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Cette fois, c’est officiel, toute l'équipe du Pierre Lemos Racing fait partie des teams retenus pour participer au Bol d’Or 2019. Originaire de la Haute-Loire, le team compte dans ses rangs deux pilotes altiligériens. Un défi de taille pour ces amateurs organisés comme des pros.

De nombreuses équipes professionnelles ou amateurs souhaitent y participer, mais les places sont limitées. Aux côtés des teams officiels, le Bol d’Or s'illustre aussi par de petits teams amateurs comme Pierre Lemos Racing, dont l’objectif principal, cette année, était de participer à cette célèbre course d’endurance.

Il y a beaucoup de préparation en amont et tout le team, composé uniquement de bénévoles, s’investit énormément pendant des mois. « C’est lorsqu’on se retrouve pendant les compétitions, que l’on se rend bien compte de la charge de travail accomplie par chacun pour être prêt le jour J et de l’importance de la présence de tous. J’ai déjà eu l’occasion de participer au Bol d’Or en 2015, en tant que pilote, mais cette fois, ce sera avec ma propre structure et c’est un rêve qui se réalise. Je mesure aujourd’hui la chance que j’ai ! », indique Pierre Lemos, président de l’association PLR.

Un rêve de gosse

Tous les fans de moto en rêvent… Participer au Bol d’Or, mythique course d’endurance de 24 h, réclame une préparation optimale. Les pilotes, team managers, mécaniciens, panneauteurs, cuisiniers, chargés de communication ou encore kinésithérapeutes doivent travailler main dans la main pour hisser leur équipe au plus haut niveau.

« Je n’arrive toujours pas à y croire, nous ferons partie des 59 teams retenus pour la légendaire course du bol d’or au Castellet les 21 et 22 septembre. Le challenge reste très élevé, mais nous sommes très motivés pour aller jusqu’au bout », assure Sylvain Coulon, pilote.

Quatre pilotes

« Au-delà du rêve un peu fou de participer à une course mythique, je me suis orienté vers l’endurance parce que cela implique de grandes qualités humaines telles que l’esprit d’équipe, le partage, la tolérance, et le dépassement de soi. Devant la motivation et l’organisation de l’équipe, j’ai eu envie de m’investir dans cette belle aventure humaine », ajoute Richard Montchalin, autre pilote PLR.

« C’est une belle opportunité, ce sera une nouvelle expérience pour moi, mais les premiers tours de roues avec la moto et l’équipe semblent plutôt concluants », explique Laurent Filleton, le 4e pilote.  

A 300 km/h en ligne droite

Créée en 2015, par Pierre Lemos, pour assouvir sa passion de la moto, l’association Pierre Lemos Racing participera à la course légendaire qu’est le Bol d’Or. Les pilotes s’imaginent déjà dévaler la ligne droite du Mistral à plus 300 km/h. Au total, c'est une trentaine de personnes qui devront partir au Castellet, avec le soutien de partenaires publics et privés régionaux.

L'équipe Pierre Lemos Racing trépigne d'impatience à l'idée de vivre cette fabuleuse aventure avec leur Yamaha R1, portant le numéro 43, qui sera engagée en catégorie Superstock, aux mains de Pierre Lemos, Richard Montchalin, Sylvain Coulon et Laurent Filleton.

Les familles et les amis des trois victimes ont été entendues. La justice accepte de rouvrir l'enquête pour tenter de faire la lumière sur le drame qui a tué trois adolescents en 2015 dans un hameau de Bas-en-Basset.

L'information est révélée par France 3. En date du mardi 13 août, une information judiciaire avec constitution de partie civile pour "homicides involontaires" a été ouverte.

Cette décision va permettre à une nouvelle équipe d'enquêteurs de rouvrir l'épais dossier de cette explosion du 13 juin 2015 qui avait coûté la vie à trois adolescents, Bastien, Tristan et Maxime dans une maison abandonnée. Robin est le seul survivant après avoir été gravement brûlé.

