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Ce jeudi 29 février, Le Puy Foot 43 accueillera le Stade Rennais (L1) au stade Geoffroy-Guichard de Saint-Étienne. Retrouvez ci-dessous toutes les infos pratiques liées à l'événement.

Billetterie – Accès tribunes

Pour les retardataires, c'est ici : https://billetterie.asse.fr/fr/acheter/place-a-l-unite-grand-public-le-puy-foot-43-vs-rennes-2023-1849/plan

Toutes les personnes souhaitant entrer dans le stade doivent être munies d'un billet avec QR Code ou code barre pour passer les portails de contrôle électroniques. La preuve d'achat ne permet pas d'accéder au stade. Pour récupérer votre billet, rendez-vous sur asse.fr > Mon compte > Mes billets. Les billets doivent être soit imprimés, soit présentés sur votre téléphone. Pour atteindre votre place, vous devez obligatoirement passer par un contrôle au niveau de la tribune indiquée sur votre billet.

Objets interdits : les bouteilles, contenants à bouchon, verres et canettes, animaux, parapluies, hampes rigides et de gros diamètre, boissons alcoolisées, casques, boîtes métalliques et engins pyrotechniques sont interdits dans l'enceinte du stade. Nous vous invitons à prendre connaissance de l'ensemble des objets interdits et à prendre vos dispositions afin de fluidifier votre passage lors des contrôles de sécurité.

Tout détenteur d'un billet est informé qu'il est susceptible d'être filmé dans le stade ou lors de l'accès à celui-ci dans le cadre des mesures de vidéosurveillance.

Ouverture des grilles du stade à 19 h 15

Circulation routière entre Haute-Loire et Loire

Dans le souci d'assurer la sécurité et le confort des supporters altiligériens, des consignes de déplacement spécifiques ont été mises en place par les autorités locales suite à la réunion de préparation s'étant tenue en début de semaine :

Supporters du Puy Foot 43 venant en bus : Les supporters Ponots voyageant en bus doivent obligatoirement emprunter la RN 88 et prendre la sortie n°14. Ils seront ensuite guidés jusqu'aux emplacements de stationnement réservés aux bus par les forces de l'ordre.

Pour les supporters ayant réservé un bus du Puy Foot 43 à la Mie Câline ou Weldom, le départ se fera le jeudi à 18h depuis le parking poids lourd de Cluny (en face de Feu Vert) au Puy-en-Velay. Venir un quart d'heure avant le départ, muni de votre ticket de bus.

Supporters du Puy Foot 43 venant en voiture : pour les supporters se déplaçant en véhicules légers, il est fortement déconseillé d'emprunter le boulevard Verney-Caron. Suivez plutôt les indications affichées sur les panneaux à messages variables et respectez les consignes des forces de l'ordre.

Animations aux abords du Stade Geoffroy-Guichard

Intermarché, partenaire du Petit Poucet mettra en place plusieurs animations au niveau du parvis du Kop Sud (tribune Jean-Snella) :

Foodtruck : Opération « Soupe des Champions », distribution de soupe gratuite.

Animation Foot Fléchettes.

Trick shot

Distribution de goodies (écharpes et drapeaux Petit Poucet Intermarché)

Boutique du Puy Foot 43

Une boutique du Puy Foot 43 éphémère sera mise en place à la Boutique des Verts, du côté du Kop Sud, avec écharpes du club, casquettes et bonnets (15 €). La boutique fermera ses portes à 20 h 45, heure du coup d'envoi de la rencontre.

Premiers arrivés, premiers servis. Les stocks du club ont été pris d'assaut ces dernières semaines. le Puy Foot 43 ne peut pas promettre de satisfaire tous ses supporters présents au stade.

Attention : les 2000 écharpes de la Région Auvergne-Rhône-Alpes ne pourront finalement pas être vendues par le club et seront distribuées à titre gratuit en tribunes avec des drapeaux.

Ce mercredi, vers 13 h 15, les pompiers ont été sollicités après la chute d'une femme à VTT.

Accompagnée d'un homme, cette femme de 37 ans est tombée sur un sentier très pentu et technique sur le GR3 entre Saint-Paulien et Lavoûte-sur-Loire.

Les pompiers se sont portés jusqu'à elle après 1 km de marche. L'endroit très escarpé les a rapidement amené à solliciter l'intervention d'un hélicoptère pour procéder à un hélitreuillage.

