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Aux Vastres, la chasse aux oeufs de la bergerie a trouvé son public
Pour la première fois, la Bergerie du vieux moulin des Vastres et le chocolatier Cyrille Bernard des Douceurs du Lignon proposaient une chasse aux oeufs autour de la bergerie, sur les bords du Lignon, à la limite entre Le Mazet-Saint-Voy et Les Vastres.
Sur les chemins, pierriers et prés, les enfants sont allés d'un bon pas chercher des oeufs factices qu'ils ont pu échanger contre des chocolats artisanaux.
Il était aussi possible de grignoter sur le pouce des frites, tartines, gaufres, crêpes et de profiter de l'air frais de la campagne...
Les visiteurs ont également eu l'opportunité de découvrir la bergerie de Marion et Samuel Murand, estampillée en agriculture biologique, avec ses chèvres et ses brebis.
Une tombola était aussi proposée avec un panier garni d'une valeur de 70 €, composée des produits laitiers de la ferme et de chocolats des Douceurs du Lignon. Il suffisait d'estimer le poids d'une chevrette d'un mois qui pesait très exactement 6,835 kg. La meilleure estimation se rapprochait de 50 grammes.
Chambon-sur-Lignon : la maisonnette en biscuit a été dégustée
Samedi juste avant le feu d'artifice, le maître chocolatier Cyrille Bernard, installé à l'enseigne "Les Douceurs du Lignon" sur la place de la Fontaine au Chambon-sur-Lignon, invitait ses clients à une dégustation inédite.
La charmante maisonnette en pâte sablée, garnie de guimauves et entourée de friandises, concoctée par sa compagne Marie Jamond pour les fêtes, a été cassée et les gourmands, petits et grands, ont été invités à se régaler.
Pour accompagner le tout, Cyrille Bernard offrait du chocolat chaud et du café.
Le Chambon-sur-Lignon : elle crée une maisonnette en pâte sablée
Elle ressemble à la maison en pain d’épices qui a servi de piège à Hansel et Gretel dans le conte des frères Grimm. Ou encore à la demeure de la comptine de Dame Tartine.
Tout se déguste, du sol au toit à l’exception de la fumée qui s’échappe de la cheminée. C’est un piège pacifique pour les gourmands qui connaissent déjà bien le repaire de Cyrille Bernard, le chocolatier installé sur la place de la Fontaine au Chambon-sur-Lignon. Les murs sont en pâte sablée, les 48 tuiles en langue de chat et les portes et volets en chocolat. L’intérieur est rempli de guimauves.
Cette œuvre qui se croque n’est pas à mettre à l’actif du maître des lieux mais de sa compagne, Marie Jamond, qui déjà réalise la fabrication des sablés et confectionne les compositions garnies des Douceurs du Lignon.
A déguster le 31 décembre
Vous pouvez apercevoir la mignonne maisonnette dans la vitrine jusqu’au 31 décembre, date à laquelle elle sera cassée et dégustée par les clients de la confiserie, dans le cadre des animations organisées en fin d’après-midi (à partir de 17 h 30) par les commerçants sur la place de la Fontaine. Le feu d’artifice sera tiré à 18 h 30.
Chambon-sur-Lignon : un commerçant demande une terrasse estivale, la mairie lui refuse
Cyrille Bernard a essuyé un refus pour disposer d’une terrasse en soirée sur les mois de juillet et août devant sa boutique. La mairie se défend.
Cyrille Bernard est confiseur, chocolatier et glacier au Chambon-sur-Lignon. Celui qui sillonne les marchés tout au long de l’année, dispose d’une boutique, route de Saint-Agrève, au Chambon-sur-Lignon.
Il a fait une demande pour utiliser deux places de stationnement devant sa boutique pour les soirées d’été, afin de vendre des glaces notamment, de 19 heures à 23 heures. La mairie lui a répondu par écrit pour lui signifier le refus. Sans plus d’explication. « On nous demande d’animer le village et voilà comment on nous aide. Je pourrais mettre des pots de fleurs pour sécuriser et disposer 2-3 tables le soir. Pesenti, l’autre glacier de la place, est fermé le soir », argumente le jeune commerçant. « Dans la même rue, un restaurant bénéficie de deux places de stationnement pour installer sa terrasse. Il n’y a pas le même traitement pour tout le monde. »
Une question de sécurité selon le maire
Pour Eliane Wauquiez-Motte, maire du Chambon, le refus s’appuie sur des questions de sécurité. La décision a été prise avec ses adjoints. « Le trottoir est très étroit. Et ce n’est pas comme un restaurant où les gens se posent. Et si on lui donne une réponse favorable, il faudra aussi dire oui à la boulangerie à côté qui a fait la même demande. Ce n'est pas une décision qui se prend à la légère, il faut appréhender tous les aspects », indique l'élue qui ne ferme pas totalement la porte.
