élève 65 vaches laitières, 20 salers allaitantes et des cochons sur paille nourris aux céréales produites exclusivement sur la ferme.
La transparence sur la qualité
Jonathan Gayton propose le porc de cette ferme toute l’année. Et pour Pâques, il a fait appel à cet élevage pour mettre à disposition une génisse de race charolaise. « On montre qu’on travaille avec des éleveurs du coin qui peuvent aussi parler de leur métier, de leurs méthodes d’élevage », indique le boucher.
Un jeu concours
En 2020, la boucherie séauvoise avait présenté la bête en photo. Cette année, l’artisan a pu organiser une exposition devant le magasin. Et comme en 2020, un jeu est organisé pour deviner le poids de carcasse de l’animal. Quatre gagnants recevront des lots.
Disponible à partir de samedi
Cette génisse de Pâques sera disponible à partir de samedi 3 avril en colis de 5 et 10 kg. Les commandes sont possibles au magasin ou sur le site internet de vente en ligne.
Site internet : https://www.ollca.com/saint-etienne/boutiques/boucherie-charcuterie-gayton
Téléphone : 04 71 61 08 82
Voir la page Facebook : https://www.facebook.com/stephetjo.gayton
Riotord : Fabrice Franc va rouvrir la boucherie-charcuterie du village
Le commerce de Riotord reprend vie. Après le restaurant Cou'tou qui a ouvert depuis quelques semaines avec François Jourjon aux fourneaux, c'est la boucherie du village qui sera bientôt accessible.
Le projet est porté par Fabrice Franc, 41 ans, originaire de Saint-Romain-Lachalm. Titulaire d'un CAP-BEP boucher qu'il a passé à Saint-Didier-en-Velay et d'un CAP salaisonnier obtenu à Saint-Romain-Lachalm, il a travaillé à l'abattoir Pays de Saint-Just-Malmont avant d'intégrer Carrefour Market de Dunières. Il a passé neuf années en tant qu'ouvrier boucher et dix années en tant que chef du rayon boucherie.
Fermée depuis plus de deux ans, la boucherie a été rachetée par la mairie de Riotord qui a investi dans la rénovation et l'achat de matériel professionnel. Fabrice Franc, également sapeur-pompier volontaire à Saint-Romain-Lachalm, a prévu d'ouvrir la boutique le mardi 4 juillet.
Sur son étal, l'artisan compte privilégier les produits de terroir de la région comme la Noire du Velay, le porc de Haute-Loire ou encore le veau des monts du Velay et Forez.
Saint-Bonnet-le-Froid : la boucherie-charcuterie a fermé ses portes
Le village de Saint-Bonnet-le-Froid n'a plus de boucherie-charcuterie depuis le début du mois. Racheté par la Maison Dugand en juillet 2013 à la famille Chatelard qui a tenu le commerce pendant trois générations, le magasin est en cours de liquidation judiciaire.
Le rideau a été baissé le 31 mars. La boucherie, qui fait aussi charcuterie et salaison de montagne, risque d'être fermée pendant quelques mois. La mairie s'active pour tenter de trouver un repreneur à ce commerce emblématique. "Ça va perturber le commerce à Saint-Bonnet. C'est un maillon qui manque à la chaîne", indique-t-on en mairie.
Le Mazet-Saint-Voy : la commune rachète l'ancienne boucherie
C'est la première étape qui doit conduire à la réouverture de la boucherie-charcuterie.
Bernard Cotte, maire du Mazet-Saint-Voy, avait indiqué que la commune pourrait agir pour le commerce situé au 4 route de Fay, juste à côté de l'Auberge du soleil, et fermé depuis la fin mars.
C'est désormais chose faite puisque la collectivité s'est portée acquéreur du bâtiment. Dix conseillers municipaux ont approuvé ce choix, une personne élue s'est exprimée contre.
L'acte d'achat a été fixé à 42 000 euros, en sachant que les frais d'acquisition sont à la charge de la commune. Le conseil municipal passera par un emprunt de 80 000 euros pour financer cet investissement.
Un loyer de 500 euros par mois pendant 15 ans permettrait de rembourser l'emprunt.
Lapte : la boucherie va s'agrandir
L'objectif est de construire un laboratoire de cuisson pour les charcuteries cuites comme la jambonnette, le pâté de campagne, le pâté en croûte... Pour l'heure, Jean-Marie Blanc effectue cette opération dans le laboratoire de son gendre, à Saint-Julien-Chapteuil. Le boucher prendra les travaux à sa charge. Quant au loyer, il sera révisé en 2020.