L'hélicoptère de la sécurité civile du Puy-de-Dôme a alors décollé de Clermont-Ferrand. Il a d'abord posé l'équipe médicale avant d'hélitreuiller la victime et de l'amener jusqu'à l'ambulance des pompiers stationnée sur le plateau. La trentenaire, qui souffrait du dos et des cervicales, a été emmenée par la route jusqu'aux urgences de l'hôpital Émile-Roux au Puy-en-Velay.

A deux jours du quart de finale de la Coupe de France contre Rennes, Le Puy Foot est prêt à se mesurer aux Bretons, qui viennent d'affronter le Milan AC et le Paris Saint-Germain. Le Petit Poucet a toujours un appétit d'ogre et compte porter le Chaudron à ébullition.

Les footballeurs du Puy savent qui ils sont et d'où ils viennent. Ils comptent respecter Rennes, qui le leur rendra bien, mais ne comptent faire aucun cadeau. A deux jours du coup d'envoi, on attend 30 000 supporters au stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne. Ce mardi midi, 27 770 billets étaient vendus.

"Tout peut se passer en 90 minutes"

"On est concentré mais on ne joue pas le match avant dans nos têtes. C'est peut-être notre jeunesse, notre insouciance", assure Rhenald Xhemo, milieu de terrain. "On joue au foot pour jouer devant du monde, on va jouer dans un stade mythique, je ne suis pas originaire d'ici mais je connais l'histoire, les poteaux carrés, ça vit football. On va respecter Rennes, on y va avec de l'ambition, tout peut se passer en 90 minutes. Ce n'est pas à nous d'avoir la pression. On mérite cette place, on ne l'a volée à personne."

"Ce serait bête d'arriver en retard"

Le staff n'a rien bouleversé au programme habituel des troupes pour les garder dans leur routine. "On arrivera simplement plus tôt que tout le monde à Saint-Etienne, pour éviter les bouchons. Ce serait bête d'arriver en retard", sourit Stéphane Dief, l'entraîneur qui devra faire des choix pour composer son groupe pour ce match historique.

Avec un nouveau coach et un effectif grandement remanié après la relégation, il était difficile d'imaginer en début de saison que le Puy atteindrait les quarts de finale de la coupe préférée des footballeurs et jouerait la montée en National 2. "On est assez fier, surtout du travail accompli, surtout en sachant d'où l'on vient", reconnaît Stéphane Dief.

Milan AC, PSG... et Le Puy

Après Dunkerque et Laval, deux équipes de Ligue 2, le Puy Foot s'attaque à un très gros morceau de Ligue 1, qui a battu Milan et a failli en faire de même avec le PSG. "L'histoire de la Coupe de France s'accompagne toujours de surprises. Si on pouvait en faire partie, on ne cracherait pas dessus. Mais il faut que les planètes s'alignent. Il faut qu'on soit très bon et Rennes très moyen. Je pense que Rennes prend le match au sérieux surtout qu'il peut gagner cette coupe."

30 000 spectateurs en 12e homme

Les 30 000 spectateurs pourront jouer le rôle de 12e homme. Le Puy dispose d'une belle cote de sympathie et l'engouement autour de ce match en est la preuve. Sur le terrain, Le Puy s'attend à avoir moins le ballon. Ce n'est pas un souci. "Ok pour avoir moins le ballon mais à condition de le vouloir plus. L'ambiance du stade doit pousser à plus d'efforts. Il faut que ça reste du plaisir, mais ce plaisir peut passer par le jeu et par le don de soi. Restons sérieux, sans se prendre au sérieux.

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Les pêcheurs et un collectif de riverains continuent de se battre contre un projet de micro-centrale hydro-électrique sur l'Auze, à la limite entre Yssingeaux et Saint-Jeures. Les travaux ont commencé avant d'être suspendus. Plusieurs plaintes ont été déposées.

Début février, les pelles mécaniques ont commencé à intervenir le long de la rivière Auze, qui descend d'Araules, longe Saint-Jeures et Yssingeaux avant d'aller poursuivre sa vie dans le Lignon. Au Pont du Fraysse, la société GEFA, dirigée par Joseph Guibert et plusieurs membres de sa famille, développe un projet de micro-centrale en s'appuyant sur le droit d'eau lié à un ancien moulin.

