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lundi, 28 mars 2016 15:35
Pour Anne Truphème photographe à Retournac, la famille et les enfants d'abord
Dans son studio 57 avenue de la gare à Retournac, on lit sur les murs les sujets de prédilection de la photographe Anne Truphème. Des portraits, majoritairement en noir et blanc, d'enfants, de futures mamans le ventre arrondi, de couples, de bébés... dont on perçoit jusqu'au grain de la peau.
Dans sa démarche, Anne Truphème privilègie l'intime et le noir et blanc. "Je photographie la famille, la maternité, les enfants. J'ai la conviction qu'il faut garder une trace des moments importants de la vie. Cette conviction s'est trouvée renforcée lorsque je suis devenue maman. En quelques semaines, un nourisson change tellement."
"Aujourd'hui, tout le monde prend des photos, à tout bout de champ et on oublie de faire des tirages ensuite. J'ai l'ambition de faire des portraits que l'on a envie d'accrocher durablement dans sa maison. Je préfère la prise de vue en studio, dans une grande sobriété de décor et en limitant les accessoires. L'humain est au centre de mon travail."
Cette Stéphanoise de 30 ans a largué les amarres au bord de la Loire, à Retournac, par amour. La compagne de Cédric Cottier avait aussi des attaches personnelles avec la Haute-Loire, dans la région craponnaise où une maison de campagne servait de villégiature à sa famille.
Après avoir été commerciale dans la communication, Anne Truphème a mis à profit les possibilités ouvertes par son licenciement économique pour se former à sa passion, la photographie. Des bons génies l'ont guidée durant cette formation : l'Ardèchois Claude Fougeirol Meilleur ouvrier de France (MOF) et Cédric Mouche le photographe d'Yssingeaux.
Pour aller jusqu'au bout de ses envies, la jeune femme a choisi de construire un studio tout neuf, à proximité de son domicile, à La Navette, où elle pourra exercer dans des conditions optimales.
Attention, Anne Truphème travaille uniquement sur rendez-vous. Passez un coup de fil avant de passer au 06 71 95 25 36 ou au 04 71 56 10 75.el : 04 71 56 10
Tel : 06 71 95 2
Mail
Plus d'infos sur son site
Dans sa démarche, Anne Truphème privilègie l'intime et le noir et blanc. "Je photographie la famille, la maternité, les enfants. J'ai la conviction qu'il faut garder une trace des moments importants de la vie. Cette conviction s'est trouvée renforcée lorsque je suis devenue maman. En quelques semaines, un nourisson change tellement."
"Aujourd'hui, tout le monde prend des photos, à tout bout de champ et on oublie de faire des tirages ensuite. J'ai l'ambition de faire des portraits que l'on a envie d'accrocher durablement dans sa maison. Je préfère la prise de vue en studio, dans une grande sobriété de décor et en limitant les accessoires. L'humain est au centre de mon travail."
Cette Stéphanoise de 30 ans a largué les amarres au bord de la Loire, à Retournac, par amour. La compagne de Cédric Cottier avait aussi des attaches personnelles avec la Haute-Loire, dans la région craponnaise où une maison de campagne servait de villégiature à sa famille.
Après avoir été commerciale dans la communication, Anne Truphème a mis à profit les possibilités ouvertes par son licenciement économique pour se former à sa passion, la photographie. Des bons génies l'ont guidée durant cette formation : l'Ardèchois Claude Fougeirol Meilleur ouvrier de France (MOF) et Cédric Mouche le photographe d'Yssingeaux.
Pour aller jusqu'au bout de ses envies, la jeune femme a choisi de construire un studio tout neuf, à proximité de son domicile, à La Navette, où elle pourra exercer dans des conditions optimales.
