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Un écobuage a dégénéré jeudi après-midi au village de "Veyrines" sur la commune de Saint-Julien-du-Pinet. Les pompiers ont été alertés vers 15 h 15 pour un incendie sur les côteaux du village, derrière deux habitations qui n'ont cependant pas été menacées.

Emportées par un vent de Sud, les flammes ont gagné du terrain au point de devenir incontrôlables et de brûler au-delà du terrain visé.

Le feu a détruit environ 10 000 m2 de broussailles et herbes sèches. Une dizaine de pompiers d'Yssingeaux et du Puy-en-Velay sont intervenus ainsi qu'une brigade de gendarmerie qui devra vérifier si le propriétaire était autorisé à brûler les herbes. Le cas échéant, il pourrait être verbalisé.

Publié dans Faits Divers 2017

Mercredi après-midi, un homme de 58 ans a été retrouvé mort dans la carrière de Saint-Julien-du-Pinet.

Le quinquagénaire ponot travaillait sur le site. Il intervenait pour une entreprise prestataire et était occupé à réaliser des joints d'étanchéité sur un mur. Un collègue de travail l'a retrouvé gisant au pied d'une benne. Les secours, appelés autour de 15 heures, n'ont pas pu le réanimer.

L'hypothèse d'un malaise mortel est envisagée.

Publié dans Faits Divers 2017

Dans la salle polyvalente de Saint-Julien-du-Pinet, Etienne Charbonnier a fait face à une centaine d'habitants dimanche matin pour la traditionnelle cérémonie des voeux. Les plus anciens, freinés par les épaisseurs de neige, ont visiblement renoncé à venir assister au discours et partager le buffet.

Sur scène, de sa voix reconnaissable, le maire passe en revue les travaux réalisés en 2016 et les projets 2017. Sur un grand écran, on peut suivre le discours avec des idées clés, des images, des chiffres.

L'état civil a été déficitaire avec un mariage, 4 naissances et 5 décès. Comme pour justifier chaque dépense, Etienne Charbonnier détaille l'argent dépensé, du coût du feu d'artifice, à la tombola en passant par les frais sur le matériel communal.

En 2016, trois demandes de permis de construire ont été déposées, dont celle de David Souvignet qui envisage de créer un bâtiment pour déplacer sa boulangerie dans le bourg et la rendre plus visible.

Un projet d'assainissement

Le grand projet de Saint-Julien-du-Pinet en 2017 sera le lancement du projet d'assainissement à "Mortessagne" et "Le Clos de Mortessagne". Les travaux pourraient se faire en 2018. Des subventions sont attendues de l'Agence de l'eau, du conseil départemental et de Réseau Transport d'électricité (RTE) dans le cadre du passage de la ligne Très haute tension de 225 000 communes sur la commune.

L'aménagement de la voie verte

Un projet intercommunal va aussi concerner Saint-Julien-du-Pinet : il s'agit de la voie verte. Le dernier tronçon sera en travaux en 2017 pour une ouverture estimée à l'été 2018 ou le printemps 2019.

Ce projet comprend l'aménagement d'une aire d'accueil à la gare de Bessmorel (stationnement et pique-nique), la création d'un itinéraire de substitution de la voirie de la carrière pour relier le site de Glavenas et relier à terme le projet de valorisation des orgues de la carrière.

La mutualisation

Pour conclure, le maire a abordé la question de la mutualisation, engagée au niveau intercommunal via des liens administratifs entre les communes pour des achats groupés de fournitures. Etienne Charbonnier a rappelé son opposition sur une mutualisation du matériel. "Je suis contre, pour l'instant. L'année prochaine, je serai aussi contre. Mais on ne sait jamais ce qu'il peut se passer..."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

De nouvelles illuminations de Noël ont été installées par l'entreprise Fraisse d'Yssingeaux dans le village et sur l'église de Saint-Julien-du-Pinet.

Après vingt ans d'ampoules multicolores et énergivores, la municipalité a décidé d'investir 10 000 euros dans des équipements plus contemporains et économes en énergie.