Les périodes de travaux dans le viseur des opposants

Mais ce projet, qui serait chiffré à 600 000 €, ne fait pas le bonheur des pêcheurs et de plusieurs riverains qui combattent cette construction. Plusieurs recours ont été déposés et le porteur de projet a obtenu gain de cause. D'où le début des travaux. Les opposants n'ont pas dit leur dernier mot et viennent de déposer plusieurs plaintes, en gendarmerie ou directement devant la procureure de la République. "Il a l’autorisation de commencer ses travaux, certes, mais qu’il le fasse correctement et qu'il respecte les périodes pour le faire, c'est-à-dire pas avant avril. Il croise un cours d'eau classé, qui vient de la Champ-des-Cayres, il est passé dessus avec une pelle mécanique. Il ne respecte pas le dossier qu'il a présenté pour l'étude d'impact", déplore Christian Peyron, à la fois trésorier de l'AAPPMA d'Yssingeaux et président du collectif pour la protection du bassin de l'Auze.

Ils défendent la biodiversité

Pour les pêcheurs et riverains, "un tel projet est dévastateur pour la biodiversité, aussi bien la rivière que la faune aquatique. Dans le cas de l'Auze qui est un des derniers cours d'eau de 1er catégorie préservée de Haute-Loire, une telle réalisation cause beaucoup plus de dommages et d'agressions qu'elle n'apporte de bienfaits dans le domaine des énergies renouvelables. Cette centrale va contribuer à la disparition de certaines espèces, micro-organismes, invertébrés, larves d'insectes qui constituent l'alimentation de la population piscicole et des oiseaux."

Un débit réservé de 80 litres par seconde

Avec cette micro-centrale hydro-électrique, le débit réservé de la rivière sera de 80 litres par seconde, "soit 3 seaux d’eaux, ce qui va assécher une grande partie du lit du cours d'eau provoquant là aussi la disparition de nombreuses frayères. En été, on tombe sur cette rivière à 50 litres seconde, on se demande comment il va faire pour faire tourner sa micro-centrale."

Depuis une semaine, les engins de chantier ont quitté les lieux après contact pris entre M. Guibert et les services de l'Etat. Une réunion sur le terrain devait se faire. Le propriétaire des terrains et porteur du projet, rencontré sur les lieux, n'a souhaité faire aucun commentaire, s'appuyant sur les décisions rendues par la justice.

Du côté de la préfecture, voilà ce qu'elle répond après une semaine d'attente et plusieurs relances : "Le projet de micro-centrale hydroélectrique sur l'Auze a fait l'objet d'une autorisation environnementale, délivrée par l'arrêté préfectoral du 17 juillet 2019 validant le dossier d'autorisation déposé et détaillant les modalités de travaux. Depuis cette autorisation puis l'engagement des travaux , les services de l'Etat  assurent  un suivi régulier et rigoureux des prescriptions de cet arrêté. Les services veillent, notamment, à ce que les travaux se déroulent conformément au cadre préalablement défini par l'arrêté préfectoral. Le respect des prescriptions particulières de l'arrêté dont il est fait part fait partie intégrante de ce suivi régulier réalisé par les services de l'État et sur lequel une vigilance particulière est assurée au vu des enjeux inhérents au site. Si des écarts étaient constatés, des actions correctives seraient immédiatement demandées au porteur de projet."

La nouvelle carte 2024 de revitalisation des zones rurales sera quasiment la même en Haute-Loire, à l'exception des communes des Sucs qui en sont exclues, ce qui peut avoir une incidence économique magistrale pour attirer des médecins, entreprises et commerces. Les élus des communes sont vent debout.

Les maires des Sucs ont trouvé un sujet de cohésion : la nouvelle carte des zones de revitalisation rurale. A partir du 1er juillet, les communes des Sucs en seraient exclues, à l'exception de Retournac.

La ZRR attire médecins et entreprises

Pour les maires des huit autres communes, sortir de ce zonage est ressenti comme une catastrophe annoncée. Concernées par la ZRR qui court depuis 2017, les villages des Sucs sortiraient de ce dispositif, qui joue à la fois sur les aides versées aux communes via une majoration de la dotation de solidarité rurale, mais aussi sur l'attractivité économique avec des exonérations fiscales et sociales pour les professionnels de santé, entreprises, commerçants et artisans qui s'installent sur ces territoires.

