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(Publi-reportage) Avec des formations professionnalisantes reconnues et près de 1 400 professionnels formés depuis 1998, l’IRUP est un acteur régional qui compte dans le champ de l’Economie Sociale et solidaire. L'école dispose de campus au Puy-en-Velay et Saint-Etienne.

L'IRUP dispose d'une solide expérience en matière de formation dans le champ de l’ESS débutée en 1997 par le biais d'une collaboration fructueuse avec l’Union Régionale des Entreprises d’Insertion (UREI) sur la problématique de la professionnalisation des dirigeants des Structures d’Insertion par l’Activité Economique (SIAE). S’en est suivi le développement de formations adaptées aux besoins en compétences de l’ESS à travers notamment des partenariats avec l’Université Gustave Eiffel, le FAPE EDF qui agit pour l’emploi et l’insertion -professionnelle des personnes en difficulté, et la CRESS Auvergne Rhône Alpes.

L’IRUP, membre fondateur de la Chaire d’Economie Sociale et Solidaire de l’Université Gustave Eiffel (anciennement Université Paris Est Marne La Vallée) créée en 2010, est partenaire sur les questions de formation dans l’Economie Sociale et Solidaire de l’Université depuis 1998. L’institut fait partie de la gouvernance de la Chaire et propose en région des rencontres chercheurs-acteurs sur les thématiques de recherche portées par la chaire.

L’offre de formation ESS à l’IRUP

Aujourd’hui, l’IRUP propose 6 parcours de formation diplômants de bac+2 à bac+5 aux jeunes en apprentissage, aux salariés et aux demandeurs d’emploi en formation continue.

Les métiers visés sont les suivants : du coordinateur d’activités au dirigeant de structure en passant par le manager de proximité et l’entrepreneur social.

L’IRUP propose également aux cadres intermédiaires et cadres dirigeants des entreprises de l’ESS des parcours avec possibilité d’individualisation et de VAE. Toutes les formations sont organisées en alternance.

Une partie de cette offre est mise en lumière avec les témoignages de deux apprenantes, actuellement en formation à l’IRUP qui agissent dans des activités différentes, dans le cadre d’une fonction d’encadrement intermédiaire.

Une journée portes ouvertes a lieu ce samedi 23 mars de 9 heures à 16 heures à l'IRUP.

Contact recrutement : Florence Bouchet, chargée de recrutement et relations entreprises au 06 18 54 10 64 ou fbouchet@irup.com

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Rencontre avec Béatrice Beignier, en licence Gestion des Organisations de l’Economie Sociale et Solidaire (GOES)

Comptable pendant 20 ans, assistante de ventes à l’internationale pendant 2 ans, aujourd’hui âgée de 45 ans, je me suis formée en dehors de mon travail et j’ai obtenu mon diplôme de sophrologue afin d’exercer en complément d’activité, pour pourvoir apporter mon soutien aux personnes qui en ont besoin. Ensuite j’ai souhaité changer d’activité salariale afin de donner du sens à mon métier. J’ai effectué des recherches et j’ai choisi de suivre la licence GOES à l’IRUP de Saint-Etienne, car je voulais acquérir des compétences supplémentaires pour pouvoir intégrer le monde de l’ESS et créer ma propre structure.

Pourquoi avoir choisi la licence professionnelle GOES ?

Le programme de la licence répond tout à fait à mes attentes. Les cours sont dispensés durant 3 jours tous les 15 jours. Ce qui permet d’avoir du temps pour développer son projet dans sa structure d’accueil et de pouvoir concilier vie de famille et études en dehors du travail. Le programme est très fourni et nous permet de voir l’ensemble des techniques nécessaires pour le monde de l’ESS. Je parle volontairement de technique, car ce sont des intervenants professionnels, principalement, qui dispensent les cours, et c’est très enrichissant grâce à leurs expériences, leurs cas concrets. Il y a très peu de cours magistraux. Il y a beaucoup de participation de la part des apprenants et c’est très motivant.

Que trouvez-vous le plus intéressant dans votre formation ?

