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La ferme Chapuis a été distinguée lors du Sommet de l'élevage à Cournon-d'Auvergne pour sa Bassoise aux artisous.

La ferme Chapuis a participé au concours régional de produits fermiers dans la catégorie Artisons lors du Sommet de l'élevage de Cournon-d'Auvergne. L'exploitation familiale a misé sur son produit phare, "La Bassoise aux artisous". Bien lui en a pris puisque ce produit a reçu la médaille d'or.

270 000 litres de lait pour fabriquer le fromage

Depuis 2001, Marie Chapuis, après avoir obtenu son diplôme d’Ecole supérieure de commerce, a rejoint son père Joseph sur l’exploitation familiale installée à Bas-en-Basset. « Je reprends les recettes de fabrication de mes parents et mes grands-parents », indique-t-elle, fière de « perpétuer la tradition fromagère ».

Six salariés sont employés sur la structure, installée route de Beauzac, à Bas. Une soixantaine de vaches laitières sont élevées pour une exploitation qui compte une centaine d'hectares. 400 000 litres de lait sont produits chaque année, dont 270 000 litres sont transformés en fromages, le reste est vendu à une laiterie.

Un fromage en forme de coquille saint Jacques

« L’année dernière, nous avons obtenu le deuxième prix de l’innovation pour notre création fromagère : la Perle de Compostelle, un fromage en forme de coquille Saint-Jacques. L’idée vient bien entendu du fait que nous nous situons à quelques kilomètres du Puy-en-Velay. »

Pour le concours 2016, le GAEC a mis en avant sa Bassoise aux artisous. « Ceci est d’autant plus important que la filière locale s’inscrit cette année dans une réflexion sur la démarche d’une reconnaissance AOP qui a pour but de reconnaître des méthodes de fabrication communes et ancestrales sur un territoire. »

"Un gage de qualité auprès de nos clients"

« Obtenir le premier prix, c’est un gage de qualité auprès de nos clients, qu’ils soient locaux où à l’extérieur du département », assure l'agricultrice, qui distribue ses fromages sur la Loire et la Haute-Loire, de Montbrison au Puy-en-Velay en passant par la vallée de la Loire et le Pays des sucs. On retrouve aussi ces produits Made in Haute-Loire sur la région parisienne. « Le fromage aux artisons étant une fabrication confidentielle à l’échelle nationale, un premier prix, c’est une marque de qualité pour nos clients, de plus en plus en recherche de produits locaux ou fermiers, au lait cru et de qualité. »

Publié dans Monistrol et environs

Le Moto club de Bas-en-Basset organise dimanche son premier enduro. Entre 300 et 350 pilotes sont inscrits.

Après une quinzaine d'années à proposer une course sur prairie et deux années d'endurance, le Moto Club de Bas-en-Basset propose samedi son premier enduro régional, correspondant mieux aux pratiques des motards tout terrain du club bassois.

Cette compétition compte pour le championnat Auvergne. Quelques pilotes de Languedoc-Roussillon viendront aussi disputer l'épreuve.

Deux spéciales à Bas et Tiranges

Entre 300 et 350 pilotes sont annoncés sur les deux spéciales : la première sera à "Coutanson" à Bas-en-Basset, la seconde à "Cerces" sur la commune de Tiranges. Les pilotes seront amenés à passer deux fois sur chaque zone.

80 bénévoles sont mobilisés pour cette course. Il faut débroussailler et aménager un parcours de 75 km de liaisons sur les communes de Bas-en-Basset, Tiranges, Retournac, Solignac-sous-Roche, Saint-André-de-Chalencon, Boisset et Valprivas.

L'enduro de Bas-en-Basset sera l'avant-dernière épreuve de la saison régionale. Il restera ensuite une dernière date, le 30 octobre, à Vorey-sur-Arzon.

Plusieurs têtes d'affiche

Les 300 pilotes seront répartis dans 13 catégories. Malgré eux, quelques membres du MC Bas seront engagés, à l'instar d'Irène Genepi.