L'église dispose dorénavant d'un ruban lumineux blanc froid d'une centaine de mètres équipé en LED. Cette mise en valeur sera pérenne puisque la guirlande lumineuse est amenée à rester fixée sur le bâti.

Dans le village, environ 80 m de guirlandes stalactites bleues donnent l'impression de voir des gouttes d'eau tomber.

Et dix nouveaux motifs habillent les poteaux des lampadaires.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Dimanche, la commune a invité les aînés pour le traditionnel repas annuel... et les bébés de l'année.

Ce rassemblement des seniors a permis de mettre à l'honneur les bébés nés dans l'année lors de l'apéritif. "Les actifs d'aujourd'hui devant les anciens de demain, il est bon de souligner la relation importante qui doit exister entre les générations avec le respect de chacun envers les autres", a rappelé Etienne Charbonnier, le maire.

Saint-Julien-du-Pinet a enregistré quatre décès sur les douze derniers mois : Marguerite Casset, Paul Jouve, Jean-Paul Rousson et Philomène Pradines.

Depuis la cérémonie de novembre 2015, six bébés sont nés : Valentine Merle (le Cros de Mortessagne) le 12 novembre 2015, Maël Planchon (La Meuilhe) le 18 décembre 2015, Ophélie Galopin (le bourg) le 8 janvier 2016, Noah Fayolle (Le Prat) le 1er mars 2016, Héloïse Bruyère (les Sagnolles) le 5 juin 2016, et Camille Bertrand (les Sagnolles) le 21 septembre 2016.

"Ces enfants sont une richesse vivante et son l'avenir de notre commune", apprécie le maire

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Les travaux autour des tronçons de voie verte entre Lavoûte-sur-Loire et Lavoûte-sur-Rhône suivent leur cours. En Haute-Loire, les élus ont entamé la réflexion autour de l'axe Yssingeaux/Saint-Julien-du-Pinet.

L'objectif est d'aboutir à la fin de tous les travaux d'ici 2019-2020 pour relier Lavoûte-sur-Loire à Lavoûte-sur-Rhône en empruntant uniquement les voies vertes. Côté Haute-Loire, les promeneurs utilisent déjà l'axe entre Grazac et Riotord. Le trajet Raucoules-Montfaucon se termine, celui entre Yssingeaux et Grazac avance. Sur le secteur de l'Emblavez, tout semble réalisé.

Les élus ont commencé à se pencher sur le tronçon entre Yssingeaux et Saint-Julien-du-Pinet, toujours en passant par l'ancienne voie de chemin de fer, la Galoche. Les aménagements s'arrêtent autour du parking de l'Antreuil, juste au-dessus du petit rond-point au-dessus du Lidl.

Trois scénarios techniques ont été étudiés par les élus. Le coût diffère selon l'élargissement éventuel de la chaussée. Les conseillers communautaires ont validé le deuxième scénario à 1 million d'euros. Un scénario qui envisage l'élargissement de la voie sur l'accotement exclusivement pour les piétons. Les cyclistes seront invités à utiliser la voie existante.

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L'opération Lire en fête organisée par plusieurs médiathèques du Pays des sucs a fait une étape appréciée vendredi à l'école de "Veyrines" à Saint-Julien-du-Pinet. Vingt-deux enfants s'en sont donnés à coeur joie.

La ludothèque itinérante Cékankonjou avait amené tout un panel de jeux de cartes, en bois, d'adresse et de société.