Certes, reprendre ses études quand on a un certain âge peut faire peur, mais s’il y a la motivation, cela est tout à fait possible. C’est une année assez dense, beaucoup de travail personnel et en groupe avec les autres étudiants. Mais ma promo est super, je trouve que la différence d’âge est un atout mutuel. Il faut, bien sûr, étudier régulièrement pour ne pas se laisser envahir par les devoirs, mais si vous arrivez à vous préserver des moments pour vous, dans la semaine, avec vos proches, pour vous ressourcer, il n’y a pas de souci.

Présentez-nous la structure dans laquelle vous travaillez

Biocoop les Artisons à Firminy est une épicerie de produits bio et une boulangerie artisanale qui fait son pain à base de farines locales où les boulangères font leur propre levain. Et surtout, les Artisons, en plus de leur activité de vente, portent des valeurs qui me sont très chères : le soutien à l’agriculture biologique sur son territoire, l’écologie, l’économie locale, l’insertion des personnes en difficulté, la consommation responsable, le renforcement des liens sociaux.

Quel est le projet, accompagné par l’IRUP, sur lequel vous travaillez ?

Lors de mon alternance je suis chargée d’animer, développer, et pérenniser les animations du magasin, les partenariats et les actions extérieures grâce à l’aide des coopérateurs bénévoles. D’ailleurs si des lecteurs souhaitent devenir coopérateurs, ils sont les bienvenus…

Un conseil à donner aux lecteurs qui souhaiteraient suivre la même voie ?

Je suis à la moitié de mon parcours de formation en alternance. Et je peux vous dire qu’il me permet d’appréhender le monde de l’ESS de manière très pertinente. Un monde à la fois petit mais tellement riche d’enseignements et de valeurs, avec des personnes formidables, des structures et des relations extraordinaires. J’ai l’image d’un fil que l’on prend entre ses doigts et que l’on tire. Et ce fil semble sans fin et avec des découvertes enrichissantes à chaque nouveau centimètre.

Je suis déjà en train de me renseigner, de démarcher pour connaître les demandes de projets dans l’ESS autour de chez moi, en Haute-Loire, dans les communautés de communes de l’est du territoire. Pour moi l’idéal serait de monter une structure durable, c’est-à-dire qui a une activité économique permettant également de développer les liens sociaux et de préserver l’environnement. J’ambitionne de créer un lieu de partage, afin de lutter contre l’isolement de personnes de tout âge dans un milieu rural.


Rencontre avec Anaelle Pichon en bachelor manager de proximité dans l’Economie Sociale et Solidaire (MPES)

Je m’appelle Anaelle Pichon, je suis originaire de la Haute-Loire, plus précisément de Grazac, j’ai obtenu un bac ST2S à la suite duquel j’ai réalisé un service civique au sein du DAMIE (Dispositif d’Accueil de Mineurs Isolés Etrangers) au Puy en Velay, qui s’est révélé être l’une de mes meilleures expériences. Mes missions étaient de gérer le réseau des bénévoles, d’accompagner les bénéficiaires dans différentes démarches (ambassade, rdv médical, rdv professionnel). Ensuite j’ai souhaité poursuivre mes études avec un BTS SP3S en alternance au sein d’une agence d’aide à domicile ONELA à Saint-Etienne ce qui m’a permis d’obtenir encore plus de compétences professionnelles. J’occupais le poste de responsable de secteur, j’avais pour missions la gestion de planning, le recrutement, mise en place de dossier…

Pourquoi avoir choisi le Bachelor MPES ?

Tout simplement parce que ce Bac +3 me permet d’obtenir un poste que je convoitais depuis plusieurs années depuis mon expérience en Service Civique. En alternant entre une formation théorique et une formation pratique, dans le cadre d’un contrat en apprentissage cela me permet de mettre en pratique directement sur le terrain ce que les intervenants peuvent nous enseigner en cours.

Que trouvez-vous le plus intéressant dans votre formation ?