Car si la justice a innocenté les trois copains, de très nombreuses questions restent en suspens autour de la présence importante de produits chimiques et instables dans cette maison de "Ranchevoux" à Bas-en-Basset, capables de fabriquer du TATP (peroxyde d'acétone). "Tout ce qu'on a su nous dire, c'est que nos enfants n'ont rien fait. Mais cela ne nous suffit pas", évoquait le père d'un des trois garçons en juin à l'occasion d'une nouvelle mobilisation. Ces derniers mois, les familles ont engagé un nouvel avocat réputé, Me Gilles-Jean Portejoie. Les parents avaient aussi porté plainte contre X pour relancer l'enquête.

Une semaine après les averses orageuses ayant entraîné des inondations, les traces restent encore visibles à Pont-Salomon. Etat des lieux avec le maire Laurent Coletto.

Sept jours ont passé et l'état des lieux définitif n'est pas encore totalement établi. A Pont-Salomon, les découvertes de nouveaux dégâts se font chaque jour. Infiltrations, inondations, glissements de terrain : Pont-Salomon n'a pas été épargné le mardi 6 août.

Huit familles impactées

Huit familles ont été impactées par les torrents d'eau et de boue dont six autour du carrefour du pont. Des voitures ont été emportées, du mobilier détruit. "C'est le point le plus bas de la commune. C'était un entonnoir entre l'eau qui descendait de la RN88, le ruisseau des Eygats et la route de Monistrol. En 45 minutes, l'eau est montée d'un mètre. Heureusement, la Semène est restée dans son lit."

A La "Méane", l'eau s'est infiltrée sous le macadam et a soulevé la route sur 100 mètres sans la déchirer. A l'Alliance, une partie de la colline s'est écroulée en contrebas de la RD45 qui mène à Aurec. Telle une congère, la terre et les pierres ont fermé la route devant les anciennes usines Experton.

"Un événement traumatisant"

Alors que l'heure est au passage des experts des assurances, la commune a déposé dès jeudi dernier un dossier de demande de reconnaissance en catastrophe naturelle. Un recueil a été ouvert en mairie pour recenser tous les dommages des particuliers.

"C'est un événement traumatisant. Il faudra du temps pour s'en remettre", estime le maire de Pont-Salomon.

La 5e édition du Trail du Mézenc se déroule jeudi 15 août aux Estables. Comme pour les quatre premières éditions, cette épreuve sportive se fait au profit des enfants atteints du cancer.

L'objectif de cette édition 2019 est de dépasser la barre des 100 000 euros d'argent pour l'association APPEL (Association philanthropique d'enfants atteints de leucémie ou autres cancers) qui intervient auprès des services d'oncologie pédiatrique de Saint-Etienne et Lyon. En quatre éditions, 87 000 euros ont déjà été ramassés dont 26 000 euros en 2018.

L'an dernier, 2 000 participants avaient été comptabilisés, dont 1 000 coureurs sur les différents parcours. Et cette année, le Trail du Mézenc est bien parti pour atteindre cette barre et battre un nouveau record de mobilisation. "Les inscriptions sont pour l'instant en hausse par rapport à l'année dernière", annoncent Aline et Pierre-Julien Jouve, les parents de Paul à l'initiative de cette course nature.

Il reste jusqu'à mardi minuit pour s'inscrire sur www.chronopuces.fr. Ensuite, les runneurs pourront toujours s'inscrire sur place jeudi 15 août à partir de 10 heures.

Les nouveautés : des challenges créés

Cette année, les organisateurs créent deux challenges en hommage à Manu Ollier et Charly Paya : le Challenge entreprises pour la société la plus représentée. Elle sera récompensée lors de la remise des prix pour rendre hommage à un ami du Trail du Mézenc, Manu Ollier, parti trop tôt ; et le Challenge association, en hommage à Charly Paya, fondateur de l'association support en 1993, lui aussi un ami du Trail du Mézenc...

Trois courses adultes, deux randos, 3 parcours enfants

La 5e édition du Trail du Mézenc propose comme l'an dernier trois parcours pour les adultes sur des distances de 8 km, 15 km et 31 km. La longue distance peut se faire en duo.

Le trail, c'est aussi de la marche. Deux circuits seront balisés de 10 km et 14 km.

Et pour les enfants, ils disposeront de trois distances dans le village : 600 m pour les enfants nés entre 2012 et après, 1 200 m nés entre 2008 et 2011, et 2 000 m nés entre 2004 et 2007.

