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Un grave accident s'est produit mardi peu avant 17 heures sur la RD46 entre "Semène" et Aurec-sur-Loire, faisant un blessé grave, le pilote d'une moto.

Selon les premiers éléments, la conductrice d'une Skoda "Fabia" s'est engagée du pont des Ollagnières en direction d'Aurec alors qu'arrivait une moto.

Le choc a été violent, la roue arrière gauche de la voiture a été arrachée, la moto et le pilote ont traversé la chaussée, percutant un mur de rochers.

La conductrice de la voiture, une femme de 43 ans, a été prise en charge par les pompiers et évacuée aux urgences de Firminy. Le motard, un homme de 32 ans, est resté conscient mais présentait de multiples traumatismes. Le SAMU est venu en voiture et par hélicoptère.

Helisa 42 s'est posé sur la route et a emmené le motard en "urgence absolue" à l'Hôpital Nord.

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L'Altiligérienne Dzhuliia Salkho, apprentie en CAP cuisine 2e année, a remporté la médaille d'or des sélections au MAF (meilleur apprenti(e) de France) régional en spécialité "cuisine froide".

Elle travaille à l'auberge Lou Pinatou à Solignac-sous-Roche sous la houlette des chefs Alexandre et Charlotte Roy. Elle est scolarisée à l'Institut de formation de Bains avec pour enseignante de pratique Rachel Castanet.

Dzhuliia Salkho défendra donc les couleurs de l'excellence culinaire de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour décrocher le titre national à l'automne prochain à Paris.

Prometteuse et motivée, la jeune fille avait reçu en 2023 le prix d'honneur des apprentis de la SMLH (société des membres de la Légion d'honneur).

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A l'occasion des 80 ans de la Libération, la commune d'Araules lance le projet de réhabilitation de la ferme Héritier à "La Chièze", là où ont été tués 9 hommes, des paysans du coin et des résistants. Le projet sera dévoilé avec précision mercredi lors de la commémoration qui va suivre un parcours d'Yssingeaux à Araules, en passant par Le Mazet-Saint-Voy.

Pour s'inscrire dans la mémoire collective, les mairies d'Yssingeaux, Araules et Le Mazet-Saint-Voy invitent à réaliser l'itinérance entre les différents sites commémoratifs, à 9 h 30 au monument aux Morts d'Yssingeaux, à 10 h 15 à la Champ des Cayres, à 11 heures au Mazet-Saint-Voy et 11 h 45 à Montbuzat, au mémorial de Chièze.

Une expédition punitive

Charles Nouvet, Marcel Robert, Marc Valla, André Valla. Ces quatre paysans ont été assassinés "par la milice fasciste sous l'Occupation allemande" parce qu'ils avaient nourri les résistants, comme on peut lire sur la stèle de La Chièze, inaugurée un an après leur mort.  Les résistants Joseph Chabanne, Salvador Janello, Joachim Gomez, Felix Zowoik et Lisiack ont aussi été tués dans l'assaut de la milice et la police allemande. Ils avaient trouvé refuge dans la ferme Héritier, inoccupée. La ferme a été brûlée. Elle ne sera jamais reconstruite. Les descendants ont décidé d'en faire don à la commune d'Araules pour un projet de mémorial de la Chièze.

Un architecte a travaillé une esquisse de projet

La municipalité a sollicité Luc Victor, architecte dans le village, pour aborder une esquisse d'un projet de lieu de mémoire. "C'est une réflexion. Ce projet, on le veut collaboratif, on a besoin de solliciter la mémoire des habitants, leurs archives", indique le maire Nadine Dufour, au côté d'Amanda Gerentes.

La ruine de l'ancienne ferme va être réhabilitée avec trois espaces : explications autour de l'habitat traditionnel, honorer les 9 tués et un espace méditatif avec une charpente ouverte sur le ciel avec des bancs.

Un court-métrage projeté au temple

Ce projet sera dévoilé en détail mercredi à 12 heures, à l'issue de la commémoration. Et un film sera projeté à 13 heures et 14 h 30 au temple de Montbuzat. Ce film est celui d'un jeune réalisateur qui a tourné un court-métrage de 30 minutes à Araules, "Maintenant, j'ai peur". Ce film questionne ce qu'on aurait fait à leur place, à travers deux frères, l'un devenant résistant et l'autre milicien. "Ces jeunes cinéastes ne connaissaient pas l'histoire locale mais cela montre bien l'ambiance."