Ce que je trouve le plus intéressant dans cette formation est le profil des intervenants ; ce sont des personnes qui gèrent des structures ou qui font partie de structures très intéressantes. Grâce à cela ils peuvent réellement nous transmettre de vraies valeurs professionnelles ainsi que de bonnes méthodes. La diversité des interventions est en ce qui me concerne très enrichissante. 

Présentez-nous la structure dans laquelle vous travaillez

Actuellement je travaille au sein de l’association hospitalière Sainte-Marie, plus particulièrement au sein d’un ESAT « Etablissement et Service d’Aide par le Travail » et d’un foyer d’hébergement accueillant des personnes en situation de handicap psychique, qui se situe à Rosières. Un ESAT est une structure qui permet aux personnes en situation de handicap d’exercer une activité professionnelle tout en bénéficiant d’un soutien médico-social et éducatif dans un milieu protégé

Quel est le projet, accompagné par l’IRUP, sur lequel vous travaillez ?

J’occupe le poste de Cheffe de service en apprentissage. Cela signifie que je gère toute la partie organisationnelle des deux structures (planning, réunion, projet personnalisé, recrutement…) en lien avec les attendus du Bachelor MPES en matière de compétences à acquérir. Le projet que je conduis consiste à déployer la culture et la pratique de l’autodétermination au quotidien.

La culture de l’autodétermination dans un ESAT, repose sur le principe fondamental de permettre aux personnes en situation de handicap de prendre des décisions et d’exercer un contrôle sur leur vie professionnelle.

Pour un foyer d’hébergement accueillant des personnes en situation de handicap psychique, la culture de l’autodétermination vise à promouvoir l’indépendance, le respect de la dignité, et l’autonomie des résidents. Cette approche reconnaît la capacité des individus à prendre des décisions sur la vie quotidienne et à participer activement à la vie communautaire.

Un conseil à donner aux lecteurs qui souhaiteraient suivre la même voie ?

L’alternance est un moyen très performant de se former. Il permet de développer des compétences, de les mettre en œuvre tout en continuant d’apprendre au quotidien. Grâce à ces différentes expériences et au Bachelor MPES j’ai pu obtenir le poste en apprentissage que je souhaitais et pourquoi pas par la suite, continuer à évoluer vers un bac + 5. Pour l’heure je suis à la recherche d’un poste en CDI de niveau bac +3 pour octobre 2024. 

Publié dans Actualités

(Publi-reportage) Avec une offre professionnalisante reconnue et près de 1400 professionnels formés depuis 1998, l’IRUP, grande école de l'alternance, est un acteur incontournable dans le champ de l’Economie Sociale et Solidaire.

L'IRUP dispose d'une solide expérience en matière de formation dans le champ de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) débutée en 1997 par le biais d'une collaboration fructueuse avec l’Union Régionale des Entreprises d’Insertion (UREI) sur la problématique de la professionnalisation des dirigeants des Structures d’Insertion par l’Activité Economique (SIAE). S’en est suivi la construction de plusieurs partenariats avec la Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire (CRESS) Auvergne Rhône Alpes qui fédère les acteurs de l’ESS, avec l’Université Gustave Eiffel et le Fape EDF qui agit pour l’emploi et l’insertion professionnelle des personnes en difficulté.

L’IRUP, membre fondateur de la Chaire d’Economie Sociale et Solidaire de l’Université Gustave Eiffel (anciennement Université Paris Est Marne La Vallée) créée en 2010, est partenaire sur les questions de formation dans l’Economie Sociale et Solidaire de l’Université depuis 1998. L’institut fait partie de la gouvernance de la Chaire et propose en région des rencontres chercheurs-acteurs sur les thématiques de recherche portées par la chaire.

De bac+2 à bac+5

L’IRUP dispose d’une offre de formation BAC+2 à BAC+5, d’une réelle expertise dans la formation au management appliqué à l’ESS et dans la professionnalisation des acteurs avec pas moins de 5 parcours diplômants, en alternance, pour un public de jeunes, de salariés (employés, cadres intermédiaires et cadres dirigeants) et de demandeurs d’emploi.

Une partie de cette offre est présentée à travers les témoignages de deux apprenants actuellement en formation à l’IRUP qui agissent dans des activités différentes, dans le cadre d’une fonction d’encadrement intermédiaire.