Au rayon des têtes d'affiche, trois pilotes de niveau Elite seront présents : Florian Peyret, Alexis Beaud et Florent Bouret.

Quant à la Monistrolienne Géraldine Fournel, championne d'enduro, elle sera à Bas pour accompagner son petit frère Thibault dont ce sera la première participation à un enduro.

Publié dans Sport

Le gîte de groupe créé dans le château de la Chomette à Bas-en-Basset vient d'obtenir le label d'exception "5 épis" de la part de Gîtes de France. C'est le deuxième gîte de luxe de la Haute-Loire.

Catherine et Patrick Blangarin ont investi dans un petit coin de paradis à deux pas du centre-ville de Bas-en-Basset, avenue de la Chomette. Il y a huit ans, avec deux autres associés (Nathalie Verot et Yvan Riffard) au sein d'une Société civile immobilière (SCI), ils ont acheté le château construit au XVIe siècle et agrandi jusqu'au XIXe siècle. Pour le couple originaire de Bas-en-Basset, cette acquisition est alors réalisée avec l'objectif d'en transformer une partie en gîte de groupe. Le couple Blangarin gère aujourd'hui le gîte dans le cadre d'une SARL dont ils sont les seuls gestionnaires, la SCI prenant en charge les travaux.

Cinq ans après l'ouverture, l'hébergement bénéficie de la plus haute distinction parmi les labels décernés par les Gîtes de France. Profitant de l'agrément d'un parc de verdure de 4,5 hectares, les clients évoluent sur 500 m2 habitables. "Quand ils arrivent, ils sont en totale autonomie", signale la maîtresse des lieux dont l'habitation privée se situe au sein du château.

A partir de 400 euros la nuit

Le gîte de luxe est conçu pour accueillir jusqu'à 14 personnes avec 7 chambres sur deux niveaux, une cuisine équipée, une piscine couverte.

Le gîte est loué à partir de 400 euros par nuit et jusqu'à 2500 euros la semaine.

Le château de la Chomette rejoint un autre gîte "5 épis" en Haute-Loire. Il s'agit du gîte La Polonie à Rosières

Pour en savoir plus

Voir le site internet du gîte

Téléphone : 06 70 93 41 40.

Publié dans Dans le 43 2016

La conductrice s'en est sortie sans dommage corporel mais deux panneaux de signalisation ne peuvent pas en dire autant.

Il était 8 h 20 vendredi matin quand une automobiliste, au volant d'une voiture sans permis, a dévié de sa trajectoire.

La conductrice a expliqué avoir été éblouie par le soleil. Toujours est-il qu'elle a fini sa course en percutant deux panneaux de signalisation au lieu-dit "Gourdon".

Publié dans Faits Divers 2016
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Un homme aurait tenté de mettre fin à ses jours dans le magasin Colruyt à Bas-en-Basset lundi matin.

Il était 9 h 30 lundi matin quand un homme est entré dans le supermarché Colruyt à Bas-en-Basset. Muni d'un couteau, visible, il se serait tailladé les veines à plusieurs reprises tout en déambulant dans les rayons. Il a été pris en charge par les pompiers qui l'ont conduit aux urgences de l'hôpital de Firminy.

Cet incident, qui a créé un certain émoi auprès des employés du commerce et des clients, lesquels n'auraient pas été menacés, a entraîné la fermeture du supermarché pour la journée. Les différents témoins ont été amenés à être auditionnés par les gendarmes et une équipe de l'identification criminelle a passé toute la matinée sur place pour réaliser des relevés.

Les raisons de ce geste désespéré et du choix du lieu ne sont pour l'heure pas connues.

Publié dans Faits Divers 2016

La Toupie bassoise est une association qui permet de bénéficier de matériel professionnel pour le travail du bois et les conseils de passionnés. Une porte ouverte a lieu ce samedi jusqu'à 18 heures.

La Toupie bassoise a déjà réussi son pari. Créée le 1er novembre 2015, l'association s'est installée dans un atelier à côté de la gare de Bas-en-Basset et propose des portes ouvertes samedi jusqu'à 18 heures.

