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Après quatre jours de visionnage de 64 courts-métrages réalisés par de jeunes réalisateurs (moins de 25 ans), le jury a rendu son verdict vendredi soir au cinéma La Capitelle de Monistrol-sur-Loire pour le festival Tournez jeunesse 2016. Voici le palmarès.

Prix Scolaire

1. "Boucle d'or au pays du land art" de l'école maternelle de la Chapelle-d'Aurec

2. "Le Chemin des cocotiers" de l'école primaire EFC d'Agumong-Waroux (Liège)

Prix Structures jeunesse

"Le Complot" d'un collectif d'enfants

Prix Animation

"Tombes et manèges" d'Isart

Prix Lycée

"Ella" du lycée Léonard-de-Vinci (Monistrol-sur-Loire)

Prix Européen

"Axelle" de Sara Dufossé et Nikita Trocki

Prix Locaux

1. "Attention pas de pollution, sinon.." de l'école Saint-Charles (Montbrison)

2. "Scènes d'ados" du centre de loisirs L'Echap'toi de La Chapelle-d'Aurec

Prix Amateur

"Que la mort vous sépare" de Fabien Luszezyszyn

Prix de la Ville

"Karma" du lycée Jean-Monnet (Montpellier)

Prix Grandes écoles

Animation : "Anna" de Mopa

Fiction : "Son Mascara" d'Esra

Prix Production

"Première Fois" d'Arthur et Ylane

Prix Collectif

"Le Monstre des chaussettes" de Pierre Pradourat

Prix Marraine

"Mot dit soit-il" de Lara Jaskula

Pour la deuxième année le festival de poésie en musique "Les Poésiques" aura lieu samedi à Craponne-sur-Arzon.

"Les Poésiques" vont en surprendre encore plus d'un, par ce lien, entre musique et poésie, une manière de partager, de mettre en avant l'altérité, de faire de la différence la force qui conduit aux passions.

Ce deuxième opus s'organisera autour d'un spectacle récital donné par les artistes de 18 heures à 23 heures, dans la salle de « La Grenette » à Craponne-sur-Arzon.

Seront sur scène : André Peyrache, poète, sociologue, qui déclamera ses textes ; Ashita Nezumi fera redécouvrir Jacques Prévert au son d’une guitare électrique ; Dominique Reynier auteur compositeur de chansons poétiques et intimistes colorées de petites touches d’impressionnisme ; Didier Maurin chanteur, guitariste, auteur, compositeur, interprète, fera voyager dans l’univers des poètes espagnols ; Freddy Kroegher virtuose indéniable de la guitare, entraînera sur les traces de l’album de Léo ferré « La solitude » ; Jahken Rose avec ses origines tziganes, entre Renaud, Louise Attaque et Saez ; Jerry Lipkins musicien, pianiste, compositeur et interprète, a été le premier pianiste clavier du « Charlélie Couture Band » ; Richard Montaillard, chanteur, pianiste, une rencontre entre musique et littérature ; Raphael Herrerias heureuse voix du seul opus d’XFactor France. De sa voix racée, Raphaël raconte ses chansons d’aventures.

Le succès de l'édition 2016 est total. Les organisateurs du festival Sucs en scène ont enregistré 1600 entrées entre vendredi (600 entrées) et samedi (1000 spectateurs). Dans un pré près du village des Cayres, les bénévoles de l'association Des Pieds Des Mains ont réussi à transformer un coin désert en espace populaire et champêtre.

Après la réussite de la première soirée, le festival a confirmé samedi soir avec des parking remplis, une buvette très occupée par les festivaliers équipés de leurs Sussuc (la monnaie de fiestival) et un chapiteau qui est monté en puissance au fil de la soirée. L'attraction du soir se dénommait Les Sales Majestés, qui n'a pas eu besoin de chauffer un public, déjà conquis et virevoltant devant la scène.

Au cours de la soirée de samedi, trois autres groupes se sont produits : "La Mauvaise Herbe", "Innavibe", "Lowkey & Kardinal"

L'après-midi avait été animé par plusieurs ateliers et un marché de producteurs et d'artisans.

Le festival Sucs en scène s'est ouvert vendredi. Samedi, plusieurs animations gratuites sont programmées l'après-midi avant de nouveaux concerts le soir.