Contacts utiles

Site : www.irup.com

Facebook : https://www.facebook.com/IRUP.officiel

Instagram : https://www.instagram.com/irup_officiel/



Deux témoignages d'alternants

Rencontre avec Damien Comunello, 42 ans, en licence Gestion des Organisations de l’Economie Sociale et Solidaire (GOES)

Je suis actuellement chargé de coopération de la Convention Territoriale de l'Agglomération du Puy en Velay et coordinateur jeunesse au sein de la ville de Brives-Charensac dontje suis originaire. Mon employeur est la Maison pour tous. J’ai obtenu un BAC Sciences et Techniques de l'Agronomie et d’Environnement en 1999. Une expérience dans le milieu associatif sportif et un diplôme d'éducateur de rugby (BEES 1 degré de rugby), m’ont conduit à travailler en tant qu'éducateur sportif pendant 5 ans. J’ai notamment occupé un poste d'animateur à la Ville de Villefranche sur Saône de 2002 à 2004 puis j’ai intégré la collectivité de la Ville du Puy en Velay en 2005 comme animateur adolescents au Relais d'Animation de Guitard, sur un quartier Politique de la Ville. En 2011 j’ai obtenu un DEJEPS Animation.

Pourquoi avoir choisi la Licence professionnelle GOES ?

Après 17 ans en tant qu’animateur, j’ai évolué pour prendre la responsabilité de chargé de coopération jeunesse CTG de l'agglomération ponote au cours de l'été 2022 avec la mise en place de la Convention Territoriale Globale sur la Communauté d'Agglomération du Puy en Velay. Cette nouvelle fonction exigeait l’obtention d’un diplôme de niveau 6. C'est dans cette perspective, en croisant le programme pédagogique de la Licence Professionnelle GOES et les compétences demandées dans le cadre de mes nouvelles missions, que mon choix s'est porté sur le diplôme universitaire préparé en alternance à l’IRUP.

Que trouvez-vous le plus intéressant dans votre formation ?

Cette formation m'apporte des outils pour progresser dans mes nouvelles missions professionnelles, elle me permet d'échanger avec les autres apprenants qui sont soit en apprentissage soit en alternance à l’RUP. Les intervenants bénéficient tous d’une expérience pertinente dans le monde de l'ESS.  Cette reprise d'études me permet aussi de faire le point sur mes acquis, de valider les compétences développées tout au long de ma carrière professionnelle, de mon engagement associatif (je suis engagé au sein du CO Le Puy Rugby en tant que coordinateur de l'Ecole de Rugby de l'Agglomération du Puy en Velay qui regroupe 170 licenciés et 25 éducateurs) et de ma vie personnelle. 

Présentez-nous la structure dans laquelle vous travaillez

La Maison Pour Tous - Centre Social de Brives-Charensac assure la mission jeunesse de la Ville de Brives-Charensac en suivant l'axe politique enfance jeunesse défini en amont par la municipalité. Dans le cadre de mon poste de chargé de coopération CTG sur l'Agglomération (fonction relevant de la convention signée entre les communes de l'Agglomération ponote, l'Agglomération du Puy en Velay et la CAF), j'ai pour mission de coordonner l'axe jeunesse sur le territoire de l'agglomération et dans un premier temps sur les communes de Brives-Charensac, Coubon, Blavozy, Saint-Germain-Laprade, Le Monteil, Chaspinhac en lien avec les acteurs et les infrastructures de ce territoire.

Quel est le projet, accompagné par l’IRUP, sur lequel vous travaillez ?

Le projet sur lequel je travaille en alternance tout en suivant la formation BAC +3 en Gestion des Organisations de l’Economie Sociale (GOES), porte sur la mise en place de l'axe jeunesse de la CTG sur la Communauté d'Agglomération du Puy en Velay dans le cadre de la circulaire 2020 de la CNAF (Caisse Nationale des Allocations Familiales).

Un conseil à donner aux lecteurs qui voudraient suivre la même voie ?