LE PROGRAMME

Vendredi 14 octobre

19 heures : Limoilémo à la maison de béate de Berthouzis à Lapte

20 heures : soirée jeux à la médiathèque de Beauzac

Jeudi 20 octobre

20 heures : soirée pyjama à la médiathèque de Beauzac

Vendredi 21 octobre

14 heures : ludothèque à la salle multi-activités de Lapte

Lundi 24 octobre

14 heures : ludothèque à la salle polyvalente de Grazac

Mardi 25 octobre

20 heures : soirée des bénévoles à l'Espace scénique de Retournac

Mercredi 26 octobre

14 heures : ludothèque à la médiathèque de Retournac

Jeudi 27 octobre

20 heures : soirée pyjama à la médiathèque de Retournac

Mardi 15 novembre

20 heures : conférence-débat sur le jeu à la médiathèque de Beauzac

Contacts

Beauzac : 04 71 61 50 34

Grazac : 04 71 59 33 61

Lapte : 04 71 59 38 64

Retournac : 04 71 59 44 46

Saint-Julien-du-Pinet : 04 71 56 09 56

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Dans un environnement champêtre idyllique, avec pour ligne d'horizon une forêts de fayards et de sapins, ce jeudi matin, les jeunes ont déployé leurs tentes au Domaine de Charnaud à Saint-Julien-du-Pinet.

Ils sont 24 garçons et filles de 8 à 12 ans, venus d'Yssingeaux, Rosières, Saint-Just-Malmont, Retournac, Sainte-Sigolène, Saint-Pal-de-Mons... Ils investissent pour une semaine le camp de Charnaud.

Ce séjour de vacances est organisée par la paroisse catholique d'Yssingeaux qui renoue ainsi avec une longue tradition. Les jeunes vacanciers sont encadrés par cinq animateurs épaulés par Nicolas Pourrat prêtre accompagnateur. Pierre Besson assure les responsabilités de direction.

Les familles donnent des coups de main précieux au fil de la semaine, au moment des repas notamment et pour assurer des travaux ménagers. Pour autant, les enfants sont responsabilisés avec la prise en main d'un certain nombre de tâches qui rythment la vie quotidienne en collectivité.

L'écologie à coeur

Au programme de ce séjour, l'écologie dans toute son acception, tant au plan de la protection de la nature que des relations humaines. Une thématique qui se déclinera en jeux, ateliers, réflexions... Des temps spirituels se combineront à des propositions ludiques, créatives sans oublier des activités sportives comme une journée à la base de loisirs de Lavalette. "L'objectif est d'aider les enfants à libérer leur imagination, à prendre de l'assurance, les sortir des écrans et des téléphones", développe le père Pierre Besson.

Une exception toutefois, dimanche, pour la finale de l'Euro de foot, "on ira voir le match à la télé chez la voisine."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
mardi, 24 mai 2016 14:59

Alban Bernard, un informaticien atypique

Alban Bernard, spécialiste de l'informatique, a récemment créé son entreprise sur le pays des sucs avec une approche singulière de son métier et de l'offre à proposer aux clients.

Alban Bernard est un as de l'informatique. Il a décidé de faire profiter la Haute-Loire de ses connaissances et de son regard sur cet univers obscur pour les utilisateurs que nous sommes. A 38 ans, le professionnel est parti d'un constat : "Dans l'informatique, on peut vraiment et facilement raconter n'importe quoi. Personne ne comprend rien, à part ceux qui vendent et réparent. Ma volonté est d'apporter ce que je sais."


Dépannage, administration des réseaux, développement de programmes...
Originaire du Puy-en-Velay et domicilié aujourd'hui à Saint-Julien-du-Pinet, cet ingénieur en informatique a travaillé pendant cinq ans à Toulouse chez Motorola avant de revenir en Haute-Loire et de créer une première entreprise dédiée aux personnes handicapées. "J'ai proposé pendant trois ans une télécommande universelle pour piloter tous les appareils de la maison. Cela s'adressait principalement aux personnes tétraplégiques."

L'arrivée du smartphone est venue bousculer ses plans et il a choisi aujourd'hui de changer de voie, tout en restant dans l'univers informatique. "Je fais du dépannage, de l'administration des systèmes et des réseaux. Je peux développer des programmes pour personnaliser des sites internets. Je vise plutôt les petites et moyennes entreprises, ainsi que les particuliers. Je n'ai pas pour vocation de développer mon entreprise à l'envi. Quand j'ai un client, je veux assurer un service de qualité et être disponible rapidement."


