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Présenté en conseil municipal en janvier 2020, le projet de vente de l'ancien village-vacances avance. Plusieurs membres d'une famille aux racines basques veulent faire du site un lieu culturel et de loisirs avec des studios d'enregistrement. Au moins dix emplois devraient être créés.

Bienvenue au Domaine Erruki Etxea à Araules. La commune d'Araules est sur le point de valider la vente de l'ancien village-vacances VVF avec la famille Arratibel. On retrouve deux soeurs, Dionisia et Claudia, et un frère, Loïti. Ainsi que José, 25 ans, fils de Claudia, et Morgane, 23 ans, fille de Dionisia, aussi investis dans cette aventure familiale

Le permis de construire est à l'étude et sa validation devrait entraîner la signature du compromis de vente.

La maison du bonheur

Erruki Etxea signifie « La Maison du bonheur » en basque. Pour la famille Arratibel, c’est la concrétisation d’un projet global qui va permettre aux membres de cette grande famille de se retrouver sur un même domaine et de faire cohabiter leurs différentes activités, pour l'instant éparpillés entre Paris, la Normandie, la Suisse, Bordeaux ou Toulouse.

Le coeur de cible : le milieu artistique

Mardi, une présentation a été faite par Claudia Arratibel, la directrice générale, quelques heures après l’installation de grandes bâches sur le portail d’entrée qui illustrent les différentes prestations.

Le cœur de cible sera le milieu artistique avec la création de deux studios d’enregistrement pour de la musique, de la vidéo, du clip.

Une grande salle de réception

La société vise aussi d'autres profils pour exploiter au mieux le potentiel du site.

La salle de réception va être préservée et même agrandie pour accueillir des groupes, jusqu’à 160 places assises. Cet espace sera loué et offrira la possibilité d’y organiser des fêtes, des mariages, des banquets, des réceptions privées et professionnelles.

Une offre hôtelière, une piscine couverte

Cette offre de services s’accompagne de 20 appartements hôtels allant du T2 au T4 pour 74 couchages, dont 4 appartements "VIP". Cette offre touristique pourra être complémentaire de la salle de réception pour héberger les convives.

Une piscine va être couverte et chauffée, un espace de soins et bien-être sera aménagé. Le terrain de sport va être réhabilité.

12 appartements à louer

Sur le domaine, 12 appartements allant du T2 au T4 aussi seront loués pour un usage d’habitation principale. Certains logements seront d'ailleurs occupés par la famille Arratibel.

Evoquons aussi les deux ateliers d'artiste à disposition et un espace de coworking.

Un centre équestre à venir

La deuxième phase du chantier concerne la création d’un centre équestre sur le haut du domaine. Ce projet est piloté par Morgane.

Les travaux devraient commencer à l’automne et s’étaler sur une période de 18 à 24 mois. « Le chantier sera phasé. Les activités débuteront après 12 mois. La mise en service sera progressive en fonction des zones achevées », annonce Claudia Arratibel.

Ce projet doit faire naître de l’emploi sur le territoire. Dix équivalents temps plein sont prévus sur le domaine.

Un village-vacances fermé depuis 2013

La fin du feuilleton semble en passe de se réaliser à "Recharinges" avec ce projet bien avancé. Inauguré en 1981, le village-vacances avait été tenu par VVF jusqu'en 1995, puis Abus d'Aventure de 1995 à 2000 puis A Tout Vert pour finir. En 2013, la mairie d'Araules avait récupéré les clés de ce bien immobilier de 3 hectares, comprenant cinq bâtiments pour 40 gîtes.

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

Fermés depuis septembre 2018, les 14 duplex de la résidence Les Aubépines à Yssingeaux pourraient être remplacés par 26 logements (dont un gardien) à destination des étudiants.

Les élus d'Yssingeaux ont validé le projet présenté jeudi soir en séance publique concernant la résidence Les Aubépines, située entre le Centre des finances publiques et le lycée agricole. Ici, depuis les années 2000 et l'abandon du village-vacances par son gestionnaire, 14 duplex accueillaient des étudiants, notamment dans le cadre du développement de l'Ecole de pâtisserie et plus globalement de l'enseignement supérieur sur la ville. Mais depuis deux ans, le site a été totalement fermé. "C'est une passoire", assure le maire Bernard Gallot.

La commune démolit, Alliade Habitat construit

Une solution est en passe d'être trouvée via Alliade Habitat qui se propose de construire une résidence étudiante en lieu et place des 14 duplex. La commune prendrait à sa charge la démolition des bâtiments actuels et cèderait à l'euro symbolique la parcelle pour bâtir ce nouvel ensemble immobilier de deux étages en forme de L, comprenant 18 studios, un T2 pour le gardien, sept T3, un bureau, une salle commune et une laverie.

Le coût prévisionnel, au stade de l'esquisse, est estimé à 2 millions d'euros

Publié dans Yssingeaux - Les Sucs

La soirée de fin de saison au village vacances VVF de Tence a permis d'offrir un repas à des bénéficiaires des Restos du coeur.

Les responsables du VVF à Tence savent se montrer généreux. Et à l'heure de conclure la saison touristique 2016, ils ont voulu l'accompagner d'un dîner solidaire à l'attention des plus démunis du territoire du Haut-Lignon. Des bénéficiaires des Restos du coeur du Plateau ont profité à la fois d'un copieux repas et d'une ambiance conviviale au sein du village vacances. "Merci à vous, et merci à Coluche", appréciait l'un des bénéficiaires.