Je viens de reprendre les études à 42 ans et c’est vrai que cela peut faire peur de retourner à "l'école" en conciliant une vie de famille, professionnelle et des engagements personnels. Certes cela demande un peu d'organisation mais avec la formule proposée par l'IRUP sur une année (3 jours de cours toutes les 2 semaines), avec l’apport des intervenants issus du monde professionnel de l'Economie Sociale et Solidaire, une dose d’adaptabilité et avec une équipe IRUP à l'écoute qui accompagne les apprenants depuis le recrutement jusqu’à l’obtention du diplôme, on peut sans souci concilier travail, reprise d’études mais surtout allier la théorie à la pratique, ce qui me satisfait pleinement.



Rencontre avec Myriam Rambaud, 26 ans, en Bachelor Manager de Proximité dans l’Economie Sociale et Solidaire (MPES)

Originaire de la Loire, j’ai obtenu un BAC Sciences et Techniques du Sanitaire et du Social (ST2S) en 2014 puis j’ai poursuivi en Licence Sciences de l’éducation à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne. Ne souhaitant plus devenir professeure des écoles, j’ai réalisé un service civique en 2017 chez Unis-Cité à Saint-Etienne où j’ai conduit deux missions d’intérêt général : accompagner des familles issues d’un quartier défavorisé de Saint-Etienne, à l’adoption d’éco gestes en partenariat avec EDF et rompre l’isolement des personnes âgées, repérées par le Centre Communal d’Action Sociale de la ville, grâce à l’organisation et à la mise en place de visites de convivialité.

 

Cette expérience m’a confortée dans mon choix d’orientation et j’ai décidé de passer le Diplôme d’Etat d’Accompagnant Educatif et Social (DEAES) en 2019. J’ai ensuite travaillé pendant trois ans comme auxiliaire de vie sociale à l’ADMR, à Saint-Etienne, jusqu’à fin août 2022. J’ai cherché à avoir le plus de responsabilités possible grâce à la mission complémentaire de référent polyvalent. Ainsi, en plus d’être une personne ressource pour les bénéficiaires âgés et/ou en situation de handicap, j’accompagnais les nouveaux salariés sur le terrain et je proposais à mes collègues des formations de prévention des risques professionnels lors des réunions.

Pourquoi avoir choisi le Bachelor MPES ?

Ayant eu envie d’évoluer et de gagner en compétences, j’ai fait appel à une Conseillère en Evolution Professionnelle, qui m’a orientée vers le Bachelor Manager de Proximité en Economie Sociale et Solidaire (MPES) à l’Institut Régional Universitaire Polytechnique (IRUP) de Saint-Etienne. J’ai choisi de suivre cette formation car toutes mes expériences professionnelles (exceptés les petits contrats au cours de mes études) avaient finalement toutes trait à l’Economie Sociale et Solidaire sans que je ne m’en rende compte. J’ai donc eu envie d’en apprendre davantage à propos de ce secteur d’activité.

Que trouvez-vous le plus intéressant dans votre formation ?

La formation Bachelor me permet d’acquérir les connaissances techniques et théoriques manquantes en matière de management et de les mettre en pratique sur le terrain. Au sein de l’IRUP et plus particulièrement de la promotion, il y a des personnes avec des parcours et des âges différents : certains sont en reprise d’études, d’autres les poursuivent. Cela génère un retour d’expérience très enrichissant.

Présentez-nous la structure dans laquelle vous travaillez

J’ai choisi de faire mon alternance au sein d’une association de soutien et d’accompagnement de personnes en situation de handicap (Adapei de la Haute-Loire) et plus particulièrement au sein de l’ESAT de Sainte-Sigolène (Etablissement et Services d’Accompagnement par le Travail) qui accueille 80 personnes en situation de handicap et a pour spécificité de proposer des activités professionnelles aux personnes accueillies (nettoyage de locaux, sous-traitance, présence en entreprises dites «ordinaires», blanchisserie …). J’ai pu ainsi élargir mes connaissances sur le secteur du handicap et sur le public accueilli.

Quel est le projet, accompagné par l’IRUP, sur lequel vous travaillez ?