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs
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Les 100 clubs de football de la Haute-Loire vont élire le 15 juin le nouveau comité directeur. Atteint par la limite d'âge, Raymond Fournel va céder son poste de président après 28 années de mandats. Une première liste se fait connaître. Elle est menée par Laurent Lerat.

Alors que deux listes sont pressenties (ce qui serait une première depuis plusieurs décennies) pour briguer la présidence du comité directeur du District de foot de la Haute-Loire, un premier candidat a présenté lundi sa liste de 18 noms pour cette élection à venir.

Un ancien arbitre devenu délégué FFF

Laurent Lerat est le premier candidat déclaré. Alors que la liste devait être menée par Patrick Mathe, l'ancien président des Sauveteurs brivois, il a inversé sa position avec Laurent Lerat à la suite de problèmes de santé. C'est donc Laurent Lerat, ancien gendarme et ancien arbitre, à l'USF Le Puy et Brioude, aujourd'hui dirigeant à Vergongheon, qui est la tête de liste. Il est aussi délégué à la FFF et la Ligue dans les championnats nationaux. Et membre de la commission d'appel à la Ligue et la Commission départementale des arbitres.

Sous le nom "Unis pour un nouveau District", cette liste défend plusieurs valeurs : l'inclusion, la transparence à l'égard des clubs, l'unité de cette équipe, les labels pour les clubs, la ruralité.

Trois vice-présidents désignés

En cas de victoire, Laurent Lerat s'appuiera sur trois vice-présidents, un par arrondissement : Bernard Lescop (Vergongheon) pour l'ouest, Damien Terle (Loudes) pour le centre, et Richard Leydier (Dunières/Haut-Pays du Velay) pour l'est.

Des contacts ont déjà été entrepris avec les clubs. Le candidat et son équipe prévoient de prendre attache avec les 100 clubs. Chaque club dispose d'un vote, mais selon le nombre de licenciés, le poids des clubs varient de 1 à 10 voix. Le 15 juin, elles seront 387 voix à pouvoir s'exprimer.

La composition de la liste

Laurent Lerat, Vergongheon-Arvant

Patrick Mathe, Sauveteurs brivois

Christophe Deleau, Puy Foot

David Mialon, Puy Foot

Fabien Fournat, Le Pertuis

Damien Terle, Loudes

Dominique Challet, Lamothe

Julian Crevits, Blavozy

Hervé Besson, Saint-Georges-d'Aurac

Roland Peyrache, Montfaucon-Montregard

Bernard Lescop, Vergongheon-Arvant

Richard Leydier, Dunières/Haut-Pays du Velay

Michel Martin, District

Marion Chabal, Sauveteurs brivois

Célia de Araujo, Velay FC

Stéphane Peyrard, Saint-Didier/Saint-Just

Geoffrey Blondeau, US Vals

Grégory Sevenier, Sauveteurs brivois

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Dans la foulée du mouvement des enseignants, les parents d'élèves du collège des Gorges de la Loire à Aurec-sur-Loire occupent l'établissement scolaire depuis lundi soir. Ils se montrent déterminés.

Réforme du choc des savoirs, suppressions de postes, manque de moyens, absences non remplacées : la liste des doléances est aussi grande chez les familles du collège public d'Aurec. Alors qu'une journée "école morte" a concerné les cours lundi, les parents et leurs enfants ont pris le relais lundi à partir de 17 heures, occupant le site.

Sur les 250 élèves, ils n'étaient que quatre ce lundi à venir au collège. Une vingtaine de familles étaient arrivées à 18 heures. "On est venus avec nos sacs de couchage", indique une maman en montrant son duvet plié sous le bras.

La colère des familles est palpable et les sujets de grogne nombreux. "Les classes sont surchargées. Au lieu de rajouter des moyens, deux postes vont être supprimés. On nous dit que les enfants sont la priorité, on veut en faire une élite, et on décide tout le contraire. Les groupes de niveau, ça engendre déjà du stress chez les enfants. Ceux qui seront dans le groupe des forts auront la pression d'y rester, et ceux dans le groupe des faibles seront catalogués."

Un autre parent ajoute : "On oblige les enfants à aller aux collège, 24 à 26 heures par semaine. Et on a trois titulaires absents de longue durée. Et ils sont rarement remplacés. L'Etat ne fait pas son boulot."

