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Soixante-quatre équipes étaient engagés lundi au concours de boules lyonnaises de Sainte-Sigolène pour les deux challenges : le Challenge Jean-Salque, du nom d'un ancien maire de Sainte-Sigolène, et le Challenge Antoine-Colly (complémentaire), du nom d'un ancien vice-président de la Boule amicale à l'initiative de la soupe aux choux.

Ce concours en doublettes de niveau 3e-4e division, avec possibilité d'un joueur de niveau national, a vu la participation de Sébastien Graille, ancien champion de France et du monde. Il s'est fait surprendre avec son binôme au 2e tour.

CONCOURS PRINCIPAL

Demi-finales

Antoine Papotto, Serge Cognet et Norbert Francon (Saint-Jean-Bonnefonds) battent Gérard Cordier, Noël Barou et Daniel Beaubois (Annonay), 13-8

Philippe Souchon et Bernard Granger (La Séauve-sur-Semène) battent Séverin Samuel et Marcel Combier (Les Villettes), 12-11

Finale

Philippe Souchon et Bernard Granger (La Séauve-sur-Semène) battent Antoine Papotto et Norbert Francon (Saint-Jean-Bonnefonds), 13-6

CONCOURS COMPLEMENTAIRE

Demi-finales

Gilles Charpenay et Marc Germain (Saint-Etienne) battent Serge Teyssonneyre et Valentin Brun (Vorey), 13-9

Christian Jouanny et Claude Fenouil (Boule rousse Saint-Etienne) battent André Pays, Jean-Pierre Cayuela et Georges Largier (Saint-Etienne), 13-8

Finale

Gilles Charpenay et Marc Germain (Saint-Etienne) battent Christian Jouanny et Claude Fenouil (Boule rousse Saint-Etienne), 13-8

Une exposition associant photographies, témoignages sonores, tableaux linguistiques et ethnobotaniques est à visiter jusqu'au 22 avril à la médiathèque de Sainte-Sigolène. L'Echappée Belle accueille ce travail artistique alors qu'une grainothèque vient d'être d'ailleurs créée au sein de la structure culturelle.

"Paroles de Potagers" parle de ces hommes et de ces femmes d’origines diverses qui travaillent la terre de leur jardin potager.

Ils parlent de leur histoire, de leurs langues, de leurs racines.

Ils nous font découvrir la diversité de leur plantation et le lien avec leur culture.

On retrouve le travail photographique de Xavier Pagès, les témoignages de la linguiste Fleur Rodde, les créations sonores de Philippe Barbier et le regard du botaniste Kamel Elias.

Jeudi, l'Amicale de Sainte Sigolène-Les Villettes, en collaboration avec l'Etablissement français du sang (EFS) de Saint-Etienne, a organisé sa première collecte de sang de l'année à la salle polyvalente de Sainte-Sigolène.

Malgré les maladies virales actuelles, la journée s'est avérée fructueuse. En effet, 138 donneurs se sont présentés dont 3 nouveaux.

Les prochaines dates à retenir

La prochaine collecte aura lieu le jeudi 23 mars.

L'assemblée générale se tiendra le vendredi 24 mars à 20 h 30 aux salles modulables de Sainte-Sigolène.

Le voyage annuel emmènera, cette année, pour le week-end de l'Ascension en direction de l'Espagne à Santa Susanna. Les inscriptions commenceront à l'office de tourisme à partir du mardi 24 janvier.

Débuté samedi, le marché de Noël de Sainte-Sigolène se poursuit dimanche 4 décembre. La répartition par pôle facilite le cheminement du visiteur.

A la salle polyvalente, les propositions gourmandes foisonnent : charcuteries, pains, douceurs de toutes sortes, miel, fromages, foie gras, viande, vin de pissenlit, bières, châtaignes, vins, spécialités siciliennes, de La Réunion...

Tandis qu'au coeur du boulodrome, des artisans, des artistes, présentent leurs créations sur de multiples supports (textile, bois, terre, bijoux...) et à tous les prix. On peut aussi se plonger dans le passé de Sainte-Sigolène grâce à un stand de la Société d'histoire locale.

Dimanche 4 décembre, à Sainte-Sigolène, on retrouve à la salle polyvalente, un marché de producteurs et au boulodrome, des stands de créateurs, artistes et artisans. Le tout est agrémenté de démonstrations.

De 9 heures à 19 heures

Entrée libre

La bonne idée

Pour les enfants, un atelier bois « Fabrique tes décorations de Noël » fonctionne de 14 heures à 18 heures au boulodrome. L'atelier est gratuit. Les enfants repartent avec leurs créations. Les inscriptions se font directement sur place. La proposition séduit et l'atelier ne désemplit pas. Pendant que les gosses bricolent avec un plaisir visible, les parents peuvent tranquillement arpenter le marché de Noël.

Et aussi...

De nombreuses animations sont proposées aux enfants, place de la mairie :

- Une piste de luge géante encadrée par deux professionnels dimanche de 10 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 18 h 30. A partir de 4 ans.

- Pour les plus petits, des balades avec chiens de traîneau seront proposées dans le centre ville le dimanche de 14 heures à 17 heures.