Jusqu’en septembre 2023, 100% de mon temps de travail est alloué au projet confié par l’ESAT avec l’objectif d’accompagner le déploiement d’un logiciel de gestion de planning au sein des 18 établissements et services de l’Adapei 43. Concrètement, j’ai conçu des procédures de formation et j’anime des sessions de formations afin d’aider les professionnels (et peut-être, à terme, les personnes accueillies) à utiliser le logiciel. Ainsi, ils peuvent visualiser leurs plannings, noter les heures réalisées en temps réel et faire leurs demandes d’absence à distance.

Un conseil à donner aux lecteurs qui voudraient suivre la même voie ?

Je dirais à ceux qui me lisent qu’il n’est jamais trop tard pour reprendre ses études, pour apprendre et pour se dépasser. Je suis actuellement à la recherche d’une alternance pour poursuivre mon parcours professionnalisant et certifiant avec le cursus BAC+5 Entrepreneur en Economie Sociale et Solidaire, toujours à l’IRUP.

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(Publi-reportage) L’IRUP, la grande école de l’alternance, propose à Saint-Etienne une filière d’expertise dans le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) du bac+ 2 au bac +5.

Les diplômes préparés en alternance, permettent à toute personne souhaitant s’investir dans ce domaine d’activité, de se forger une expérience significative ainsi qu’une expertise reconnue par les employeurs. L’IRUP, établissement sous statut associatif, a formé depuis 1998, plus de 1000 apprenants dans le champ de l’économie sociale. La grande école de l’alternance est aujourd’hui largement plébiscitée dans le champ du management appliqué à l’ESS par plusieurs types de structures, notamment certaines implantées en Haute-Loire qui ont fait confiance à l’institut en lui adressant ses salariés dans le cadre de la formation continue ou en recrutant des jeunes en apprentissage.

5 parcours de formation

L’IRUP offre 5 parcours de formation diplômants pour un public de jeunes, de salariés (employés, cadres intermédiaires et cadres dirigeants) et de demandeurs d’emploi : BTS Services et Prestations des Secteurs Sanitaire et Social (SP3S), Licence professionnelle Gestion des Organisations de l’Economie Sociale et Solidaire (GOES), Bachelor Manager de Proximité dans l’Economie Sociale et Solidaire (MPES), Master Insertion et Entrepreneuriat Social et Solidaire (MIESS) et un titre certifié Bac+5 Entrepreneur de l’Economie Sociale et Solidaire (2E2S)

L’IRUP est membre fondateur de la Chaire Economie Sociale et Solidaire de l’Université Gustave Eiffel, collabore étroitement avec le FAPE EDF (Fonds Agir pour l’Emploi) et adhère à la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire (CRESS).


Rencontre avec Aurélie Bournot, 42 ans, en licence Gestion des Organisations de l’Economie Sociale

Quel est votre parcours ?

Durant une quinzaine d’années, j’ai accompagné des personnes vieillissantes en situation de handicap au FAM Saint-Nicolas de Pradelles en tant qu’Aide Médico Psychologique.

Souhaitant acquérir de nouvelles compétences et découvrir un autre public, j’ai réalisé une VAE (Validation des Acquis de l'Expérience) de monitrice éducatrice puis une formation de coordonnatrice de projets, fonction que j’ai pu occuper pendant 3 ans au sein d’une autre association.

Le 1er octobre 2020, j’ai rejoint l’équipe pluridisciplinaire du FAM de Rosières tout d’abord en tant que responsable des projets personnalisés puis dès avril 2021 en tant que manager de proximité (salariée permanente).

Pourquoi avoir choisi le parcours GOES ?

J’ai trouvé dans ce programme le contenu me permettant de me former au management des organisations de l’ESS, au management de projet, avec comme l’objectif de pouvoir concevoir, organiser et évaluer des actions d’activités économiques et sociales. Ce que j’apprécie particulièrement c’est la méthode de formation autour d’un projet qui permet très rapidement un rapprochement entre la théorie des cours et leur application sur le terrain. Mais aussi la connaissance de l’Economie Sociale et Solidaire au travers des politiques publiques, des théories et des acteurs de l’ESS.