Le festival Sucs en scène a pris une dimension supplémentaire cette année. Le changement de date s'avère payant ne serait-ce que pour la météo. Au milieu de la campagne, près du village des Cayres à Yssingeaux, l'association Des Pieds Des Mains a créé un festival champêtre avec chapiteaux, décor soigné et ambiance détendue. Bref, on ne se serait pas senti à Yssingeaux.

Trois groupes ont ouvert la première soirée de cet événement culturel qui compte déjà deux éditions derrière lui.

Les animations se poursuivent samedi après-midi avec une palette de propositions gratuites. Des ateliers graf et peinture sont prévus pour les plus jeunes. Des groupes de musique vont se succéder au sein du festival. Et un marché de producteurs et artisans réunira une vingtaine d'exposants.

En soirée, retour des concerts avec quatre groupes programmés dont le très attendu "Les Sales Majestés".

Le programme de samedi

14 heures : marché de producteurs et artisans du coin, musique, ateliers de graf.

Concerts "La Mauvaise Herbe", "Innavibe", "Les Sales Majestés", "Lowkey & Kardinal". Entrée : 17 euros

Buvette.

Restauration sur place (saucisse-sarassou) et snack avec Pretty Food.

Possibilité pour les festivaliers de dormir sur place.

Agnès Bihl a rempli la Ferme de Mathias samedi soir dans le cadre du Festival sur Lignon qui se poursuit et se termine dimanche soir.

Fier de sa programmation éclectique, le Festival sur Lignon proposait en soirée, après la sieste sonore, un concert pour le moins original : la chanteuse Agnès Bihl a transformé la Ferme de Mathias en cabaret « électro retro ».

D'ordinaire auteure de ses propres chansons, elle présentait son nouveau spectacle « Tout fout l'camp » : « C'est le premier concert de notre tournée, et la seconde fois que nous jouons ce spectacle. »

L'artiste y reprend des chansons du début du siècle dernier, mais criantes de modernité tant les textes sont, aujourd'hui encore, d'actualité. Légèreté, sujets graves, l'humour noir et humour « coloré » s'y côtoient, sublimés par une Agnès Bihl aussi talentueuse au chant qu' à la comédie.

Résultat ? Un spectacle musical qui fait du bien aux yeux, aux oreilles et aux zygomatiques.

Le programme de dimanche

Encore une soirée réussie pour le Festival sur Lignon qui se clôt ce dimanche sur un programme plus Jazzy :

- À 11 heures, l’Happy Hot Jazz Band Sextet dans les rues du village. Gratuit.

- À 15 heures, Évelyne Lohr anime un atelier de marionnettes à l’ancien hôtel du Lignon, place de la Croix. Participation libre.

- À 18 heures, Mario Stantchev et Lionel Martin "Jazz Before Jazz" à la ferme de Mathias. Tarif : 15 euros.

- À 21 heures, Émile Parisien et Vincent Peirani et la "Belle époque Jazz", à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Et aussi

Des assiettes du festival et des desserts, à partir de 19 heures, dimanche, concoctés avec des produits locaux par une brigade de cuistots dirigée par une maîtresse-femme...

Plus d'infos sur le festival ici

Vendredi soir, à Fay-sur-Lignon, le Festival sur Lignon a pris ses quartiers à la Ferme de Mathias pour un concert qui fera date.

Sur scène, un quartet de musiciens étourdissants de virtuosité, d'inventivité, de générosité : Impérial Orphéon. On découvre Rémy Poulakis à l'accordéon et au chant (et quel chant... positivement fabuleux), Gérald Chevillon aux saxophones basse, soprano, Damien Sabatier aux saxophones baryton, alto, Antonin Leymarie à la batterie et percussions.

Dans la salle, des spectateurs ravis. Certains connaissaient déjà Impérial Orphéon et revenaient en confiance. Mais la majorité des spectateurs ont eu ce délicieux choc que procure la découverte lorsqu'elle est saisissante.

Ces créateurs surdoués, improvisateurs impénitents, osent tous les métissages même les plus improbables. Ils piochent dans les registres jazz qu'ils mâtinent d'airs d'opéra. Ils libèrent une énergie rock sur des rythmes traditionnels, d'ici et d'ailleurs.

Le voyage est infiniment plaisant et déroutant au bon sens du terme. C'est-à-dire obligeant à s'extraire des carcans qui brident les goûts et formatent le paysage culturel.

Le programme

Samedi

- À 11 heures, dégustation d’Hydromel de Velay avec Les Larmes des abeilles, chez Mohinî Faure avec visite du chai.