Bernard Chanal était convaincu de l'intérêt du projet. Il lui a fallu du temps et beaucoup de conviction pour arriver à ses fins. Ancien membre d'une association monistrolienne qui organise le Salon du bois tous les deux ans, il a été rejoint par Julien Bargeon, Jean-Paul Massard, Roland Charra et Jean-Jacques Peyvel.

L'atelier se situe près de la gare

Alors qu'ils avaient déniché un local aux Villettes avec tout le matériel nécessaire, les bénévoles ont finalement dû trouver une autre solution. Ils ont bénéficié d'une oreille attentive du côté de la mairie de Bas-en-Basset qui leur a proposé de leur mettre à disposition gracieusement cet atelier à côté de la gare.

Pour le matériel, les créateurs ont mis à disposition leurs propres outils. "J'avais des machines comme un tour à bois, une scie circulaire, une dégauchisseuse-raboteuse, une scie à ruban. Julien a amené une scie à format. Jean-Paul avait un autre tour. Jean-Jacques a apporté le petit matériel et de l'outillage", détaille le président Bernard Chanal.

Le partage d'expériences

Très vite, la Toupie bassoise s'est enrichie d'une vingtaine d'adhérents. Comme Christian Anselme, retraité de Beauzac, qui avait envie d'apprendre. "J'y passe un jour sur deux ici. Je fais ça au détriment du jardin. Je bricolais comme ça mais j'avais peu de moyens. J'ai été initié et j'ai appris." Après un an, il a réalisé un escabeau en bois, des objets de toutes sortes et un portail. "J'ai galéré pour faire ce portail. J'ai mis 250 heures. Si je devais en refaire un, je mettrais deux fois moins de temps. J'ai fabriqué mes propres outils, j'ai beaucoup expérimenté.

144 euros de cotisation par an

La cotisation est de 144 euros par an, ainsi qu'une caution de 40 euros pour le badge d'accès à l'atelier. "On organise de petites formations d'une demi-journée tous les mois pour les débutants", signale le président.

Contact : 06 47 14 37 58

Publié dans Dans le 43 2016

A l’occasion des Journées du patrimoine, le Château de Rochebaron à Bas-en-Basset organise dimanche une journée autour du jeu médiéval.

Le jeu est une façon de se plonger dans l’époque médiévale. Qui dit époque médiévale dit évidemment jeux en bois. Testez-vous au Mikado géant, au jeu du bâtonnet ou encore à la toupie du roi. Vous pourrez également découvrir le spectacle de rapaces l’après-midi et admirer les oiseaux dans leurs volières toute la journée.

Pour l'occasion, le château de Rochebaron se transformera en une vraie cour de jeu

Tarif : 10 €/adulte (+17ans) ; 5 € de 6 à 16 ans ; gratuit pour les moins de 6 ans

Contact : 04 71 61 80 44

Publié dans Loisirs 2016

L’association Culture et Théâtre de Bas-en-Basset (ACT) fait sa rentrée samedi 10 septembre avec un spectacle d'ouverture de saison, à 20 h 30 au Théâtre du Marais. A l'affiche, un intermède musical de la chorale "Ritournelles" de Saint-Pierre-Duchamp autour d'un répertoire fédérateur.

Ce spectacle intitulé "Chansons Françaises d’hier et d’aujourd’hui" met à l'honneur dans une première partie des chansons de styles très diversifiés, propres à séduire toutes les générations.

Après l'entracte, le récital se poursuivra par un hommage à Michel Fugain.

Tarifs : adultes 6 euros, enfants 4 euros

Publié dans Loisirs 2016

Deux associés rénovent actuellement la discothèque de Bas-en-Basset, fermée depuis un an. Le Pi One va devenir l'Arlequin. L'ouverture est prévue pour la mi-septembre.