François Guillemet, directeur du VVF de Tence et également de Saint-Julien-Chapteuil depuis un an, a porté un regard sur la saison 2016 sur le village tençois. "On a rallongé la saison d'une semaine en raison des réservations. Et si tout va bien, ce cera encore le cas en 2017. Nous serons ouverts du 29 avril au 23 septembre et ce sera une année sur le thème du cyclotourisme avec de nombreux événements. Le printemps a été en dents de scie mais l'été a été très rythmé. Nous sommes restés remplis à 95 % jusqu'à maintenant", a développé le directeur qui n'a pas manqué de remercier et de mettre en lumière chacun des employés qui gèrent 7 hectares et 61 logements.

Publié dans Haut-Lignon

Le centre de vacances du Mazet-Saint-Voy a entamé une réfection importante de ses bâtiments en 2011. La dernière tranche des travaux va se dérouler sur les hivers 2017 et 2018.

Le centre de villages La Costette 1000 est une institution sur le plateau Vivarais-Lignon et pour bon nombre d'enfants qui sont venus passer quelques jours au vert à 1000 m d'altitude.

Créé en 1978, ce village vacances imaginé par la Jeunesse des églises évangéliques libres de France (elle en assure toujours la gestion), était un lieu de villégiature pour les enfants de mineurs stéphanois. "Ils venaient pour améliorer leur éducation à l'hygiène et à la santé", résume Laurent Wauquiez, président de Région.

Jeudi, il a profité d'une visite sur le Plateau et dans ce village vacances pour annoncer une subvention de 200 000 euros Région-Europe pour soutenir la dernière tranche de travaux de la Costette, sur les 600 000 euros pour cette réfection. Au total, le coût global des travaux s'élève à 1,6 million d'euros.

Passer de 100 lits à 88 après travaux

Ces travaux s'inscrivent dans un chantier plus vaste débuté en 2011 par une aile du bâtiment où se trouvent des chambres. Une deuxième vague de travaux a été effectué en 2014-2015 pour la partie centrale et collective où se trouvent le réfectoire, la cuisine, la salle à manger.

La troisième et dernière tranche va donc débuter cet hiver, la période la plus calme de l'année, pour se poursuivre et se terminer durant l'hiver 2018. "L'architecture est préservée mais on refait tout l'intérieur. On passe de chambres de 10 lits à des chambres de 6 lits", indique Thierry Ferrand, le directeur de la structure depuis dix ans. La capacité d'accueil va être réduite de 100 lits à 88 lits pour agrandir l'espace individuel.

7 000 nuitées par an

La Costette 1000, ouverte toute l'année aux groupes, familles et associations, travaille en étroite collaboration avec l'ESAT Les Amis du Plateau voisin dont Thierry Ferrand est également directeur. Depuis un an, les repas pour l'ESAT et la cantine municipale sont réalisés dans les cuisines rénovées de la Costette.

Le centre emploie 5 salariés en direct, 5 autres viennent de l'ESAT, et des bénévoles appuient l'organisation. Une salle polyvalente est souvent louée pour des manifestations d'associations ou des rassemblement familiaux. Le centre compte une moyenne de 7 000 nuitées par an.

Publié dans Haut-Lignon
Pour créer un centre de vacances pour sapeurs-pompiers en difficultés, Henri Durieux fait appel au financement participatif. Réunion ce lundi, à 20 heures, à Raucoules, pour découvrir le projet de l'association "Village de l'entraide".


C'est le rêve un peu fou d'un ancien sapeur-pompier volontaire de la caserne de Dunières, tenace et optimiste. Henri Durieux s'est mis en tête de créer un village de vacances destiné prioritairement aux sapeurs-pompiers qui rencontrent des difficultés, morales, physiques.
Une structure qui pourrait s'ouvrir aux pupilles et à leurs familles. Et être étendue aux familles de myopathes. "Car l'histoire du Téléthon est intimement liée aux sapeurs-pompiers", argumente Henri Durieux. "Cette idée trotte dans ma tête depuis une trentaine d'années", avoue-t-il.

L'ancien chef d'entreprise de Dunières verrait d'un bon oeil que ce futur hébergement, baptisé "Village de l'entraide", trouve un écrin de choix à la campagne, avec une vue sur la chaîne Lizieux-Mézenc, à Dunières justement!

Un terrain de 2 à 3 hectares serait idéal. De premiers plans ont été imaginés par Bruno Chenu, architecte à Monistrol-sur-Loire, sur la  base de pavillons doubles pouvant accueillir une quarantaine de familles. Au coeur du village, une salle des fêtes prendra la forme d'un casque de soldat du feu (voir photo).


Un financement participatif

Du 7 septembre au 31 octobre, Henri Durieux a parcouru, à pied, 1021 km, répartis en 55 étapes. Son objectif? Présenter le projet de "Village de l'entraide" dans 56 centres de secours du département. Et lancer une dynamique pour un financement participatif. Il a déjà collecté 24 000 euros. Mais la route est encore longue puisque le budget du projet est estimé à 4 millions d'euros. "Les sapeurs-pompiers anciens et actifs sont 320 000 en France. S'ils donnaient chacun 2 euros par mois, soit l'équivalent de deux baguettes de pain, en huit mois, on finance le projet!" s'enthousiasme-t-il. Puis ajoute : "Si le quart seulement se mobilise, on met trois ans pour réunir le budget."

Actuellement, Henri Durieux porte la bonne parole dans les communes du Pays de Montfaucon. Après Montfaucon-en-Velay lundi dernier, il convie à une rencontre ce lundi 14 mars, à 20 heures, à Raucoules, à la salle des chasseurs.

Contact au 06 82 79 77 66

Voir le site internet du Village de l'entraide
Publié dans Actualités 2016