- À 14 heures, randonnée pédestre « À la recherche du la 440 Hz », guidée par Michel Savrot, avec des musiciens de Jazz en Velay. Départ de la place de la Croix.

- À 17 heures, Micro Zen Orchestra pour une sieste sonore, Aux Terrasses Saint-Régis. Tarif : 8 euros.

- À 21 heures, Agnès Bihl et son Cabaret Électro Rétro, des reprises de chansons du début du XXe siècle, à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Dimanche

- À 11 heures, l’Happy Hot Jazz Band Sextet dans les rues du village. Gratuit.

- À 15 heures, Évelyne Lohr anime un atelier de marionnettes à l’ancien hôtel du Lignon, place de la Croix. A partir de 5 ans. Participation libre.

- À 18 heures, Mario Stantchev et Lionel Martin "Jazz Before Jazz" à la ferme de Mathias. Tarif : 15 euros.

- À 21 heures, Émile Parisien et Vincent Peirani et la "Belle époque Jazz", à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Et aussi

Des assiettes du festival et des desserts, à partir de 19 heures, samedi et dimanche, concoctés avec des produits locaux par une brigade de cuistots dirigée par une maîtresse-femme...

Plus d'infos sur le festival ici

Live d'Imperial Orpheon à Fay-sur-Lignon

Le festival du Monastier se termine ce vendredi. Pour les retardataires, il est encore temps d'avoir profité des musiques cuivrées.

Pour son avant-dernière journée, jeudi, la 28e édition du festival du Monastier-sur-Gazeille a proposé une idée originale : faire connaître au public l’ancêtre des cuivres, la conque marine. Le groupe de style « transe gnawa », Stromb s’en est chargé avec Global Gnawa.

La journée a commencé à 11 heures par un premier set chargé de sons exotiques. Rendez-vous était ensuite pris pour un atelier découverte à 16 heures, qui a permis aux petits et grands d’essayer de tirer des sons de cet instrument peu conventionnel. Au terme de cet exercice, les participants ont pu se joindre aux groupes, pour interpréter un morceau lors de leur second set.

L'église de Saint-Front, une première

Au même moment se tenait un concert classique dans un lieu que le festival n’avait pas encore investi : l’église de Saint-Front. La classe de trompette naturelle y a donné un concert, au terme de quatre jours de travail, soutenue par le président du festival, Gilles Mercier, emmenée à la tymbale par Jérôme Lahens,  et accompagnée par une violoniste et un organiste. Stagiaires et professeurs ont interprété tant une cantate de Bach, que des pièces baroques de compositeurs moins connus comme Clarke ou Torelli, ou encore des sonneries de la cour des rois de Norvège.

Un avant-goût du concert de vendredi

Les stages de l'académie du festival arrivent à leur terme, et c'est avec plaisir que les badauds restés après les conques au village du festival ont vu arriver les stagiaires fanfare tzigane des balkans, venus rôder leur programme avant la restitution « officielle » de ce vendredi 12 août. Les thèmes traditionnels qu'ils ont joués ont rapidement fait mouche attirant les spectateurs dans ce lieu toujours aussi convivial et finalement jamais à l'abri d'une petite gourmandise musicale impromptue.

25 stagiaires de l'académie jazz sur la scène

A 21 heures, sur la grande scène du festival, la soirée « Let's Swing !» a encore tenu toutes ses promesses. La première partie de ce concert mettait en scène les stagiaires de l'académie jazz du festival, une classe qui a accueilli cette année plus de 25 musiciens venus de toute la France. C'est donc pour proposer le fruit d'une semaine de travail que l'atelier combo encadré par Fred Nardin a ouvert le bal.

Les traditionnels instruments de cette formation que sont saxophones, trompettes, trombones et section rythmique étaient agrémentés de la belle voix de l'une des stagiaires. Le big band de l'académie a ensuite investi la scène, pour quelques titres travaillés dans la semaine comme « Change of pace » de Quincy Jones, des standards de Duke Ellington jusqu'à des titres plus funky comme « I want you back » des Jackson Five.

Le swing du tromboniste

Du swing, le tromboniste Pierre Guicquéro n'en manque pas ! C'est au sein de son PG jazz septet qu'il en a fait une démonstration de haut vol en cette deuxième partie de soirée. Le tromboniste clermontois a proposé au public ses compositions, tirées de son 2e album sorti en 2015, mais aussi des nouveautés qui laissent présager un retour prochain en studio. Sur scène, les sept musiciens maitrisent aussi bien les phrasés chauds des swings « cool » que les improvisations aux couleurs New Orleans, et font preuve d'une précision redoutable dans les impressionnants traits be-bop.