Une nouvelle page va s'ouvrir pour la discothèque de Bas-en-Basset, fermée depuis un an. Benoit Ginetti, 34 ans, et Valentin Cracco, 26 ans, se sont positionnés pour reprendre le fonds de commerce de ce bâtiment qui a toujours été un lieu de fête, de musique et de danse. La discothèque est située en bordure de Loire, à l'entrée de Bas, tout près du pont de la Loire.

L'Arlequin redevient l'Arlequin

Le Pi One a vécu. Voilà le retour de l'Arlequin. Les moins jeunes se souviendront avoir fréquenté cette boîte de nuit il y a quelques années, du temps où elle s'appelait déjà l'Arlequin. Ce night club s'est aussi appelé le Cube ou encore le Trésor. "Je trouve toujours dommage de changer le nom d'une discothèque. Je suis venu ici quand j'étais plus jeune et ça s'appelait l'Arlequin. Je pense que ça va rappeler de bons souvenirs", évoque Benoit Ginetti, domicilié à Saint-Maurice-de-Lignon et chargé d'études dans les travaux publics.

Pour cette affaire, il s'est associé avec Valentin Cracco, originaire de La Chapelle-d'Aurec et gérant du bar PMU des sports à Saint-Maurice-de-Lignon depuis trois ans.

Pub à partir du jeudi, discothèque le vendredi et le samedi

L'Arlequin ouvrira à partir du jeudi soir en tant que pub, bar à bières avec retransmission de matches dans une partie du bâtiment, de 18 heures à 22 heures le jeudi, de 18 heures à 23 h 30 les vendredi et samedi. A partir de 23 h 30, le lieu se transfomera en discothèque, jusqu'à 4 heures le vendredi et 5 heures le samedi.

Ouverture le 17 septembre ?

Les deux futurs gérants réalisent actuellement 5000 euros de travaux pour redonner un coup de jeune à la discothèque. Huit personnes seront embauchées et ont déjà été choisies, que ce soit les videurs, les serveuses ou les vestiaires. Pour le choix du prochain DJ, Benoit Ginetti et Valentin Cracco disposent de plusieurs pistes possibles.

Si tout se passe comme prévu, l'Arlequin accueillera ses premiers clients le samedi 17 septembre.

Publié dans Actualités 2016

Des travaux sont programmés sur le pont du Gourdon à Bas-en-Basset et au pont de Lignon à Monistrol-sur-Loire.

Des diagnostics vont être réalisés sur deux ouvrages d'art bientôt centenaires pour connaître leur état de santé et la charge qu'ils sont encore capables de supporter.

Cela concerne surtout le pont de Bas-en-Basset sur la Départementale 12. Ce pont du Gourdon, qui enjambe la Loire, date de 1929 et voit passer chaque jour 12 000 véhicules.

Il avait été construit à 200 mètres d'un ancien pont dont on devine encore les bases.  Ce pont se compose de deux arcs de 112 mètres, lesquels reposent sur des blocs en béton. Une structure métallique s'appuie sur deux culées fondées sur le rocher qui soutiennent le tablier.

Un pont atypique

Cette édifice en béton armé est atypique de par sa composition et son architecture. Deux autres ponts lui ressemblent : Langeac et Auzon.

Pour diagnostiquer l'état du pont, des équipes vont procéder à une inspection visuelle pour référencer les éventuelles fissures. Un carottage sur les bétons et les aciers sera réalisé afin de mieux connaître leur composition, méconnue, la qualité du béton, son vieillissement.

Ce diagnostic va entraîner une gêne à la circulation. Lundi 22 août, la circulation sera alternée en journée, avec une pause entre 12 et 14 heures. Le pont sera complètement fermé à la circulation le jeudi 25 août entre 1 et 5 heures.

Résultats attendus avant la fin de l'année

Un diagnostic similaire doit également être réalisé sur le pont de Lignon à Monistrol-sur-Loire, sur l'ancienne RN88. Aucune date n'a encore été fixée pour cette opération.

Les résultats du diagnostic sont attendus pour la fin de l'année.

Publié dans Actualités 2016
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