Le programme

A partir de 10 heures et jusqu’à 15 minutes avant le départ de chaque course : retrait des dossards au centre d’animation des Estables.

A partir de 13 h 30 : animations enfants au stade (aux bas des remontées mécaniques)

14 heures : départ du Trail du Mézenc 31 km (vétérans, seniors et espoirs, année limite 1999)

14 h 15 : départ du 2 000 m (2004-2007), benjamins et minimes

14 h 15 à 15 h 15 : départ des randonnées 10 et 14 km

14 h 45 : départ 1 200 m (2008 à 2011)

15 h 15 : départ du 600 m (2012 et après)

15 h 45 : départ de l’Appel du Mézenc 14 km (vétérans, seniors, espoirs, juniors, année limite 2001)

16 heures : remise des prix des courses enfants (vers la zone de départ et d’arrivée)

16 h 15 : départ de l’Appel de l’Alambre 8 km (Vétérans, séniors, espoirs, juniors et cadets année limite 2003)

19 heures : remise des prix au centre d’animation du village

Pour s'inscrire, cliquez ici

Une demande de permis de construire vient d’être déposée en mairie de Raucoules pour un chenil pouvant accepter jusqu'à 49 chiens de chasse. Ce chenil sera implanté au lieu-dit "Ribeyre" entre Raucoules et Montfaucon-en-Velay.

Un particulier de Saint-Pal-de-Mons projette de construire un chenil à Raucoules où il possède des terrains. Actuellement, le chenil se trouve à Saint-Romain-Lachalm, dans le bourg. Le premier voisin se trouve à 30 mètres. Suite à des plaintes de riverains, les services de la préfecture ont effectué un contrôle au printemps. 33 chiens ont été comptés de races griffon bleu et ariégeois. Il a été demandé au propriétaire des chiens de se mettre en conformité avec le règlement, soit moins de 9 chiens puisque le chenil se trouve à moins de 100 mètres de la première maison.

Possédant des terrains à Raucoules, il envisage d'y construire un chenil. Le premier projet se trouvait à "Bronac". Les riverains ont rapidement réagi et lancé une pétition.

Un projet qui rencontre de vives oppositions à Raucoules

Un nouveau permis de construire vient d'être déposé à "Ribeyre", entre Raucoules et Montfaucon-en-Velay. "Certes la loi oblige la construction des chenils à 100 mètres des habitations, mais les aboiements se font entendre à plus de 300 mètres, et ne parlons même pas des odeurs ; ce qui implique les villages de Ribeyre, du Buisson, Lestang, Bayles, Fay, les Balayes, le bourg de Raucoules ainsi que les lotissements des Barbières, les Mésanges, la rue de Leyre, Fonconèche de la commune de Montfaucon", énumère le collectif de riverains qui vient de réagir à son tour "contre cette construction pour éviter les nuisances sonores, les mauvaises odeurs. Certaines familles habitent prés de ce futur chenil et ne souhaitent pas être dérangées par autant de chiens".

Les riverains estiment que "un terrain isolé de toutes habitations serait plus approprié que ce terrain implanté au milieu d’habitations de familles, personnes travaillant à domicile ou recherchant la tranquillité".

Le porteur de projet rassure

Le porteur du projet répond aux critiques : "Je n'ai pas d'élevage. Je me mets aux normes et je donne l'exemple en tant que lieutenant de louveterie. Je possède environ 25 chiens. Je constate que parmi les contestataires, des personnes ne sont pas aux normes. Au-delà de 9 chiens, on doit respecter un périmètre que ce projet permettra. La première maison sera à 150 mètres. Les gens s'inquiètent pour rien. Un système anti-aboiement avec jet d'eau sera installé. Je pourrais mettre 9 chiens à Saint-Romain, 9 à Ribeyre et 9 à Bronac sans demander d'autorisation. Mais ce n'est pas ce que je souhaite

Suite à l'accident du jeudi 8 août qui s'est produit à la "Détourbe" à Raucoules, sur la Départementale 105 (entre Yssingeaux et Montfaucon-en-Velay), le parquet de justice du Puy-en-Velay a décidé de lancer un appel à témoins, "au vu du peu d'éléments" en possession des enquêteurs.