Attention, Anne Truphème travaille uniquement sur rendez-vous. Passez un coup de fil avant de passer au 06 71 95 25 36 ou au 04 71 56 10 75.el : 04 71 56 10
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mercredi, 23 mars 2016 15:16
Lapte : pas de hausse des taux d'imposition
Le conseil municipal, réuni mardi soir en mairie de Lapte, avait pour ordre du jour le débat d'orientation budgétaire. Au chapitre des recettes, la ligne impôts et taxes est revue à la baisse. Le prévisionnel s'établit à 480 000 euros en 2016 (495 000 euros en 2015). In fine, les élus font le choix de n'augmenter aucun des taux des trois taxes (habitation, foncier bâti, foncier non bâti).
Pour autant, cela ne signifie pas que tous les Laptois verront le montant de leurs impôts rester en l'état. En effet, le maire André Defour et son conseil vont entreprendre un travail sur les bases d'imposition, en s'attelant à une évaluation des valeurs locatives qui servent d'assiette aux impôts locaux. En clair, les personnes qui ont modifié, amélioré, agrandi leurs logements et dépendances, en omettant de le signaler, sont ciblées. André Defour s'appuie sur l'expérience d'Yssingeaux en la matière qui a "gagné" 50 000 euros en procédant à cette mise à jour.
Côté investissements, le chantier conséquent à venir est bien l'agrandissement de l'école publique de Verne. Le coût total du projet s'établit à 300 000 euros. La moitié, 150 000 euros, a été inscrite à ce budget. En effet, compte-tenu des délais liés aux demandes de subventions notamment, aux procédures d'appels d'offre, le début du chantier, un temps espéré pour ce mois de juillet, reste peu vraisemblable.
Pour autant, cela ne signifie pas que tous les Laptois verront le montant de leurs impôts rester en l'état. En effet, le maire André Defour et son conseil vont entreprendre un travail sur les bases d'imposition, en s'attelant à une évaluation des valeurs locatives qui servent d'assiette aux impôts locaux. En clair, les personnes qui ont modifié, amélioré, agrandi leurs logements et dépendances, en omettant de le signaler, sont ciblées. André Defour s'appuie sur l'expérience d'Yssingeaux en la matière qui a "gagné" 50 000 euros en procédant à cette mise à jour.
Côté investissements, le chantier conséquent à venir est bien l'agrandissement de l'école publique de Verne. Le coût total du projet s'établit à 300 000 euros. La moitié, 150 000 euros, a été inscrite à ce budget. En effet, compte-tenu des délais liés aux demandes de subventions notamment, aux procédures d'appels d'offre, le début du chantier, un temps espéré pour ce mois de juillet, reste peu vraisemblable.
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mardi, 29 mars 2016 06:08
Saint-Maurice-de-Lignon : le Bar des sports devient resto le week-end
A compter du vendredi 8 avril, le Bar des sports PMU, sitée dans la rue Nationale, l'artère principale de Saint-Maurice-de-Lignon, ajoute une corde à son arc en proposant de la restauration en fin de semaine. Le patron Valentin Cracco, aux manettes depuis juillet 2013, entend répondre ici à une demande de sa clientèle.
De 18 à 23 heures, vendredi, samedi et dimanche, sur place dans ses deux salles d'une capacité globale de trente couverts, ou à emporter, il déclinera une carte de snack et de restauration rapide, mais aussi des plats plus classiques.
Valentin Cracco garantit des préparations 100% maison. Pour développer cette nouvelle activité, il a aménagé une cuisine, un investissement de 10 000 euros, et procédé à l'embauche d'un cuisinier et d'une serveuse.
De 18 à 23 heures, vendredi, samedi et dimanche, sur place dans ses deux salles d'une capacité globale de trente couverts, ou à emporter, il déclinera une carte de snack et de restauration rapide, mais aussi des plats plus classiques.
Valentin Cracco garantit des préparations 100% maison. Pour développer cette nouvelle activité, il a aménagé une cuisine, un investissement de 10 000 euros, et procédé à l'embauche d'un cuisinier et d'une serveuse.
Bar des sports 35 rue Nationale Saint-Maurice-de-Lignon. Tél. 04 43 08 45 85
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Yssingeaux - Les Sucs