Son domaine de prédilection : les systèmes libres
Alban Bernard est par ailleurs un fervent partisan des systèmes libres. Il en a fait profité la radio FM43 lors d'une refonte de son système informatique. "Je ne suis pas là pour pousser mais informer sur les dangers d'internet." Alors que Microsoft et Apple occupent entre 95 et 99 % du marché, Alban Bernard regarde le petit pour cent restant, comme le système Linux. "La moitié des smartphones sont sous Linux et la quasi totalité des boxs à la maison. 60 % des sites web tournent aussi sous Linux. Si on voyait où partent les informations que l'on met sur Internet, ça ferait peur. C'est notre vie privée et la sécurité des données qui sont en jeu."


Informations pratiques
Contact : 06 65 05 27 27
Mail : system.sudoer@gmail.com
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Sous l’égide du groupe folklorique Los Esclops dos cinqjalhs, quinze passionnés répètent une pièce en langue d'Oc.

Depuis le 9 juin, une fois par semaine, ils se retrouvent avec assiduité, concentrés et joyeux à la fois. Un livret à la main, à l’image des multiples troupes de théâtre amateur de la région, ils répètent leur texte avec l’objectif de monter sur les planches. Mais leur démarche est originale à deux titres. La pièce qu’ils répètent est une œuvre originale qui a été imaginée spécialement pour eux et avec eux. Et surtout, ce texte est écrit intégralement en patois par un éminent spécialiste Jean Cottier. A l’exception de deux personnages sur la quinzaine qu’elle comporte, elle ne fait appel qu’au langage courant parlé par leurs aïeux. Cette langue occitane, ils l’ont tous entendu, peu ou prou, sonner dans leurs oreilles d’enfant. Leurs parents, leurs grands-parents, la pratiquaient dans le cercle familial et, au-delà, dans la plupart de leurs activités. C’était il y a 40, 50, 60, voire 70 années en arrière au pays des sucs et ses alentours.


Autour de la table, réunis sous l’égide du groupe folklorique Los Esclops dos cinqjalhs, Marinette, Michel, Ginette, Jacques, Marie-Jo, Bernard, Monique, Robert, Agnès et les autres. Dans une déclinaison d’âge de 50 à 75 ans, ils habitent à Saint-Julien-du-Pinet, Retournac, Grazac, Yssingeaux… Ils font le pari de transmettre ce trésor culturel aux jeunes générations, via une pièce de théâtre qui parlera de la vie, de ses joies et de ses difficultés aussi. Le spectateur plongera 70 ans en arrière pour suivre les péripéties qui conduiront, ou ne conduiront pas, au mariage de Baptiston, fringant célibataire trentenaire. Des traits d’humour agrémenteront le propos. Mais on ne tombera pas dans la farce. Car cette belle langue d’Oc mérite mieux que ça, assurent d’une même voix les patoisants devenus comédiens. Des respirations musicales, des intermèdes dansés, jalonneront la progression de l’intrigue dont on vous taira les détails, pour ménager le suspense.

Pour  l’heure, aucune date pour la première représentation n’est arrêtée. D’ailleurs, les avis sur l’état d’avancement de la création divergent. « On travaille d’arrache-pied. On se produira ce printemps », lance Michel. Tandis que Jacques s’insurge : « On ne sera jamais prêts. Il faut plutôt se projeter sur l’automne. » Une chose est sûre, la troupe vise des petites salles de préférence. On songe à Beaux, Saint-Jeures, Araules… « On est déjà demandé à Vorey » lance Marie-Jo qui interprétera la Tonia, un des deux rôles en français.

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L'auteur, Jean Cottier, président du groupe folklorique Los Esclops dos cinqjalhs, est un amoureux inconditionnel du patois et de la culture occitane qu’il s’efforce de transmettre avec ténacité. Il intervient ainsi lors de temps d’animation périscolaires dans les écoles du pays des sucs. Et il est exigeant : « Le patois est une langue suffisamment riche pour qu’on l’utilise dans toute sa variété de vocabulaire. Je proscris les répétitions de mots et je veux que les verbes soient correctement conjugués. »



Le groupe folklorique Los Esclops dos cinqjalhs
Contact : 04 71 59 12 30 ; 04 71 59 11 70 ; 04 71 08 14 56
Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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