Il était 17 h 45 jeudi quand le choc s'est produit entre une voiture et un vélo. La Peugeot "206" circulait dans le sens Montfaucon-Lapte. Au volant, le jeune homme de 21 ans revenait de son travail à Tence pour rentrer chez lui à Lapte. Il a successivement emprunté la D500, la D64 et la D105.

Quant au cycliste, un Raucoulois de 61 ans, il était au guidon d'un vélo de course Btwin de couleur jaune et noire. Il roulait dans le sens Lapte-Montfaucon. Il sortait de chez sa mère à Lapte pour se rendre chez lui à Raucoules.

L'accident s'est produit en ligne droite.

L'appel à témoins pourra peut-être déterminer les comportements routiers de chaque partie avant l'accident et éventuellement un témoignage de la scène.

Le cycliste, héliporté dans un état critique à l'Hôpital Nord, se trouvait toujours dans le coma samedi matin.

Contact : 04 71 04 52 00

Mathilde Françon vient de se reconvertir et redonne vie à de vieux meubles en les restaurant et leur donnant de nouvelles couleurs douces ou pimpantes.

Après avoir passé dix années en tant qu'éducatrice de rue auprès des jeunes en voie de marginalisation dans le quartier de la Tarentaise à Saint-Etienne, Mathilde Françon, 39 ans, a décidé de changer de métier. Elle est toujours en quête de puiser le potentiel enfoui mais elle concentre ses efforts aujourd'hui sur de vieux meubles et non plus sur les jeunes des quartiers. "J'avais envie de changer. J'étais arrivée à un point où j'avais du mal à accompagner ces jeunes."

Et puis Mathilde Françon a acheté une vieille ferme dans le quartier de "Verchères" à Yssingeaux. Avec son compagnon, après avoir habité à Retournac, Saint-Maurice-de-Lignon et Beaux, ils l'ont totalement rénovée. "On a pris du plaisir."

Avec Le Monde à l'endroit, Mathilde Françon permet de redonner vie à des objets, démodés, abîmés, cassés. "Toutes ces choses ont une âme, du vécu, ça me plaît. Et j'y associe l'envie de protéger l'environnement."

Autodidacte, l'Yssingelaise a pu compter sur les conseils de son compagnon, Thibault Champin, ébéniste de métier. "J'utilise des produits écologiques pour être en harmonie avec la santé et l'environnement. Je crée mes propres couleurs avec des pigments naturels."

Armoires, lits, chaises, tables : la restauratrice sublime tout mobilier désuet. Elle propose des meubles transformées à la vente ou peut répondre à toute demande particulière.

Infos pratiques

Téléphone : 06 24 59 54 84

Mail : lemondalendroit@gmail.com

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Depuis son ouverture le samedi 6 juillet, le Lugik Parc des Estables ne désemplit pas. La réussite va au-delà des espérances.

Il suffit de regarder la longueur de la file d'attente pour se convaincre que le Lugik Parc, c'est une affaire qui tourne. La luge 4 saisons des Estables enthousiasme tous ceux qui la pratiquent, de l'enfant au senior. "Pour l'heure, les gens viennent de loin. On n'a pas encore eu les locaux", estime Raphaël Bonnet, le directeur d'exploitation.

En un mois, 26 000 luges ont dévalé les rails avec une moyenne de 700 à 1 000 luges par jour. "On est au-delà des attentes", reconnaît Raphaël Bonnet qui se montre prudent. "Il faut regarder sur un an pour savoir si le succès se confirme. Pour l'heure, c'est top."

Si la technique suit la cadence (un seul jour de fermeture dû à l'orage), le seul petit bémol se trouve du côté de l'attente qui est allée jusqu'à 1 h 30. "On ne peut pas faire plus vite. On lance une luge toutes les 35 à 45 secondes. Si on raccourcit ce délai, on risque d'avoir des luges qui se rattrapent."

La structure de loisir a mis en place un planning sur son site internet pour indiquer les périodes propices pour éviter l'attente, comme en début de journée.