Les Sucs plombés par leur densité

Pour effectuer le nouveau zonage, différents critères ont été pris en compte : la densité, le revenu disponible et la prise en compte de la spécificité des territoires de montagne. Ce zonage se décompose en deux temps : le zonage « de base » a concerné les EPCI (commmunautés de communes) à partir de critères de richesse (seuil à 21 570 € de revenu disponible par habitant) et de densité (seuil à 63,57 hab/km²). Les Sucs sont "bons" pour le critère de fiscalité mais mis hors-jeu simplement à cause de sa densité de population, qui est de 65 habitants par kilomètre carré au lieu de 64. Cette décision est vécue comme injuste par les maires qui ont décidé de se battre. "Comment justifier que les communes d’Araules et de Saint Julien du Pinet soient considérées comme plus urbaines que les villes de Vals-Près le Puy ou Blavozy ? Comment croire que l’agglomération du Puy est plus rurale que la Communauté de communes des Sucs ?", questionne Arthur Liogier, conseiller départemental, dans un courrier qu'il a envoyé au préfet.

Lundi prochain, les maires ont tous rendez-vous avec le préfet pour évoquer le sujet. Ils vont mettre en avant ce que les aides ZRR ont apporté : la maison de santé de Chaussand à Yssingeaux, celles de Lapte et Grazac aussi. Le dentiste de Saint-Maurice aurait reconnu auprès du maire que ce classement a contribué à son installation.

De futurs projets impactés ?

Les maires vont aussi évoquer leurs craintes sur les futurs projets : l'installation de l'atelier de pâtisserie de Cédric Grolet, la transformation du VVF de "Recharinges" à Araules, l'arrivée de nouvelles entreprises à "Marteveille" à Lapte. Et quid des arrivées de médecins à l'avenir pour remplacer les départs d'au moins trois généralistes à Yssingeaux ? "On va perdre 130 000 € de dotations par an", a calculé Pierre Liogier, maire d'Yssingeaux.

"A se demander si ce n'est pas voulu", se demande Nadine Defour, maire d'Araules, inquiète comme tous ses collègues qui regrettent l'absence d'informations. "On sait nous trouver pourtant quand on a besoin. Qu'on ne nous dise pas que les politiques n'étaient pas au courant", peste Alain Fournier, maire de Saint-Maurice-de-Lignon.

Jean-Pierre Vigier : "J'ai fait le maximum"

"On se sent lésé, c'est un cri de colère", ajoute Pierre Liogier, qui a mis son écharpe tricolore comme ses collègues pour une conférence de presse en urgence. "Surtout quand on voit que des communes sont intégrées au ZRR alors qu'elles disposent d'une densité bien supérieure à nous." Sur les Sucs, la densité va de 20 h/km2 à 91 (Yssingeaux). Sur l'agglo du Puy, elle peut être de 126 à Saint-Germain-Laprade, 664 à Vals ou même 872 à Brives. "Sur l'agglo, les petites communes font baisser la moyenne", reconnaît Jean-Pierre Vigier, député de l'ouest de la Haute-Loire, qui a porté le dossier des ZRR et qui insiste : "Plus de 90 % des communes de Haute-Loire sont intégrées dans le dispositif. "Si on en sort, ça veut dire qu'il y a une dynamique. Pour les Sucs, le ministère aura une attention particulière pour les aider via d'autres dispositifs. J'ai fait le maximum." Pas sûr que les élus des Sucs soient convaincus. Mais lils gardent espoir de faire infléchir le gouvernement pour réintégrer le dispositif ZRR, désormais appelé FRR (France Ruralités Revitalisation).

Pourquoi Retournac est repêché

Retournac ne serait pas concerné car la commune ferait partie d'un bassin de vie "fragile". Retournac serait rattrapé au même titre que d'autres villages du Plateau : Boisset, Saint-Pal-de-Chalencon, Solignac-sous-Roche, Tiranges et Saint-André-de-Chalencon. Patricia Goudard, maire de Retournac, a tout de même choisi de se montrer solidaire. "Le territoire est entier."

Le palmarès 2024 du "Bib gourmand" a été dévoilé lundi par le Guide Michelin. Une table de Saint-Bonnet-le-Froid, l'Acte 2, fait partie de la liste des nouveaux restaurants.

Voilà bientôt trois ans que Lucas et Julie Degot ont repris le restaurant de la place aux Champignons à Saint-Bonnet-le-Froid, succédant magnifiquement à André et Viviane Chatelard. "Ils font du beau travail. C'est une belle récompense pour eux, et pour le village. Cela est allé très vite", félicite Viviane qui connaît l'existence de ce label du Guide Michelin dont l'un des critères est d'avoir un repas à moins de 40 € (hors boissons).