Présentez-nous votre structure

Le FAM à Rosières accueille 40 personnes adultes présentant un handicap à expression multiple associant déficience motrice et/ou déficience intellectuelle. L’établissement a été repris par l’Association St Nicolas en juin 2020.

L’association Résidence Saint-Nicolas gère 11 établissements répartis sur la Lozère, Haute-Loire et Cantal, ils accueillent 370 résidents. Son ambition est la prise en charge de tout adulte en situation de handicap mental, avec ou sans handicap moteur, avec ou sans pathologie psychiatrique (modérée et stabilisée), ne pouvant plus travailler ou n’ayant jamais travaillé. Son objectif principal est de maintenir le plus longtemps possible l’autonomie qu’il a acquise au cours de sa vie, de l’améliorer quand cela est possible et de l’accompagner jusqu’au terme de sa vie dans un climat serein, chaleureux, affectif et dynamique.

Quel est le projet sur lequel vous travaillez ?

J’ai rejoint l’équipe pluridisciplinaire du FAM pour remettre en place la politique associative en lien avec mon parcours. La thématique de mon projet s’intitule « repenser et définir un accompagnement socio-éducatif de qualité au sein de la structure »

Après avoir réalisé un diagnostic complet, une stratégie a été définie autour de 3 grands axes :

- Développer l’individualisation de l’accompagnement

- Professionnaliser les acteurs de terrain

- Adapter l’architecture du FAM aux besoins des résidents

Afin de mettre en œuvre les différentes actions, nous avons défini les ressources nécessaires notamment autour de l’adaptation de l’architecture, l’objectif étant de réaliser des travaux à moindre coût.

Quel conseil donnez-vous aux personnes souhaitant suivre ce parcours ?

Cette formation demande beaucoup d’investissement, une quantité de travail importante et des travaux réguliers à restituer. L’accompagnement de l’IRUP la Grande école de l’Alternance est une plus-value pour demeurer continuellement dans le bon rythme de la formation.

Contacts

Vous êtes intéressé pour vous former dans le secteur ? Prenez contact :

- Florence BOUCHET, chargée de recrutement et relations entreprises - 06 18 54 10 64 - fbouchet@irup.com (BTS SP3S, Licence GOES et Bachelor MPES)

- Evelyne BRUYERE, tutrice/ chargée de recrutement ESS - 06 18 54 34 51 - ebruyere@irup.com (Master IESS et Titre certifié 2E2S)

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(Publi-reportage) L’IRUP la grande école de l’alternance propose à Saint-Etienne une filière d’expertise dans le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) du bac+ 2 au bac +5.

Les diplômes préparés en alternance, permettent à toute personne souhaitant s’investir dans ce domaine d’activité, de se forger une expérience significative ainsi qu’une expertise reconnue par les employeurs. L’IRUP, établissement sous statut associatif, a formé depuis 1998, plus de 1000 apprenants dans le champ de l’économie sociale.

Plébiscitée en Haute-Loire

La grande école de l’alternance est aujourd’hui largement plébiscitée dans le champ du management appliqué à l’ESS par plusieurs types de structures, notamment celles implantées en Haute–Loire comme l’Asea 43 avec l’Esat de Meymac et l’IME des Cévennes, Cap emploi 43, l’Adapei 43 à Saint-Hostien, l’Esat de Langeac mais également la Fédération ADMR 43 à Chadrac, le Centre socio-culturel du Guitard au Puy-en-Velay ou encore la Croix Rouge Française.

5 parcours de formation diplômants

L’IRUP offre 5 parcours de formation diplômants pour un public de jeunes, de salariés (employés, cadres intermédiaires et cadres dirigeants) et de demandeurs d’emploi : BTS Services et Prestations des Secteurs Sanitaire et Social (SP3S), Licence professionnelle Gestion des Organisations de l’Economie Sociale (GOES), Bachelor Manager de Proximité dans l’ESS (MPES), Master Développement des structures d’insertion et formation supérieure de leurs dirigeants (MIESS) et titre certifié Bac+5 Entrepreneur de l’Economie Sociale et Solidaire (2E2S)

L’IRUP adhère à la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire (CRESS), est membre fondateur de la Chaire Economie Sociale et Solidaire de l’Université Gustave Eiffel (ex Université Paris-Est Marne la Vallée) et collabore étroitement avec le FAPE EDF (Fonds Agir pour l’Emploi).