Après l'ouverture jeudi soir à Thoras, le Festival celte en Gévaudan est revenu vendredi à Saugues pour deux jours d'animations et de musique. Et en ce jour de marché, trois groupes ont transporté la ville dans une ambiance bretonne festive.

Chaque matin, vendredi et samedi, une grande parade anime le bourg de Saugues. Vendredi, trois groupes se sont relayés en différents points de la ville en ce jour de marché.

Le Bagad de Landerneau, l'Aquitaine Highlanders Pipe band et les Marins d’Iroise ont déambulé en ville, au son du tambour et de la cornemuse, en kilt ou en t-shirt à rayures.

Vous pourrez les retrouver samedi à Saugues à 10 heures. Et le festival propose deux soirs de concerts au marché couvert.

La grande parade de vendredi

Vendredi 9 août

Toute la journée : marché artisanal, animations pour les enfants, atelier de broderie, expositions de tapisserie, démonstrations de chants et de danses, vitrine pour l’emploi

15 h 30 : Biniou Man, place François Fabre

16 heures : démonstration et initiation aux danses bretonnes et irlandaises, place Limozin

16 h 30 : grande parade celte

18 h 30 : concert off avec les Marins d’Iroise

21 heures : concert au Marché couvert avec Celtica Pipes Rock et Jolly Jackers. Tarif : 20 € (gratuit pour les moins de 12 ans). Passeport 2 jours : 45 € (gratuit pour les moins de 12 ans)

Samedi 10 août

Toute la journée : marché artisanal, animations pour les enfants, atelier de broderie, expositions de tapisserie, démonstrations de chants et de danses, vitrine pour l’emploi

9 h 30 : visite guidée de Saugues avec le Pays d’art et d’histoire (départ de l’Office de Tourisme)

10 heures : grande parade celte suivie des déambulations de Biniou man

Visite d’un atelier de fabrication de casse-tête

Visite d’une entreprise de lavage de laine et muséographie

Atelier de création de produit cosmétique « maison »

14 heures et 16 heures : démonstration et initiation aux danses bretonnes et irlandaises, place Limozin

14 heures : visite d’un atelier de fabrication de casse-tête

14 h 30 : interlude musical par Aquitaine Highlanders Pipe band

15 heures : visite guidée de Saugues avec le Pays d’art et d’histoire (départ de l’Office de Tourisme)

Atelier de création de produit cosmétique « maison »

16 h 30 : grande parade celte

Concerts au marché couvert

11 h 30 : concert off avec Elven

18 h 30 : concert off avec les Marins d’Iroise

21 heures : concert payant avec Gerry Carter et Alan Stivell. Tarif : 30 € (gratuit pour les moins de 12 ans). Passeport 2 jours : 45 € (gratuit pour les moins de 12 ans)

Pour acheter vos places, cliquez ici

Six départements d'Auvergne-Rhône-Alpes dont la Haute-Loire et la Loire (pas l'Ardèche) sont déplacés ce vendredi en vigilance orange aux orages à partir de 16 heures.

Vendredi en début ou milieu d'après-midi, les orages devraient commencer à se développer sur le relief du Massif central. Ils gagneront ensuite rapidement les zones de plaine en s'intensifiant. Les cellules pourraient ne pas être très nombreuses ni très étendues mais pourraient présenter localement une forte intensité. Des rafales de 60-80 km/h sont attendues, localement 80-100 km/h. Elles pourraient produire de la grêle très localement de grosse taille. En revanche, les cumuls ne devraient pas être problématique en raison du déplacement assez rapide des orages du sud-ouest au nord-est.

En soirée ou début de nuit, la perturbation en approche sur l'ouest de l'Auvergne, devrait provoquer une vague orageuse remontant du sud-ouest du Cantal au Lyonnais et au Val de Saône.

Les zones les plus sensibles restent aléatoires mais l'activité devrait à nouveau être plus soutenue sur le Nord-Est du 43. "L'activité orageuse sera toutefois plus contenue, moins intense que mardi dernier mais le risque reste étendu à l'ensemble du territoire. Cet épisode pourra se prolonger dans la nuit avec 5 à 30 mm de précipitations", analyse Vince Météo 43.

Un autre épisode orageux est aussi annoncé pour dimanche en deuxième partie de journée.