Un boeuf cosmopolite en fin de soirée

La soirée se poursuivait au Brass Room, repaire bien connu de tous les festivaliers noctambules. L'atelier Brass band de l'académie jazz du festival encadré par Simon Girard proposait à son tour un répertoire très festif.

Mais la nuit n'avait pas encore livré toutes ses surprises. Les musiciens du PG Jazz septet n'en avaient pas encore fini avec leur envie de jouer ! C'est donc dans une ambiance survoltée qu'ils ont investi les lieux pour « taper le bœuf », partageant ce langage universel qu'est la musique avec des Brésiliens, Allemands et autres nationalités présentes cette semaine au Monastier.

Programme de vendredi

11 heures : concert des stagiaires orgue en l’abbatiale Saint-Théofrède au Monastier. Gratuit

16 heures : concert des stagiaires musique ancienne en l’église Saint-Jean au Monastier. Gratuit

18 heures : concert des stagiaires fanfare tzigane des Balkans sur la scène du village. Gratuit

20 heures : concert "Fanfara Transilvania/Molotov Brothers" sur la grande scène. 15 €

23 heures : bœuf des Balkans au Brass Room. Gratuit

Le Festival sur Lignon a débuté jeudi soir avec un concert du Duo Tandjali. L'événement culturel se poursuit à Fay-sur-Lignon jusqu'à dimanche.

Le festival faynois a pris l'habitude de débuter dans une ambiance intimiste au gîte Bien-être aux Chênes, chez Patrice Blanc et Corinne Drevet. Mais il faudra bientôt pousser les murs tant la première soirée a encore rencontré le succès avec une centaine de personnes pour l'inauguraion musicale de la 18e édition.

Cette année, les organisateurs ont fait le choix de la musique orientale avec le Duo Tandjali. Les deux musiciens ont amené un peu de soleil au coeur de cette fraîche soirée sur le Plateau.

Chems Amrouche, à la guitare et à la voix, propose des chants aux couleurs de l'Orient et du Maghreb, tout en nuances. Elle est accompagnée de Mohanad Aljaramani, Syrien d'origine, installé en France depuis 2012, qui manie l'oud et le risha à merveille.

Le Festival sur Lignon se poursuit jusqu'à dimanche soir avec un programme très riche.

Le programme

Vendredi 

21 heures, l’Impérial Orphéon et ses musiques du monde festives à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Samedi

- À 11 heures, dégustation d’Hydromel de Velay avec Les Larmes des abeilles, chez Mohinî Faure avec visite du chai.

- À 14 heures, randonnée pédestre « À la recherche du la 440 Hz », guidée par Michel Savrot. Départ de la place de la Croix.

- À17 heures, Micro Zen Orchestra pour une sieste sonore, Aux Terrasses Saint-Régis. Tarif : 8 euros.

- À 21 heures, Agnès Bihl et son Cabaret Électro Rétro, des reprises de chansons du début du XXe siècle, à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Dimanche

- À 11 heures, l’Happy Hot Jazz Band Sextet dans les rues du village. Gratuit.

- À 15 heures, Évelyne Lohr anime un atelier de marionnettes à l’ancien hôtel du Lignon, place de la Croix. Participation libre.

- À 18 heures, Mario Stantchev et Lionel Martin "Jazz Before Jazz" à la ferme de Mathias. Tarif : 15 euros.

- À 21 heures, Émile Parisien et Vincent Peirani et la "Belle époque Jazz", à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Et aussi

Des assiettes du festival et des desserts, à partir de 19 heures, vendredi, samedi et dimanche, concoctés avec des produits locaux par une brigade de cuistots dirigée par une maîtresse-femme...

Plus d'infos sur le site du festival ici

Duo Tandjali en live au gîte des Chênes

Impérial Orphéon vendredi à la Ferme de Mathias

De jeudi à dimanche, la musique est reine à Fay-sur-Lignon. Le coeur du petit village du Mézenc bat au rythme de la 18e édition du Festival sur Lignon qui marie jazz, chanson française, musiques du monde, dans des décors chaleureux, dont certains inédits come les Terrasses Saint-Régis.