Publié dans Loire Semène

Un accident s'est produit lundi matin peu avant 9 heures sur la RD500, entre Saint-Just-Malmont et Firminy. Non loin du barrage, à la limite entre Loire et Haute-Loire, la conductrice d'une Opel "Astra" aurait perdu le contrôle de sa voiture dans la descente sur une route mouillée.

L'Opel "Astra" est partie sur la gauche et a heurté une Mini "Cooper" qui arrivait en sens inverse.

Seize pompiers de Saint-Just-Malmont, Firminy et Velay Semène ont été engagés pour secourir les trois personnes impliquées. La conductrice de l'Opel, une femme de 50 ans, a été évacuée pour examens sur l'Hôpital Nord. La conductrice de la Mini, une femme de 34 ans, a été emmenée aux urgences de Firminy.

Pour l'adolescente de 13 ans, passagère de la Mini, l'hélicoptère du SAMU, Helisa 42, a été sollicité. L'engin s'est posé sur un délaissé et la circulation a été coupée pendant son intervention. L'adolescente a été emmenée en "urgence absolue" sur l'Hôpital Nord.

Publié dans Faits divers

Dimanche, 190 descendants de la famille Cottier se sont retrouvés, 20 ans après le premier rassemblement du genre.

Ils ont tous un descendant commun. Dans les archives, Jean-Louis Cottier remonte jusqu'à Jean Cottier en 1750, lequel quitte "Marnhac" à Yssingeaux. Ce veuf va s'installer successivement à "Bonnevialle", "Lavalette" et enfin "Rougeac" à Rosières. Après Jean, on retrouve Jean-Lui à "Haute Vialle", Jean-Claude à "Lavalette" et Claude Antoine à "Rougeac". C'est à partir de ce dernier que le rassemblement dominical s'est organisé. 

Claude Antoine a eu 13 enfants avec Marie-Antoinette Rousset dont deux enfants sont morts à la naissance. Et sur les 11 autres, ils étaient 9 garçons et 2 filles. Le nom Cottier (qui s'est d'abord écrit Cothier) est peu courant. Jean-Louis Cottier a retrouvé une photo de 1904 où son arrière-arrière-arrière-grand-père pose avec ses enfants lors de la construction de la maison qu'il habite encore à "Rougeac" à Rosières.

Dimanche, une grande frise réalisée par Jean-Marc Oubrier à Cyber 2000 à Vorey-sur-Arzon a permis de remonter l'arbre généalogique de chacun avec 708 noms inscrits.

En 2004, la famille Cottier s'était réunie pour la première et seule fois. Ce dimanche, 20 ans après, de nouvelles agapes ont permis de rassembler près de 200 descendants, repérables par lignée.

Ils ont promis de ne pas attendre 20 ans pour organiser les prochaines retrouvailles.

Publié dans Puy et Agglo
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Alors qu'un Sud-Africain était le favori de la 41e édition, ce sont finalement les Kenyans qui ont tiré leur épingle du jeu dimanche sur les 15 km du Puy-en-Velay.

Aucun record n'est tombé dimanche mais le spectacle a été assuré. La décision s'est faite dans les 500 derniers mètres de l'épreuve. Après que le Sud-Africain Thabang Mosiako a lâché prise, il ne restait que deux Kenyans en tête : Vincent Kimaiyo et Léonard Langat. La victoire s'est jouée au sprint avec une victoire de Kimaiyo, 20 ans, en 43'57.

Aurélien Rivet est le premier local en 49'06 mais n'a pas réussi à accrocher le record décroché en 2023 par Thibaut Imbert. Julien Rabaca, originaire de La Chapelle-d'Aurec, aujourd'hui à Clermont, s'en est approché en 47'54.

Chez les femmes, Winnie Kimutai, 22 ans, avait une longueur d'avance et s'impse en 49'40. Mathilde Sénéchal est la première Française, 30e en 53'40, juste devant Anne-Sophie Begon, une ancienne Altiligérienne licenciée à Roanne et de retour de blessure.

Sur les 5 km, Velay Athlétisme s'est montré aux avant-postes avec un succès de Baptiste Gibert.

Classements

15 km

5 km

2 km

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Les habitants du quartier de "Crouzilhac" à Tence réclament des vérifications poussées et un ajustement du réseau électrique après des incidents à répétition sur leur réseau domestique.