Jean-Marie Blanc a repris la boucherie-charcuterie de Lapte
A 57 ans, le le boucher-charcutier-salaisonnier a ouvert, repris ou relancé de nombreuses affaires. Après six ans passées à Saint-Cirgues (Ardèche) où il a appris toutes les ficelles du métier, il se met à son compte en 1981 à Saint-Hostien puis il crée la salaison du Pertuis, en bordure de la RN88 qu'il revendra en 2002. En 1993, il rachète la boucherie Au Bon Capitolien à Saint-Julien-Chapteuil. En 2005, il relance l'entreprise de Freycenet-la-Tour. Parti vivre au Sénégal en 2010, il n'y restera que quelques mois. Il revient pour apprendre le métier à son gendre et l'accompagner dans son lancement à Rosières en 2011 puis à Saint-Julien-Chapteuil pendant trois ans. Depuis trois ans, il faisait des saucissons qu'il revendait en gros en basse Ardèche.
Le Mazet-Saint-Voy : deux commerces fermés en quelques semaines
Une annonce a été mise sur le site internet du Bon Coin pour ce bar-tabac-presse-restaurant le 12 avril. Prix à débattre : 45 000 euros.
La commune veut agir pour la boucherie
"Il reste encore deux bars et restaurants. C'est encore suffisant pour Le Mazet. Je constate que les deux commerces sont à vendre. Rien n'est donc perdu", estime Bernard Cotte, le maire, qui compte toutefois bien agir en faveur de la boucherie. Il faut se souvenir Le Mazet était encore riche de deux boucheries il y a quelques années dans la rue principale. "La commune prendra peut-être une initiative", annonce-t-il. "J'espère qu'on retrouvera de bons professionnels pour tenir cette boucherie et ce restaurant. C'est la clé. Les attentes des clients ont changé, ce n'est pas lié à une baisse de la population. On attend une vraie différence quand on va au restaurant, et sans doute encore plus en milieu rural qu'ailleurs."
Quelles retombées pour les autres commerces ?
Maryline et Philippe Martorana, qui ont repris l'Auberge du soleil en 2015, se fournissaient auprès de la boucherie locale dont une annonce de vente figure également sur le site internet du Bon Coin depuis le 8 avril, avec un prix à débattre de 17 000 euros. "Pour nous, c'est une mauvaise nouvelle, autant sur le plan amical que commercial. On n'a pas forcément la même clientèle locale mais on risque de subir un impact cet été avec les touristes. S'ils doivent aller se fournir dans une autre commune, ils ne viendront pas chez nous ensuite."
La boucherie-charcuterie du Lizieux construit un nouveau magasin à Saint-Jeures
Gagner en conditions de travail
Développer le marché à l'export et dans les épiceries fines
Des cochons 100 % Haute-Loire
Tence : Le Fin gras du Mézenc s'expose à la boucherie Favard
Rémi Croze de Saint-Front présentait le beau spécimen issu de son élevage qui a remporté le premier prix à la Foire grasse des Estables ce jeudi 10 mars.
Les amateurs de viande persillée au goût typique la retrouveront, une fois l'abattage de la bête effectué, et la maturation réalisée dans les règles de l'art, sur les étals de la boucherie Favard.
Outre le Fin gras qui sera proposé, Vanina et Régis Favard concoctent des spécialités délectables, tels le pâté berrichon, la galette de pommes de terre sans oublier un must "l'andouillette à la ficelle".
Fin gras du Mézenc, les infos ici
Les boeufs de Pâques exposés devant la boucherie d'Alexandre Bonnefoy
Cette animation reprend la tradition des "boeufs de Pâques", qui consiste à présenter d'abord sur pied aux consommateurs les animaux promis à l'abattoir qui viendront garnir leurs assiettes d'une viande persillée à souhait, dans quelques semaines
Les boeufs, estampillés Fin gras du Mézenc, pesant entre 600 et 750kg, âgés de 26 à 30 mois, sont issus des élevages d'Henri Bonnefoy (le père d'Alexandre) Les Estables et de Sébastien Exbrayat de Freycenet-La-Tour. Les hommes du Fin gras, chapeaux noirs et foulards rouges, accompagnaient la parade.
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