Les fidèles du festival s'y rendent les yeux fermés, certains d'y applaudir des affiches de qualité, renouvelées à chaque édition. On va à Fay-sur-Lignon pour communier autour de valeurs sûres à l'image d'Agnès Bihl samedi, du duo Emile Parisien et Vincent Peirani dimanche. Mais on chemine jusqu'à Fay-sur-Lignon aussi pour le plaisir de se laisser aller à la découverte.

Des découvertes

Il suffit de jeter un oeil au programme ci-dessous pour dénicher une ou plusieurs propositions qui collent à votre tempérament.

On se contentera donc d'attirer l'attention sur le Duo Tandjali qui ouvre le festival, jeudi 11 août, aux Chênes, route du Puy, sur des notes orientales. Ou encore vendredi 12 août sur Impérial Orphéon, un groupe qui dépote dans le registre des musiques du monde.

Une dégustation

Parmi les nouveautés, signalons, samedi 13 août, à l'heure de l'apéro, la dégustation de l'Hydromel du Velay, chez Mohinî Faure, dans son établissement "Aux Larmes des abeilles", à l'entrée du village.

Le samedi encore, à 17 heures, on se laisse tenter par une sieste sonore et interactive chez Dominique et François Baladier, "Aux terrasses Saint-Régis", à côté de l'église. Un concert en plein air de Jean-Luc Peilhon et Serge Sana qui s'annonce délectable.

Le dimanche, à 15 heures, pour les bouts de chou et les grands enfants, un atelier de fabrication de marionnettes est animée par Evelyne Lohr chez Jacqueline et Marc Taberner.

Une exposition

Sans négliger de faire étape à la salle d'expositions de la com'com pour "De la musique avant toute chose", une série de portraits d'artistes par Dominique Assié, Jean-Loup Bertheau, Claude Chabord, Christophe Charpenel, Yves Dorison, Sébastien Fanger, Daniel Peyreplane et Marion Tisserand.

Le programme

Jeudi à 21 heures, le Duo Tandjali présentera ses musiques orientales au gîte "Bien-être aux Chênes". Participation libre

Vendredi à 21 heures, l’Impérial Orphéon et ses musiques du monde festives à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Samedi

- À 11 heures, dégustation d’Hydromel de Velay avec Les Larmes des abeilles, chez Mohinî Faure avec visite du chai.

- À 14 heures, randonnée pédestre « À la recherche du la 440 Hz », guidée par Michel Savrot. Départ de la place de la Croix.

- À17 heures, Micro Zen Orchestra pour une sieste sonore, Aux Terrasses Saint-Régis. Tarif : 8 euros.

- À 21 heures, Agnès Bihl et son Cabaret Électro Rétro, des reprises de chansons du début du XXe siècle, à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Dimanche

- À 11 heures, l’Happy Hot Jazz Band Sextet dans les rues du village. Gratuit.

- À 15 heures, Évelyne Lohr anime un atelier de marionnettes à l’ancien hôtel du Lignon, place de la Croix. Participation libre.

- À 18 heures, Mario Stantchev et Lionel Martin "Jazz Before Jazz" à la ferme de Mathias. Tarif : 15 euros.

- À 21 heures, Émile Parisien et Vincent Peirani et la "Belle époque Jazz", à la ferme de Mathias. Tarif : 18 euros.

Et aussi

Des assiettes du festival et des desserts, à partir de 19 heures, vendredi, samedi et dimanche, concoctés avec des produits locaux par une brigade de cuistots dirigée par une maîtresse-femme...

Plus d'infos sur le site du festival ici

Les habitants de Chenereilles attendent chaque été le festival Interfolk avec impatience. Mardi soir, deux cents personnes ont rempli l'église pour accueillir et applaudir les danseurs du Kirghizistan, un pays d'Asie centrale qui se situe entre l'Ouzbékistan et la Chine. Dans des tenues très colorées et une musique festive, une vingtaine de membres de l'Ensemble national de la République du Kirghizistan ont interprété des chorégraphies traditionnelles de leur pays.

A noter que le Kirghizistan a remplacé au pied levé la Galice qui était initialement programmée sur Interfolk et à Chenereilles, mais qui s'est désistée.

Sur le Haut-Lignon, on peut applaudir ce mercredi à 21 heures salle du Belvèdère au Mas-de-Tence l'Arménie; jeudi à 21 heures, à La Lionchère à Tence, le Brésil; samedi à 21 heures, place de la Fontaine au Chambon-sur-Lignon, Chypre nord.