Des micro-coupures, des ampoules neuves qui grillent, des variations d'intensité, des coupures répétées, des appareils qui s'éteignent ou s'allument sans intervention humaine, des boxs internet rendues hors service, des portes de garage qui s'ouvrent au milieu de la nuit. Quatorze habitants de ce quartier de Tence ont décidé de faire entendre leur voix, ils ont monté un collectif et ont interpellé la commune et Enedis.

Des variations anormales de l'intensité des ampoules

Jeudi soir, un habitant a pris la parole face aux absences de réponses. "Nous demandons juste à Enedis une vérification complète du réseau électrique, ceci afin de nous garantir l'absence de dysfonctionnements au titre de notre sécurité domestique", indique Bernard Le Luduec.

Ces multiples variations d'intensité de la lumière à leurs domiciles les interrogent, d'autant que le quartier a été marqué par plusieurs feux d'habitation, sans que le lien avec un problème du réseau électrique soit démontré. Mais ces faits divers survenus chez des voisins rajoutent un climat anxiogène auprès des riverains. "Mon consuel a été vérifié par un expert, il est parfait. J'ai tout mis au rez-de-chaussée car on ne se sent pas totalement serein", reconnaît M. Le Luduec.

Des vérifications faites, des enregistreurs sur les transformateurs

Chez Enedis, des vérifications ont été entamées : "Le 15 avril dernier, après avoir été informées des inquiétudes de 14 clients concernant l'alimentation électrique du village Crouzilhac, nos équipes techniques sont intervenues sur place pour réaliser un contrôle complet du réseau public de distribution d'électricité. La ligne électrique HTA (ligne 20 000 volts) alimentant le village a été inspectée et plusieurs vérifications ont été menées sur les deux postes de distribution d'électricité auxquels est raccordé le quartier. Enedis n'a détecté aucune anomalie", indique le service communication du distributeur d'électricité.

Enedis va poursuivre ses investigations "en mettant sous surveillance les deux postes de distribution publique pour une période de 3 semaines. Enedis continue de dialoguer avec le porte-parole du collectif de clients ainsi que le maire de la collectivité afin de les tenir informés de l'avancée du diagnostic".

Publié dans Haut-Lignon
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Samedi soir, Blavozy et Monistrol ont fait match nul dans le derby en Régional 1. Un résultat qui fait les affaires des Carriers, quasiment maintenus. En revanche, Monistrol devra faire un résultat contre Thiers pour la dernière journée.

Il ne reste qu’un seul match et difficile de faire le point avec des calculs d’apothécaires. Les cinq derniers descendront mais le moins bon 7e des trois groupes de R1 pourrait suivre en fonction de la situation en National 3.

Compliqué. Blavozy est maintenu à 95 %. Monistrol est en ballottage favorable mais devra peut-être gagner contre Thiers lors de la dernière journée le 19 mai selon les autres résultats de la poule.

Ce samedi, Monistrol a eu la possession du ballon et la maîtrise technique. Mais comme à l’aller, Blavozy s’est montré très réaliste sur sa première opportunité, sur un corner. Le défenseur Madassa Bathe est venu placer le cuir sous la lucarne sur un second ballon.

L’USM a égalisé en seconde période par Alexandre Assaf mais doit se contenter de ce match nul. Un point qui permet aux hommes de Christophe Mourier de gagner une place et de potentiellement se maintenir. Mais plusieurs poursuivants ont gagné et peuvent encore lui passer devant.

BLAVOZY : 1

MONISTROL : 1

But pour Blavozy : Madassa  Bathe (10e)

But pour Monistrol : Alexandre Assaf (53e)

Blavozy : Luca Vallery, Yanis Moulin, Allan Agillianon, Madassa Bathe, Anthony Bonnefoy (cap.), Thomas Lhoste, Pierre Gentes, Louis Falcon, Tom Payzac, Pierrick Pezaire, Théo Falgon, Gaëtan Favier, Guillaume Lhoste, Jessy Roux.

Monistrol : Théo Blachon, Jules Bardel, Florent Jourzac, Logan Simon, Pierre Petrot (cap.), Victor Defour, Zachary Ez Zahouany, Baptiste Manus, Quentin Reydellet, Alexandre Assaf, Akram Azougagh, Gabin Barres, Corentin Cheynet, Valentin Marconnet.

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