Le restaurant ne rouvrira que le 7 mars mais le téléphone risque de sonner encore plus souvent pour réserver une table à l'Acte 2. "On a de bons retours des clients, on n'a pas à se plaindre, on tourne bien", reconnaît Lucas.

Ce lundi, l'Acte 2 figure sur la liste des nouveaux restaurants d'Auvergne-Rhône-Alpes "Bib gourmand". C'est le seul de Haute-Loire sur une liste de neuf nouveaux sur toute l'Auvergne-Rhône-Alpes. "Le chef ne ménage pas ses efforts gourmands pour signer des assiettes bien travaillées", indique l'avis du Guide Michelin. 

L'Acte 2 rejoint d'autres adresses de Haute-Loire réputées comme étant Bib gourmand : Vidal à Saint-Julien-Chapteuil, Lou Pinatou à Solignac-sous-Roche, l'Ermitage à Espaly-Saint-Marcel, l'Emotion au Puy-en-Velay, et la Coulemelle à Saint-Bonnet-le-Froid.

Ce lundi vers 10 h 30, un grave accident s'est produit juste avant l'entrée en agglomération de Craponne-sur-Arzon, route d'Arlanc.

Une Audi "A6" a été percutée au niveau de la roue avant gauche par une Peugeot "406" qui a entrepris de la doubler. Après avoir heurté l'Audi, la Peugeot a été projetée contre le mur d'un petit bâtiment situé en bordure de route et appartenant au Département de la Haute-Loire.

Seize pompiers de Craponne-sur-Arzon, Saint-Paulien et Saint-Pal-de-Chalencon sont intervenus. Ils ont pris en charge l'automobiliste de la "407", un homme de 72 ans, qui souffrait d'un important traumatisme crânien. Cet habitant de Saint-Jean-d'Aubrigoux a été médicalisé et évacué en urgence absolue à l'hôpital du Puy-en-Velay. Dans l'Audi, les deux occupants, un couple qui vit à Cistrières en résidence secondaire et à Palavas-les-Flots, étaient indemnes.

Les gendarmes s'occupent d'établir les circonstances précises de cette collision. Les dépistages réalisés sur les conducteurs étaient négatifs.

Ce dimanche, un spectaculaire incendie a pris au 3e et dernier étage d'un immeuble dans le centre-ville du Puy-en-Velay. Une femme de 22 ans a été sauvée des flammes par les secours.

Il était 12 h 21 quand l'appel est arrivé au centre opérationnel des pompiers. Il n'aura fallu que quelques minutes aux pompiers les plus proches pour arriver jusqu'au sinistre. D'importants moyens ont été engagés et on a compté jusqu'à 70 pompiers sur l'intervention.

Le feu est parti du numéro 18 de la rue de Grenouillit, une ruelle qui relie la place du Marché-Couvert et la place du Plot. Les pompiers ont sauvé une femme de 22 ans qui était prisonnière des flammes. Trois autres victimes ont été prises en charge. Un bébé de 18 mois a aussi été transporté aux urgences du Puy. Un homme de 30 ans et une femme de 61 ans ont été vus par les secouristes mais n'ont pas été évacués.

Au total, 11 appartements ont été impactés sur trois immeubles mitoyens, soit 300m2 d'appartements.

Ce dimanche, à la mi-journée, un incendie s'est déclaré en plein centre-ville du Puy-en-Velay.

Le feu concerne le troisième étage d'un immeuble situé dans la rue de Grenouillit, une ruelle située entre la rue Panessac et la place du Plot. 

Le quartier a été bouclé, les riverains ont été évacués, et les secours empêchent toute personne accéder dans le périmètre concerné par l'incendie attisé par le vent. 

Soixante-dix pompiers sont sur place, de grandes échelles sont mobilisées pour attaquer le feu. 

La piste de l'origine accidentelle semble privilègiée. Deux personnes incommodées ont été transportées à l'hôpital ponot.

Dans la nuit de vendredi à samedi, les agriculteurs de Haute-Loire ont mené une nouvelle action à quelques heures de l'ouverture du Salon de l'agriculture à Paris.

De nombreux radars de Haute-Loire, pour ne pas dire la quasi-totalité, ont été plongés dans le noir. Des pneus, des bâches et de grands sacs type big-bag ont été utilisés pour masquer les appareils qui contrôlent la vitesse.

Une autre action est prévue ce samedi devant la préfecture du Puy-en-Velay : les agriculteurs auraient prévu de planter une haie.