Témoignages

Anaïs PEYLACHON, 25 ans, en Licence GOES

Anaïs Peylachon en situation de travail

J’habite à Saint-Etienne et je prépare actuellement la licence professionnelle Gestion des Organisations de l’Economie Sociale délivrée par l’Université Gustave Eiffel. J’ai orienté mes études dans le secteur sanitaire et social d’abord avec le BTS SP3S pour acquérir les connaissances de base de ce secteur : publics, institutions, prestations, communication, démarche projet puis avec la licence professionnelle GOES appuyée sur la mise en œuvre de projet au sein de structures de l’ESS à échelle humaine. Ce que je trouve le plus intéressant dans ce parcours c’est de mettre en pratique les enseignements transmis en formation par des professionnels du secteur grâce au principe de l’alternance.

Je travaille dans une structure d’insertion professionnelle basée sur les espaces verts « OASURE du paysage à la nature » où j’occupe un poste de chargée de mission en contrat d’apprentissage pour une durée d’un an. Mon projet consiste à valoriser OASURE grâce au déploiement du label Responsabilité Sociétale des Entreprises Inclusives « RSEi ».

Si vous défendez des valeurs de partage, de solidarité, d’entraide en mettant l’humain au cœur du projet, tout cela, imbriqués dans le quotidien de votre travail, alors cette formation est faite pour vous.

Marion CHAPUIS, 39 ans, en Bachelor MPES

Marion Chapuis

Je vis à Saint-Pierre Eynac, j’ai un diplôme d’éducatrice spécialisée, métier que j’ai exercé pendant 14 ans au sein de l’Institut Médico Educatif (IME) Synergie 43 de la Croix-Rouge Française. L’an dernier j’ai eu l’opportunité d’accéder au poste de responsable de service éducatif au sein de cette structure, fonction que j’occupe en CDI depuis septembre 2020.

Les compétences développées en tant qu’éducatrice et mes connaissances du secteur médico-social étaient un atout pour la fonction mais la formation Bachelor MPES de l’IRUP était, à mon sens, celle qui me permettrait de faire évoluer au mieux mes compétences et connaissances managériales en adéquation avec les attendus du poste. Cette formation d’une durée d’un an en alternance offre une panoplie de disciplines qui permet de penser l’économie sociale et solidaire dans toute sa globalité. De plus, les cours sont dispensés par des professionnels de terrain.

Dans le cadre de la formation, nous sommes amenés à travailler sur un projet spécifique en lien avec notre structure donnant lieu à un mémoire. Pour conduire mon projet, portant sur le dispositif d’accompagnement au sens large des jeunes âgés de 15 à 20 ans en situation de handicap et de son inscription dans le milieu ordinaire, je suis accompagnée par deux tutrices, une à l’IRUP et une dans la structure. Leur regard ainsi que les points d’étape réguliers sont bénéfiques pour l’avancement de mon projet.

Pour conclure, cette formation demande beaucoup d’investissement tant au niveau de la pratique que de la théorie. C’est une formation diplômante qui requiert une certaine quantité de travail personnel et des rendus réguliers. Le principe étant de valider des blocs de compétences tout au long de l’année afin d’obtenir le diplôme de Management de Proximité dans l’Economie Sociale et Solidaire.

Recrutement candidats et entreprises :

Florence BOUCHET, chargée de recrutement et relations entreprises - 06 18 54 10 64 fbouchet@irup.com (BTS SP3S, Licence GOES et Bachelor MPES)

Evelyne BRUYERE, tutrice/ chargée de recrutement ESS  - 06 18 54 34 51 ebruyere@irup.com ( Master IESS et Titre certifié 2E2S)

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