- Jeux géants en bois sous chapiteau. Animation encadrée par une ludothécaire.

- Maquillage par un professionnel.

Entre deux activités sur la place, petits et grands peuvent se régaler avec stand de crêpes, chocolats, boissons chaudes.

Une structure est en cours de construction pour réunir le centre de loisirs, le relais d'assistantes maternelles et la salle de danse.

Le futur pôle jeunesse et danse avance. Débuté en début d'année, le chantier devrait être terminé en 2017 avec une mise en fonctionnement avant l'été.

Ce bâtiment de 1200 m2 fonctionnel et doté de beaux volumes accueillera trois structures : le centre de loisirs Planet'air (à l'étroit dans ses locaux actuels), le relais d'assistantes maternelles (installé en mairie) et l'école de danse (le bâtiment est mal adapté).

Le projet est porté par la communauté de communes des Marches du Velay pour un coût de 1,7 million d'euros.

Le choix du bois a été privilégié pour cette construction. L'entreprise Guilhot Bois du Mazet-Saint-Voy s'est occupé de l'ossature en sapin. "On sait faire des bâtiments en bois et on aime bien le faire. Du coup, on le propose facilement", témoigne Eric Vocanson, de W Architectes.

Il est aussi le concepteur de la maison de santé et l'école Saint-Joseph à Sainte-Sigolène. "Le bois est intéressant en terme d'économie de chauffage et en terme d'image. Et c'est de moins en moins cher. Le bilan carbone est bon et on utilise des ressources locales. On doit encore convaincre des élus car certains gardent encore l'image de la maison des Trois Petits Cochons."

Trois divisions d'écart, c'est un gouffre pour des jeunes. Et pourtant, les footballeurs de Sainte-Sigolène/Saint-Didier-Saint-Just auraient pu croire un peu plus en leurs rêves avec un peu plus de folie et et moins d'erreurs individuelles. Ils s'inclinent finalement 4-1.

Aurillac-Arpajon a d'abord profité d'une mésentente entre le gardien Arnaud Boyot et le milieu défensif Lucas Pabiou pour ouvrir le score sur coup franc (30e). Avant de doubler la mise sur une mauvaise appréciation d'Igor Liabot. L'attaquant allait sereinement ajuster Arnaud Boyot (55e).

Les Sigolénois, encouragés par le public local, poussaient et parvenaient à réduire le score sur coup franc. Yannis Bouhaddane trouvait Lucas Pabiou qui redonnait espoir (70e). Mais Aurillac procédait sur des contre-attaques pour inscrire deux autres buts et se qualifier pour le 4e tour du trophée national. "On a quelques regrets oui. On donne trois buts sur quatre", estime Stéphane Peyrard, le dirigeant de l'équipe.

Le cinéma de Sainte-Sigolène organise, dans le cadre de la Journée européenne d'art et essai, une journée de projection dimanche. Trois films sont au programme :

15 heures : "Minuscule, la vallée des fourmis perdues" (à partir de 3 ans). 3,5 euros

"Dans une paisible forêt, les reliefs d’un pique-nique déclenchent une guerre sans merci entre deux bandes rivales de fourmis convoitant le même butin: une boîte de sucres! C’est dans cette tourmente qu’une jeune coccinelle va se lier d’amitié avec une fourmi noire et l’aider à sauver son peuple des terribles fourmis rouges..."

18 heures : "Belgica" (VO ; interdit aux moins de 12 ans). 4 euros

"Jo et Frank sont frères, et comme souvent dans les familles, ces deux-là sont très différents. Jo, célibataire et passionné de musique, vient d’ouvrir son propre bar à Gand, le Belgica. Frank, père de famille à la vie bien rangée et sans surprise, propose à Jo de le rejoindre pour l’aider à faire tourner son bar. Sous l'impulsion de ce duo de choc, le Belgica devient en quelques semaines the place to be…?"

- 20 h 30 : "Oli Mäki" (VO). 4 euros

"Été 1962, Olli Mäki prétend au titre de champion du monde poids plume de boxe. De la campagne finlandaise aux lumières d’Helsinki, on lui prédit un avenir radieux. Pour cela, il ne lui reste plus qu’à perdre du poids et à se concentrer. Mais il y a un problème - Olli est tombé amoureux de Raija."

La nouvelle équipe de Festigolène reprend l'organisation du réveillon de la Saint-Sylvestre. Les réservations sont ouvertes.

L'idée a fait son chemin et certains bénévoles de la nouvelle équipe de Festigolène ont voulu relancer une animation qui rencontrait le succès mais qui demandait de la mobilisation un soir de fête. Le dernier réveillon datait de 2012.

Sous l'impulsion du bureau renouvelé l'an dernier (Gilles Eparvier, président ; Sébastien Guigue, vice-président ; Isabelle Digonnet, secrétaire ; Alain Eparvier, trésorier), le comité d'animation a décidé de relancer l'organisation du réveillon. A raison d'une soirée tous les deux ans, pour faire souffler les bénévoles et permettre à d'autres associations de s'investir dans ce cadre.

250 places disponibles

Pour ce retour, Festigolène a souhaité réserver les menus et les boissons auprès de commerçants locaux. Quant à l'animation musicale, elle a été confiée à Eric Exbrayat, de Logamix Espace Son. Qui dit réveillon dit cotillons. Toute la panoplie sera distribuée par Festigolène.

Le prix des repas est de 52 € hors boisson pour les adultes et 20 € avec une boisson pour les enfants jusqu’à 12 ans.

L'association limite le nombre de places à 250. Les tickets sont à retirer à la librairie presse Au Coin du Feu, place Jean-Salque à Sainte-Sigolène.

Les menus

Voir le menu adultes

Voir le menu enfants

L'association Les Brumes est tournée vers l'édition 2017 du Live des Brumes avec des artistes qui tapent déjà à la porte du festival sigolénois.

Le festival musical de Sainte-Sigolène commence à se faire un petit nom auprès des producteurs, lesquels ont déjà pris attache avec les organisateurs pour l'été 2017. Lors du dernier conseil municipal, les élus ont ainsi dû se prononcer sur le versement de la prochaine subvention pour permettre aux bénévoles d'avancer et de trouver des artistes qui prendront la suite de Zaz et Fréro Delavega.

8 653 entrées payantes pour le Live des Brumes 2016

"Est-ce que l'association remplit les objectifs fixés pour justifier le versement de la subvention ?", interroge le maire Dominique Freyssenet avant de donner la réponse : "L'un des objectifs était de faire connaître Sainte-Sigolène. La mission est remplie." Le bilan du Live 2016 fait état de 8653 entrées payantes sur les deux jours. Dans le détail, on s'aperçoit que 3106 personnes sont de la ville, soit un tiers des spectateurs, et 5154 sont de la nouvelle communauté de communes (Marches du Velay et De Rochebaron à Chalencon), soit les deux tiers. Le public venait aussi de dix départements différents.

Une subvention réduite grâce aux bénéfices

La subvention accordée aux Brumes est réduite de 40 000 à 35 000 euros. "Si l'association réalisait des bénéfices, il était convenu que la subvention municipale serait diminuée d'autant", indique le maire sigolénois. Et c'est le cas avec 5000 euros de bénéfices cette année, notamment grâce à la buvette qui permet de passer dans le vert (25 000 euros de bénéfices).

Un nouveau bureau à élire

Et il faut aussi ajouter les 1000 personnes qui ont assisté le troisième soir à la finale de l'Euro 2016 sur le grand écran. Ainsi que le concert en l'église de Sainte-Sigolène du 1er avril qui a fait le plein.

L'association des Brume est actuellement en pleine restructuration. Philippe Celle, président, a annoncé sa démission de son poste. Egalement conseiller délégué à la culture, il n'a pas pris part aux échanges et au vote, se retirant de la table. Un nouveau bureau doit être élu en octobre.

Une question posée au dernier conseil municipal par l'opposition de gauche a permis au maire de réaffirmer la position d'accueil de la commune et de rappeler l'histoire de Sainte-Sigolène.

Au dernier conseil municipal, le sujet de l'accueil des migrants est revenu sur la table par l'intermédiaire d'Eduardo Ayerra, élu de l'opposition de gauche. "Le 16 décembre 2015, après la crise des réfugiés, on avait dit que Sainte-Sigolène était prête à en accueillir. Le sujet a rebondi récemment, notamment par l'intermédiaire du président de région, Laurent Wauquiez qui a pris une position inacceptable et qui donne une mauvaise image de la Haute-Loire en tant que pays solidaire", a-t-il rappelé en contexte avant de vouloir connaître la position de la majorité municipale. "Est-ce que Sainte-Sigolène est encore prête à accueillir des réfugiés si le besoin s'en fait ressentir et donc de résister au président de Région qui appelle les maires à désobéir et à les aider?"

Un accueil temporaire et collectif

Dominique Freyssenet, le maire divers droite, a été clair et a développé sa position : "Je le laisse responsable de ses déclarations. Il n'y a pas de pression officielle sur les maires. A titre personnel, je ne dirais pas que je suis outré mais je suis grandement surpris et fâché d'une telle prise de position. On monte en épingle un sujet qui ne le mérite pas. En décembre, quand on disait qu'on était prêt à accueillir, c'était un accueil individualisé et des familles du territoire s'étaient manifestées pour cela. Aujourd'hui, on parle d'un accueil collectif pour une période de 6 mois pour des personnes, faut-il le rappeler, qui veulent aller en Grande-Bretagne. C'est un accueil temporaire qui évite de les laisser à Calais dans des conditions déplorables."

Sainte-Sigolène, une histoire récente marquée par l'accueil

Dominique Freyssenet en profite pour rappeler l'histoire de Sainte-Sigolène et d'autres : "La mémoire s'oublie vite malheureusement. Je n'ai pas bougé d'un iota et je ne ferai pas appel au service juridique du conseil régional. Je pense à la communauté turque, portugaise ou espagnole et à tous ces gens qu'on a fait venir à une époque parce qu'on avait du boulot, et qu'aujourd'hui, parfois, on regarde bizarrement."